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Comptes rendus de l'Académie des Sciences - T. CLII ; nos 1,2 et 3; janvier 1911

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(1)

HAL Id: jpa-00241650

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241650

Submitted on 1 Jan 1911

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nos 1,2 et 3; janvier 1911

G. Boizard

To cite this version:

G. Boizard. Comptes rendus de l’Académie des Sciences - T. CLII ; nos 1,2 et 3; janvier 1911. J. Phys.

Theor. Appl., 1911, 1 (1), pp.132-137. �10.1051/jphystap:0191100102013200�. �jpa-00241650�

(2)

COMPTES RENDUS DE L’ACADÉMIE DES SCIENCES;

T. CLII ; nos 1,2 et 3; janvier 1911.

BERTIN. - Lois générales du mouvement accéléré

ou

retardé du navire

,

consécutif à

un

changement de puissance du moteurs. - P. 19.

Théorie mathématique.

DE Etude thermochimique de quelques composés binaires des métaux alcalins et alcalino-terreux.

-

P. 2~.

Tableau des chaleurs de dissolution et de formation de quelques composés halogénés. Ce tableau montre que le fluor déplace le chlore, celui-ci le brome, ce dernier l’iode aussi bien en présence qu’en l’al,sence d’eau. Si on classe les métaux dans l’ordre Ca, Li, Sr, Ba, Na, K, Cs, chacun est déplacé par ceux qui le suivent dans les chlorures, bromures et iodures; l’inv erse a lieu pour les fluorures et les oxydes.

E. ESCLANGON. - Sur

un

régulateur rotatif à vitesse fixe

ou

variable.

-

P. 32.

Théurie et dessin d’un régulateur qui peut être réglé facilement,

même en marche, pour toutes les vitesses, ce qui en permet l’appli-

cation dans les mouvements de micromètres enregistreurs pour les lunettes méridiennes et dans les mouvements à vitesses peu variables

_

des équatoriaux.

0. BOUDOLARD. - Essai des métaux par l’étude de l’amortissement des mouvements vibratoires.

-

P. 15.

Un mouvement vibratoire suffisamment prolongé conduit toujours

à la rupture du métal essayé, et le nombre de vibrations varie en

raison inverse de la teneur en carbone pour les aciers durs et demi- durs essayés. En outre, le fer puddlé et l’acier extra-doux, le pre- mier plus résistant que l’autre, accusent, après un mouvement vibra-

toire ayant amené leur rupture, une grande élévation de limite élastique.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:0191100102013200

(3)

CH.-Ee. GUILLAUVIE. - Sur la définition des unités électriques pratiques.

-

P. 47.

Après la représentation matérielle de l’ohm, la Conférence de Londres de 1908 a fait adopter la représentation de l’ampère. Alors

la loi de Joule conduit à définir le watt comme le produit du volt pa r

l’ampère. Mais le watt admet une définition mécanique directe : c’e st la puissance engendrée par le déplacement, à 1 2013? d’une force sus-

sec

ceptible de comrnuniquer à 1 kilogramme une accélération de 1

sec

Ceci réduirait la représentation à une seule unité. De même l’unité de champ magnétique, le gauss,peut se matérialiser.

«

Le gauss est le cliamp à l’intérieur d’un solénoïde indéfini, dont la densité d’enrou-

, ... ,

10 tours

,

lement uniforme est de 10 et

parcouru par un courant de

r cm

.

1 ampère.

»

M. LUIZET.-Sur la variabilité d’éclatde certaines étoiles du type a Céphée.-P.71.

Théorie.

CH. NORDMA.NN. 2013 Sur les diamètres effectifs des étoiles.

-

P. ’73.

Les étoiles dont la température effective est supérieure à celle du

Soleil ont des diamètres plus faibles qu’on ne le croyait quand on ne

,

tenait pas compte des variations de l’éclat intrinsèque avec la tem- pérature. Le contraire a lieu pour les étoiles plus froides que le Soleil. Ai nsi Sirius a des dimensions à peine supérieures à celles du

Soleil. Le contraire a lieu pour Aldébaran, dont le diamètre appa- rent est 0",018. Tableau .

ZIEiVIBINSIïI. - De la relation qui existe entre la poussée de l’hélice propulsive

en

marche et

sa

poussée

au

point fixe.

-

P. 77.

Théorie et tableau montrant qu’on peut avoir avec différentes hélices au point fixe des poussées supérieures, égales ou inférieures

,

à celles prévues pour la marche.

J. de 5e série, t. I. (Février 1911.) 10

(4)

PIERRE MTEISS. - Sur

une

propriété nouvelle der la molécule magnétique,. - P. 19.

Les mesures faites sur la magnétite conduisent à admettre qu’à

certaines températures le moment magnétique de la molécule croît brusquement d’une quantité déterminée qui est une fois, ou deux

fois le quart du moment magnétique de la molécule aux basses tem- pératures.

L. DÉCOMBE. - Sur la définition de l’entropie et de la température.

Systèmes monocycliques. - P. 81.

L’auteur a précédemment montré (1) que la notion de système par- tiellement conservatif permet, en toute généralité, de rattacher aux

équations de Lagrange le principe de Carnot-Clausius pour le cas

des transformations compensées.

1. Dans cette analyse, l’entropie se présente sous un double aspect : l’un correspond à l’entropie classique, l’autre conduit à la notion d’entropie interne.

2. La définition de la température au moyen de l’entropie interne comprend, comme cas particulier,la définition cinétique demi-force

vive d’agitation calorifique).

3. Enfin l’auteur retrouve par cette voie la notion cinétique de

mouvement moléculaire organisé.

J.

DE

KOWALSKÏ et J.

DE

DZIEftSBTCKI. - Influence des groupements fonctionnels

sur

le spectre de phosphorescence progressive. - P. 83.

Appelons groupement bathophospliique celui qui recule les limites du spectre de phosphorescence vers le rouge et groupement hypso- phosphique celui qui recule les limites vers le violet. Au premier

groupe, appartiennent COOH et CN ; au deuxième, appartiennent

OH et OCH3.

WITOLD BRONIEWSKI. - Sur les propriétés électriques des alliages Al!BIg.

P. 85.

Courbes de la conductivité, du coefficient de températ,ure, de la

(1) C. R., 5 décembre 1910.

(5)

de dissolution. Existence probable de et A12 .Blg3; mais

l’existence de et n’a pas été confirmée.

A. Sur la valeur des éléments magnétiques

à l’Observatoire du Val-Joyeux

au

ler janvier 2911.

-

P. 113.

A. ANGOT et Louis FABRY. 2013 Tremblement de terre du 3 janvier

P. 113-114.

Courbes des sismographes, dues à un tremblement de terre très

violent, dont l’épicentre paraît être en Asie centrale, dans,les monts

Tian-Chan.

GIRARDVILLE . - Sur la stabilisation des aéroplanes

au

moyen de gyroscopes.

P. 121.

Les gyroscopes étaient chargés de conduire automatiquement des gouvernails susceptibles de rétablir à chaque instant l’équilibre de

la machine. Bons résultats obtenus.

.l.-A. LE BEL. - Sur l’échauffement singulier des fils minces de platine. - P. 129.

Mesure de réchauffement d’une bobine en fil mince de Pt placée à

l’intérieur d’un cylindre métallique percé de part en part, chauffé

électriquement ou au bain de plomb. L’effet observé dépend du

métal du cylindre, de la chute de température dans le cylindre,

et de son mode de décroissance ; il parait du aux vapeurs métalliques

émises par le cylindre.

.

(6)

A. COTTON. - Sur la sensibilité des

mesures

interférentielles et les moyens de l’acc,roître : appareils interférentiels à pénombres. - P. 13~i.

Dans les appareils à mesurer les pouvoirs rotatoires et les biré-

fringences, les deux faisceaux, qui suivent pratiquement le même chemin, y propagent soit des vibrations circulaires inverses, soit des

vibrations rectilignes à angle droit. Ces appareils d’interférence eil

lumière polarisée permettent de mettre en évidence une différence de marche de l’ordre due 20 tandis que les appareils d’interférence ordinaires donnent au maximum 1 . L’auteur indique les raisons de

100

cette différe«ce : travail plus précis des surfaces exigé par les appa- reils ordinaires ; observation des franges moins sensible qu’une opé-

ration photométrique à laquelle on ramène, dans le premier cas, la

,

constatation de la différence de marche.

On pourrait avec les appareils ordinaires faire des appareils à pénombres, soit par la méthode de M. Brillouin (1), soit en rem- plaçant la surface d’un des miroirs argentés de l’appareil Michelson,

sur laquelle on mettra au point, par deux parties parallèles, très légèrement en retrait.

JACQUES BOSELLI. - Résistance

au

mouvement dans

un

fluide de petits corps

non

sphériques. - P, 133.

Étude de la chute de globules rouges du sang-: disques elliptiques

et renflés chez les oiseaux, circulaires et déprimés au milieu chez presque tous les mammifères.

La vitesse de chute est inversement proportionnelle à la viscosité du fluide ; elle peut s’exprimer par :

V, volume du disque ; D et D,, masses spécifiques du globule et

du fluide; w, vitesse de chute; A est une constante qui dépend du globule et du fluide.

(1) BRILLOUIN, C. R., CXXXVII, 1903.

(7)

DE BROGLIE et L. BRIZARD. - Sur la radiation du sulfate de quinine.

Ionisation et luminescence. - P. 136.

Les scintillations visibles de la lueur continue du sulfate de quinine

en voie d’hydratation paraissent dues à de petites décharges élec- triques produites au moment de la brusque rupture des cristaux soumis à des efforts brisants.

L’ionisation du gaz au voisinage du sel et sa nature dissymétrique,

la variation des phénomènes électriques et lumineux sous l’influence de la nature et de la pression du gaz, de la grosseur des cristaux, la fatigue du phénomène répété conduisent aussi à la même hypothèse.

BOIZARD.

PHILOSOPHICAL MAGAZINE ;

T. XXI : janvier 1911.

LOR D RAYLEIGH. - Note

sur

l’application des fonctions de Bessel à l’étude des vibrations d’une membrane circulaire.

-

P. 53-58.

L’auteur fait observer que les considérations physiques conduisent

souvent à des conclusions analytiques non encore formulées.

A l’appui de cette assertion, il montre comment l’étude des vi- brations d’une membrane circulaire permet de déduire certaines relations entre les racines de la fonction de Bessel (z).

Entre autres résultats, il établit que chaque racine va en crois-

sant continuellement avec n, puis démontre l’exactitude d’une pro-

position formulée sous forme dubitative par Gray et iVlathews :

qu’entre chaque paire de racines réelles successives de J n, il existe

exactement une racine réelle de J n t-1 .

*

J.-W. NICHOLSON. - Sur la diffraction des ondes électriques

par

une

grande sphère (III. Détermination de la constante 5).

-

P. 62-68.

La présente partie du mémoire (3’ partie) a trait à la détermina-

tion du coefficient numérique nécessaire à l’établissement de tables

donnant l’intensité en chacun des points de la surface de l’obstacle.

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