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Comptes rendus de l'Académie des Sciences; T. CLIII, n° 26; décembre 1911 ; — t. CLIV, nos 1, 2, 3 ; janvier 1912

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00241734

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241734

Submitted on 1 Jan 1912

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Comptes rendus de l’Académie des Sciences; T. CLIII, n° 26; décembre 1911 ; - t. CLIV, nos 1, 2, 3 ; janvier

1912

G. Boizard

To cite this version:

G. Boizard. Comptes rendus de l’Académie des Sciences; T. CLIII, n° 26; décembre 1911 ; - t. CLIV, nos 1, 2, 3 ; janvier 1912. J. Phys. Theor. Appl., 1912, 2 (1), pp.120-126.

�10.1051/jphystap:019120020012001�. �jpa-00241734�

(2)

3° Deuxième détermination de H. - Pendant qu’on ne mesurait

pas H, on remplaçait l’aimant par un cylindre en laiton du même

poids. Après chaque détermination de H, on mettait l’aimant dans

une boîte contenant de l’ouate, avant de lancer le courant.

Les opérations définitives ont eu lieu du 26 au 30 septembre 1910;

la température à laquelle la résistance de 2 ohms a été soumise au

courant a varié de ~.~°,6 à ~.8°,~ ; le courant a varié de 0,50913 ampère à 0,50924 ampère; la résistance de 2 ohms a varié de

2,00000g à 2,00014~. La force électromotrice moyenne de l’élément

C20 à 17° a été trouvée de 1,01835, en tenant compte de la formule recommandée par la Conférence de Londres :

§ 10.

-

Résultats.

-

Comme la force électromotrice moyenne des 31 éléments construits à Groningue n’est que de 1,2 microvolt

supérieure à celle de l’élément C2o, et qu’une comparaison faite au

commencement de janvier 1911 à Charlottenburg par le professeur Haga lui a montré que la force électromotrice moyenne de ces élé- ments était de 1 . 10-~ volt inférieure à la force électromotrice de la moyenne des éléments internationaux de la Physikalische Tech-

nische Reichsanstalt, il résulte des recherches de MM. Haga

et Boerema que :

La force de Weston normal à 17° est de

1 ,Oi83(j volt (ohm international anglo-allemand x ampère f0-’ C. G. S.) .

Etant donné l’incertitude qui subsiste encore sur la valeur exacte

de l’équivalent électrochimique de l’argent, il n’est pas possible

encore, dans l’état actuel de la métrologie électrique, d’exprimer le

résultat précédent en fonction du volt international (ohm interna-

tional X ampère international).

COMPTES RENDUS DE L’ACADÉMIE DES SCIENCES;

T. CLIII, n° 26; décembre 1911 ; 2014 t. CLIV, nos 1, 2, 3 ; janvier 1912.

H. PARENTI’. - Sur

un

compteur de vapeur. - P. 25.

.

Description, dessin et théorie.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019120020012001

(3)

121

ANDRÉ LÉAUTÉ. - Sur le développement d’une fonction

en

série d*exponentielles;

application

an

transport de force à 100.000 volts de l’exposition de Turin. - P. 28.

Théorie mathématique.

R. FRIC. - Sur les modifications subies par les nitrocelluloses et les poudres qui

en

dérivent

sous

l’action de la chaleur. - P. 31.

Expériences montrant que la détermination du frottement interne des solutions de nitrocelluloses ou de poudres, permet de suivre les modifications subies d’une façon commode et précise.

LOUIS lBfARlBHER. - Action des rayons ultra-violets

sur

l’hyposulfite

de sodium. - P. 32.

Il se produit de l’hydrosulfite et du soufre après cinq minutes d’exposition ; après soixante-dix minutes, l’hydrosulfite se décompose

lui-même et il reste surtout du sulfite. Il ne se produit aucune action

si les solutions contiennent plus de 6 grammes d’hyposulfite par litre.

G. RAYNIOND. - Résultats de

mesures

photo-électriques faites à Antibes

pendant l’année 1911.

-

P. 45.

Tableau de la durée de la déperdition d’une charge négative déter- minée, à midi, pendant l’année 1911. La variation est régulière et

fonction de la hauteur du Soleil, avec un retard qui place le minimum

de l’action photoélectrique en janvier et le maximum en juillet.

La transparence apparente de l’atmosphère ne permet pas de pré- juger de la quantité de radiations actives.

MARCEL OSTW’ALD. - Sur

une

relation simple entre le coefficient de dilatation des liquides et la température. - P. 61.

De la formule :

, ,...., ,

D, densité du liquide à la température absolue T ; Do, densité du liquide au zéro obsolu ;

Te, température critique,

(4)

on tire :

Tableau montrant une vérification assez bonne de cette formule.

ALFRED ANGOT. - Valeur des éléments magnétiques à l’observatoire

du Val-Joyeux,

au

1~ janvier 1912.

-

P. 9’~.

ALFRED ANGOT. - Sur la valeur moyenne de la nébulosité à l’époque

de la prochaine éclipse totale de Soleil.

-

P. 95.

L’étude des vingt années (i89i-19i0) d’observations de nébulosité à Paris et à Nantes permet de prévoir pour le f7 avril :

A Paris, 18 ca,s favorables pour 31 défavorables;

A Nantes, 13 cas favoiables pour 27 défavorables.

E. VALLIER. - Sur la position actuelle du problème balistique.

-

P. 10L

Pour les projectiles oblongs, la résistance de l’air est dirigée

suivant la tangente à la trajectoire décrite par le centre de gravité.

De plus, la valeur Ia plus probable de cette rési stance est :

avec : *.

masse du proj ectile ;

i, coefficient relatif au projectile ;

ô, poids du mètre cube d’air.

Les unités sont le mètre et le kilogramme.

(5)

123

AUGUSTE Etincelles dans l’air raréfié et

sous

l’action d’un champ magnétique. - P. 105.

On peut tirer un faisceau de rayons magnétiques de l’étincelle ordinaire aussi bien que de la décharge à anneau de Thomson (’).

Photographie. D’après l’auteur, les rayons magnétiques sont des

rayons cathodiques enroulés en hélices contenant aussi des couples

neutres formés d’un ion positif et d’un électron ; les couples neutres

seront fournis par l’air ionisé par l’étincelle. Celle-ci fournit aussi

une émission d’ions (ions positifs et électrons négatifs) dans l’air

raréfié dont le champ magnétique augmente l’action mécanique : expériences.

Louis ROY. - Les équations générales des membranes flexibles,.

-

P. 109.

Théorie mathématique.

DE BROGLIE. - Sur des observations du mouvement brownien dans les gaz à basse pression. - P. 112.

A première approximation, l’indépendance du mouvement brow-

nien et de la pression parait se vérifier; mais, à partir de quelques

millimètres de mercure, l’agitation tend à s’accentuer.

C. LEENHARD et A. BOUTARIC. - Cryoscopie dans l’hyposulfite de sodium

cristallisé à 5 molécules d’eau.

-

P. 11~.

Chaleur de fusion à ~8°,~ de l’hyposulfite à 31-120 : 47c, 9; K, cons-

tante cryoscopique : 42,8.

Pour avoir l’hydrate à 51120, on maintient le sel dans une cloche

en présence de l’hydrate inférieur à

EUGÉNE WOURTZEL. - Nouvelles détermination du poids atomique

de l’azote.- P. 115.

Décomposition d’un poids connu d’oxyde d’azote par une spirale

de fer ou de nickel portée électriquement à l’incandescence : N

_-__

~~,00?,

(1) Radiurn, septembre 1911.

(6)

GOUY. - Sur

un cas

particulier de l’action intercathodique.

-

P. 1438.

Théorie montrant que, dans les ampoules de Crookes où les deux électrodes sont des cylindres de même axe, axe dont la direction est celle du champ magnétique, l’électron décrit des trajectoires tan- gentes à un cercle de rayon R et passe par un maximum de potentiel

en touchant le cercle enveloppe. Dans le cas l’ampoule a son axe perpendiculaire au champ mag nétique , ce cercle enveloppe est visible; on photographie les caustiques des trajectoires des électrons

émis par la cathode (1).

EMILE GU1RGEA. - Recherches

sur

le phénomène de Kerr dans les vapeurs et les gaz.

--

P. 1461.

Observations de ce phénomène extrêmement faible, avec des

vapeurs de C2H0Br, CS2, CCP mêlées de C02.

E. ESTANAAVE. - Synthèse des couleurs complémentaires

par les réseaux lignés.

-

P. 1464.

L’une des faces d’une plaque de verre est lignée en deux couleurs,

alternativement verte et rouge; l’autre face porte un réseau ligné en noir, dont les traits sont parallèles aux lignes colorées. L’obser- vateur, placé à environ 30 centimètres de la plaque, du côté du réseau

noir, les traits étant verticaux, peut voir pour une certaine position

le disqué clair de la plaque teinté de rouge avec un oeil, de vert avec

l’autre oeil. En regardant avec les deux yeux, le disque paraît alors

blanc grisâtre. Théorie.

EDMOND BAUER. - Sur la théorie du rayonnement. - P. 1466.

L’auteur montre que les hypothèses de Nernst (‘’) sont une consé-

quence nécessaire de celles de Planck (3) et qu’elles permettent une discussion physique nette de la théorie proposée.

(i) Le avril 4914.

(J) Z. f. EleclrochenÛe, 1911.

(3) Ber. der deuls. phys. Gesellehaft, 1911.

(7)

125 Il semble nécessaire d’admettre que les échanges d’énergie, pré-

sentant un caractère périodique, se font toujours d’une façon discon-

tinue.

L. DÉCOàIBE. - La chaleur de Siemens et la notion de capacité.

-

P. 1469.

Dans un condensateur soumis à une force électromotrice alterna- tive E = F(wt), la charge instantanée se compose de deux parties :

la première, kF( wt), est identique à celle qui se produirait en l’absence

du diélectrique; la deuxième a pour expression (wt - (p), où a représente la susceptibilité statique ; elle est décalée de p par rapport

à E’, l’angle ~ étant très petit et indépendant de la période.

La chaleur élémentaire dissipée dans la charge est proportionnelle

au carré du courant de polarisation.

A. LAFAY. - Sur le phénomène de Magnus (i). - P. 1473.

Résultats d’expériences montrant que, du côté où la paroi s’avance

contre le vent, la pression augmente lorsque l’effort direct est bien nettement établi; mais c’est l’énorme dépression produite du côté ou

la paroi fuit dans le sens du vent qui exerce réellement l’action la

plus importante ; le cylindre est aspiré vers cette région avec beau-

coup plus de force qu’il n’est poussé par l’air légèrement accumulé

sur l’autre.

J. DELVALEZ. - Sur la figuration des lignes équipotentielles

dans

un

électrolyseur.

-

P.

Réclamation de priorité.

.

0. BOUDOUARD. - Résistivité électrique des aciers spéciaux. - P. 1475.

Tableaux.

Dans les aciers au C, la résistivité croît avec la teneur en C.

Dans les aciers au Ni, à proportions égales de nickel, le C augmente

considérablement la résistivité.

(1) Voir aussi C. R., décembre 1911.

(8)

Dans les aciers au Mn, la teneur en C ne semble pas intervenir.

La résistivité passe par un maximum pour 13 0/0 de Mn.

Dans les aciers au Cr, on a des irrégularités importantes, qu’il y

ait peu ou beaucoup de C.

Dans les aciers au Tu, l’état du métal ne modifie pas sensiblement la résistivité qui passe cependant, avec la teneur en Tu, par un

maximum, puis un minimum, pour croître ensuite.

ESCHNER DE CONINCK. - Poids moléculaire de la ehaux; poids atomique

du calcium. - P. 1479.

La chaux est obtenue à partir du formiate de calcium.

Les résultats obtenus sont: poids moléculaire de la chaux, 56,02,

d’où : poids atomique du calcium, 40,02.

JULIEN LOISEL . - Sur la distribution de la chaleur solaire à la surface

Tableaux. - Utilisation de la formule de Bartoli :

~ , intensité calorifique du rayonnement;

A et m, deux constantes ;

e, la masse atmosphérique traversée.

G. BOIZARD.

THE ASTROPHYSICAL JOURNAL;

Vol. XXXIV, n° 3 ; décembre 1911.

FORSYTHE. - Deterniination des points de fusion du tantale et du tungstène. - P. 3.~3-3-iO.

L’auteur a déterminé la température du point de fusion de ces

corps à l’aide d’un pyromètre optique, soit par une méthode directe,

en plaçant le métal dans un corps noir formé d’un tube de graphite

traversé par un courant de 550 ampères, soit par une méthode indi-

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