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D´epartement des sciences ´economiques Ecole des sciences de la gestion ´ Universit´e du Qu´ebec `a Montr´eal

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(1)

ECO 4272: Introduction `a l’ ´ Econom´etrie Examen final : r´eponses

Steve Ambler

D´epartement des sciences ´economiques Ecole des sciences de la gestion ´ Universit´e du Qu´ebec `a Montr´eal

c 2013, Steve Ambler Hiver 2013

1 R´eponses courtes (15 points)

1. LeR2 doit augmenter ou au moins non diminuer. Si on compare les fonc- tions `a minimiser avec et sans la variable additionnelle, on constate que la fonction `a minimiser sans la variable additionnelle est identique au probl`eme de minimiser la fonction avec la variable additionnelle mais avec une contrainte additionnelle. La solution au probl`eme avec une contrainte additionnelle doit ˆetre au moins aussi ´elev´ee, et donc le R2 sera inf´erieur sinon stricte- ment inf´erieur.

2. Pour calculer la statistique F pour effectuer le test d’hypoth`eses jointes, il faut utiliser la matrice variance-covariance de β. Si on n’a pas acc`es `ab la matrice variance-covariance compl`ete des param`etres estim´es (souvent le cas dans le cas d’´etudes publi´ees), la seule possibilit´e est de faire une suite de teststdes hypoth`eses individuelles. Il faut utiliser la m´ethodologie d´evelopp´ee par Bonferroni. L’in´egalit´e de Bonferroni dit que la probabi- lit´e qu’au moins une des hypoth`eses simples est rejet´ee est inf´erieure `a la somme des probabilit´es que les deux hypoth`eses sont rejet´ees. (Il ne fallait pas d´efinir l’in´egalit´e de Bonferroni pour avoir tous les points.)

(2)

3. Le deuxi`eme mod`ele est l’´equivalent au premier en imposant la contrainte β3 = 1 +β1. En imposant cette contrainte, nous obtenons

Yi01X1i2X2i+ (1 +β1)X3i+ui. Maintenant, si on soustraitX3ides deux cˆot´es on obtient

(Yi−X3i) = β01(X1i+X3i) +β2X2i+ ˜ui.

Donc, le deuxi`eme mod`ele est une version contrainte du premier. Il a seule- ment 3 param`etres libres, tandis que le premier en a 4. LaSSRdu deuxi`eme mod`ele doit ˆetre au moins aussi ´elev´e. Dans la mesure o`u la contrainte est mordante, les estim´es des param`etresβ01 estβ2seront diff´erents.

2 Propri´et´es d’estimateurs (20 points)

1. Le mod`ele peut s’´ecrire

Y =Xβ+U.

Ici, Y est le vecteur de dimensions n × 1 d’observations sur la variable d´ependante,X est la matrice de dimensionsn×k+ 1o`u chaque colonne contient les n observations sur une variable explicative individuelle, et U est le vecteur de dimensionsn×1de termes d’erreur. Nous avons

Y0 =

Y1 , Y2 , . . . , Yn , β0 =

β0 , β1 , . . . , βk , U0 =

U1 , U2 , . . . , Un ,

X =

1 X11 X21 X31 . . . Xk1 1 X12 X22 X32 . . . Xk2 ... ... ... ... ... ... 1 X1n X2n X3n . . . Xkn

 .

2. Le probl`eme de minimisation peut s’´ecrire min

β01,...,βk

n

X

i=1

(Yi−β0−β1X1i−β2X2i−. . .−βkXki)2.

(3)

3. Les variables de choix du probl`eme sontβ01,. . .,βk. 4. La CPO par rapport `aβ0 est

−2

n

X

i=1

(Yi−β0−β1X1i−β2X2i−. . .−βkXki) = 0.

On peut r´e´ecrire cette ´egalit´e comme β0

n

X

i=1

=

n

X

i=1

Yi−β1

n

X

i=1

Xi1−β2

n

X

i=1

X2i−. . .−βk

n

X

i=1

Xki

⇒nβ0 =

n

X

i=1

Yi−β1

n

X

i=1

Xi1−β2

n

X

i=1

X2i−. . .−βk

n

X

i=1

Xki

⇒β0 = 1 n

n

X

i=1

Yi−β11 n

n

X

i=1

Xi1−β21 n

n

X

i=1

X2i−. . .−βk1 n

n

X

i=1

Xki

⇒βb0 = ¯Y −βb11−. . .−βbkk, ce qui fut `a montrer.

5. Nous avons

n

X

i=1

X Y¯ i−Y¯

= ¯X

n

X

i=1

Yi−Y¯

= ¯X n1 n

n

X

i=1

Yi−nY¯

!

= ¯X nY¯ −nY¯

= 0.

Donc nous avons

n

X

i=1

Xi Yi−Y¯

=

n

X

i=1

Xi Yi−Y¯

n

X

i=1

X Y¯ i−Y¯

=

n

X

i=1

Xi−X¯

Yi−Y¯ , ce qui fut `a montrer.

(4)

6. Dans ce cas, la CPO par rapport `aβ1est

−2

n

X

i=1

X1i(Yi−β0−β1X1i) = 0.

n

X

i=1

X1i(Yi−β0−β1X1i) = 0.

Substituant la solution que nous avons d´ej`a trouv´ee pourβb0, nous avons

n

X

i=1

X1i Yi−Y¯ +β11−β1X1i

= 0

n

X

i=1

X1i Yi−Y¯

1

n

X

i=1

X1i X1i−X¯1

n

X

i=1

X1i−X¯1

Yi−Y¯

1

n

X

i=1

X1i−X¯1

X1i−X¯1

⇒βb1 = Pn

i=1 X1i−X¯1

Yi−Y¯ Pn

i=1 X1i−X¯12 ,

ce qui fut `a montrer. Pour passer `a l’avant-derni`ere ligne, nous avons utilis´e le r´esultat de la sous-question pr´ec´edente.

3 Mod`ele de r´egression multiple (45 points)

1. L’´ecart type de la r´egression est donn´e par r SSR

n−k−1 =

r 645.26 872−5−1. 2. Nous avons

(a) Significativit´e deβb0:

H00 = 0, H10 6= 0.

tact=

βˆ0−0 ˆ σβˆ

0

= 4.53 0.571.

(5)

(b) Significativit´e deβb1:

H01 = 0, H11 6= 0.

tact=

βˆ1−0 ˆ σβˆ

1

= −1.439 0.466 . (c) Significativit´e deβb2:

H02 = 0, H12 6= 0.

tact=

βˆ2−0 ˆ σβˆ2

= 0.341 0.120. (d) Significativit´e deβb3:

H03 = 0, H13 6= 0.

tact=

βˆ3−0 ˆ σβˆ3

= 0.937 0.102. (e) Significativit´e deβb4:

H04 = 0, H14 6= 0.

tact=

βˆ4−0 ˆ σβˆ4

= 0.198 0.132. (f) Significativit´e deβb5:

H05 = 0, H15 6= 0.

tact= βˆ5−0 ˆ σβˆ5

= 0.288 9.194. 3. Regardant les six tests, nous avons

(a) Significativit´e deβb0: La valeur calcul´ee de la statistique est sup´erieure

`a 7 en valeur absolue. Donc, la p-value du test est inf´erieure `a 1%.

Nous rejetons l’hypoth`ese nulle `a tous les niveaux conventionnels.

(6)

(b) Significativit´e deβb1: La valeur calcul´ee de la statistique est sup´erieure

`a 3 en valeur absolue. Donc, la p-value du test est inf´erieure `a 1%.

Nous rejetons l’hypoth`ese nulle `a tous les niveaux conventionnels.

(c) Significativit´e deβb2: La valeur calcul´ee de la statistique est sup´erieure

`a 2.6 en valeur absolue. Donc, lap-value du test est inf´erieure `a 1%.

Nous rejetons l’hypoth`ese nulle `a tous les niveaux conventionnels. (Ce cas est le seul cas qui implique une connaisance pr´ecise de la valeur de z pour laquelleΦ (z) = 0.005. J’ai interpr´et´e la r´eponse `a cette partie de fac¸on g´en´ereuse.)

(d) Significativit´e deβb3: La valeur calcul´ee de la statistique est sup´erieure

`a 9 en valeur absolue. Donc, la p-value du test est inf´erieure `a 1%.

Nous rejetons l’hypoth`ese nulle `a tous les niveaux conventionnels.

(e) Significativit´e deβb4 : La valeur calcul´ee de la statistique est approxi- mativement ´egale `a 1.5. Nous pouvons rejeter l’hypoth`ese nulle `a un niveau de 10% mais non `a 5%.

(f) Significativit´e de βb5 : La valeur absolue calcul´ee de la statistique est inf´erieure `a 0.1. `A tous les niveaux de significativit´e convinetionnels, nous ne pouvons rejeter l’hypoth`ese nulle.

4. L’hypoth`ese nulle qui est test´ee est que tous les coefficients du mod`ele `a partβ0 sont ´egaux `a z´ero.

H012345 = 0.

L’hypoth`ese alternative qui est test´ee est :

H1 :∃i, i= 1,2, . . . ,5tel queβi 6= 0.

Il est tr`es important de comprendre ceci. L’hypoth`ese nulle est que tous les coefficients saufβ0 sont ´egaux `a z´ero. Si l’hypoth`ese nulle ne tient pas, cela impliquequ’au moins undes coefficients n’est pas ´egal `a z´ero. Il ne fallait surtout pas ´ecrire que l’hypoth`ese alternative est que tous les coefficients `a partβ0 ne sont pas ´egaux `a z´ero.

5. Sous forme matricielle, l’hypoth`ese nulle est

0 1 0 0 0 0 0 0 1 0 0 0 0 0 0 1 0 0 0 0 0 0 1 0 0 0 0 0 0 1

 β0 β1 β2 β3 β4 β5

=

 0 0 0 0 0

 .

(7)

6. L’hypoth`ese nulle est

H03 = 1.

Puisque la variable d´ependante et la valeur totale des ventes sont toutes les deux mesur´ees en logs, le param`etreβ3qui est ´egal `a∂X∂Y

3 est l’´elasticit´e de la valeur du caf´e vendue par rapport `a la valeur des ventes totales. L’hypoth`ese alternative est

H13 6= 1.

La statistiquetpour tester cette hypoth`ese peut s’´ecrire tact = βb3−1

ˆ σβb

3

= 0.937−1.0 0.102 , et on a

|tact|<1, doncH0 n’est pas rejet´ee.

7. Oui. Si on impose la contrainteβ3 = 1nous obtenons le mod`ele suivant : (Yi−X3i) =β01X1i2X2i4X4i5X5i+ui.

En d´efinissant une nouvelle variable d´ependante, nous pouvons facilement estimer la version contrainte du mod`ele. Pour que cette d´emarche soit va- lide, il faut supposer que le terme d’erreur du mod`ele est homosc´edastique.

8. L’hypoth`ese nulle (jointe) est

H045 = 0.

L’hypoth`ese alternative est

H14 6= 0 et/ouβ5 6= 0.

Sous forme matricielle :

0 0 0 0 1 0 0 0 0 0 0 1

 β0 β1 β2 β3 β4 β5

=

 0 0 0 0 0

 ,

(8)

qui est de la forme Rβ = r. La statistique F peut s’ecrire `a l’aide de

Rβb−r

et la matrice variance-covariance de l’estim´e β. Il ne fallait pasb l’´ecrire pour avoir tous les points, mais la voici :

Fact =

Rβb−r0h R

Σb

βb

R0i−1

Rβb−r /q, o`uq= 2, le nombre de restrictions test´e.

9. Il faut estimer le mod`ele

Yi01X1i2X2i3X3i+ ˜ui.

Ensuite, il faut construire la statistique F utilisant soit les R2 des deux mod`eles, soit les SSR des deux mod`eles. Les formules sont disponibles

`a la page 70 des notes de cours. Il ne fallait pas les ´ecrire pour avoir tous les points.

10. Il faut supposer un terme d’erreur homosc´edastique.

11. Individuellement, les deux coefficients sont non significatifs. (β4 est signi- ficatif `a un niveau de 10% seulement.) Chaque fois qu’il y a un bloc de coefficients qui est significatif tandis que les coefficients individuels ne le sont pas, il faut soupc¸onner la multicollin´earit´e. C’est probablement dˆu au fait que les deux variables sont fortement corr´el´ees. Il s’agit d’un probl`eme de multicollin´earit´e imparfaite. La multicollin´earit´e peut rendre impossible (avec les donn´ees qu’on a) de distinguer entre l’impact individuel de cha- cune d’un groupe de variables, mˆeme si le groupe a un impact significatif.

12. Pour construire l’intervalle de confiance, il faut utiliser la valeur estim´ee du coefficient et son ´ecart type. Nous avons

β2 =βb2±z×σˆβb

2

o`u z > 0et 0.025 = Φ (−z), la fonction Φ (·) ´etant la la normale centr´ee r´eduite cumul´ee.

13. Il prendrait la forme d’une ellipse.

4 Mod`eles de r´egression non lin´eaires (20 points)

1. Ce n’est pas non lin´eaire dans les param`etres. Dans tous les cas, nous avons

∂Yi

∂βi

(9)

n’est pas une fonction des param`etres.

2. Nous avons

Yb2 =βb0 +βb1X12+βb2X122 +βb3X12X21 et nous avons

Yb1 =βb0+βb1X11+βb2X112 +βb3X11X21. Donc nous avons

∆Yb =Yb2−Yb1

=βb1∆X1 +βb2 X122 −X112

+βb3X21∆X1. Utilisant l’approximation fournie dans l’´enonc´e, nous avons

∆Yb =βb1∆X1+βb22X11∆X1+βb3X21∆X1. 3. Nous avons

∆Yb = ∆X1δ0β.ˆ o`u

δ0 =

0 1 2X11 X21 4. Nous avons

Var

∆Yb

=Var

∆X1δ0βˆ

= (∆X1)2Var

δ0βˆ

= (∆X1)2Var δ0

βˆ−β

= (∆X1)2E

δ0

βˆ−β2

= (∆X1)2E

δ0

βˆ−β βˆ−β0

δ

= (∆X1)2δ0E

βˆ−β βˆ−β 0

δ

= (∆X1)2δ0Σb

βbδ, ce qui fut `a montrer.

(10)

5. L’intervalle de confiance de 95% est donn´e par

∆Y = ∆Yb ±z r

Var

∆Yb o`uz >0tel que0.025 = Φ (−z).

6. Le mod`ele ´equivalent peut s’´ecrire

Yi0+ (β122X113X21)X1i2 X2i2−2X11X1i

3(X1iX2i−X21X1i) +ui.

Chaque fois que nous avons ajout´e un terme nous l’avons soustrait, et donc le mod`ele est ´equivalent au mod`ele initial. Le coefficient associ´e `a X1i est la combinaison lin´eaire dont nous avons besoin pour calculer l’´ecart type n´ecessaire pour calculer l’intervalle de confiance.

5 Variables instrumentales (20 points en bonus)

1. Le nombre de rang´ees dansZ(qui pr´e-multiplie l’expression qui d´efinitX)b est n. Le nombre de colonnes dans X (qui post-multiplie l’expression qui d´efinitX) estb (k+ 1). Donc,Xbest de dimensionsnpar(k+ 1). Le nombre de rang´ees dansZ0 (qui pr´e-multiplie l’expression qui d´efinitbγ) est(k2+ 1) Le nombre de colonnes dansX (qui post-multiplie l’expression qui d´efinit bγ) est(k+ 1). Doncbγ est de dimensions(k2+ 1)par(k+ 1).

2. L’estimateur MCO s’´ecrit de la fac¸on habituelle (en fonction deX) :b βbV I =

Xb0Xb−1

Xb0Y

=

Z(Z0Z)−1Z0X0

Z(Z0Z)−1Z0X−1

Z(Z0Z)−1Z0X0

Y

=

X0Z(Z0Z)−1Z0Z(Z0Z)−1Z0X−1

X0Z(Z0Z)−1Z0Y

=

X0Z(Z0Z)−1Z0X−1

X0Z(Z0Z)−1Z0(Xβ+U)

=

X0Z(Z0Z)−1Z0X−1

X0Z(Z0Z)−1Z0X β

(11)

+

X0Z(Z0Z)−1Z0X−1

X0Z(Z0Z)−1Z0U

=β+

X0Z(Z0Z)−1Z0X−1

X0Z(Z0Z)−1Z0U ce qui fut `a montrer.

3. Il faut diviser et multiplier plusiers fois parn. Nous avons

βbV I =β+ X0Z n

Z0Z n

−1 Z0X

n

!−1

X0Z n

Z0Z n

−1 Z0U

n . On peut facilement v´erifier qu’on a divis´e par n le mˆeme nombre de fois qu’on a multipli´e parn. On peut supposer que toutes les matrices de deuxi`eme moments bruts convergent `a leurs esp´erances dans la population, ou au moins `a des matrices des constantes finies. Par exemple, on peut supposer que

X0Z n

p

→E

X0Z n

. Maintenant, puisque l’´enonc´e nous donne que

Z0U n

p

→Cov(U, Z) = 0, nous avons tout de suite par le th´eor`eme de Slutsky

βbV I −→p β+ E X0Z

n E

Z0Z n

−1

E

Z0X n

!−1

E X0Z

n E

Z0Z n

−1

Cov(U, Z)

⇒βbV I −→p β, ce qui fut `a montrer.

document cr´e´e le : 20/04/2013

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