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Comptes rendus de l'Académie des Sciences - T. CLVI, nos 25 et 26; juin 1913

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(1)

HAL Id: jpa-00241860

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241860

Submitted on 1 Jan 1913

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Comptes rendus de l’Académie des Sciences - T. CLVI, nos 25 et 26; juin 1913

G. Boizard

To cite this version:

G. Boizard. Comptes rendus de l’Académie des Sciences - T. CLVI, nos 25 et 26; juin 1913. J. Phys.

Theor. Appl., 1913, 3 (1), pp.725-736. �10.1051/jphystap:019130030072500�. �jpa-00241860�

(2)

COMPTES RENDUS DE L’ACADÉMIE DES SCIENCES ;

T. CLVI, nos 25 et 26; juin 1913.

LÉON GUILLET. - Sur les points de transformation et la structure des aciers nickel-chrome. - P. 1114.

Tableau. L’examen métallographique montre qu’à mème teneur

en carbone et en chrome, un acier perlitique renfermant du nickel a une tendance plus grande à la structure eutectoïde.

L’addition du chrome à un acier au nickel agit difléremment suivant les teneurs : alors que 0. 6 0/0 de chrome n’abaisse pas les points de transformation des aciers à 2,5 ou 3,4 0/0 de Ni

et 0,08 ou 0,23 0/0 de C, une addition de 1,2 ou 2,4 0/0 de

chrome change les points de transformation d’acier de 4 à 6,25 0/0

,

de Ni, augmentant l’hystérésis dans des proportions notables.

Z. CARRIÈRE. - Nouvelle méthode de

mesure

de la vitesse des fluide.

P. t83I.

On envoie dans l’axe d’un courant d’air vertical un jet de vapeur d’eau sous faible pression, jet que l’on éclaire horizontalement. On observe dans une direction peu inclinée sur le faisceau incident. Le

jet de vapeur vibre spontanérnent; sa masse stratifiée par les conden- sations et les dilatations successives prend l’apparence d’un chape-

let de petits nuages isolés qu’on regarde au miroir tournant vertical,

ce qui fait apparaître des trajectoires sous forme de bandesverticalec.

La vitesse V du nuage (égale à celle du courant d’air après quelques

centimètres de parcours) est égale à :

o angle des bandes avec l’horizontale, n nombre de tours du mi-

roir par seconde, d distance du miroir au courant.

La méthode exposée est d’ailleurs indiquée dans le tome Il de la physique de M. Bouasse.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019130030072500

(3)

726

MARCEL NIOULIN. - Sur les courbes terminales du spiral droit.

-

P. 1833.

Théorie. Formules des courbes. Le centre de gravité du spiral plat muni de ces deux courbes terminales est sur l’axe et y reste.

,

G. S--IGNAC. - Strioscopes interférentiels et interféromètres simplifiés à circuits

inverses. Vibrations stationnaires

sur une

argenture transparente. - P. 1838.

On supprime le polariseur du dispositif décrit précédemment (~)

et on choisit une incidence voisine de celle qui donne le maximum de lumière. On réduit ensuite les faisceaux superposés à leurs moi-

tiés inverses juxtaposées en couvrant la moitié de l’objectif du colli-

mateur C avec un prisme à réflexion totale; le faisceau de retour,

d’amplitude 2TR,revient juxtaposé au faisceau incident sur le prisme

à réflexion totale qui le rejette latéralement dans une seconde lu- nette C’ où l’on observe des franges à l’infini. Cet interféromètre à frange centrale blanche et’à faisceaux juxtaposés est d’un réglage plus sûr que celui de Jamin.

En élargissant la frange centrale en un champ uniformément

brillant, on a un strioscope, qui convient très bien à la projection.

Dans l’interféromètre précédent, l’argenture transparente donne un second système de franges à centre blanc dans la lunette L où les

phases s’accordent approximativement. Sur la moitié protégée par le prisme à réflexion totale contre la lumière incidente, cette argen-

ture montre par diffusion les franges complémentaires.

Nlme et 1B1. A. CHAUDARD. 2013 Etude quantitative de l’action des rayons ultraviolets monochromatiques

sur

l’amylase. - P. 1858.

Tableau. L’action photochimique des rayons ultra-violets sur

l’amylase est proportionnelle à l’absorption de ces rayons par la so- lution contenant le ferment. Une quantité d’énergie de rayonnement qui serait capable d’élever la température de la solution seulement

d’environ 1 de degré décompose les 4 de la diastase.

4 10

(1) Voir

ce

volume, p. 81, 292.

(4)

JEAN BIELECKI et VICTOR HENRI. - Etude quantitative de l’absorption des

rayons ultra-violets par les monoamines, diamines, nitriles, carbylamines,

amides et oximes de la série grasse.

-

P. 1860.

Tableau. L’absorption de tous les corps azotés se fait d’une façon continue, l’absorption moléculaire croissant quand la longueur d’onde

diminue jusqu’à 2144. Pour les amines primaires, l’absorption aug- mente avec le nombre d’atomes de C, et elle est plus forte que pour les alcools correspondants. Les amines secondaires et tertiaires se

comportent entre elles comme les primaires et sont d’autant plus

absorbantes que les atomes d’H de NH3 sont davantage remplacés

par des radicaux alcooliques.

l,e groupe NH2 augmente l’absorption, les liaisons R - C = N et R - N ÎEE C absorbent excessivement peu.

-

Les amides ab- sorbent plus que les acides correspondants ; les oximes absorbent

plus que les amines.

CARL STORlB1ER. - Sur

une

expédition pour l’observation des

aurores

boréales à Bossekop,

au

printemps de 1913.

-

P. 8’I~1.

Photographies montrant des draperies dansla région des Pléiades.

Séries cinématographiques d’une aurore boréale vers l’ouest.

J. GUILLAUME. 2013 Sur le minimum actuel des taches du soleil.

-

P. 1878.

Depuis le 12 avril dernier, on n’a pas noté de taches sur le disque

du soleil. Les jours le disque du soleil se montre dépourvu de

facules sont en outre fréquents.

A. TIAN. - Sur la détermination expérimentale de l’énergie lumineuse

absorbée dans

une

réaction photochimique. - P. I8 i9.

Mesure directe avec une pile thermoélectrique noircie sur ses deux

faces ; l’une des faces est éclairée par une source fixe (de rayonne-

ment connu) ; l’autre face sera éclairée par la source à étudier, avec, entre les deux, la cuve contenant la substance qui réagit ; la déviation du galvanomètre permettra alors de calculer l’énergie absorbée.

Applications : dans la décomposition photochimique de l’eau oxy-

(5)

728

génée, il n’y a pas proportionnalité entre l’action chimique et l’éner- gie absorbée, même quand on opère en lumière ne contenant pas de radiations infra-rouges.

B.

JACQUES CARVALLO. - Sur

un

phénomène photo-électrique présenté

par l’anhydride sulfureux liquéfié.

-

P. 1882.

L’auteur a montré (’) que S02 liquide soumis dans l’obscurité entre deux électrodes de platine à une différence de potentiel cons-

tante, est traversé par un courant qui diminue et tend vers une

valeur limite.

Si on soumet S02 à des alternatives d’éclairement et d’obscurité, chaque allumage produitune brusque diminution du courant, chaque

extinction une brusque augmentation, l’effet total étant du reste

une augmentation du courant limite. A chacun de ces effets, que l’auteur appelle négatifs, succède un effet faible et lent, de signe

contraire (effet positif). Ces deux effets ont leur siège dans la masse

même du liquide; ils sont dus aux rayons ultraviolets ; ils sont pro-

duits simultanément par les mêmes radiations.

L’effet positif résulte de :

L’effet négatif est à la présence des impuretés produites par l’action de la lumière et au passage prolongé du courant continu ;

il n’y a pas d’effet négatif en l’absence de ce courant.

THADDÉE PECZALSKI. - Relation entre la loi de compressibilité des gaz et les coefficients de dilatation.

-

P. 1885.

L’équation différentielle des gaz peut s’écrire :

puisque

Les maxima et minima de pv

=

f à température constante étant

(1) C. R., 24 octobre 1910.

(6)

donnés par :

comme on a en outre (dt

-

0 à température constante),

les minima et maxima des isothermes auront donc lieu,’alors que les deux coefficients de dilatation

ce

à volume constant et ~ à pression

constante seront égaux entre eux.

L’auteur utilisant encore l’équation (1) obtient pour l’équation des

isothermes la forme :

et compare pour l’H à 0°, l’N à 16°, l’air à 0° les valeurs calculées

aux valeurs expérimentales. Le tableau montre une très bonne con-

cordance.

ANDRÉ LÉAUTÉ. - Sur les oscillations à grande fréquence dans les

arcs

élec- triques très courts et

sur

les limiteurs de tension à intervalles muitiples.

-

P. 1886.

Schéma du montage, utilisant en série un galvanomètre qui n’en- registre que le fondamental à basse fréquence et un thermique

influencé par le courant total ; par différence on a l’intensité efficace des oscillations (qui, dans certains cas, est extraordinairement grande

par rapport à celle du fondamental).

Les expériences montrent que les fusibles que l’on place souvent en

série avec les limiteurs de tension sont exposés à être parcourus par des oscillations de grande fréquence et des surintensités produisant

des effets destructifs violents. Les fusibles sont mal placés ; il fau-

drait les brancher entre les résistances et la terre.

P.-TH. MULLER et R. ROMANN. 2013 Sur la dissociation électrolytique d’un sel régie par la loi des

masses. -

P. 1889.

L’acide et la base suivant la loi des masses jusqu’à un degré d’io-

nisation très avancé, il doit en être de même du cyanacétate de pipé-

ridine, l’hydrolyse imperceptible n’influençant pas la conductibi-

lité. Ce sel obéit en effet à la loi des masses.

(7)

730

MARCEL BOLL. - Décomposition photochimique des solutions d’acide oxalique

en

présence de nitrate d’uranyle.

-

P. 1891.

La réaction est sensiblement unimoléculaire; il ne se forme pas d’acide formique en quantité notable dans la solution, l’acide oxa- lique étant oxydé sous forme de C02.

L’étude des coefficients d’absorption montre que l’absorption est

la même, qu’il y ait ou non réaction chimique.

La loi de l’équivalent photochimique d’Einstein ne s’applique

pas ; l’énergie absorbée pendant la réaction est très inférieure au

quantum, et dix fois plus grande que l’énergie cinétique moyenne d’une molécule.

MARC LANDAU. - Sur le phénomène de photocatalyse. - P. 1894.

Etude de la décomposition de l’acide oxalique par la lumière ultra- violette en présence d’uranium et de ses sels.

>

Tous possèdent les propriétés photocatalytiques, et il n’existe pas de parallélisme entre les valeurs du pouvoir photocatalytique et du pouvoir radioactif de ces composés. Ce pouvoir catalytique est

exclusivement au cation ; il existe même quand le catalyseur est

insoluble. Si on compare à d’autres catalyseurs (nitrates de Li, Cs, lB1g, Ba, Al, Ua, Mn, Ni), le pouvoir catalytique est maximum

pour l’uranium. Les métaux du même groupe du système périodique

ont le pouvoir photocatalytique le plus élevé.

E. RENGADE. - Sur les points de fusion, chaleurs spécifiques et chaleurs

de fusion des métaux alcalins.

-

P. 1897.

(8)

LÉON GUILLE’r et VicTOR Variations de la résilience

ou

travail de rupture du cuivre et de quelques-uns de

ses

alliages

en

fonction de la tem-

pérature. - P. 1899.

Courbes. -A l’exception du cupro-nickel, les alliages présentent

à partir de 300° et 400° un maximum de fragilité qui se maintient jusque dans le voisinage du solidus ou disparait vers 700°, et sou-

vent un maximum de résilience vers 1001. Le cuivre ne présente jamais de fragilité. Le plomb maintient la fragilité du laiton à 90 0/0

de cuivre. Les laitons à 80 et 70 0/0 de cuivre restent fragiles de

700 à 850, ; ceux à 61 0/0 voient leurs résiliences, très faibles entre

300 et 600o, se relever aux environs due 7000. La fragilité du cupro- nickel diminue vers 1000°, tandis que le maillechort à 25 0/0 de zinc

est et reste fragile dès 300°. Le bronze d’Al au fer indique à 700° une

cessation de fragilité très nette; les bronzes d’Al sans fer ne donnent

aucun chiffre précis entre 600 et 800°.

RE,NÉ DUBRISAY. - Sur la neutralisation de l’acide chromique. - P. 1902.

Application de la méthode décrite par l’auteur (~~. Dès qu’on a dépassé la quantité d’alcali correspondant à la formation du bichro- mate, une certaine quantité de soude ou d’ammoniaque reste à l’état

libre dans la solution.

PAUL PASCAL. -Remarques

sur

l’additivité de 3 propriétés physiques

dans la série organométallique. - P. 1904.

Il n’y a pas d’additivité des propriétés optiques et magnétiques

dans le groupe des organo-métalliques.

J. La vitesse des glaciers

en

hiver et l’inanité de la théorie thermique

de leur progression.

-

P. 1948.

Les expériences de l’auteur donnent 24clll,6 par jour pour l’été et pour l’hiver pour la mer de Glace. Aucune variation calori-

fique soit diurne, soit annuelle, ne peut donc pénétrer la masse

(1) Séances de la Société de Physique, 16, mai 1913.

(9)

732

interne des glaciers, qui peuvent être considérés comme des fleuves s’écoulant dans leur lit sous la seule influence de la pesanteur.

H. GUILLEMINOT. - Sur la loi d’action biologique des rayons X filtrés

ou

non.

P.1943.

A dose absorbée égale, les effets des rayons X de qualités variées

sont égaux.

DE Hydrates de l’anhydride uranique et chaleur de formation

de l’azotate d’uranyle.

-

P. 1954.

Hydrates U 03, Hz0 et

Si on dissout dans la quantité d’acide azotique étendu nécessaire pour obtenir l’azotate d’uranyle dissous, on observe avec :

D’oû :

ARNAUD. - Sur la réfraction atmosphérique

sous un

angle quelconque (1).

P. 1962.

Formules :

avec

(1) Voir aussi C. R., 28 sept. 1912.

(10)

avec

ED. SARASIN et Tu. TOMMASINA. - Sur

une

nouvelle étude de l’effet Volta, faite à l’aide de la radioactivité induite (1).

-

P. 1968.

Dans l’électromètre d’Elster et Geitel, la capacité cylindrique

creuse est remplacée par une tige métallique. Des cloches peuvent

se substituer l’une à l’autre sur le plateau de l’appareil de mesure ;

enfin les écrans-grilles ont été modifiés.

Quand l’écran cloche-grille, écran troué, séparant complètement

le champ de l’électroscope de celui de la cloche enceinte radioactivée,

est du même métal que la paroi interne de cette dernière, et l’état

des surfaces identique, la vitesse de décharge de l’électroscope est indépendante du signe de la charge.

Si le métal de la paroi interne de la cloche enceinte activée est du cuivre ou laiton et celui de l’écran cloche-grille du Zn ou Al, la vitesse

de la décharge des charges positives augmente, négatives diminue;

on observe des résultats inverses si on inverse les métaux. Or AI,

Zn se trouvent à l’extrémité électropositive des métaux (surface rapidement oxydable), le Cu à l’extrémité électronégative (surface

lentement oxydable). On est donc porté à donner, au sujet de l’expli-

cation de l’effet Volta, une importance très grande à la modification de la couche conductrice superficielle en une couche diélectrique.

Cette couche modifie les vitesses et par son absorption la quantilé

°

des ions et électrons émis.

PIERRE Sur les champs magnétiques obtenus

avec un

électro-aimant muni de pièces polaires

en

ferro-cobalt.

-

P. 4 9î0.

Le fer, qui a il magnétons par atome, forme avec le cobalt le composé Fe2Co qui en a 1~, et ce ferro-cobalt a une aimantation à

saturation de 10 0/0 supérieure à celle du fer, à la température ordi-

naire. Avec un électro-aimant à pointes en ferro-cobalt, on a pu obtenir un champ de 55.000 gauss, alors qu’avec le fer on n’obtient

que 53.500 gauss (gain de 5 0,’0).

(1) Voir C. R., années ~904, 1, 8, 11.

(11)

734

C. CHÉNEVEAU. - Sur les propriétés optiques de l’eau et

sa

constitution

physique. 2013 P. i972.

Les variations des constantes optiques de l’eau avec la température s’expliquent parfaitement par l’hypothèse déjà émise (Duclaux) :

l’eau serait formée par l’association ou le mélange de deux subs- tances dont l’une serait analogue à la glace. En ontre les propriétés optiques des solutions aqueuses ne sont pas modifiées, même en

admettant que, pour une température donnée, la proportion de glace

diminue avec la quantité de sel dissous dans l’eau (J. Duclaux et

?vlll1e E. BBTollmann).

GUÉRITOT. - Sur

un

inanoscope thermo-électrique de grande sensibilité.

P.1974.

On réunit deux réservoirs par un tube coudé, le coude étant le

point le plus élevé, et on chauffe régulièrement l’air contenu dans le

tube au voisinage du coude à l’aide d’un courant : l’air chaud reste dans la partie coudée. De part et d’autre de la région chauffée, on dispose les deux soudures couple thermo-électrique ; si l’air se déplace par variation de pression ou de température dans l’un des réservoirs, le galvanomètre indique une déviation proportionnelle au

volume de gaz déplacé ; l’appareil permet de déceler ainsi un dépla-

cement d’un dixième de millimètre cube. Si l’un des réservoirs est

l’atmosphère, on peut déceler une variation de la pression atmosphé- rique d’un millionième de millimètre de mercure.

P,EIVIN BURNS. - Sur

un

déplacement des lignes spectrales de certains mé-

taux produit par la présence d’une autre vapeur métallique. - P. 19~6.

La présence d’une forte proportion de vapeur lumineuse (Fe, Hg)

déplace les lignes des métaux contenus dans l’arc en faible propor-

tion (Ba, Mn, Cd) par rapport aux positions qu’occupent ces raies

lorsque le métal qui les produit est prédominant.

(12)

L. GAY. - La détente adiabatique des liquides.

-

P. 1978.

Utilisation de l’appareil décrit précédemment(1).

On trouve :

VICTOR HENRI Labilité chimique et absorption des rayons ultra-violets.

P. 979.

Les corps dont les molécules sont labiles, c’est-à-dire qui réagissent facilement, absorbent fortement les rayons ultra-violets. Par con-

séquent, à côté des effets produits par les différents groupements

chimiques et par la constitution moléculaire, la prédisposition des

molécules à entrer en réaction provoque une exaltation très forte du

pouvoir d’absorption des rayons ultra-violets.

WITOLD BRONIEWSKI. - Sur la thermo-électricité des aciers. - P. t983.

Entre 0 et ~00°, le pouvoir thermoélectrique peut être représenté

par :

t~ et t3 représentent les températures des points critiques cc, et cc3.

(1) C. R., t. ~6, p. Z0~10.

(13)

736

J. VILLE et E. DERRIEN. - Catalyse biochimique d’une oxydation luminescente.

P.2021.

L’oxydation de la lophine par le système H2 02 + hématine en pré-

sence d’une petite quantité de soude se produit avec luminescence.

ALPHONSE BERGET. - Formule barométrique simplifiée pour la

mesure

des altitudes.

-

P. 2031.

G. BOIZARO.

ASTROPHYSICAL JOURNAL ;

Vol. XXXVII ; Janvier, Mai 1913.

FaAnx-W. Mesure à haute altitude du rayonnement solaire.

-

P. 25-30.

Recherche sur l’actinomètre pour ballon sonde de Violle.

Études de la méthode de réduction des observations faites avec cet instrument.

L’auteur trace une courbe reliant les valeurs de la constante so-

laire obtenues dans trois séries d’observations faites à des altitudes très différentes en prenant pour coordonnées les valeurs de la cons-

tante et les épaisseurs de l’atmosphère ; cette courbe prolongée indi- querait à la limite de l’atmosphère cal. cmq. min. pour valeur de la constante solaire.

FRANK-ii. YERY. - Critérium de précision dans les

mesur es

de transmission

atmosphérique du rayonnement solaire.

-

P. 31-43.

L’atmosplière transmet le rayonnement solaire moins librement

au milieu du jour. M. Frank Nii. Very a discuté dans une note pré- cédente (t) la cause de cette variation. Dans la communication actuelle, il se propose d’examiner les moyens par lesquels on peut

reconnaitre ce changement dans les qualités de l’atmosphère et, dans quelques cas, quelle correction on peut appliquer.

(1) Asl1’oph. 34, 361; i911.

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