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Comptes rendus de l'Académie des Sciences; T. CLIV, nos 9, 10, 11 et 12; février-mars 1912

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(1)

HAL Id: jpa-00241754

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241754

Submitted on 1 Jan 1912

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Comptes rendus de l’Académie des Sciences; T. CLIV, nos 9, 10, 11 et 12; février-mars 1912

G. Boizard

To cite this version:

G. Boizard. Comptes rendus de l’Académie des Sciences; T. CLIV, nos 9, 10, 11 et 12; février-mars

1912. J. Phys. Theor. Appl., 1912, 2 (1), pp.308-317. �10.1051/jphystap:019120020030801�. �jpa-

00241754�

(2)

308

martensite apparaît avec le magnétisme et la sonorité tombe brus-

quement.

-

Ce qu’on peut retenir ici de ces expériences, c’est que, tandis que dans les alliages fer-nickel, les variations de hauteur du son et de durée du son accompagnent, parallèlement aux variations du coeffi- cient d’élasticité, les transformations connues; dans le fer, les varia-

tions de hauteur du son ne paraissent aucunement suivre la même loi.

La singularité de 100-2,’iOo du fer a été découverte dans les varia- tions des propriétés mécaniques (’), on a pu l’attribuer longtemps à

un effet d’écrouissage, avec A. Le Chàtelier. On serait plutôt conduit

à y voir une transformation spéciale, peut-être du genre allotropiquer

étant donné que les variations sonores et magnétiques ne paraissent

pas faire intervenir l’écrouissage. La singularité de 100, est indiquée

par Nlorris (2) et par Maui-ain (3) dans les variations de magnétisme,

nous l’avons retrouvée dans la désaimantation à chaud. Comme nous

l’avons indiqué ailleurs (4)@ ce phénomène paraît présenter au point

de vue physique un assez grand intérêt et une certaine originalité.

COMPTES RENDUS DE L’ACADÉMIE DES SCIENCES;

T. CLIV, nos 9, 10, 11 et 12; février-mars 1912.

MAURICE HAMY. - Sur la détermination de la flexion astronomique

des cercles méridiens. - P. 559.

Théorie et schéma du dispositif proposé.

Un prisme encadré de deux lentilles devra donner, sans flexion,

d’un point de l’objectif une image fixe sur le micromètre, par réfrac- tion à travers les deux lentilles et par réfraction, réflexion et réfrac-

tion sur les trois faces du prisme dont la face réfléchissante pourra être argentée.

(1) Voir li-on and Steel Institule, 1910; Revue de 1911.

(2) Philosophical 1897.

de Cftil1Úe el de Physique, 1910.

(4) Association Inteinatioiiale pOlO’ l’essai des inatériaux, 1912.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019120020030801

(3)

ÀIILAN STEFANIIE. - Observation de l’éclipse totale de Soleil à l’île Yavau

(archipel Tonga), le 28 avril 1911.

-

P. 565.

La photographie du spectre de la couronne donne un spectre con- tinu avec la raie 5303.

La distribution de la matière coronale autour du disque solaire, par observation visuelle, semble être analogue à celle des photogra- phies ; cependant le coronium parait être dans les régions éloignées

assez uniformément répandu autour du disque, tandis qu’en s’appro-

chant il disparaît aux pôles, d’accord avec les photographies.

A. PETOT. - Sur l’emploi des accouplements élastiques dans les transmission des automobiles. - P. 576.

Théorie mathématique.

E. FICHOT. - Sur le décalage entre la force perturbatrice

et le mouvement contraint. - P. 5 î9.

Théorie mathématique.

CH. MAURAIN et A. TOUSS 4INT. - Etude de surfaces d’aéroplanes

au

chariot électrique.

-

P. 581.

Le chariot est muni d’un montage permettant d’enregistrer l’action

verticale de l’air (poussée), l’action horizontale (traînée), un couple

de rotation duquel on déduit la position du point la résultante des actions de l’air coupe la surface. Tableau des résultats obtenus avec deux ailes Farman. Pour les angles d’aviation, le centre de poussée s’éloigne du bord d’attaque à mesure que l’inclinaison diminue.

L. HARTMANN. 2013 Distribution des déformations dans les métaux soumis à des efforts. Cas du plissement. - P. 584.

Etude au cinématographe.

Un tube cylindrique, aplati dans le sens de sa longueur, se trans-

forme en assises normales àl’axe, sensiblement identiques et dont cha-

cune se compose de quatre segments. Avec des tubes à section ellipti-

(4)

310

que, on a des plissements dont les plus accentués correspondent au plus grand rayon de courbure. Un cylindre creux donne des plissements

circulaires équidistants ; un tube rempli de liquide donne aussi des bourrelets. La compression en long des tubes à section carrée fournit

sur les faces parallèles des saillants et des rentrants se succédant à intervalles égaux, et correspondant respectivement à des rentrants

et des saillants des deux autres faces.

Dans le cas des calottes sphériques, la déformation de la calotte s’arrête pour un raccourcissement donné, et l’aplatissement continue

par un plissement de la partie inférieure.

MARCELIN. - Évaporation des liquides

assez

fortement surchauffés

en

présence de leur vapeur. - P. 587.

La vitesse d’évaporation est une fonction très sensiblement linéaire de la température du bain; elle diminue lorsque l’épaisseur des parois augmente.

De plus, il résulte de l’étude faite qu’on ne peut espérer mesurer

les vitesses vraies d’évaporation (et de sublimation) qu’en se plaçant

dans des conditions où elles sont relativement lentes.

i

M. GUÉRIZ’OT. - Essai d’une méthode qui permet de déduire le rapport des

chaleurs spécifiques des gaz de

mesures

de volumes. - P. 589.

L’appareil utilisé est tel que JiP1 == ~P2.

Alors

Dessin de cet appareil, rappelant celui de 1B1. Maneuvrier.

Application à l’air et àC02:

(5)

G. CHARPY et S. BONNEROT. - Sur la perméabilité du fer pour l’hydrogène.

P. 593.

A 850°, la vitesse de passage est à peu près 40 fois plus grande qu’à 325°.

L’osmose se produit à froid avec le fer et l’acier et paraît nulle

avec le cuivre, mais l’H doit être dégagé sur le métal. La pression

intérieure qui limite cette osmose est supérieure à 14 atmosphères.

Il y a probablement formation d’une solution d’Il dans le fer.

P. LANGEVIN. 2013 Sur la comparaison des molécules gazeuse et dissoute.

-

P. 594.

Réponse à M. Colson (1).

C. Électrisation par la pluie d’une antenne de T. S. F.

-

P. 625.

-

Observation faite à l’observatoire de Fourvières, à Lyon.

EMILE BELOT. - Sur la formation des cirques lunaires

avec

reproduction expérimentale. - P. 638.

L’auteur y donne un rôle prépondérant à l’eau. A la surface des tourbillons cellulaires, les courants sont convergents vers les som-

mets ternaires du réseau. Les scories surnageant s’accumulent à

ces sommets relativement froids et les vapeurs se condensent en ces

points augmentant la densité de la croûte. Les sommets s’enfonçant

deviendront le centre d’un lac. Mais, si l’eau s’échappe d’un lac

lunaire par voie souterraine, il se formera des volcans autour du

cirque, la cuvette remontera, les cirques présenteront des gradins.

Expériences avec de la paraffine sur laquelle on dépose de l’eau.

Photographies.

PAPIN et ROU1LLY. 2013 Sur le gyroptère.

-

P. 644 et 688.

_

Cet appareil est un hélicoptère, à hélice unique, dans lequel le point d’appui indispensable à la formation d’un couple moteur est emprunté

(1) C. R., t. CLIV, p. 2 i6 et 428.

(6)

312

à l’air ambiant, grâce à l’emploi de jets d’air comprimé fournis par

l’appareil moteur, jets qui actionnent l’hélice.

L’hélice ressemble à la feuille porte-graine du sycomore et trouve

son équilibre autour d’un centre de giration sensiblement invariable

aux divers régimes de vitesse.

C’est en ce centre qu’est logée la nacelle. En cas d’arrêt, l’appareil

se place d’une façon telle que la chute soit ralentie.

A. Recherche de très faibles quantités de matière

par voie électrométrique directe.

-

P. 645.

On verse quelques gouttes d’une solution de bichromate de

potassium dans un vase contenant une solution d’acide sulfurique

et communiquant avec un deuxième vase contenant la même solution

acide. Deux électrodes de platine, plongeant dans chacun d’eux et reliées aux bornes d’un électromètre capillaire, indiquent une force

électromotrice. Cette mesure permet de déterminer de petites quan- tités de matière.

PIERRR ACHALlBIE. - Du rôle des électrons interatomiques dans l’électrolyse.

P. 647.

Exemples montrant que l’on observe des réactions représentant au pôle négatif un accroissement, et au pôle positif une diminution des liaisons entre les atomes, conformément à l’hypothèse des électrons

interatomiques.

Quand une molécule gazeuse est dissociée, les électrons accom-

pagnent l’un des fragments qu’ils chargent négativement, et le

second fragment possédant alors peu d’électrons acquiert une charge positive.

GEORGES BAUME et NEopTOLÈME GEORGITSES. - Courbes de fusibilité de quel-

ques systèmes binaires volatils à de très hautes températures. - P. 650.

Etude des systèmes HCI-H-S, HCI-C2H", HCI-C2I15C02H.

La forme du diagramme HCI_H2S caractérise l’existence de solu- tions solides; celle du diagramme indique la forma-

tion du composé MCI + C2Ht>C02Il.

(7)

À. FAUCON. - Sur le pouvoir rotatoire du camphre dissous dans CCI4.

-

P. 6:~2.

On trouve :

Pouvoir rotatoire à 1p° :

c et q, nombre de grammes de camphre ou de CCF dans 100 gram-

mes de solution.

Le pouvoir rotatoire augmente avec la température et cette varia-

tion est plus grande pour les solutions concentrées. L’augmentation

est également plus grande aux environs de 12° qu’aux environs de

40".

SAMUEL LIFCHITZ. - L’écartement des particules dans le mouvement brownien.

Le choc explosif de l’étincelle est la

cause

du phénomène. - P. 689.

Expériences montrant que le phénomène d’écartement dépend,

non de la décharge oscillante de l’étincelle, mais du premier choc explosif de cette dernière. L’énergie d’écartement de l’étincelle devient d’autant plus grande que la capacité et la longueur sont plus grandes et la self plus petite.

CH. FÉRY. - Nouveau calorimètre thermo-électrique à combustions P. 69~ .

La bombe est placée au centre d’une enceinte métallique qui l’enveloppe par deux disques de constantan; il n’y a pas d’eau. La bombe constitue la soudure chaude d’un couple dont l’enceinte est la soudure froide. Les pertes de chaleur par convection et rayonne- ment sont très faibles ; celles par conductibilité sont proportion-

nelles à la quantité de chaleur à mesurer et ne changent pas les

rapports des déviations au millivoltmètre fournies par les divers

combustibles.

(8)

314

JEAN ESCARD. 2013 Sur des dispositifs pratiques pour la détermination de la densité des corps solides de faible volume. 2013 P. 693.

Description des densivolumètres, utilisables pour des corps de volumes de 1 à 3 centimètres cubes. Une ampoule A munie d’un tube

latéral de petit diamètre et sur lequel est marqué un trait de repère t communique avec un tube de verre B gradué par vingtièmes

de centimètre cube. A et B sont remplis d’eau respectivement jus- qu’au repère t et jusqu’au zéro de la division de B. On met le corps dans A. On ramène l’eau au repère t et on lit le nombre de divisions de B qu’occupera l’eau.

P.-TH. MULLER et E. CARRIÈRE. 2013 Sur la réfraction et la dispersion des azotates de

mercure. -

P. 695.

La réfraction de l’atome de mercure bivalent est notablement plus grande dans les composés organo-métalliques que dans l’azotate

mercurique. La réfraction et la dispersion de l’atome de mercure

dans le complexe Hg2 (azotate mercureux) dépassent de beaucoup

les propriétés correspondantes du même atome à l’état d’ion simple (azotate mercurique).

J. MEUNIER. - Sur quelques phénomènes mécaniques de combustion gazeuse.

Flamme spirale.

-

P. 698.

La nappe d’allumage d’une flamme attire à distance l’air combu- rant qui l’entoure. Approchons en effet une petite flamme de la flamme plate d’un bec papillon. Dans le bas de la nappe d’allumage,

à quelques millimètres au-dessus du bec, la petite nomme est vive-

ment attirée; elle devient de plus en plus oblique quand on s’élève,

et ne se réunit à la flamme du papillon que latéralement en face de la partie blanclie. Il y a donc attraction de l’air comburant. Si on

augmente la longueur de la flamme scrutatrice, elle se tord et s’étale

en dessinant une surface hélicoïdale. La combustion des gaz peut

donc fournir automatiquement des spirales lumineuses, et ce phéno-

mène se produit peut-être dans les milieux cosmiques.

(9)

FLAJOLET. - Contribution à l’application de la T. S. F. à l’étude et à l’annonce des orages. - P. 729.

Le détecteur est constitué, à Lyon, par du sulfure de plomb avec

excès de soufre serré dans une pince métallique formant l’une des

prises de contact, l’autre étant constituée par des brins de fils de cuivre portés par un ressort. Le circuit partant du détecteur com-

prend un galvanomètre, d’où l’enregistrement photographique. Dès qu’une manifestation orageuse est à 500 kilomètres, elle se trouve enregistrée.

A. BALDIT. - Sur les charges électriques de la pluie

au

P. 731.

Dans les pluies non orageuses, c’est l’électricité positive qui

domine. Les pluies négatives renferment en moyenne, par centi- mètre cube d’eau, des charges plus grandes que les pluies posi- tives ; la plus forte charge par centimètre cube observée a été de

-

43 U. E. S..

J. BOUSSINESQ. - Comment peut s’expliquer l’exercice instantané,

ou sans

propagation successive, de la pesanteur et des actions moléculaires, à toutes les distances où

se

produisent

ces

forces autour des points matériels d’où

elles émanent. - P. 737.

Théorie philosophique.

CH.-ED. C-UILLÀUME. - Sur la dilatabilité du nickel commercial. - P. 748.

Elle a nettement diminué depuis vingt ans.

ÉMILE BELOT. - Sur la formation des

anneaux

dans la nébuleuse de Laplace.

~

P. 152.

,

Théorie conduisant à la proposition suivante :

«

La matière d’une nébuleuse en voie de condensation qui est

traversée par une radiation centrale obéit d’abord aux forces répul-

sives avant d’obéir à l’attraction.

»

Si les particules repoussées sont

dans le milieu résistant d’une nébuleuse, celle-ci diminue leur vitesse

radiale, et, en fournissant des matériaux qui augmentent le dia-

(10)

316

mètre des particules, fait peu à peu prédominer l’attraction sur la

répulsion.

Louis ROY. - Les ondes de choc dans le mouvement des membranes flexibles.

P. 759.

Théorie mathématique.

CHARLES REIGNIEH. - Sur les temps de démarrage des moteurs à volant.

P. 761.

Le démarrage d’un moteur, depuis la vitesse nulle jusqu’à la

vitesse de régime normal, se fait dans un temps 0j qui ne doit pas être inférieur à un minimum donné dans chaque cas sans danger de

bris des bras du volant ou de l’arbre moteur. Dans l’hypothèse d’une

courbe de mise en route affectant la forme d’une demi-sinusoïde

simple, les bras du volant supportent une tension maxima, au bout d’un temps

r

0.

GEORGES MESLIN. - Sur les franges d’interférence obtenues

avec

le triprisme

de Fresnel.

-

P. 764.

Une fente donne avec les demi-lentilles ou le biprisme deux images au delà desquelles on place le triprisme. On a alors dans le

champ la superposition de divers systèmes de franges. En lumière

naturelle ou polarisée ou analysée, on a deux groupes de franges

latérales dont la position est indépendante du déplacement transver-

sal du triprisme. En lumière polarisée et analysée, on a en plus deux systèmes de franges, que le déplacement transversal du triprisme

entraîne en sens contraire l’une de l’autre, et en outre deux groupes de franges larges tels que le mouvement du prisme les entraîne

dans le même sens.

G.-A. HEMSALECII. - L’influence de la capacité, de la self-induction et de la dis- tance explosive

sur

la vitesse de proj ection des vapeurs lumineuses dans l’étin- celle électrique.

-

P. 767.

Expériences montrant que la vitesse de la vapeur lumineuse ne

change pas sensiblement avec la capacité; mais elle varie en raison

(11)

inverse de la self du circuit de décharge et en raison directe de la distance explosive.

P. MESERN’ITShY. - Contribution a l’étude de la décomposition de l’acide urique par l’action de l’émanation du radium. - P. 110.

L’émanation du radium (rayons x) décompose le mono-urate de sodium (formation de NH3). 39 milligrammes de mono-urate se

décomposent complètement après douze jours sous l’action de 50 mil-

licuiies d’émanation.

CAMILLE MATIGNON. - Equilibre du système sulfate de cadmium gaz chlorhydrique. - P. ’Ii2.

3,5 SO ~Cd + 2HC1 = 2,5 SO’CD + CdC12

à la pression atmosphérique. A i21°, la pression de dissociation du

système est égale à la pression atmosphérique. Ce système vérifie

la loi de Le Chatelier-Matignon :

.

T, température absolue pour laquelle la pression de dissociation

égale la pression atmosphérique ; Q, chaleur de combinaison rela- tive à la quantité de matière mettant en liberté une molécule gazeuse.

F.

DE

MONTESSUS

DE

BALLORE. - Sur les phénomènes lumineux particuliers qui accompagneraient les grands tremblements de terre.

-

P. 189.

Il est probable qu’aucun phénomène lumineux particulier n’ac-

compagne les tremblements de terre.

G. BolZARD.

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