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Comptes rendus de l'Académie des Sciences; - T. CLVI, nos 23, 24 et 25 ; juin 1913

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(1)

HAL Id: jpa-00242071

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00242071

Submitted on 1 Jan 1913

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nos 23, 24 et 25 ; juin 1913

G. Boizard

To cite this version:

G. Boizard. Comptes rendus de l’Académie des Sciences; - T. CLVI, nos 23, 24 et 25 ; juin 1913. J.

Phys. Theor. Appl., 1913, 3 (1), pp.665-670. �10.1051/jphystap:019130030066500�. �jpa-00242071�

(2)

COMPTES RENDUS DE L’ACADÉMIE DES SCIENCES;

T. CLVI, nos 23, 24 et 25 ; juin 1913.

VAsiLEsco KARPEN. - Le vol à la voile.

-

P. 1663 (1).

Théorie dans le cas : 1° où le ventaune vitesse constante dans un

plan vertical parallèle au vent et varie uniformément par mètre de distance mesurée suivant une horizontale normale au vent ; 2° où le

vent a une vitesse, constante dans le même plan horizontal, qui grandit en valeur et direction suivant une verticale.

Louis ROY. - Complément à deux notes récentes sur le mouvement

_

des milieux visqueux indéfinis.

-

P. 1665.

Théorie mathématique.

ERNEST ESCLANGON. - Sur un régulateur de température. - P. 1667 (2).

Dessin.

-

L’appareil se compose d’un tube circulaire fermé à une extrémité A, ouvert à l’autre extrémité B, tournant autour de son

centre O. Il contient en A une vapeur saturante avec un excès de

liquide, puis la majeure partie du reste du tube est occupée par du

mercure. Le centre de gravité du système (Hg non compris) est

en 0 ; sur une poulie solidaire du tube est un poids. L’appareil étant équilibré, l’équilibre est indifférent et ne dépend que de la tempé-

rature. Les mouvements que donneront les variations de cette tem-

pérature pourront donc servir à la régulation.

R. DÉTRAIT. - Sur le glissement des liquides à la paroi. - P. 167~1.

Comparaison des écoulements de deux liquides dans des tubes de

verre et de soufre. L’un des liquides (essence de pétrole ou alcool)

mouille à la fois le verre et le soufre; l’autre liquide, l’eau, ne mouille pas le soufre. On constate qu’il y a glissement de l’eau sur

la paroi de soufre.

(1) Voir ce vol., p. 101 et 399.

(2) Voir C. R., ’19 février 1912.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019130030066500

(3)

H. PaREB’TY. - Sur la reconstitution, par cliché photographique,

de certains détails invisibles des tableaux anciens. - P. 1673.

En éclairant de diverses façons une Décollation de saint Jean-

Baptiste attribuée à Rubens, l’auteur a révélé la signature du

maître

«

Rubès

»

dont les deux premières lettres apparaissent net-

tement dans tous les clichés, dont les trois dernières moins visibles peuvent être reconstituées par la comparaison de l’ensemble des clichés. Un estampage sur papier mince permet de constater après

coup que le phénomène doit être attribué à un relief de la toile.

0

PIERRE iVEISS. - Sur la théorie cinétique du paramagnétisme des cristaux.

P. 1674 et 1836.

Théorie supposant que les molécules sont disposées suivant les noeuds d’un réseau et sont soumises, quant à leur orientation, à l’agitation thermique; en plus, à chaque orientation d’un aimant

moléculaire, correspond une énergie potentielle. La distribution de

ces aimants sera représentée par les points que les pôles nord occupent sur une sphère, les pôles sud étant au centre; sans champ magnétique, le centre de gravité des pôles nord occupe alors le

centre de la sphère. L’auteur applique au cristal ainsi schéma- tisé un raisonnement analogue à celui de M. Langevin pour le para-

magnétisme des gaz. Dans le cas général, la moyenne des coefficients d’aimantation observés dans trois directions rectangulaires obéit à

la loi de Curie.

°

G. FRIEDEL. - Loi générale de la diffraction des rayons Rontgen par les cristaux.

P. 1676.

Admettons : 1° que le rayon incident comprend un spectre contin u

de longueurs d’onde qui sont de l’ordre de grandeur des paramètres cristallins ; que chaque noeud du réseau émet un système d’ondes sphériques en concordance de, phase avec le rayon incident. On en

déduit alors que chaque rayon diffracté suit la loi de la réfléxion sur un des systèmes de plans réticulaires du cristal. Il comporte une longueur d’onde fondamentale et toutes ses harmoniques (pour

autant que ces longueurs d’onde existent dans le rayon incident). Et

(4)

la longueur d’onde fondamentale est le double de la projection de l’équidistance des plans du système sur le rayon incident.

A. PÉROT. - Sur le mouvement des centres lumineux dans les décharges électriques.

-

P. 1619.

Les vitesses de la raie D3 (5876) de l’hélium et de la raie C (6563)

de l’hydrogène sont faibles (500 mètres par seconde au maximum).

Le rapport de ces vitesses est de l’ordre de 2, 3.

C3

Pour la raie rouge (6708) du lithium et la raie D, du sodium, le rapport des vitesses B;’1 est de l’ordre de ~,3. Ces rapports sont de

l’ordre de celui des poids moléculaires.

fi’

G. MALFITANO et Mllg A. MOSCHhOFF. - Défloculation de l’amidon et dissolution du glucose. - P. 1681.

Les formes pseudo-cristallines ~1) de l’amidon montrent que le mode de désagrégation de ce colloïde, la défloculation, diffère essen-

tiellement de celui de dissolution qui caractérise les cristalloïdes.

Le cristal ne fait que diminuer de volume, et l’on n’aperçoit rien des fragments qui doivent pourtant s’en détacher à la surface. Quant au pseudo-cristal, il se désagrège entièrement en granules perceptibles

et uniformes, qui restent cohérents.

ALPHONSE BERGET. - Sur la position exacte du pôle continental de la Terre.

P. I7~14.

Les géographes se sont demandé s’il ne serait pas possible de tra-

cer sur la Terre un grand cercle qui partagerait le globe en deux hémisphères tels que l’un contînt la proportion maxima de terres par rapport à l’eau, tandis que l’autre contiendrait la proportion maxima

d’eau par rapport aux terres. Le pôle de ce grand cercle, du côté

du maximum des terres, serait le pôle continental ; son antipode

sera le pôle océanique. Le pôle continental le plus probable est

(1) C. Ft., t. CLYI, p. 1112.

(5)

l’île Dumet, au large de l’embouchure de la Vilaine (47° 24’ ~~" de

latitude nord et 2° 37’ 13" de longitude ouest de Green,vich).

PIERRE Remarque élémentaire sur le problème des ondes sphériques.

P. 1727.

Théorie mathématique.

SCHVVAHTZ et V1LLATTE. - Sur la première détermination d’une difl’érence de longitude par télégraphie sans fil en Afrique occidentale française.

-

P. 1743.

Instruments employés : astrolabe à prisme, deux chronomètres,

une pendule Leroy à contact et à entretien électromagnétique au poste d’émission (Conakry). Poste côtier à émission musicale (Cona- kry).

-

Boîte réceptrice spéciale pour longitudes, à dérivation;

résonateur à conduit unique, détecteurs électrolytiques. Résultats :

longitude Conakry - longitude Kissidougou ~ - Oh 14m 22",79.

A. MAGNAN. 2013 Données pour la construction d’un monoplan idéal

tirées des caractéristiques des Oiseaux. - P. 1746.

Étude des rapaces qui pratiquent de préférence le vol plané. Par comparaison avec les rapaces diurnes, on obtient pour un mono-

plan :

Un tel monoplan serait beaucoup moins long que les monoplans

actuels.

LEVAVASSEUR et GASTAAIBIDE. - Sur un aéroparachute, - P. 1748.

Il se compose de deux ailes et d’un corps empenné symétrique-

ment. Les deux ailes se composent chacune de trois parties : une

partie fixe ayant la forme d’un trapèze et deux parties mobiles for-

(6)

mées de deux groupes de rémiges. L’aile entière développée a la

forme d’un demi-cercle. Ces deux ailes sont articulées sur un cadre et peuvent prendre toutes les positions depuis l’horizontalité jus- qu’à 90°. Le cadre lui-même est articulé sur le corps, ce qui per- met de faire varier l’angle du corps par rapport aux ailes de 0 à 90°.

L’incidence des ailes étant sensiblement celle de la trajectoire, on

descendra en vol plané; les ailes restant toujours horizontales, on descendra en vol parachuté. Dessin, dimensions et théorie de l’ap- pareil.

,

EUGÉNB BLOCH. - Principe d’un moteur électrostatique.

-

P. 175i (1).

DE BROGLIE. - Sur la diffraction et la réflexion des rayons de Rôntgen.

P. f 753.

Précisions sur la réflexion et la diffraction des rayons; il semble

qu’il existe des longueurs d’onde fondamentales de tache dont le

rapport à l’équidistance des molécules ne dépasse pas un centième.

Certains cristaux peuvent réfléchir avec intensité les rayons sous

une incidence éloignée de 90°; tel le carborundum. Les cristaux

organiques (saccharose) fournissent de beaux diagrammes; un

échantillon de xénotime a fourni le même diagramme avec ou sans champ magnétique.

Il a été impossible de déceler des phénomènes identiques avec les

rayons y des préparations de radium ou de mésothorium.

JACQUES CARVALLO. - Conductibilité électrique de quelques liquides purs :

ammoniac, acétone, alcools éthylique et méthylique. - P. t755.

Pour l’ammoniac, sous 87 volts, la conductance spécifique appa- rente limite serait de :

Pour l’acétone, la conductance spécifique (qui augmente avec le temps dans le rapport de 1 à 100) serait, à la limite :

(;) Voir Société de Physique, Résumé des communications, 6 juin 49i3.

(7)

Pour l’alcool méthylique, on a une conductance indépendante du temps :

80 10-8 unités pratiques à 15°.

et pour l’alcool éthylique une conductance limite : 25 ~ 0 ~ 9 unités pratiques à 170.

Un courant prolongé, à travers un liquide mauvais conducteur,

amène à un régime de conductibilité limite supérieure ou inférieure

à la conductibilité initiale, et rien ne permet de considérer cc priori

comme une propriété spécifique du liquide pur cette conductibilité

limite, même lorsqu’elle constitue une limite inférieure et qu’elle

satisfait à la loi d’Ohrn.

.

A. TIAN. - Détermination de l’ordre d’une réaction photochimique. - P. 1158.

Théorie montrant comment on peut déterminer correctement l’ordre d’une réaction photochimique dans le cas d’une absorption négligeable, quelconque ou totale.

EUGÉNE FOUARD. - Sur une loi de tonométrie et ses conséquences relatives

à la théorie des ions.

-

P. 1761 (1).

P. LEROUX. - Étude magnétique de la constiiution de quelques alliages

d’antimoine. - P. 1164.

Courbes. Existence du composé Sb-Sn ; existence probable

d’un composé p à g 100 de Sb dans les alliages Pb-Sb.

DANIFL BERTHELOT et HENRY GAUDECHON. - Synthèse photochimique d’un composé nouveau, l’oxycyanure de carbone, au moyen des rayons ultraviolets.

P. ~.’i66.

-

Les mélanges de CO et ClN2, exposés au rayonnement de la lampe

à mercure en quartz, donnent un dépôt jaune fauve de CO ‘C’~T~). Ce

corps, chauffé à 2001, dégage de faibles quantités d’azote. Traité par

l’eau, il donne C02 et 2 HCN.

G. BoIZARD.

ce vol., p. 629.

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