HAL Id: jpa-00237822
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Submitted on 1 Jan 1881
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R. SHIDA (Tokio, Japon). - On the number of electrostatic units in the electromagnetic unit (Sur le rapport des unités électrostatique et électromagnétique);
Phil. Magazine, 5e série, t. X, p. 43; 1880
J. Macé de Lépinay
To cite this version:
J. Macé de Lépinay. R. SHIDA (Tokio, Japon). - On the number of electrostatic units in the electromagnetic unit (Sur le rapport des unités électrostatique et électromagnétique); Phil.
Magazine, 5e série, t. X, p. 43; 1880. J. Phys. Theor. Appl., 1881, 10 (1), pp.378-379.
�10.1051/jphystap:0188100100037802�. �jpa-00237822�
378
L’auteur a aussi trouvé que les
pouvoirs
inducteursspécifiques
du verre et de la
porcelaine
diminuentquand
ces corps ont étéchauffés, puis
refroidis. FOUSSEREAUL.-B. FLETCHER. - Note on the relation between the mechanical équivalent of heat and the ohm (Note sur la relation entre l’équivalent mécanique de la chaleur et l’ohm ) ; Philosophical Magazine, 5e série, t. X, p. 436; 1880.
L’auteur relève une erreur de raisonnement commise par M.
Wright (Philosophical Magazine,
avril et mai1880)
dansl’emploi
de la formulequi
donnel’équivalent mécanique
de lachaleur en fonction de la
quantité
de chaleurdégagée
par un cou-rant. M. Fletcher montre que la valeur de l’ohm construit par l’Association
britannique
doitêtre, d’après
ceraisonnement, phis petites
d’environ 2 pour i oo que sa valeurthéorique
quart de
méridien.
seconde ’
l’ohm serait donc
trop petit,
commel’indiquent
d’ailleurs lesexpériences
de MM. Rowland et Lorenz. M. Fletchers’occupe
d’ailleurs de déterminer de nouveau cette erreur par la méthode
calorimétrique.
G. LIPPMANN.R. SHIDA (Tokio, Japon). 2014 On the number of electrostatic units in the electro-
magnetic unit (Sur le rapport des unités électrostatique et électromagnétique);
Phil. Magazine, 5e série, t. X, p. 43; 1880.
L’auteur mesure en unités absolues la force électromotrice de 3o éléments Daniell au moyen de l’électromètre absolu de Thomson.
En
comparant,
au moyen de l’électromètre àquadrants,
à ces3o éléments celui dont il devait se servir
dans
les mesures sui- vantes, il trouvee = o,
034380
C. G. S.Pour mesurer la force électromotrice en unités
électromabné- tiques,
il mesure, au moyen d’une boussole destangentes,
l’inten-Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:0188100100037802
379 sité ahsolue du courant
qui
traverse unerésistance
totaleR,
et,quant
à cette résistanceR,
il la mesure enohms,
malheureuse- ment, ensupposant
exacte cette dernièreunité (Iohm =
109 C. G.S.).
Il trouve ainsi pour le
rapport
des deux unités de force électro-motrice,
en moyenne,nombre voisin de celui trouvé par Thomson
(ao3
X108) et
de celuiqui
mesure la vitesse de la lumière(300,
3 X108, d’après
M.Cornu).
J. MACÉ DE LÉPINAY.
PREECE. - On the space protected by a lightning-conductor (Sur l’espace protégé
par un paratonnerre); Phil. Magazine, 5e série, t. X, p. 427; 1880.
L’air
compris
entre un nuage orageux et le sol est dans un état de tension d’autantplus prononcé
que les surfaceséquipotentielles
sont
plus rapprochées,
ou que lesportions
deslignes
de force in-terceptées
entre elles sontplus
courtes.Quand
sur une de ceslignes
leslongueurs interceptées
descendent au-dessous d’une certainelimite,
il seproduit
unedécharge disruptive. D’aprés
divers auteurs, la force électromotrice ou différence de
potentiel
nécessaire pour donner lieu à une
décharge
dans l’air est de40 000
volts par centimètre.Quand
un nuage orageuxs’approche
d’unehauteur,
d’un édificeou d’un
paratonnerre,
les surfaceséquipotentielles
serapprochent
pour contourner le conducteur. La
décharge
seproduira
donc surlui
plutôt
que surl’espace
environnant. Laprotection
d’un para-tonnerre par
rapport
à unpoint
du nuage orageux se fera sentir apartir
du moment où cepoint
commencera à êtreplus rapproché
de la
pointe
duparatonnerre
que de la surface du sol. Cette consi- dération fournirait une limite del’espace protégé
sur lesol,
si l’onconnaissait la hauteur du nuage.
Dans le cas extrême le
plus
défavorable où cette hauteur seraitégale
à celle de lapointe
duparatonnerre, l’espace protégé
seraitlimité par une surface de révolution