Dans ce numéro Hommage à un grand Conseiller fédéral
page 5
Connaissance d'un artiste page 7
Au 63e Marché-Concours de taureaux à Bulle pages 9-13
La Fédération des SyndicMs^^ricoles du canton de Fribourg
pages 15-18 Nouvelles bannières
page 20
Un pèlerinage émouvant page 21 ..
Fribourg au Comptoir suisse pages 24-25
Les disparus pages 27-28 Les Bénichons
pages 31 - 33 La mode pages 2 et 36
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leur, d'un manteau, d'une robe: un nœud par ci, un arrondi par là, un pli Chanel devant, un pli creux derrière.
C'est un triomphe de la mode Chanel que ces tailleurs d'automne avec leur col de fourrure. Dans la ronde des jupes, deux nouveautés: la jupe boîte d'allumettes et la jupe twist. Knopf occupe aussi une place d'avant-garde dans les coloris. Le brun avec tous ses dégradés, le bleu, le rouge cerise, le gris, le noir dominent. Le tweed est un suc¬
cès. C'est pourquoi les manteaux dans les tweed Rodier con¬
naissent une telle vogue.
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5 Hommage à un grand conseiller fédéral
Au matin du 17 décembre 1959, Fribourg s'apprêtait déjà à recevoir, quelques heures plus tard, son syndic devenu par la volonté des Chambres fédérales, un des sept premiers magistrats du pays. Moins de trois ans après, cette même population apprenait que M. Jean Bourgknecht devait abandonner ses hautes charges. Ses forces l'avaient trahi.
Sa santé exigeait de tels ménagements que la décision pré¬
sentait un caractère irrévocable.
Nous l'avons dit, tout simplement, sans rechercher un titre à effets: nous voulons rendre un hommage à ce grand conseiller fédéral qui, âgé de soixante ans seulement, aban¬
donne malgré lui, un fauteuil qu'il occupait en tant que re¬
présentant d'un des partis politiques suisses importants.
M. Jean Bourgknecht, authentique bourgeois de Fri¬
bourg, descend d'une famille qui s'illustra sur divers plans:
militaire, politique, religieux. De nombreux citoyens se sou¬
viennent encore du grand-père de M. Jean Bourgknecht, lui aussi syndic de Fribourg. Personnalité marquante et volontaire, caractérisée par son esprit libéral, son opposi¬
tion à toute dictature d'où qu'elle vienne, Louis Bourg¬
knecht préféra renoncer à un mandat politique plutôt que d'entretenir des luttes intestines dont il avait horreur. Son petit-fils, Jean, se voua d'abord tout à son activité d'avocat dont l'étude brillante a maintenant été reprise par ses fils.
Membre ou président de conseils d'administration, il don¬
nait des avis autorisés et des conseils judicieux tels que les lui dictaient sa droiture de caractère et sa solide formation juridique ou financière.
En 1950, le Conseil communal de Fribourg se voyait privé de tout syndic, à la veille des élections. Une personna¬
lité, pressentie comme candidat, se récusait en dernière heure. C'est alors que M. Bourgknecht apparut comme l'homme de la situation. Rien n'illustre mieux ce sentiment que la réflexion que lui fit le président de l'assemblée qui l'acclamait comme candidat au conseil communal: «M.
Bourgknecht, vous nous sauvez...» Il ne se doutait pas, ce président qui n'est actuellement plus de ce monde, que ses paroles résumaient par avance, le rôle qu'allait jouer le nou¬
veau syndic porté aux responsabilités communales par l'en¬
semble des partis. M. Bourgknecht s'attaqua au redresse¬
ment des finances communales. Eliminant toutes les branches gourmandes de l'administration, sans pour autant porter pré¬
judice aux intérêts matériels de ses subordonnés — au con¬
traire, il améliora notablement leur sort, par la suite — imposant l'obligation de ne pas dépenser plus que les re¬
cettes ne permettaient, prévoyant au point de constituer des réserves pour maints travaux importants, il rétablit l'équi¬
libre financier de la commune, remboursa des emprunts. Et, au moment même où son programme se réalisait, il pouvait offrir aux contribuables de sa ville une baisse de l'impôt.
Nous ne citons là qu'un des aspects de son activité, car, comme syndic il s'intéressait à tous les problèmes.
Conseiller national, professeur à l'Université, conseiller aux Etats il s'ouvre magistralement la voie au Conseil fédé¬
ral... Il se met à la tâche avec une conscience et une com¬
pétence qui galvanisaient ses proches collaborateurs. Son argumentation convainc. Ses objections forcent le respect.
Sachant utiliser les effets oratoires, l'humour et les ressources de la langue française, il s'exprime toujours aux Chambres fédérales dans un silence parfait. Il répond aux interpella¬
tions avec une finesse d'esprit et de sentiments qui faisaient de lui un orateur averti et écouté.
La maladie le contraint à quitter Berne. Les Fribour- geois qui ont pu l'apprécier le retrouvent dans leur ville.
Mais il n'est plus leur syndic. Il reste « leur » conseiller fédé¬
ral. C'est à ces titres qu'il demeure dans leur cœur. Tls lui souhaitent un complet rétablissement et formulent des vœux ardents pour qu'il retrouve pleinement la santé.
Les Fribourgeois purent espérer, un moment, que M.
Paul Torche qui n'avait pas fait acte de candidature succéde¬
rait à M. Bourgknecht. Mais après avoir recueilli une magni¬
fique marque d'estime de la part de ses collègues, M. Torche s'effaça pour permettre à M. Bonvin d'accéder à la plus haute charge du pays, évitant ainsi des dissensions et des ressentiments. Nos vives félicitations à M. Bonvin pour son élection et nos hommages respectueutx à M. Torche pour son attitude pleine de dignité et de grandeur.
La réception que Fribourg réserva au nouveau conseiller federal lors de son /nissage à Fribourg fui chaleureuse.
M. José I't/lhon, président du gouvernement fribourgeois, félicite M. Hoger Bovin.
M. Anthamatten el son gracieu.r personnel en costume du pugs avaient dressé un magnifique buffet.
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d'un
Ayant exposé à Fribourg voici deux ans, Ferruccio Garopesani s'est trouvé conquis par le charme d'une ville et d'un site uniques. Il est de¬
meuré parmi nous, et d'une main visiblement émerveillée ne se lasse point de faire le portrait de nos rues et de nos paysages. Il nous a adoptés.
N'est-il pas juste, dès lors, que nous l'adoptions à notre tour"?
Chacun a pu voir ses dernières toiles et ses gravures.
Mais on est généralement peu renseigné sur une carrière féconde, maintes fois couronnée et déjà longue. Ces quelques lignes voudraient remédier à une lacune.
Ferruccio Garopesani. Nom sonore et magnifique comme un condottiere, qui devait fatalement pousser son person¬
nage à l'éloquence. De droit et de fait l'homme a l'oeil vif, le verbe et le geste faciles: dans la solitude comme sur la place publique, peindre est pour lui un spectacle. Et même quand il lui arrive de partir sans savoir où il ira, son pin¬
ceau tend toujours à l'expression. Fribourg s'est attaché un lyrique.
Certes, les courants en vogue vont d'ordinaire vers des climats plus rares. Et l'amateur averti ne manque pas de sui¬
vre, plaçant sa sensibilité sous la cloche de verre de la céré- bralité. Comment n'éprouverait-il pas malgré lui une impres¬
sion de repos, lorsqu'il débouche sur une peinture qui ra¬
conte la nature et l'homme sans autre préoccupation — apparemment — que de les voir « à travers le sentiment »?
On sourit au passage de la formule usée, qui ne saurait pour¬
tant faillir à retrouver quelque jour vérité et nouveauté. !
Apparemment, disions-nous. Car ce coin de Vieille Ville que baigne la Sarine, si l'on veut qu'il devienne une toile, il faut bien que le pein¬
tre le traite avec les mille roueries du métier et de l'art. Ce qui signi¬
fie qu'il faut être né artiste, qu'il faut ensuite s'assurer par la fré¬
quentation de l'académie italienne et de l'atelier parisien la posses¬
sion d'une belle virtuosité technique. Un paysage exact et économe tel que Singine, qui d'aventure vous fera penser à un Brulhart dont l'âme eût été plus sereine, n'est pas un simple bonheur; c'est le fruit d'une ruse infinie.
Quand on voit le chrysanthème se hausser dans son vase, quand de longues filles se mettent à hanter les roseaux de nos lacs, on sait que le peintre est en quête de stylisation. Non pas meilleur, du reste; tout simplement différent. Or nous savons aussi que Garopesani a parti¬
cipé aux Biennales de Venise et de Milan, qu'il a mérité de nombreux prix nationaux en Italie, et qu'il s'apprête à exposer au Musée Rath, à Genève. Ce qui signifie qu'on lui a reconnu un style.
Il faut donc connaître Ferruccio Garopesani.
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Dès les premières heures du malin commence le défilé traditionnel de la (jare au Marché-Couvert.
Le coup d'œil du vétérinaire, avant l'entrée dans l'enceinte du Marché.
Quand Bulle redevient la vraie capitale
de l'élevage fribourgeois
Le dernier coup de brosse, la dernière toilette, avant de comparaître de¬
vant l'œil des experts.
La 03e édition du Marché-Concours de taureaux de Huile fut une réussite, malgré les craintes que l'on pouvait avoir; favorisée par un temps idéal, elle connut, une affluence extraordinaire, transformant une fois de plus le chef-lieu gruérien en véritable capitale de l'éle¬
vage fribourgeois: et un nombre intéressaid, de ventes fut enregistré.
La journée officielle fut marquée par la présence de nombreuses per¬
sonnalités, tant de Fribourg que des cantons voisins et même de l'étranger. (Suile aux payes 11, 12 et 13)
f \ Dès le début de l'après-midi, le jury effectue son travail de pointage, travail combien délicat puisqu'il s'àtjil d'apprécier le fruit du patient effort de nos éleveurs. Il arrive parfois que certaine classification par¬
ticulièrement difficile soit soumise à l'appréciation du jury supérieur,
comme le montrent nos deux photos ci-dessus. Pendant ce temps, les éleveurs observent les évolutions du jury derrière les grilles d'entrée ou...
juchés sur des toits voisins.
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Que disent les éleveurs expérimentés?
Les taurillons présentés aux concours et marchés d'automne, poussés et préparés artificiellement, c'est passé ! Au lieu de les laisser pâturer librement sur les alpages, comme les génisses, on les engraisse dans les étables !
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( Suite de la page 9) Knfin. les portes se sont ou¬
vertes au public. Chaque ex¬
posant n'a alors d'autre souci (pie de prendre connaissance du classement de son taureau.
Pendant quelques instants, le guichet des recours connaît à son tour sa petite aflluence...
Il serait bien difficile (pie les éleveurs des 8(10 taureaux ex¬
posés soient tous satisfaits ! Pour le visiteur profane, le charme des discussions qui s'engagent est un vrai spec¬
tacle! Attitudes pittoresques du vendeur et de l'acheteur, comme aussi du simple con¬
naisseur c] ni sait apprécier la m de prestance de nos bovi-
•ifiiM lM /•»
y**
M
dés. Si le costume d'armailli ou la blouse de paysan sont de moins en moins portés, ils n'en demeurent que plus gracieux pour l'œil.
Pendant ce temps, taureaux des deux races pie-noire et pie-rouge attendent patiem¬
ment. le regard plein de can¬
deur pour leur entourage.
Braves et bonnes bêtes ! Pour illustrer cette page, notre ob¬
jectif a saisi le roi des noirs et blancs, « Riglii », propriété du syndicat d'élevage du Crêt, qui obtint. '.)G points et, pour les tachetés rouges, « I lec¬
tor » de M. Dominik Pflrro de Planfayon, lui aussi pre¬
mier de sa catégorie avec !>1 points.
(Suite à la parte 12)
An .Marche-Concours de taureaux... ce sont les taureaux d'abord et, pour vous le bien prou¬
ver, voici encore trois beaux spécimens ex-œ- ij(io avec 1)2 points. Mais c'est aussi cette am¬
biance si particulière et.
si sympathique: la can- line d'abord où les dis¬
cussions vont bon train.
lit, puis aussi, celte vaste exposition de trac¬
teurs, jeeps, el machi¬
nes agricoles de toutes sortes, riches assorti¬
ments de sonnailles, etc.
Hauts-parleurs, excel¬
lemment installés, et je¬
tant leurs appels inces¬
sants sur la foule. Pan¬
neaux publicitaires de¬
vant lesquels les plus beaux spécimens vont poser: ci-contre « Bre¬
ton » de M. Albert Kollv de I.ussy, encore un premier de catégorie avec 03 points. Exposi¬
tions de prix enfin qui, au soir de la journée offi¬
cielle, s'en iront ré-om- penser les éleveurs les plus méritants. Huile, dont, les armoiries s'or¬
nent. du taureau pas¬
sant, est chaque année très tière d'accueillir dans ses murs la line fleur de l'élevage; si ses foires diminuent chaque année d'importance, son marché-concours de tau¬
reaux, par le choix pré¬
liminaire des sujels ad¬
mis dans l'enceinte, étend sa réputation.
Félicitons organisa¬
teurs et éleveurs.
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melior meille la Si
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13
Le prix Rodynam permit de récompenser de y. à dr. sur notre photo MM. Gebr.
ßaeriswyl de Bœsinyen, Paul Rossier de (irandsivaz. Louis Rittet de Bulle et Raphael Dousse d'Arconciel, de infime que MM. Ernest Dumas de La Mai/ne et Kanis Zosso d'Angstorf, ces deux derniers n'étant pas sur notre plioto.
l'our le concours des familles d'élevage, l'un des lieux prix (ut remis à M. Joseph Coltiard. le populaire syndic de Cluilel- Sl-Denis.
Dans son « speech » (ie clô¬
ture, M. Félix Dupasquier. dé¬
puté à Huile, qui fonctionnait pour la première fois comme président du Marché et, qui s'acquitta de sa tâche avec brio, se plut à souligner la gé¬
nérosité des maisons donatri¬
ces de prix. Ceux-ci permet¬
tent chaque année de récom¬
penser plus d'un éleveur méri¬
tant. Deux charmants dza- quillons avaient été mobili¬
sés pour la circonstance. A cette cérémonie de distribu¬
tion des prix, des paroles du président, retenons encore, parmi les remerciements ex¬
primés, ceux décernés aux ex¬
perts que présidaient M. Char¬
les Dupasquier, agriculteur en Prilaz à Huile et à tous ceux qui avaient contribué au suc¬
cès de ce .Marché, notamment
.M. Joseph Schneuwly, gérant. Chaque prix élail en outre accompagné d'un paquet de délicieux cigares Yilliger ou Rio (> dont les « ambassa¬
deurs», bien connus dans noire canton sont ici entourés des gagnants du prix Alpa : l'Ecole d'agriculture de Granyeneuue el MM. Nicolas Blanchard et Fritz Marbach.
MM. l'tirry et consorts de Middes pour leur taureau « Ruedi » et le Syndical d'élevage de La Joux pour son taureau << Ardent » reçurent, avec grande joie les deux magnifiques prix offerts depuis bien des années par la Maison Mélior.
Enfin, pour la pre¬
mière fois, les mai¬
sons Firmann et Mon¬
net, selliers à Rulle of¬
fraient un prix au tau¬
reau tacheté noir et de plus de 4 ans ayant obtenu le plus haut pointage el apparte¬
nant à un éleveur de la Gruyère: ce fui M.
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La Fédération des syndicats agricoles
inaugure
Tout récemment, la Fédération des syndicats agricoles du canton de Fribourg connut une belle journée. Elle inau¬
gurait en effet un magnifique bâtiment destiné à abriter à la fois sa nouvelle section du machinisme agricole et l'office vétérinaire cantonal avec ses laboratoires. Cette réalisation constitue une nouvelle étape dans la modernisation de l'agriculture dont le développement dans notre canton va de pair avec celui de l'industrie.
Pour marquer le splendide essor pris ces dernières an¬
nées par cette organisation coopérative, qu'il nous suflise de rappeler qu'aux constructions érigées en 1953, d'impor¬
tantes annexes commerciales se sont ajoutées en 1959. Une fabrique de flocons de pommes fut ensuite bâtie. Après le vaste immeuble que Fribourg-Illustré vous présente au¬
jourd'hui viendra encore un silo à blé. Si bien que les taxes immobilières qui étaient de 500 000 francs en 1945 ont at¬
teint aujourd'hui environ 3 millions.
Les nombreux invités qui répondirent à l'invitation du comité de la F.S.A. furent salués par M. Anton Ayer. député à Romont et président. 11 releva notamment que la section machines de la F.S.A. a désormais à son service une équipe de 20 personnes qui s'intègrent parmi les 87 employés que compte la fédération. Puis la visite des locaux se fit, sous la conduite de MM. A. Zurkinden, directeur et M. Magnin, sous-directeur. Les participants se retrouvèrent ensuite à l'Auberge de la Glâne où un excellent buffet froid fut accom¬
pagné des félicitations méritées à l'adresse de la Fédération et de ses organes dirigeants.
Le nouveau bâtiment, d'allure moderne et conçu de façon Irès fonctionnelle, comporte sous-sol, rez-de-chaussée, entre-sol et quatre étages. Son volume de U 000 m2 offre une surface utilisable de plus de 4000 m2. Parcourant les locaux de bas en haut, les participants visitèrent succes¬
sivement les entrepôts pour les pommes de terre, les locaux de lavage et de graissage pour les véhicules, une vaste halle d'exposition de machines agricoles, le magasin pour pièces de rechange et outillage, l'atelier mécanique avec sa forge et sa maréehalerie, une salle de cours voisinant avec le bu¬
reau technique et le bureau de vente et, enlin, à l'étage supé¬
rieur, le centre médical et d'analyses de l'Office vétérinaire cantonal. Tous ces locaux sont éclairés par de vastes baies vitrées et. une terrasse vient souligner l'élégance de l'œuvre;
celle-ci fait honneur à ceux qui l'ont conçue et réalisée.
(Suite page 17)
M. .1. y.urkimlen. directeur de la fédération, dans la salle de cours aménagée dans le bâtiment.
Le nouvel immeuble construit par la F. S. A. pour sa section des machines.
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Le I'-r Alexandre Wuilleret. rétcri- nuii-e-haclérioloi/ue.
M. .1. Dietrich. chef de bureau de l'Office, vétérinaire cantonal.
.1 droite: non trois photos présentent de liant en has: la salle d'exposition, l'ate¬
lier mécanique et les laboratoires tie l'Of¬
fice vétérinaire cantonal.
I.a journée d'inauguration propre¬
ment dite fut suivie de celle réservée à l'assemblée annuelle des délégués. La partie administrative fut précédée de ia bénédiction des nouveaux locaux par M. l'abbé Hoger Magnin et. d'une nouvelle visite de. ceux-ci. Les délibé¬
rations permirent de souligner une fois de plus le bel essor de la fédération dont le volume d'affaires a atteint, l'an der¬
nier le chiffre impressionnant, de 48 millions de francs. I,'élargissement du champ d'activité de la fédération en¬
traînera quelques modifications statu¬
taires (jui furent adoptées sans discus¬
sion.
l'ribotirg-Illustré est heureux d'avoir été associé à ces deux journées mar¬
quantes dans la vie de la fédération. Il lui souhaite la prospérité qu'elle mérite dans ses affaires, pour le plus grand bien de noire paysannerie fribourgeoiso.
.1/; cours de la réception qui suinil. M.
Paul Torche, chef du Département de l'agriculture fribourgeoise. soulit/na le rôle dévolu à la fédération qui est avant tout de servir. D'autres discours furent encore prononcés, notamment par M.
I.ouis Haïras, président de l'I'nion des paysans fribouri/eois.
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Nouvelles bannières A BONNEFONTAINE...
A In mi-aoûf. en ce jour de l'Assomption, la société de (•liant de lionnefont.aine. dirigée par M. Narcisse Biollev el présidée par .M. Philiponu de Bonnefontaine, inaugurait sa nouvelle bannière: celle-ci avait pour parrain el marraine M""' l'rouchl de, Paris et .M. Duriaux qui. empêché, s'était t'ait remplacer par .M. Hosset (le Prez-vers-Noréaz. L'em¬
blème avait été dessiné par Nel.ton lîosson. de Hiaz, l'ar¬
tiste peintre bien connu, el exécuté par une soeur de Bonne- fonhiine. sn-ur Marie-Modesle du Couvent de Montorge.
S4
ET A ATTALENS Plus récemment, la Cécilieune d'Allalens connut elle aussi une belle jour¬
née ... malgré la pluie. Sa nouvelle bannière, dessinée par M. Charly Cott.et et exécutée dans un couvent de Kribourçr. avait pour parrain el marraine M.
•Joseph Cott.et, président de paroisse, et Mme Amédée Pachoud, épouse du pré¬
sident de la société. Pour l'office solennel, le Chœur-Mixte de la Cécilienne avait préparé, sous la direction de M. Sapin, instituteur, la belle « Missa brevis » de Noyon dont l'exécution fut remarquable.
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21 Un pèlerinage émouvant
celui des 120 titulaires de la médaille « Bene Merenti»
Kn ce lundi du Jeûne fédéral, le temps était froid et maussade. ('.ent-vingt titulaires de la médaille pontificale « Bene Merenti » avaient pourtant, tenu à répondre à l'appel lancé par quelques généreux initiateurs et se retrouvaient au pied du sanctuaire de Notre-Dame des Marches. Après un chemin de croix parcouru en commun et une messe chantée par toute l'assistance, messe dont le Hd Hecteur Seydoux dira qu'elle fut l'une des plus émouvantes de sa longue carrière dans la chapelle miraculeuse, les participants se retrouvèrent à l'abri des Marches. Au cours d'une brève mais fructueuse séance, ils prirent la décision de fonder une association et de se réunir chaque année, à pareille date. Un télé¬
gramme de respectueuse affection fut encore adressé au Souvrain Pontife, puis chacun prit la route de Huile où un dernier chant s'envola autour du Monument Hovet.
L'armailli et le barbu... ou pittoresque conversation.
Messe émouvante que cette chantée par celte Chorale improvisée de 120 chanteurs. Ions titulaires de la médaille pontificale.
M. Homain Steinalter de Fri- bourij, le principal initiateur de celle rencontre amicale de chanteurs vétérans.
r
f
Sur tous les visayes se Iii la joie d'une telle rencontre.
< "
I.'oryanisle. M. Maxime Audrey, le directeur du chœur, M. Paul Mossu et même le servant de messe arbo¬
raient tous la médaille papale. .1 (fauche, l'unique représentant du
district de la Sinyine.
M
>") '/
6000 ans de char.t sacré réunis en un même chœur, au pied de la \-e Hd Hecteur Seydoux disant com Vierge des Marches d'abord, puis autour de l'inoubliable abbé Hovel. bien est yramle son émotion.
Les trois seules dames de celle réunion, de Fri- boury, elles aussi fidèles au lutrin
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Fribourg au Comptoir suisse
Ce n'esl pas sans joie que le visiteur fribourgeois qui parcourt les stands du Comptoir suisse retrouve chaque année, dans les différentes halles d'expo¬
sition, plus d'une maison fribourgeoise. Ainsi, durant les quinze jours de cette importante foire nationale qui voit affluer des centaines de milliers de visi¬
teurs, les couleurs noires et blanches sont dignement représentées.
A l'heure où Fribourg, tant dans sa capitule (pie dans les districts, affirme son développement industriel et économique, il convient de souligner le mérite de ces maisons qui, pour la plupart depids longtemps déjà, consentent chaque année, malgré les gros frais occasionnés, à présenter les produits de leur fabri¬
cation et, ainsi, à assurer la présence de Fribourg sur les bords du Léman.
j! slarul bullois des DENTELLES DK G RU Y KHI'., la nouvelle directrice, Mme Mornod, fait apprécier la production artistique et riche de nos dentellières : .\a/ipages, serviettes, chemins de tables, mouchoirs, fichus et mitaines pour cos¬
tumes suisses ne sont-ils pas autant d'ouvrages d'art. Celle belle œuvre de travail à domicile, typique en Gruyère, mérite bien la sympathie dont elle jouit auprès de sa fidèle clientèle.
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bourg installa son stand toujours accueillant.
Dans le labyrinthe des halles, c'est ici plus qu'un arrêt facultatif, presque obligatoire pour le connaisseur qui sait dèyusler et apprécier une excellente bière. Car, la qualité toujours irrépro¬
chable et constante de la Bière du Cardinal vaut à cette maison aulhenti- quemenl f r i b ourgeo i s e l'amitié d'une clientèle fidèle.
panne
IJe tout le canton de Fribourg, la région moratoise fut la première à connaître la prospérité industrielle. De solides entreprises s'y sont installées et développées, depuis bien des années déjà. La Maison ROLAND S.A. est une de celles-là, et sa présence au Comptoir suisse est certes bien représentative de la partie nord de notre canton. Au bar du cinéma, ses dégustations en collaboration avec une autre maison bernoise jouissent sans cesse d'une grande affluence de gourmets. Est-il besoin de citer son pain croustillant, ses zwieback, ses biscottes, ses sticks et sur¬
tout ses bretzels qui viennent tout récemment d'être à l'honneur ? Première d'Eu¬
rope, la fabrique Roland vient en effet de mettre en service une nouvelle machine entièrement automatique poue nouer les bretzels. Pour Fribourg-Illustré et ses lec¬
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dérés désirant goûter quehiues instants à cette ambiance bien f ri bourgeoise qui y règne.
Son fameux jambon de campagne, ses délicieuses fondues el ses vins réputés sont plus qu'une simple énurnérulion. N'est- ce pas en quelque sorte la carie, de. visile de noire tourisme /ri- bourgeois, une invitation qui serait adressée à îles milliers d'exemplaires, à une foule anonyme peul-èlre, mais qui saura demain, retenir la bonne adresse. C'est pouri/uoi Fribourg- llluslré tient à adresser ses compliments aux desservants MM.
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décédé dans sa 62e année et la 43* de sa profession religieuse. Il exerça une grande partie de son ministère à Fribourg, accomplissant son aposto¬
lat au pénitencier de Bellechasse et auprès des enfants du Foyer St-Fran- çois à Courtepin. Il était également bien connu des malades à qui il ap¬
portait toujours un précieux récon¬
fort.
Rme Père Gaspard Gremaud Couvent des Capucins
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décédé à l'âge de 79 ans et dans la soixantième année de sa profession religieuse. Après avoir enseigné quel¬
que temps la théologie, il fut gardien des couvents de Rulle, Romont et St-Maurice. Déflniteur provincial, Provincial supérieur, il fut encore conseiller à Rome et Visiteur apos¬
tolique.
M. Louis Folly FRIBOURG
décédé à l'âge de 37 ans, après une courte maladie. Il était employé pos¬
tal. Sa fidélité dans le devoir lui valut l'estime de tous ceux qui l'ont connu.
Son intégrité, rehaussée par son affa¬
bilité, lui fit de nombreux amis et son dévouement n'avait d'égal que son grand cœur.
Mlle Jeanine Cochard GRANGETTES
y décédée tragiquement à l'âge de 21 ans, dans un accident de voiture à Villarinz alors qu'elle se rendait ù son travail. Elle était vendeuse. D'un caractère très aimable, elle laisse dans le cœur de tous ceux qui l'ont connue un souvenir ineffaçable. Elle était la fille de M. et Mw Henri Cochard-Piller à Grangettes.
M. Emile Blanc VILLAZ-ST-PIERRE
II. Célestin Chevalley ATTALENS
* 3*
M. Louis Pittet GENÈVE
M. Louis Villard CHATEL-ST-DENIS
décédé tragiquement dans sa 51® an¬
née. Il débouchait sur la route can¬
tonale Fribourg-Romont lorsqu'il fut renversé par une voiture. Il avait fonctionné naguère comme forestier communal à Chavannes-sous-Orson- nens. Il était marié et père de trois enfants âgés de 15 à 18 ans.
décédé à l'âge de 75 ans. Boulanger, il exploitait encore la ferme de la
« Planche » et fut en outre inspec¬
teur du bétail et membre du comité du Syndicat d'élevage. C'était le frère de M. Amédée Chevalley, syndic d'Attalens.
décédé à l'Hôpital de Châtel-St- Denis après une longue maladie à l'âge de 69 ans. Il fut l'un des der¬
niers conducteurs du trolley Fribourg- Farvagny-le-Grand. II passa les der¬
nières années de sa vie chez l'un de ses fils ô Genève où il fut entouré de soins et d'affection.
architecte dans le chef-lieu veveysan, il est décédé à l'âge de 62 ans. Très doué pour les arts — dessin, chant et musique — il avait exercé ses talents d'abord à Paris où il acquit sa forma¬
tion en-participant pendant plusieurs années à de grands travaux de cons¬
truction. Il fut, à l'église, un chantre fidèle.
Pompes Funèbres Générales 1:
JOUR ET NUIT - TÉL. 2 39 95 Joseph Bugnard
Arcades de la Gare - FRIBOURG
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.AI. (instave (iremion Enney
décédé subitement h l'Aire «le 75 ans, alors qu'il travaillait en forêt. Agri¬
culteur, il joua un rôle en vue dans sa commune où il fut pendant des décen¬
nies boursier et percepteur commu¬
nal, ainsi qu'inspecteur du bétail.
Conseiller paroissial à Gruyères, il prit en 1946 la présidence de la jeune paroisse d'Enney.
IL et lime Edmond Comba-!Ios<ier MONTBOVON
décédés à 15 jours d'intervalle, à l'Age de 7N et 07 ans. M. Comba tra¬
vailla durant plus de 30 ans au MOB, étant notamment au service de la voie aérienne. C'était un employé laborieux, serviable et consciencieux.
Il exploitait par ailleurs un petit train de campagne. Membre fonda¬
teur de la société de musique « l'Alpe-
rose », il se vit décerner l'honorariat.
Ayant eu le chagrin de perdre son épouse, il trouva en Mlle Marguerite Mossier, qu'il épousa en secondes noces, la fidèle compagne (fui parta¬
gea les 30 dernières années de sa vie.
Elle-même avait fait des études d'ins¬
titutrice. Affligée par le décès de son mari, elle ne put survivre à son chagrin.
AI. Placide Aluritli Epagny
Doyen des armaillis de la Gruyère, il avait atteint le bel âge de 93 ans. A l'Exposition nationale de 1910, il avait obtenu le 1er prix pour la fabri¬
cation du gruyère. Fondateur du Syndicat agricole de la Gruyère, il appartint pendant 40 ans au comité.
C'était le beau-père de M. Elie Bus¬
sard, député et ancien syndic de Gruyères.
AI. Alois I'ythond LES SCUÎUNliS D'ALIIEUVK
AI. Ernest Jaquet JSULLK
décédé A l'Age de Hl ans. Secondé par son épouse, il exploita la pinte de Lys.
Mais il était avant tout un homme de la terre, dirigeant avec compétence un important domaine rural, et son magnifique troupeau lui procurait une légitime fierté. Il était titulaire de la médaille « Bene Merenti ».
secondé par une épouse diligente, il exploitait le Café de l'Harmonie qui appartient à sa famile depuis long¬
temps. Courtois avec tout le inonde, Ü avait le sens du bon accueil. « Nes- ti », comme l'appelaient ses amis, fonctionna durant IG ans comme cais¬
sier de la Société des cafetiers et res¬
taurateurs de la Gruyère dont il fut le vice-président. Il avait 57 ans.
IL Louis Gex BULLE
IL Ernest Fasquier SALES (GRUYERE)
né à Bulle, il y passa toute sa vie, ex¬
ploitant avec son épouse le café du Tirage. Durant 35 ans, il travailla au service des Chemins de fer de la Gruyère; il fut mis au bénéfice d'une retraite en 1939. Grand ami de la montagne, il fut aussi un soutien de plusieurs sociétés locales.
âgé de 69 ans, il a succombé à une longue et pénible maladie qu'il sup¬
porta courageusement. Excellent me- nuisier-charpentier, il s'était fait une solide réputation. Avec sa dévouée épouse il éleva une belle famille de huit enfants qui l'entourèrent de res¬
pect et d'affection jusqu'à ses der¬
niers moments.
IL Louis Wivber BULLE
IL Jules Geinoz NEIRIVUE
II. Emile Itiehoz BIEN NE
M. Louis Buchs SEVIRIEZ
décédé subitement A l'âge de 81 ans.
Architecte, il se fit une solide répu¬
tation en signant los plans de plusieurs constructions importantes. Dès 1934 il fut activement secondé par son fils, M. Marcel Wacber. Membre dévoué de I'« Espérance », il reçut la médaille
« Bene Merenti ». II siégea au conseil général.
Agé de 68 ans, il fut terrassé par une crise cardiaque. Il travailla durant quelques années dans les exploita¬
tions agricoles, puis dans un garage de Genève. De retour dans son village, il entra au service de l'entreprise Gre- mion Frères en qualité de magasinier.
Il se fit apprécier par sa conscience professionnelle, son dévouement et son bon caractère.
décédé après une pénible maladie à l'Age de 69 ans. Il était demeuré très attaché ù son canton d'origine et joua un rôle en vue dans la société fri- bourgeoise de la ville de Bienne. Il en fut un membre-fondateur et fonction¬
na durant plusieurs années comme vice-président.
décédé subitement A l'Age de 84 ans.
Natif de Uellegarde, il quitta très jeune son pays pour s'engager comme maltre-vacher en Allemagne, où il vécut durant plus de 25 ans. Il éleva une belle famille de huit enfants et eut le bonheur d'être un arrière- grand-père choyé.
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Av. d'Epenex Chavannes Monsieur,
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un savant dosage des difficultés linguistiques et un moyen remarquable de concentrer l'attention sur le texte, ce qui permet au vocabulaire de se fixer facilement dans la mémoire* Professeur de langues au Collège de St-Maurice, j'apprécie particulière¬
ment aussi comment l'oreille peut être formée grâce à la parfaite diction des interprètes enregistrés sur vos disques.
Ses avantages doivent amener d'une manière aussi sûre que "naturelle" à une excellente connais¬
sance d'une langue.
En vous priant de recevoir mes plus vifs sentiments de gratitude, je vous présente, Monsieur, l'expression de ma considération distinguée.
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Actuellement vous assimilez en quelques mois, alors qu'il vous fallait des années auparavant, grâce à
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culqua l'italien en quelque sorte automatiquement, sans grands efforts de concentration et d'une manière extraordinairement ap¬
profondie, je peux aujourd'hui participer sans difficulter à n'im¬
porte quelle conversation italien¬
ne. M s'agit d'une méthode tout à fait nouvelle qui fait de l'étude un plaisir et nous propose une discipline beaucoup plus simple que les livres ou cours habituels.
P. V., employé à Swissair.
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P. V., prof, au Gymnase Ecole de la Mission de Marienbourg.
FONDÉ DE POUVOIR Malgré mes 53 ans, j'ai assimilé la matière comme en jouant, s«
bien qu'après deux mois et demi d'études, j'ai déjà étudié la moi¬
tié du cours. Le succès est dû à votre méthode simple et claire, qui fait de l'étude un plaisir.
Dr S., fondé de pouvoir, c o Verlag Walter A. G., Olten.
Trois mois d'expérience me prou¬
vent en effet que l'étude du fran¬
çais est plus facile grâce à votre cours, et que les progrès sont plus sensibles qu'avec les mé¬
thodes traditionnelles et livres¬
ques.
Dr S., maître à l'Ecole secondaire des filles, Bâle.
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Je travaille actuellement votre cours d'espagnol. «Je me suis déjà si bien assimilé la langue, que je peux m'entretenir avec des clients espagnols. Le clou du cours, c'est l'AVISTOMAT —- in¬
vention géniale qui permet de se concentrer. Le danger de distrac¬
tion est évité.
J. S., employé PTT.
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Grâce à vous, j'ai appris en peu de temps, avec joie et facilité à parler, lire et comprendre l'an¬
glais. J'ai pu constater que l'A¬
VISTOMAT est vraiment d'un grand secours, c'est une décou¬
verte sur le plan de l'étude des langues.
M. R., police cantonale, Zürich.
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100 % de succès car vous pouvez constater d'une manière infaillible
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de gruyère râpé. — I. de crème fraîche. — 4 œufs. — Sel et poivre. — 250 g. de pâte brisée. — 1 moule à tarte ordinaire de 22 à 24 cm. de diamètre, avec bord droit de préférence, de 25 mm. de hauteur.
Foncer le moule avec la pâte brisée et bien piquer avec une four¬
chette. Garnir l'intérieur avec le gruyère râpé et les dés de jambon mélangés. Recouvrir le tout avec une crème faite d'oeufs, de crème, de sel et poivre, le tout battu ensemble.
Glisser la tarte au four assez chaud, jusqu'à ce qu'elle soit bien dorée. On reconnaît le point de cuisson en enfonçant une lame de couteau qui doit ressortir propre. Si, au contraire la lame du couteau ramène de la crème à l'état liquide, c'est que la crous¬
tade n'est pas assez cuite.
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Grande Bénichon Recrotzon dimanche 21 octobre
avec l'orchestre «Swing Melodians » (5 musiciens) Menus de bénichon - Jambon de campagne Cabri - Agneau
Invitation cordiale : Famille Pierre Beaud-Pythoud
ARCONCIEL Café des Trois-Sapins Dimanche 14 et lundi 15 octobre Tél. (021) 331 25
Grande Bénichon Recrotzon: dimanche 21 octobre
Orchestre « Noveltys » - Menus de Bénichon Invitation cordiale: Famille Wolhauser
ATTALENS Hôtel de l'Ange Dimanche 14 et lundi 15 octobre Recrotzon dimanche 21 Grande Bénichon
Orchestre THE LUCKY BOYS (5 musiciens) Dîners et soupers de bénichon
Dimanche, Concert apéritif dès 11 h. Bal dès 15 h.
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més et toutes ses spécialités.
Danse avec l'orchestre The Little Boys
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Menus et spécialités de Bénichon d'ancienne renommée — Gibier BON ORCHESTRE Se recommande: Famille Fasel, tél. (031) 69 72 35 AUBERGE DU BRY Tél. (029) 3 95 06
Dimanche 14 et lundi 15 octobre en soirée Grande Bénichon Recrotzon: dimanche 21 octobre Bon orchestre: «Gio Musette»
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Hôtel de la Grappe Charmey Bénichon gastronomique
Truite au vivier - Délices de la borne charmey- sanne - Gigot d'agneau - Gibier - Poulet Spécialités de Bénichon Vins de choix Tél. (029) 3 25 51 Se recommande: Fam. L. Rime CORBIÈRES Hôtel de la Croix-Blanche
Dimanche 14 et lundi 15 octobre Tél. (029) 385 54 Grande Bénichon
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ORCHESTRE Bar à champagne Dîners et soupers de Bénichon Vins 1er choix Se recommande: Fam. Louis Macheret
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Pendant la saison de la chasse on se régale de civet et de ragoût de chevreuil
M. Murith-Gattoni Tél. (029) 32686
ECHARLENS Hôtel de la Croix-Verte Dimanche 14 et lundi 15 octobre Tél. (029) 38515
Grande Bénichon Recrotzon: dimanche 21 octobre Orchestre « Romano »
Menus de Bénichon - Bonne cave BAR Invitation cordiale : Nino Ceccaroli-Dewarrat
EPEN DES Café de la Persévérance Dimanche 14 octobre
Grande Bénichon Recrotzon: dimanche 21 octobre
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Spécialités de bénichon - Vins de 1er choix Famille Clément-Risse La Bénichon de la montagne ESTAVANNENS
Auberge des Montagnards Le rendez-vous des armaillis
Dimanche 14 et lundi 15 octobre Recrotzon: dimanche 21 octobre
Danse avec l'Orchestre «Impérial Musette»
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Invitation cordiale : Fam. A. Jacquet-Bach
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Danse par l'orchestre «Les L'Eanders»
Grands dîners de bénichon
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Invitation cordiale Louis Repond-Gremaud
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Orchestre «The Modernist» F. PERRET tél. 34646 En spécialité : Cochons de lait farcis a la broche - Jambon de porcs à la broche
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