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Comptes rendus de l'Académie des Sciences; - T. CLII, nos 4, 5, 6 et 7 ; janvier et février 1911

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HAL Id: jpa-00241662

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241662

Submitted on 1 Jan 1911

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Comptes rendus de l’Académie des Sciences; - T. CLII, nos 4, 5, 6 et 7 ; janvier et février 1911

G. Boizard

To cite this version:

G. Boizard. Comptes rendus de l’Académie des Sciences; - T. CLII, nos 4, 5, 6 et 7 ; janvier et février 1911. J. Phys. Theor. Appl., 1911, 1 (1), pp.214-223. �10.1051/jphystap:0191100103021400�.

�jpa-00241662�

(2)

214

COMPTES RENDUS DE L’ACADÉMIE DES SCIENCES;

T. GLII, nos 4, 5, 6 et 7 ; janvier et février 1911.

U. CISOTTI. - Sur 1- réaction dynamique d’un jet liquide. - P. 181.

Théorie mathématique.

dEw BECQLEREL. - Sur les modifications magnétiques des bandes de phospho-

rescence et d’absorption du rubis et sur une question fondamentale de magnéto-optique. - P. 183.

Expériences sur des lames de rubis taillées soit parallèlement,

soit perpendiculairement à l’axe optique. Si la lame est réglée de façon que l’axe optique soit bien parallèle, ou bien normal aux lignes

de force, on n’observe aucune différence entre l’effet longitudinal et

l’effet transversal. Les ano malies signalées par du Bois et Elias (~)

tiennent à un défaut d’orientation.

,

A. SENOUQUE. - Sur des expériences de télégraphie sans fil en aéroplane.

P.187.

Expériences poursuivies, depuis octobre 1910, à l’aérodrome de

Bue, à bord d’un aéroplane Farman. L’envoi de signaux de T. S. F.

n’offre aucune difficulté; il demande seulement des appareils légers

et robustes, ne se déréglant pas sous l’action des trépidations du

moteur.

CH.-ED. GUILLAUME. - L’anomalie de dilatation des aciers au nickel.

-

P. 189.

Courbes des dilatabilités à 20° des aciers-nickel en fonctions de la teneur pour les alliages norniaux, les alliages chromés et les alliages

à forte teneur en manganèse.

EUGÈXE BLOCH. - Sur le potentiel de décharge dans le champ magnétique (J).

P. 191. s~

(1) Anntclej2 der t. XXYII ; 1908.

(’’) Société de Physique, janvier 1911 : voir ce volume, p. 194.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:0191100103021400

(3)

215

H. DESLANDRES. - Recherches surles mouvements des couches atmosphériques

solaires par le déplacement des raies spectrales. Dissymétrie et particularités

du phénomène. - P. 233.

Historique.

-

Mesures au spectro-enregistreur des ritesses, du dé- placement,vers le rouge, de la raie K3 du calcium en tous les points

du disque solaire et en particulier au centre et aux bords solaires.

Ces mesures, rapportées directement à la raie terrestre, montrent que le déplacement négatif au bord est, en valeur absolue, notable-

ment inférieur au déplacement positif relatif au bord ouest. L’auteur rapporte ces déplacements à la descente de la vapeur dans la région équatoriale combinée avec la rotation générale de l’astre, et les rat- tache, d’autre part, aux phénomènes découverts par Dufour (’) sur

l’arc au mercure dans le vide mis en rotation rapide sous l’influence d’un champ magnétique, phénomène se produit aussi un dépla-

cement spectral dissymétrique.

G. LIPPMANN. - Action de forces extérieures sur la tension des vapeurs saturées et les gaz dissous dans un liquide.

-

P. 239 (2).

GOUY. - Sur l’existence d’un élément périodique dans le rayonnement magnéto-cathodique. - P. 241 et 353.

Aux vides élevés, le faisceau magnéto-cathodique émis par un fil servant de cathode forme une nappe lumineuse, séparée de la cathode

par un intervalle obscur. Cette nappe est sillonnée de franges bril-

lantes et obscures, constituées par des rayons magnéto-cathodiques,

très belles quand le faisceau se termine sur la paroi de verre de l’ampoule, paroi qui joue le rôle de cathode secondaire.

Les franges se resserrent quand le champ augmente,et l’étude des clichés de ces franges, pris à des pressions variant de 10 ~. à 20 p

montre que les maxima d’intensité correspondent aux rayons dont les longueurs (mesurées sur les lignes de force magnétiques) sont

des multiples exacts d’une longueur d’environ 7 millimètres pour 1000 gauss et 2000 volts, long ueur inversement proportionnelle à la

valeur du champ mag nétique et qui dépend, d’autre part, du voltage

(1) Voir ce volume, p. 109 ;

-

C. R., juillet 1910.

(2) Voir J. de avril 1911.

°

(4)

216

d’excitation. Cette périodicité mise en évidence par divers artifices,

est absolument invisible le long du faisceau, sur le sillon lumineux tracé dans le gaz de l’ampoule. La périodicité de structure du filet magnéto-cathodique, suivant sa longueur, est conforme à l’hypo-

thèse qui explique les rayons magnéto-cathodiques par des enroule- ments d’électrons.

R. BOURGEOIS Sur une cause d’erreur instrumentale des appareils

de mesure de base.

-

P. 2~6.

L’auteur montre que les anomalies constatées dans les mesures de la base de Blida sont dues à ce que cette base est sur une pente assez

forte et régulière. Théorie. ’"

AUGUSTE RIGHI. - Sur l’action ionisante probable du champ magnétique.

P. 2~0.

Description d’expériences montrant que le champ magnétique, par

son action sur les électrons en mouvement faisant partie de la struc-

ture des atomes, pourrait être une cause directe d’ionisation.

C. LIMB. -.- Compoundage des alternateurs au moyen des soupapes

électrolytiques.

-

P. 252.

Le compoundage dépend du facteur de puissance cors ; du circuit

d’utilisation ; on le prévoit pour le cas le plus défavorable, pour la

plus faible valeur possible de quitte à agir de temps en temps

sur un rhéostat compensateur. Expériences [Voir C. R. 1908 (mai et juillet)].

E. URBAIN; CL. SCAL et A. FEIGE. - Sur un nouveau type de lampe à arc

à cathode de mercure et à lumière blanche. - P. 255.

L’anode est en tungsténe; métal dont le spectre s’étend aussi loin

qu’on a pu le mesurer dans l’ultra-violet; la cathode en mercure est

à quelques millimètres de l’anode. L’enveloppe est en quartz. La

dépense est de OW,4S par bougie; l’arc fonctionne sous 12 volts (vol-

(5)

217

tage qui peut augmenter en augmentant la pression par un gaz

inerte). Le spectre de la lampe est continu, avec les raies du Hg en plus.

J. BOSELLI. - Vitesses de réactions dans les systèmes hétérogènes. - P. 256.

1- La vitesse de dissolution ou de vaporisation d’un solide dans

un fluide est proportionnelle à une puissance égale environ aux 4 de 3 la différence entre la concentration moyenne du solide dissous infi- niment près de ce solide et la concentration générale dans le fluide;

elle est proportionnelle à la puissance 1 environ du coefficient de 3

diffusion dans le fluide du solide en solution ;

2° Si le fluide est animé par rapport au solide d’un mouvement

général rectiligne et uniforme, la vitesse de dissolution est propor- tionnelle à la racine carrée du coefficient de diffusion, à la racine

carrée de la vitesse du courant général, à la différence de la con-

centration moyenne du solide infiniment près de ce solide et de la

concentration générale dans le fluide.

Mêmes lois pour les vitesses de réaction avec combinaisons chi-

miques très rapides.

L. HACKSPILL. - Densité, coefficients de dilatation et variation de volume à la fusion, des métaux alcalins.

-

P. 259.

DANJEL BERTHELOT et HENRY GAUDECHUN. - Photolyse des acides à fonction

complexe par les rayons ultra-violets.

-

Action des sels d’uranium comme

catalyseurs lumineux. - P. 263.

Les acides linéaires complexes, où la fonction acide est jointe à

J. de 51 série, t. I. (lBIars 1911.) 16

(6)

218

une fonction oxygénée, ont une tendance à être décomposés par la lumière avec dégagement de Les sels d’urane diminuent en

général la photolyse, sauf dans le cas des acides complexes ils l’augmentent considérablement (de 4 à 6 fois). L’effet est probable-

ment dîi à un phénomène de résonanee pJiotochi»ziqie, par lequel les

vibrations éthérées amplifient, jusqu’à rupture, les vibrations des atomes matériels. Il est à remarquer que les spectres des sels d’ura- nium sont d’une régularité qui ne se retrouve au même degré chez

aucun autre corps.

HENRI Sur le mouvement discontinu d’un fluide dans un canal renfermant un obstacle.

-

P. 303.

Théorie mathématique.

A. KORN. - L’état hélicoïdal de la matière électrique; hypothèses nouvelles

pour expliquer mécaniquement les phénomènes électro-magnétiques. -

P. 3 0.

Théorie mathématique.

GASTON Recherches sur I’influence de la vitesse sur le compas.

P. 309.

Les expériences faites sur le réseau des chemins de fer de l’Est, à des

vitesses variant de 80 à 120 l km , ont permis d’observer une aiman- heure

"

tation variable avec la vitesse et ne disparaissant pas brusquement

à l’arrêt. Les mêmes phénomènes s’observent sur les navires dans les routes E . -W .

G. Les systèmes optiques en mouvement

et la translation de la Terre.

-

P. 310.

Théorie : 1° effet de mouvement élémentaire ; 20 effet tourbillon- naire optique; 3° limite supérieure de l’entraînement de l’éther dans la translation de la Terre : observations à l’interféromètre montant que, par une ascension verticale de 1 mètre, la vitesse relative de la Terre et de l’éther n’augmente même pas de la fraction 110-1 de la

3

(7)

219 vitesse de translation de la Terre ; effet tourbillonnaire optique angulaire.

A. LEDUC. - Application du principe de Lenz aux phénomènes qui accompagnent la décharge des condensateurs. - P. 313.

L’auteur trouve pour la dilatation électrique des condensateurs :

x, inverse du module d’Young ;

~, coefficient d’augmentation de la constante diélectrique par trac- tion uniforme perpendiculaire aux lignes de force; T, énergie par unité de volume dans le diélectrique.

De même réchauffement adiabatique 0 du diélectrique pendant la charge à pression constante est :

1, densité, et y, chaleur spécifique du diélectrique à pression constante

et à potentiel constant.

Il ne faut pas généraliser la loi de Lenz en disant que tous les facteurs dont dépend la capacité interviendront pour augmenter celle-ci. Ce n’est vrai que des paramètres immédiats k (constante diélectrique); s (surface); e (épaisseur) du condensateur.

L. DÉGOàiBE. - Sur une interprétation physique de la chaleur non compensée.

P. 315.

Théorie conduisant à assimiler la chaleur non compensée à de la

chaleur de Siemens, comme elle essentiellement positive. Cette cha-

leur de Siemens est celle dégagée par un courant de déplacement

dans un diélectrique. La théorie laisse de côté les transformations

accompagnées soit de courants de conduction, soit les phénomènes

d’ionisation ou de désagrégation atomique.

(8)

220

A. LAFA Y. - Sur un procédé d’observation des trajectoires suivies par les éléments d’un courant d’air gêné par des obstacles de formes variables.

-

P. 31$.

Ce procédé consiste à faire usage de l’acétylène, gaz dont la den- sité est très voisine de celle de l’air, et d’indice relatif élevé. En éclairant un jet d’acétylène dans l’air par une source peu étendue, la

silhouette du jetse détache sur un écran placé au delà comme une bande

brillante bordée par deux lignes sombres. Si, après avoir réglé le jet explorateur d’acétylène de façon à lui faire prendre le maximum de

longueur dans les conditions où il doit servir, on le transporte dans le voisinage des obstacles placés dans le courant d’air initial, on voit la

silhouette du jet s’incurver et dessiner la perspective des trajectoires qu’il est alors possible de relever ou de photographier à l’étincelle

électrique.

CHENEVEAU et HEIM. - Sur l’extensibilité du caoutchouc vulcanisé.

-

P. 320.

L’allongement total y d’une éprouvette de caoutchouc vulcanisé

sous l’action d’une charge x peut s’exprimer par la relation :

1 et s sont la longueur et la section de l’éprouvette k, x, b sont des

constantes, seulement à partir de la troisième traction.

Les auteurs ont vérifié cette formule sur un grand nombre de

caoutchoucs. Les constantes fi, x, b et la charge de rupture caracté-

risent parfaitement un échantillon.

G. FRIEDEL et F. GRANDJEAN. - Structure des liquides à coniques focales.

P. 32~.

Études de l’azoxybenzoate d’éthyle et de ses congénères. Ils sont biréfringents dans touteleur masse et montrent de nombreux groupes de coniques focales, qui sont des axes d’enroulement de la matière

anisotrope, par suite des lignes de discontinuité optique, visibles par

conséquent même en lumière naturelle.

(9)

221

H. BIRhELWTD.- - Sur la lumière zodiacale.

-

P. 325.

Explicationde la lumière zodiacale par des radiations corpusculaires

du Soleil. Comparaison entre l’aspect présenté par une photographie

du Soleil prise pendant l’éclipse du 17 mai 1901 et la lueur qui se produit entre un globe fortement mag nétisé mis dans un grand vase

de décharge et ce vase. L’auteur a cherché à déterminer, par ana-

logie avec des expériences de laboratoire, comment les rayons cor-

pusculaires se meuvent autour de la Terre sous l’influence du magné-

tisme terrestre.

~

P. DUHEM. - Sur les quasi-ondes de choc et la distribution des températures

de ces quasi-ondes. - P. 325.

Théorie mathématique montrant que, si le coefficient de conduc- tibilité n’est pas très petit, la température ne peut éprouver que de très petites variations au travers de la quasi-onde de choc.

A. KORN. - Solution générale du problème d’équilibre dans la théorie de l’élas- ticité, dans le cas ou les déplacements des points de la surface sont donnés. - P. 336.

Théorie mathématique.

J. BOSLEH. - sur les relations des courants telluriques avec les perturbations magnétiques. - P. 342.

De l’examen des courbes des courants telluriques et des compo- santes magnétiques, relevés lors des orages magnétiques (Greenwich,

parc Saint-Maur), il semble résulter que les courants telluriques ont probablement une influence directe sur les orages magnétiques.

L’aiguille s’est constamment dirigée dans le sens exigé par la règle d’Ampère.

LECOQ DE BOISBIUDFL,-IN. - Sur la déshydratation des sels.

-

P. 356.

L’auteur donne des exemples de sels (sulfates magnésiens) ne per-

(10)

222

dant qu’une molécule d’eau, bien qu’en contenant plus d’une, contrai-

rement aux remarques de M. Rosenstiehl (~ ).

,

PiERRE 1"EISS. - Sur la grandeur du magnéton déduite des coefficients d’aimantation des solutions de fer.

-

P. 187 et 36 i.

Des études de M. Pascal, l’auteur déduit pour la valeur du magné- ton-gramme, partie aliquote commune aux saturations moléculaires

du fer et du nickel, la valeur 11.22,1..

Celle-ci ne diffère que de 1 du nombre 113,, déduit des expé-

1000

riences faites à Leyde sur les métaux eux-mêmes, dans l’H liquide,

par Kamerlingh Onnes et iÀ"eiss.

HANRIOT. - Sur l’adhésivité.

-

P. 369.

Quand on chauffe deux lames d’or brun dans les limites de tempé-

rature de leur transformation ordinaire, puis qu’on les rapproche jus- qu’au contact, ces lames restent soudées (adhésivité). Ce phénomène

est lié à la période de transformation des deux variétés d’or et il

s’épuise rapidement avec le temps.

ACTIONS DES RADIATIONS ULTRA-VIOLETTES.

A. GUNTZ et J. MINGUIN. 2013 P. 372.

DANIEL BERTHELOT et HENRY GAUDECHON. - P. 377.

Exemples d’effets mécaniques, d’effets chimiques et de change-

ments d’état produits par les radiations ultra-violettes de la lampe au

mercure sur le benzylidène, le camphre, le sucre, le phosphore, le soufre, les solutions aqueuses des sels minéraux, les composés orga-

niques à structure linéaire ou cyclique.

J. BÛSELLI. - Vitesses de réactions dans les systèmes gaz-liquides.

-

P. 374.

. Les vitesses de dissolution

-

O‘’ ou CO dans 1"eau - sont pro-

(1) Société de Physique, Résurné des communications, 17 février 191 L

(11)

223

portionnelles: à la différence entre la concentration de saturation du gaz et la concentration générale dans le liquide ; 2° à la racine

carrée de la vitesse d’agitation à partir d’une certaine valeur; 3° à

la racine carrée du coefficient de diffusion du gaz dans l’eau.

Les vitesses de réactions avec combinaisons chimiques forment

2 groupes: dans le premier, ex. : oxydation et fixation de CO par l’hé-

moglobine~ les vitesses sont indépendantes du volume liquide et

varient avec l’agitation ; dans le deuxième (oxydation de SO~Fe) les

vitesses sont proportionnelles au volume liquide et indépendantes de l’agitation.

SA)IVEL LIFCII1TZ. 2013 La reproduction sonore d’une courbe périodique (1). - P. 401.

BOIZARD.

PHILOSOPHICAL MAGAZINE;

T. XXI ; février 1911.

LORD R.£YLE IGII. - Remarques sur quelques questions d"hydrodynamique.

P. 1 -17-196.

L’auteur réunit dans ce mémoire quelques remarques relatives à différentes questions d’hydrodynamique. Il étend, à un train d’ondes infiniment petites progressant dans un milieu dispersif, le théorème

de l’égalité de l’énergie potentielle et de l’énergie cinétique, établi

pour une onde simple progressant dans un milieu sans dispersion.

Il étudie les modifications que subit un train d’ondes, lorsque la pro- fondeur de l’eau devient de plus en plus faible et que le système

reste conservatif, les changements qu’il faut apporter à la solution donnée par Lord Kelvin au problème des ondes linéaires produites à

la surface d’un liquide par une perturbation élémentaire, lorsqu’on

tient compte de la capillarité. Il démontre d’une façon moins

détournée les résultats obtenus par Stokes relativement au mouve- ment d’un train d’ondes périodiques de hauteur finie progressant en

eau profonde. Il suggère une explication nouvelle du fait que la mer

(1) Société cle Physique, 3 février 1911.

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