HAL Id: jpa-00237613
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Submitted on 1 Jan 1880
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A. MACFARLANE. - The disruptive discharge of electricity (Décharge disruptive); Edinb. Roy. Soc.
trans., t. XXVIII, p. 633. A. MACFARLANE and R.-J.-S. SIMPSON. - On the discharge of electricity
through oil of turpentine (Décharge électrique dans l’essence de térébenthine); ibid ., p. 673. A.
MACFARLANE and P.-M. PLAYFAIR. - On the disruptive discharge of electricity through liquid
dielectries (Décharge disruptive à travers les diélectriques); ibid., p. 679
C. Daguenet
To cite this version:
C. Daguenet. A. MACFARLANE. - The disruptive discharge of electricity (Décharge disruptive);
Edinb. Roy. Soc. trans., t. XXVIII, p. 633. A. MACFARLANE and R.-J.-S. SIMPSON. - On the discharge of electricity through oil of turpentine (Décharge électrique dans l’essence de térébenthine);
ibid ., p. 673. A. MACFARLANE and P.-M. PLAYFAIR. - On the disruptive discharge of electricity through liquid dielectries (Décharge disruptive à travers les diélectriques); ibid., p. 679. J. Phys.
Theor. Appl., 1880, 9 (1), pp.139-141. �10.1051/jphystap:018800090013901�. �jpa-00237613�
I39 calorimètres
pleins d-eau,
entourés l’un deglace,
l’autre d’eau àtempérature
constante t ; de l’échauffement observé on déduit la .chaleurspécificlue
à 0° et à t° : on trouve a =o,ooo859,
valeurpassablelnent
concordante avec laprécédente.
C. DAGUENET.
A. MACFARLANE. 2014 The disruptive discharge of electricity (Décharge disruptive);
Edinb. Roy. Soc. trans., t. XXVIII, p. 633.
A. MACFARLANE and R.-J.-S. SIMPSON. 2014 On the discharge of electricity through oil
of turpentine (Décharge électrique dans l’essence de térébenthine); ibid., p. 673.
A. MACFARLANE and P.-M. PLAYFAIR. 2014 On the disruptive discharge of electricity through liquid dielectries (Décharge disruptive à travers les diélectriques); ibid.,
p. 679.
Le but de ce travail est la recherche de la valeur de la différence de
potentiel correspondant
à une étincelle delongueur
déterminée.Dans un
récipient
formé par une boîte àétoupes
sontdisposées
deux électrodes en forme de boules ou de
disques
réunis aux deuxpôles
d’une machine deHoltz;
lepôle positif
estisolé,
lepôle
né-gatif
est en communication avec le sol. Au moment de ladécharge,
on mesure la tension au
pôle positif
et onInexprimé
en unités ab- solues à l’aide de l’électromètre Thomson.Avec des
disques
à bords arrondis de4
pouces dediamètre,
dont l’un est
plan,
F autrelégèrement
convexe, et des distancesexplosives
inférieures à 0m,0 i dans l’air à lapression atmosphérique (la déperdition
par les bordsempêche
de pousserplus loin);
ontrouve des valeurs satisfaisant à la formule
V est la différence de
potentiel
en unitésabsolues, s
lalongueur
de l’étincelle. Sous une
pression
de 180mm de mercure, on trouveM. Macfarlane essaye de rendre compte de ce
que V
et s ne sontpas
proportionnels
en admettant que la couche d’air condenséesur les électrodes oppose une résistance au passage des fluides. Si
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018800090013901
I40
en effet on chauffe les
électrodes,
les valeurs de V serapprochent davantage
de laproportionnalité. Ainsi,
dansl’hydrogéne :
hans l’air :
Ces résultats sont d’accord avec ceux des
expériences
faites par l’auteur avec 81.Playfair
sur ladécharge
entre deux fils deplatine
dont l’un est échauffé par un courant.
Deux autres séries
d’expériences
fournissent entre V et la pres- sion P du gaz les relationsLa résistance
opposée
à ladécharge
par différents gaz varie de l’un à1"autre;
en prenant pour unité la différence depotentiel
re-lative à
l’air,
on trouve pour des étincelles de0m,005
les différences depotentiel
suivantes :Les résultats fournis par des électrodes
sphériques
et des dis-tances
explosives plus grandes
sont moins concordants que lesprécédents.
MM. Macfarlane et
Playfair
ontrépété
cesexpériences
dansl’essence de térébenthine et l’huile de
paraffine;
par suite de l’ab-sence de la couche de gaz condensée sur les
électrodes,
les valeurs de V et s sont sensiblementproportionnelles :
Enfin,
dans une autre séried’expériences,
on a fait varier la tem-pérature jusqu’à 245°
et mesuré la valeur de V de I o° eni o", pour
I4I
une distance
explosive
de oll1,oog,pendant
l’échauffen1ent et le re-froidissement des électrodes. Les valeurs dans le second cas sont
toujours plus petites
que dans lepremier
pour une mêmetempé-
rature, ce
qui
montre encore l’influence de la couche de gaz con- densée sur les électrodes. C. DAGUENET.L. BLEEKRODE. 2014 Experimentaluntersuchung zur Bestimmung der Brechungsexpo-
nenten verflüssigter Gase (Mesure expérimentale de l’indice de réfraction des gaz
liquéfiés); Ann. der Physik und Chemie, nouvelle série, t. VIII, p. 400; I879.
Les gaz
étudiés jusqu’ici
par M. Bleekrode sont lecyanogène,
l’acide
carbonique
etl’ammoniaque, liquéfiés
dans un tube de Fa-raday
dont une extrémité avait été travaillée defaçon
àpouvoir
être fermée par deux
petites glaces parallèles,
collées au mastic.L’auteur a mesuré l’indice de ces gaz
par la
méthode connue du ducde Chaulnes,
en déterminant ledéplacement qu’il
faut donner à l’ob-jectif
d’unmicroscope
pour voir un mêmeobjet
à travers lapetite
auge de verre vide ou
pleine
de gazliquéfié.
Voici les résultats.M. Bleekrode
rapproche
le nombrequ’il
a obtenu pour l’acidecarbonique
de l’indice attribué eni826,
par Brewster(1 ),
à un li-quide
enfermé dans une cavi té d’une topaze duBrésil, et
croit pou-voir conclure que le
liquide
de Brewster était bien de l’acide carbo-nique.
Il
indique
enfinqu’il
a mesuré, à l’aide de sonappareil,
l’indicedu
zinc-éthyle,
etqu’il
l’a trouvéégal
à1,489.
Cette dernière dé- termination doit son intérêt à ce que lezinc-éthyle, spontanément inflammable,
est par cela même assez difficiles à manier.E. BOUTY.
(1) Traiis. of the royal Soc. of Edinburgh, t. X, p. f4o7.