• Aucun résultat trouvé

Jeudi 10 Mars 1892

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Jeudi 10 Mars 1892 "

Copied!
4
0
0

Texte intégral

(1)

Les consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal.

Sixième année. — N° 21

P r i x du n u m é r o 1 0 c e n t i m e s

Jeudi 10 Mars 1892

B u r e a u x : R u e N e u v e , 1 9

UQ an : Six mois :

Suisse . . . 6 fr. 3 fr.

Union postale . 12 » 6 »

On s'abonne a tous les bureaux de poste

Provenant de la Suisse . . 20 et. la ligne

» de l'étranger. . 25 » 9 Minimum d'une annonce SO centimes

Paraissant le mercredi et le samedi, à Bienne

Les annonces se paient d

.

avance

Organe de la Société i n t e r e a n t o n a l e des i n d u s t r i e s «IBJ J u r a , des C h a m b r e s de c o m m e r c e , des B u r e a u x de contrôle et des Syndicats i n d u s t r i e l s .

Syndicat des fabricants d'horlogerie

Assemblée générale ordinaire dimanche le 13 mars 1892, â 3 heures de l'après-midi, au Bielerhof, à Bienne.

Ordre du jour

! . R a p p o r t â t comptes de l'exercice 1891.

2. Syndicat des fabriques d'ébauches.

3. Caisse de prêts sur marchandises.

4. Exposition de Chicago.

5. Fixation des cotisations pour l'année 1892.

6. Nomination du président et des mem- bres de la chambre syndicale.

7. Divers.

Les membres de la chambre syndicale sont convoqués pour deux heures de l'après-midi, le même jour, dans le même local.

Ce n'est pas sans une certaine anxiété que la Chambre syndicale des fabricants d'horlogerie des cantons de Berne et de Soleure voit venir l'assemblée générale à laquelle sont convoqués les membres du syndicat. Le mauvais état des affaires, qui dure depuis bientôt dix-huit mois, sans que des indices bien précis autori- sent à espérer un changement notable dans un délai rapproché, a amené, chez les fabricants d'horlogerie, un certain dé- couragement qui s'est traduit par une très faible participation aux dernières as- semblées générales ce qui enlève, par une conséquence toute naturelle, à ceux qui dirigent le syndicat l'appui dont ils ont besoin pour accomplir leur tache.

On a l'habitude de trop demander aux organisations professionnelles, on vou- drait qu'elles eussent le pouvoir de con- jurer les crises, tout au moins d'en di- minuer les mauvais effets. On devrait pourtant savoir que les causes des crises sont, pour la plupart, bien loin de nous et, par conséquent, hors de notre portée et de notre action. On ne veut pas com- prendre non plus que la force du nom- bre est absolument nécessaire à l'obten-

tion de résultats complets et que, dans le domaine économique, plus encore que dans le domaine politique, le rôle des pe- tites minorités ne peut guère s'étendre au-delà d'une sphère d'activité et d'action forcément restreinte.

Or, que voyons-nous dans les cantons de Berne et de Soleure? Sur près de six cents fabricants d'horlogerie, cent cin- quante à peine, soit moins du quart, font- partie du syndicat. Dès lors, rien d'éton- nant à ce que maintes décisions impor- tantes ne puissent être suivies d'effet. Et pourtant, malgré ce faible effectif, le syn- dicat a, à son actif, de quoi justifier son utilité et la nécessité de la continuation de son action.

Faut-il parler de Ia campagne menée lors de la dissolution du syndicat des fa- briques d'ébauches. Nous aimerions mieux ne pas avoir à y revenir, tant il est pénible de rappeler cette période de luttes intestines, entre deux des éléments importants de notre industrie. Et pour- tant, jamais l'existence d'associations de fabricants d'horlogerie n'a été mieux jus- tifiée que dans cette période-là, et tout fabricant de bonne foi reconnaîtra que sans l'intervention commune de la So- ciété des fabricants d'horlogerie de la Chaux-de-Fonds et du Syndicat des can- tons de Berne et de Soleure, les droits et les intérêts des fabricants n'auraient pu être sauvegardés comme ils l'ont été. Les mille fabricants d'horlogerie adhé- rents au syndicat des ébauches ont béné- ficié des efforts couronnés de succès des deux associations sus-désignées.

On pouvait croire qu'après celte dé- monstration de l'utilité du rôle des syn- dicats, aucun des fabricants dont les in- térêts avaient été défendus avec la réus- site que l'on sait n'aurait voulu se tenir à l'écart des groupements et que, mû par un sentiment de reconnaissance et d'in-

térêt, tous auraient considéré comme un devoir et comme un acte de prévoyance de faire leur part d'efforts et de sacrifi- ces. C'est ce que la chambre syndicale ne se permettait pas de mettre en doute.

Aussi saisissait-elle celte occasion de faire une propagande bien légitime au- près des fabricants qui étaient demeurés à l'écart du syndicat, en les invitant cha- leureusement à f^ënlrer. Peine perdue;

sur plus de quatre cents fabricants aux- quels une circulaire était adressée, qua- tre seulement répondaient par une de- mande d'entrée dans le syndicat.

En présence d'un résultat aussi décou- rageant, en face de ce féroce égoïsme de gens qui veulent bien profiter des avan- tages que leur a procurés le syndicat, mais qui ne veulent pas accepter leur petite part des charges de l'association, on se demande si le mieux ne serait pas de tout laisser crouler et d'attendre, pour recommencer une vie active, que l'événe- ment se charge de prouver aux égoïstes et aux récalcitrants qu'il n'est plus pos- sible de laisser aux seuls efforts indivi- duels la mission de sauvegarder les inté- rêts collectifs de l'ensemble.

La chambre syndicale n'était pas éloignée de s'arrêter à celte regrettable extrémité, persuadée qu'il ne s'écoulerait pas beau- coup de temps sans qu'une circonstance commerciale ou industrielle n'obligeât de prendre des mesures d'ensemble. Mais, toute réflexion faite, elle a envisagé que son mandai n'est pas de provoquer une dissolution, même dans le but de rendre plus évidente la nécessité du syndicat et, qu'au contraire, son devoir est de pour- suivre jusqu'au bout le mandat qu'elle tient de la confiance de ses collègues.

L'assemblée du 13 courant marquera

donc une date importante dans l'exis-

tence du syndicat ; il appartient aux fa-

bricants d'horlogerie membres de l'asso-

(2)

• _ -

86 LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE dation de témoigner, par leur présence,

qu'ils comprennent l'utilité d'être groupés dans un but commun de défense de leurs intérêts et de leurs droits. Qu'ils viennent nombreux à l'assemblée de di- manche prochain.

La Chambre syndicale.

T r a i t é s de commerce

La note suisse ayant été samedi seulement remise par M. Bavier au gouvernement ita- lien, il est peu probable que les négociations de Zurich puissent reprendre dans la quin- zaine. Le ministère italien, qui ne l'a pas

encore examinée, doit auparavant se mettre d'accord avec le Conseil fédéral sur les bases nouvelles. Or, le Conseil fédéral ne peut encore savoir quel accueil sera fait à ses contre-propositions. Tant qu'on n'est pas d'accord sur le principe même des conces- sions, les négociations continueront par télé- graphe et les conférences ne pourront avoir lieu qu'après, ce qui n'est pas imminent.

— Le Messagère publie un article entière- ment favorable au traité italo-suisse. Il dit qu'une rupture frapperait surtout les pro- duits de la petite propriété agricole déjà si atteinte.. La Suisse aurait moins à souffrir que l'Italie d'une rupture, qui favoriserait l'extension de la contrebande. Le gouverne- ment ne voudra pas prendre la responsabilité de porter un coup à la production agricole italienne en lui fermant le marché suisse.

— Les renseignements pour le traité italo- suisse continuent à être favorables.

— Le départ des délégués italiens pour Zurich est ajourné. M. Di Rudini a insisté pour que les négociations continuent par voie diplomatique jusqu'à ce que tous les obsta- cles aient été aplanis. La réunion des délé- gués à Zurich aura lieu seulement quand la conclusion du traité sera absolument cer- taine. Craignant le renouvellement des désa- gréables malentendus qui se sont produits à propos du traité avec l'Allemagne, M. Di Ru- dini n'entend pas précipiter la conclusion et veut que les clauses du nouveau traité soient bien nettement définies.

A l l e m a g n e

Moyens de faciliter l'expansion du commerce · le placement des employés dans les maisons de commerce.

Les Allemands sont en train, depuis un certain nombre d'années, de passer maîtres en matière commerciale. Leur énergie, leur patience, leur activité et leur esprit d'entre- prise sont prodigieux et, du pas dont ils vont, ils auront tôt fait, sinon de se subsistuer complètement, du moins de faire une con- currence redoutable, sur les grands marchés du monde, aux nations qui revendiquaient la royauté commerciale. On ne saurait trop étu- dier les moyens par lesquels ils développent et encouragent les qualités natives de leur race, et les signaler à la réflexion de nos na- tionaux.

Une des institutions les plus intéressantes est assurément une association, fondée à Hambourg en 18r8, pour procurer aux jeu- nes gens désireux d'entrer dans le commerce des situations dans des maisons importantes où ils puissent se former à la pratique des

grandes affaires. Disons tout de suite que cette association n'est pas la seule qui existe en Allemagne, mais elle est de beaucoup la plus importante et est connue en Allemagne et dans le monde entier.

A la date du 31 octobre 1891, écrit-on au Moniteur officiel du commerce, cette associa- tion a procuré à l'un de ses adhérents la 38,000""= place ; la 37,000'n<! avait été fournie la 30 juillet de l'année précédente. Cette as- sociation a de nombreuses ramifications dans le monde entier. Le versement annuel de ses membres n'est que de 6 marks et de 3 marks seulement après dix années. Point de taxe d'inscription, de port ni d'entremise.

Il compte actuellement 34,000 membres et 170 suceurs îles, soit en Allemagne, soit à l'étranger. Ce « Verein » possède, en outre, une caisse d'assurance spéciale contre la maladie et pour frais d'enterrement, une caisse d'assistance, une caisse d'assurance contre l'invalidité, la vieillesse ainsi que pour pensions de veuves et d'orphelins, à la- quelle appartiennent 4,250 membres. La fortune de cette dernière caisse s'élève ac- tuellement à 1,500,000 marks.

Une décision inopportune

A propos du communiqué que nous avons publié sous ce titre dans notre dernier nu- méro, nous avons reçu, du comité central de la Fédération des repasseurs, démonteurs et remonteurs, la lettre suivante qui expose les circonstances qui, selon le point de vue du dit cemité, ont précédé la mise à l'interdit de la fabrique Schild, de Granges.

Chaux-de-Fonds, le 8 mars 1892.

Monsieur le rédacteur,

Vous publiez dans le n° 20 de la Fédéra- tion horlogère, sous le titre : Une décision inopportune, un article à sensation qui, s'il était pris à la lettre par les intéressés, pour- rait avoir de graves conséquences pour no- tre région horlogère.

Comme le tout repose sur un malentendu et une fausse interprétation de certaines dé- cisions du congrès de la Fédération suisse des repasseurs, démonteurs et remonteurs, nous croyons tout d'abord devoir rétablir l'exactitude des faits.

Notre fédération n'a jamais pris de résolu- tions concernant Vobligation pour les em- ployés n'étant pas aux pièces, de faire partie

du syndicat.

L'article 2 des statuts dit textuellement : Sont admis à faire partie de la section, tous les ouvriers repasseurs, dérnonteurs et remonteurs, les visiteurs et les employés, n'étant pas aux pièces, s'occupant de la partie.

L'article 3 dit : Tous les ouvriers travail- Ii nt dans les parties du repassage, démon- tage et remontage, sont tenus de faire partie de la section.

Il résulte positivement de ces dispositions que les employés n'étant pas aux pièces ont la faculté d'entrer dans le syndicat, et que les autres ouvriers, repasseurs, démonteurs et remonteurs, ont l'obligation morale d'y entrer.

En partant du point de vue, et nous som- mes loin d'être seuls à le partager, qu'une organisation aussi complète que possible est indispensable et la condition première, non seulement de quelque amélioration, mais d'un arrêt dans la voie de décadence dans laquelle nous nous trouvons engagés ; nous avions comme devoir, non seulement d'ac- cepter, mais encore de solliciter l'adhésion du plus grand nombre possible d'ouvriers n'étant pas aux pièces.

C'est ainsi que de nombreuses adhésions volontaires nous sont parvenues dans toutes les sections.

Dans une période où toutes les personnes sensées reconnaissent la nécessité d'une or- ganisation solide de nos intérêts industriels^;

que la question d'obligation est dans toutes les bouches autorisées, quoi d'étonnant que notre fédération, dans son congrès du 28 fé- vrier dernier, ait résolu, non seulement de maintenir l'application intacte des disposi- tions contenues dans les articles 2 et 3 de ses statuts, mais de s'opposer de toutes ses for- ces à la sortie des membres du syndicat.

Dans ces circonstances, que signifie la ré- solution de MM. Schild frères, de Granges, d'interdire à leurs employés n'étant pas aux pièces de continuer à faire partie du syndi- cat ; et ceci malgré une déclaration signée de huit d'entre eux, sur neuf employés, qu'ils sont entrés volontairement dans le syndicat ; pièce que nous possédons en mains ?

Cette résolution ne pouvait être accueillie dans les milieux ouvriers que comme une véritable déclaration de guerre à la fédéra- tion des repasseurs, démonteurs et remon- teurs.

Au vu de cet exposé de faits, vous avoue- rez. Monsieur le rédacteur, qu'il n'y avait rien d'étonnant à ce que les ouvriers voient avec stupéfaction le sombre tableau — qui donne le frisson, comme si l'on pénétrait dans une caverne de brigands— que trace le communiqué qui vous a été adressé, de la vie qui sera créée à MM. les chefs de fabri- que d'horlogerie par l'adhésion au syndicat de tous les repasseurs, démonteurs et re- monteurs et employés n'étant pas aux pièces.

Vrai ! Cette trahison générale et systéma- tique des employés à l'égard de leurs em- ployeurs, par le seul fait de la coopération des premiers à l'organisation ouvrière, dé- note une conception véritable fin de siècle (sio).

En réalité, qu'y a-t-il au fond de tout cela?

Une simple et vulgaire tentative de porter atteinte au droit d'association d'une caté- gorie de travailleurs — les employés n'étant pas aux pièces.

Nous prions le Secrétariat ouvrier Suisse, chargé de recueillir les faits de violation de droit d'association, ensuite de décision ré- cente du comité central de la Fédération ou- vrière suisse, de prendre acte de cette nou- velle violation. Elle augmentera la collection peu honorable des faits analogues, qui se- ront portés devant le Département fédéral de justice et police.

La fin du communiqué, par une parodie du quatrain révolutionnaire, égaie sans doute quelque peu le noir tableau. Mais comment parodier les innombrables misères résultant, non seulement pour les ouvriers, mais aussi pour de nombieuses catégories de citoyens, de l'anarchie économique qui ruine notre belle industrie horlogère.

La plus honnête parodie n'est-elle pas dans l'application du remède, tant de fois défendu avec autorité par la Fédération hor- logère.

u e s S y n d i c a l e o b l i g a t o i r e s . Au nom du Comité central de la Fédération suisse

des repasseurs, dérnonteurs et rémouleurs : Le président, J. SCHWEIZER.

Les syndicats en France

Par suite des modifications (constitutions nouvelles, fusions, dissolutions, etc.) qui se sont produites au cours de l'année 1891 dans

(3)

; ι

LA FÉDÉRATION HORLOGÊRE SUISSE 87

la situation des syndicats professionnels et unions de syndicats créés conformément à la loi du 21 mars 1884, le nombre de ces asso- ciations s'élève, à la date du 1er janvier 1892, aux chiffres ci-après :

1,189 1,444 145 821 Syndicals patronaux. . . .

— ouvriers . . . .

— mixtes

— agricoles . . . . Total. . . Union de syndicats patronaux

— ouvriers .

— mixtes

— agricoles.

Total. . .

3,?98 22 34 6 11 73

Procédés industriels

I l l i x t î o n à d o r e r . — Chaque doreur a sa recette particulière. Le meilleur mordant est une huile grasse siccative dans laquelle on ajoutera un peu de térébenthine de Venise pour l'empêcher de couler et lui donner du corps. Voici une formule que l'on peut suivre

en toute assurance.

Huile de lin siccative 500 gr., térébenthine de Venise 250 gr., litharge 15 gr.

On fait fondre la térébenthine dans l'huile, puis on mélange la litharge en poudre extra- fine.

Certains peintres se servent de l'huile grasse qu'ils recueillent sur de vieux pots de couleurs, mais cette mixtion poisse trop longtemps et finit par tacher la dorure,

par cette raison qu'elle durcit trop lente- ment.

B r o n z e d e s a r m e s . — M. Haswel, de Vienne, a pris récemment un brevet de pro- cédé qui a pour objet de revêtir par l'élec- trolyse les surfaces polies de fer ou d'acier, notamment les canons de fusil, avec un en- duit de peroxyde de plomb, préservateur de la rouille. Le procédé qui fournit à la surface de fer ou d'acier, un mince enduit parfaite- ment adhérent, résistant à la chaleur et in- différent à la corrosion atmosphérique con- siste à immerger les objets à bronzer, parfai- tement décapés et reliés au pôle positif d'une batterie galvanique dans un bain de nitrate de plomb additionné de nitrate d'ammonium, dont voici la composition :

Nitrate de plomb. . Nitrate ammoniacal.

Eau

8 parties.

2 — 100 — L'intensité du courant doit être maintenue entre deux ou trois ampères.

COTE DE L'ARGENT

du 9 mars 1892 Facturé aux monteurs de boîte.

L'argent 800 laminé et fil à fr. 124. 70 le kilo id. 805 id.

id. 875 id.

id. 900 id.

id. 935 id.

id.

id.

id.

id.

» 125. 60 id.

» 138. 20 id.

» 139. 95 id.

» 145. 20 id.

(K V

s 2

m

e m

« -B

a a

β te es

s« «

MB

S

«•

S

β

•M a

Ό m

\» »

• * *

a ν ν

OT CO

1

s

es a

a

<

co

a

O i

é l | l I I I I I I I I I

Fr. 2,201,780.43

Fr. 4,026,252.52 2,238,299. 66

Ο Ϊ Ο Η Ο > ί Ί > Η 1 0 τ · 0 5 · * Ι >

O C O t - t - ' * C Y 3 m T H ' J 3 0 5 - * t - ( M c o c â i ô o ô ' ^ î c î t ^ t y i o t - o i . l > w O i n O C O I > 1 0 f f l O ] Q 0 4 l

£ - * ο co >O_-*_TH_O m œ s · ! σα ( M

• * ' * t - " c i d ' l > t > l > ' ( D - * (33 t - T C M O O C - C O O O I O C O O O O T C C O T - I OO CT CD t - • * - * - * CO Λ (M t - m T - Î C Î C N T o i " (M-(M o i c c T s i co o î co

J-s.s

H K - 5 0 . 0 , 0 CO Oi 43 3 »- G ΰ

S > !3 fc! ·3.3 3 <» 0.-8 > ο OT

C-

CO ^K

O OO i - ^ T-T O (M O Î

OO

o i I O I O

• * "

CO (M CO"

O I O C-^

O (M

co"

CO CO_

CO

"3

Le rédacteur responsable : Fritz HUGUENIN.

bis aux fabricants ftilogerie

M. M. H a i i e r t «1· Stoll, m o n t e u r s d e b o î t e s o r à l a C h a u x - d e - F o n d s , ont l'honneur d'aviser M.M. les fabricants d'horlogerie, qu'ils ont trouvé, après de longues recherches, u n a l l i a g e s p é c i a l p o u r l e s t i t r e s b a s , surtout pour les ors rouges.

Ils peuvent livrer du 12 et 14 k. rouge aussi résistant que le H k. pâle et très bon pour la et upe et remaillage. Par ce moyen, les fabricants obtiennent une grande économie d'or et suppriment

toutes les difficultés du terminage. . 1659

Echantillons et renseignement à disposition

Ouvrage consciencieux

HOTEL DE BIENNE

(BIELERHOF)

v i s - à - v i s d e l a g a r e

Etablissement recommandable à MM. les voyageurs de commerce touristes ainsi qu'aux Sociétés.

Bonne cuisine — Vins naturels — Chambres à différents prix — Grandes salles — Bains et douches à l'hôtel — Table d'hôte à midi 10 minutes

— Plats du jour — Bestauration à la carte à toute heure — Exposition permanente de montres. Tous les mardis, marché d'horlogerie. 931 Se recommande C RIESEN-RITTER, propriétaire.

MRILUlRS UES RI)IES BREVET de Ant. MEYER

M . MlYIE, 8«M.

STUTTGART Seule fabrique spéciale de l'Allemagne

F o n d é e e n X S G l 1653

FABRIQUE

1

S g S ' D'HORLOGERIE

ASSOlIATIOi J s £ HORLOGÊRE

-^- S U I S S E •>—

Rue neuve 19 SIENNE Bue Dufour 4 5

Représentation — Exportation

S t l i H f i z . U h r m a c h e r - Z e i t u n g . — O r g a n d e l ' A s s o c i a t i o n .

Paraissant 2 fois par mois à fr. 6 par an. 1651

• o * o * o * o * o * o * o * o * o * o * o *

Seules médailles d'argent. Exposition universelle , Paris 1878. — Paris 1889. - Médaille Chaux-de-Eonds 1881. - Diplôme Zurich 1883.

Ε D'AIGUILLES DE MONTRES EU TOUS GEIRES ET QUALITÉS

Vv AGlTOlT FHEHES ^£"£«11

S e n è v e Rue des Voirons 11

U95 M a i s o n f o n d é e e n X S i 12

DÉPÔT AU LOCLE

Spécialité d'aiguilles Louis XV. ciselées or, acier, en composition dorée.

Petites et grandes accondes, Chronographes, quantièmes, compteurs, etc.

•0»0»0»0»0+0»040+0+0»0»

FABRIQUE DE CAISSES D'EMBALLAGE

Juin FATTlT, BafatpÏÏMMn»

Caisses en tous genres, rabotées ou non rabotées — Spécia- lité de caises pour fabriques d'horlogerie, d'ébauches et finissages, de boîtes de montres, fabriques et magasins de fournitures d'horlo- gerie, chemiseries, confiseurs, commerce de raisins, etc.

Planchettes en tous genres, rabotées ou non ; listes et lattes pour emballages. La maison livre par n'importe quelle quantité. Les

commandes sont exécutées très promptement. 1596

(4)

88

LA FÉDÉRATION HORLOGÊKE SUISSE

On demande à acheter

d e s é b a u c h e s e t f i n i s s a g e s c y l i n d r e d e p u i s <i1 à 'H H g . 3/4 et 1/4 p l a t i n e 167V)

S ' a d r e s s e r s o u s J . B . HT.

c a s e 9 5 9 9 C h a u x . - d e - F o n d s .

Qui fabrique

les remontoirs métal cylindre -18 lig. remplaçant la bonne pièce Japy? Commandes par grosse. Adresser les offres sous initiales H. A. au bureau

du journal. 1680

COMMIS

Un jeune homme, bien au cou- r a n t de la correspondance et de la comptabilité, cherche une place dans un bureau. 1667

S'adresser A. N. Case postale Nr. 465 Chaux-de-Eonds.

Un bon ouvrier

é m n i l l e u r d e m a n d e à s e p l a c e r d e s u i t e . 1681

S ' a d r e s s e r a d o t t l i e b J e n - z e r , f l ô t c l d e v i l l e 5 β , à l a t ' i i u i i v - d e - F o n d s .

• • V T V

^

^ V V v '

On demande à acheter

contre espèces un lot de r e m o n t o i r s à c y l i n d r e g a l l o n n é s 1 8 Ig. à 13/4. Les montres doivent porter le contrôle allemand. Offres sous K. 5038 à (Ma 686 M) 1672

R o d o l p h e M o s s é , M u n i c h .

DE

en tous genres. 1431

Vente en gros et détail.

Auguste Gindraux,

Industrie 4

BREVETS D'INVENTION

1050

FRANÇOIS BOURGEOIS

Rue Lévrier, 5, GENÈVE RUBIS, SAPHIR, CHRYSOLITHE ET

GRENAT BRUT

Importation directe des Indes

USINE HYDRAULIQUE

p o u r l a f a b r i c a t i o n d e s J o y a u x d ' h o r l o g e r i e

Diamants et pierres de couleur taillées

pour la bijouterie 1 6 1 2

UNJEUNEHOMIYIE

de toute moralité, exempt du service militaire, sachant les deux laDgues et bien au courant de l'horlogerie, cherche une place de voyageur dans une fabrique d'horlogerie. 1674

Certificats et références de 1er ordre. S'adresser sous chiffre H 737 Ch. àHaasenstein&Vogler LaChaux- de-Fonds.

» PAT ï

J l , EVERSDOLT STREET, L O M E S

Bureau de renseignements et recouvrements. 1677

U n s e u l r e n s e i g n e m e n t p o u r Γ A n g l e t e r r e i r . 9 . —

R o s k o p f

Une personne ayant travaillé pendant quelques a n n é s s dans les vraies K o s k o p f , qui s'est mise à fabriquer les imitations Roskopf en b o n n e qualité, demande à entrer en relations avec quelques maisons qui achètent les imitations avec prix avantageux. Concurrence im- possible. Adresser les offres sous chiffres 8 . B . l O S au bureau de

ce journal. 1005

• H BREVET à VENDRE H l

I T I o n t r e a n c r e d i t e à d e u x p i g n o n s b r e v e t é e r é a l i s a n t u n e g r a n d e é c o n o m i e s u r l a f a b r i c a t i o n . C o n v i e n d r a i t p o u r u n e f a b r i q u e d ' é b a u c h e f i n i s s a n t l a m o n t r e .

Echantillons à disposition —

Adresser les offres pas plus lard que le 31 courant au bureau du

journal sous initiales T . S. 1615

«BENZINE SAPONIFIÉE!»

' ( B e n z i n - S a p o n a t )

Produit unique pour nettoyer avec grande facilité l ' o r f è v r e r i e , l ' a r:

g e n t e r i e e t l e m é t a l b r i t a n n i q u e , indispensable pour le nettoyage à ionds des boîtes, des mouven ents de montres et cadrans.

Prix du V2 flacon F r . — . 5 0 . , du Vi flacon F r . —. 8 0 .

V ^ L

-

V O I L j I I l S r I E I

( H u i l e m i n é r a l e i n a l t é r a b l e ) S T La meilleure huile pour l'horlogerie. Prix du flacon F r . —. 60. "VQ

Ecrire franco à IiOUis β e n t a , Droguerie à B a i e . U82

ASSOCIE

P o u r d o n n e r p l u s d ' e x t e n s i o n à l a f a b r i c a t i o n d ' u n e m o n t r e h u i t j o u r s b r e v e t é e , q u i d o n n e d e s r é s u l t a t s d e m a r c h e e t d e r é g l a g e c e t t a i n s , o n c h e r c h e c o m m e a s s o c i é u n f a b r i c a n t d ' h o r l o g e r i e o u u n b o n h o r l o g e r p o u v a n t

d i s p o s e r d ' u n p e t i t c a p i t a l . 1078 S ' a d r e s s e r a u b u r e a u .

ECOLE D'HORLOGERIE ET DE MECANIQUE

D E BIE]VJVE 1049 Apprentissage d'horlogerie complet: 3 ans. Apprentissage d'horlogerie

pour spécialités : 12 à 18 mois. Apprentissage mécanicien : 3 ans; les élèves apprennent a faire les oi tils pour fabrication mécanique, système perfectionné.

Cours théoreliqnes dans les deux langues. Nouvelles méthodes d'enseignement donnant d'excellents résultats. Entrée à toute époque. S'inscrire auprès du directeur. L A C O M M I S S I O N .

C O M M I S S I O N E X P O R T A T I O N

E O

1

A ANCRE

et Jojâiji pour lklope

en tous genres

Perrenoud & Bangerter

34, Rue du marché neuf, 34

BIlIWfE

LÏfiND

A A N C R E

L e v é e s v i s i b l e s Parfaite interchangeabilité obtenue par procédés mécaniques brevetés. Levées finies interchangeables pour exportation, Rubis,

Saphir ou G r e n a t ; Levées p o u r Chronomètre, bascule, etc.

Les procédés nouveaux et brevetés nous permettent de livrer à des prix beaucoup plus avantageux que ceux pratiqués jusqu'à ce jour.

Adresse t é l é g r a p h i q u e : VISIBLE BIENNÇ. 1460

! Société suisse pour la construction de locomotives et de macies Ë

1 " W I N T E R T J E Ï O T J R I P

Moteurs à gaz et à pétrole Jg

Construction simple et solide. U&

Marche s û r e et économique. Emploi jjjà, de p é t r o l e o r d i n a i r e . Sécurité abso- I P lue. Entretien facile. Emplacement faS5

minime. 1652 |SB I n s t a l l a t i o n s é l e c t r i q u e s . H I a - Wfe c h i n e s à v a p e u r f i x e s e t d e m i - g â f i x e s . — C H A U M I È R E S . W

On peut voir un m o t e u r à p é t r o l e WL chf ζ Mr s H. F r ê n e & G a r r a u x à R e - Wg convillier, qui donneront t o u s les §§=

renseignements désirés. ^

FABRIQUE DE MOUVEMENTS À CYLINDRES

DAVID-IBVIST JUVIT

C O T E - A U X - F É E S (Suisse)

Mouvements à clef et remontoirs de 12 à 20'"

en tous genres «6 5

linpriraerie de la Fédération horlogère suisse.

Références

Documents relatifs

A ce commerce viennent nuire en second lieu les magasins de vente à l'encan qui s'ou- vrent chaque année au moment le plus favo- rable pour la vente et où le public est attiré le

Les douanes impériales établies dans les poris ou sur certains fleuves lèvent, à l'entrée dans l'empire, un droit modéré, pui est en moyenne de 5 et déliasse r a r e m e n t

Le socialisme et Ie coopératisme sont, on peut le dire, deux frères d'origine, en ce sens qu'ils sont nés des mômes parents, Hobert Owen en Angleterre, Charles Fourier en F r a n

P a r le moyen d'une publicité laite dans les j o u r n a u x de la région jurassienne, biennoise et soleuroise, nous ferons connaître le marché d'horlogerie de Biennc, &#34;et

Beaucoup de personnes le savent, t a n - dis que d'autres n'y font point attention, ne se souciant pas d'apprendre à connaître les cau- ses de ce grand malaise» Si ces dernières

Tne conférence, provoquée par le se- crétaire général de la chambre canto- nale du commerce, de l'industrie et du travail, entre le comité de la société des fabricants

Le premier r a n g appar- tient a u x sociétés de crédit qui figurent dans cet ensemble pour le chiffre respectable de 4401 ; viennent ensuite 2840 sociétés diverses de

« Dans notre note du 22 juillet et dès lors à plusieurs reprises, nous avons déclaré au gou- vernement français que nous envisagions les réductions de tarif comme formant,