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Obtention de champs magnétiques homogènes

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HAL Id: jpa-00212864

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Submitted on 1 Jan 1962

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Obtention de champs magnétiques homogènes

G. Raoult, J. Adamski, J.P. Cueille, C. Laval, R. Roux

To cite this version:

(2)

47

OBTENTION DE CHAMPS

MAGNÉTIQUES

HOMOGÈNES

Par

MM.

G.

RAOULT,

J.

ADAMSKI,

J. P.

CUEILLE,

Mlle C. LAVAL et M. R.

ROUX,

Laboratoire de Radioélectricité de la Faculté des Sciences de Clermont-Ferrand.

Résumé. 2014

En admettant que les lignes de force du

champ

magnétique sortent

perpendicu-lairement aux surfaces des

pôles,

nous avons étudié, à la cuve électrolytique la forme à donner à

ceux-ci pour obtenir le

champ

le plus homogène

possible.

Grâce à un usinage

simple,

il est

possible

d’améliorer, dans un facteur de

plus

de cent, l’homogénéité du

champ.

Abstract. 2014

Supposing

that the magnetic lines of flux are perpendicular to the

pole pieces,

we have studied, with an electrolytic trough, the best

pole

shape in order to get the most

homo-genous field. With

simple machining,

it is possible to

improve

the

homogeneity

of the field by

a factor of more than a hundred.

DE£PHYSIQUE

PHYSIQUE APPLIQUÉE

SUPPLÉMENT

TOME 23, MARS 1962, PAGE

Position du

problème.

-

Le

problème

de

l’homo-généité

du

champ magnétique

se pose avec

grande

acuité à tous les laboratoires

qui

désirent faire des études de résonance

paramagnétique.

Cette

homo-généité

est fonction de deux termes : stabilité dans

le

temps

et

homogénéité spatiale.

La stabilité dans le

temps

dépend

essentiel-lement de la source d’alimentation de

l’électro-aimant

car nous

pouvons

admettre que nous avons

attendu suffisamment

longtemps

pour que la

stabi-lisation en

température

soit faite.’ Une batterie

d’accumulateurs de forte

capacité

pourra être

uti-lisée dans certaines limites

mais

nous verrons

qu’il

est

indispensable

de recourir à une alimentation

stabilisée. Nous n’aborderons pas ce

problème

dans

cette note.

L’homogénéité

spatiale dépend

alors de la forme de l’aimant et les différents constructeurs

donnent,

à leurs

pièces

polaires,

des formes de

disques plans,

hautement

polis

et de diamètre

grand

par

rapport

à

l’entrefer

(ex/Varian,

Trüb

Taüber, etc...).

Certaines solutions

particulières

sont

utilisées,

telles que

l’adjonction

de

pièces

dans et autour de

l’entrefer

(anneaux

de

Rose) (1).

Nous nous sommes

posés

le

problème

de

l’obten-tion d’une

grande

homogénéité

avec un

budget

aussi réduit que

possible,

c’est-à-dire avec des

pièces polaires

de taille moyer ne par

rapport

à

l’entrefer que nous désirions

utiliser,

pour un

élec-troaimant de

petite

taille.

Un calcul bien connu

permit

de donner aux

pièces polaires

d’un électroaimant la forme

caracté-ristique

de troncs de

cône,

et ceci afin

d’améliorer

les

lignes

de force dans le fer et d’obtenir un

champ

intense au centre de l’entrefer. Comme l’intensité

du

champ

n’est pas notre

problème principal,

cette

solution a l’inconvénient de donner un

champ

très

inhomogène.

(1)

RosE, Phys. Rev., 1938, 53, 715.

Nous avons donc cherché

quelle

forme serait

possible,

qui

donnerait la meilleure

homogénéité.

Approximations

conduisant à i

une solution

approchée.

-

Nous pouvons,

théoriquement

du

moins,

prévoir

les

lignes

de force du

champ

magné-tique

dans un

entrefer,

connaissant lâ forme des

bobinages qui

vont provoquer, dans le

fer,

l’induc-tion cherchée. Mais ce calcul est

quasi-inextricable.

Nous remarquons, par

contre,

que le

champ

dans

l’entrefer,

satisfait à

l’équation AV =0,

en

intro-duisant un

potentiel magnétique

et que, comme

il est

d’usage

dans ce cas, les

lignes

de

forces

sont

perpendiculaires

aux surfaces V = Cte.

-Tout revient alors à déterminer une surface

V = Cte. Ici encore la solution

rigoureuse

n’est pas

commode mais nous pouvons faire une

approxi-mation. Au passage du fer dans l’air il y a

réfrac-tion des

lignes

de force et un calcul

classique

donne

pour le

rapport

des

tangentes

des

angles,

le

rapport

des

perméabilités.

Comme la

perméabilité

du fer est

toujours

large-ment

supérieure

à celle de l’air

(sauf

le cas de

saturation),

il s’ensuit que la

tangente

de

l’angle

Fie. 1. - Réfraction des lignes de force.

(3)

48

que fait la

ligne

de force dans l’air avec la

normale,

à la surface de la

pièce polaire,

est

toujours

très

petite, l’angle

al étant de l’ordre du

demi-degré

pour les cas usuels dans

l’hypothèse

d’un

angle

a2

de 450.

Nous

pouvons donc admettre que les

lignes

de

force

partent

perpendiculairement

aux

pièces

polaires.

Celles-ci seront donc

considérées

comme

des surfaces

équipotentielles

magnétiques.

D’autre

part,

le

plan

de

symétrie

l’entrefer est

aussi

obligatoirement

une surface

équipotentielle.

Nous sommes ramenés au calcul d’un condensateur.

Cette étude

peut

se faire

expérimentalement

à la

cuve

électrolytique.

Cas de la

symétrie plane.

- Si ’nous cherchons à

obtenir un

champ

magnétique homogène

dans un

volume d’allure

parallélépipédique

dont la

grande

dimension

serra

prise

perpendiculaire

au

plan

de

figure,

nous pourrons

rechercher, grâce

à une cuve

électrolytique

à fond

plat,

la forme des

lignes

équi-potentielles

à l’aide d’un modèle des

pièces polaires.

e fond de

la

cuve et

la surface libre du

liquide

jouent

le rôle des réflecteurs et tout se passe comme

si nous

avions

des surfaces

prismatiques

ou

cylin-driques

dont les

génératrices

seraient verticales.

FIG. 2. -

Montage

de la cuve

électrolytique.

FIG. 3. -

Aspect

des

lignes équipotentielles.

Une

première

expérience

a consisté à

prendre

des

modèles

plans

et à rechercher les

lignes

équi-potentielles

à la surface du

liquide.

Ce sont les

équipotentielles

du condensateur

plan

et elles sont

bien connues. Le

montage

de la cuve est très

simple :

une

méthode

de zéro

permet

de

fixer,

avec une bonne

précision,

le

potentiel

de la sonde et de

suivre

mécaniquement une

équipotentielle.

Les

lignes

ont la forme suivante :

Pour obtenir un faisceau

plus

parallèle,

nous

voyons

qu’il

.nous

faudra redresser les extrémités des

courbes ;

donc incliner les

pièces polaires.

Nous avons donc

systématiquement

étudié des

modèles

ayant

les formes suivantes :

FIG. 4. - Modèles utilisés.

la distance entre électrodes est

2e ;

la

partie

plane

et

parallèle

a pour

longueur

2b. La

longueur

totale

étant

2a, l’angle

oc

peut

être défini aussi par sa

tangente : tg

ce =

d j(b

-

a).

go

Le

plan

de

potentiel

zéro est le

plan

P

qui

est de

symétrie ;

le

plan

perpendiculaire

Q

est aussi de

symétrie.

Comme nous travaillons en

géométrie

plane,

ces deux

plans

donnent deux droites de

symétrie.

Nous voyons

qu’un

système

d’électrodes

est défini par les

rapports e ja, b/a

et

l’angle

oc.

Auparavant,

nous avions cherché des formes

courbes

mais la

difficulté

de

reproduction

nous a

fait abandonner ces modèles..

Nous donnons ci-contre les

lignes

équipoten-tielles pour

différents

rapports

b

la

et

angles a,

la

dis-tance entre

pôles

étant fixée

e ja

=

0,67.

En

poin-tillé sont

tracéef3

des droites et la

comparaison

est

facile.

Pour des valeurs de

b /a

trop

petites,

nous

pou-vons remarquer que les

extrémités

des courbes sont

FIG. 5. -

(4)

bien

relevées,

même

trop,

lorsqu’elles

sont voisines

de l’électrode. En

revanche,

elles ne le sont pas

assez vers le milieu du

champ

(fige 5, 6, 7,

8).

Si un

augmente l’angle

ce, les

lignes

voisines du

plan

de

symétrie

peuvent

être rectifiées mais alors celles voisines de l’électrode se creusent

beaucoup.

Il est donc nécessaire de

prendre

des valeurs de

b/a

relativement

grandes :

Des nombreuses courbes que nous avons

tracées,

nous avons déduit la

règle empirique

suivante :

Nous considérons l’intersection d’une

équipo-tentielle

donnée avec la droite AA’ à l’extrémité du

modèle,

soit l’ ce

point.

La

parallèle

au

plan

P

menée à l’intersection de cette même

ligne

de

poten-tiel avec le

plan Q,

donne le

point

I.

Traçons

la

va-riation de la distance II’ en fonction de la distance

du

point

I au

plan

P. Cette courbe

représente

l’écart des

lignes équipotentielles

réelles avec les

droites

qu’elles

devraient être pour que le

champ

soit uniforme.

Elle passe

par un maximum. C’est

la valeur de ce maximum

qui

nous donne la

lon-gueur d.

FIG. 9. - Détermination de la distance d.

Dans les cas les

plus

usuels,

elle est de l’ordre du

dixième de demi-entrefer. Dans trois cas

parti-culiers,

traités au

laboratoire,

le

rapport

vaut

0,103 ; 0,104 ; 0,103.

Le

rapport b/a

est

plus

difficile à déterminer de

façon

précise,

car, en

définitive,

il

est apparu

que

l’homogénéité

du

champ

dépendait. peu

de ce

rap-port

à condition

qu’il

soit assez

grand,

disons

supé-rieur à

0,5.

Il semble seulement que l’on ait intérêt

à avoir

b /a

d’autant

plus grand

que

e /a

est

plus

petit.

Alors que pour

e/a

voisin de

1, b/a

peut

avoir toutes les

valeurs,

depuis

0,5 jusqu’à 0,75 ;

pour des valeurs de

e/a

de l’ordre de

0,5,

le

rap-port

b ja

ne doit pas descendre en dessous de

0,7.

Pour les

petites

valeurs de

e/a

la

précision

sur

b ja

doit être

plus grande

et nous donnons la

règle

empirique

suivante :

La

pente tg

a est sensiblement

égale

à la.

pente

d’une

équipotentielle particulière

au

point

I’,

cette

ligne

E étant celle

qui,

dans le

plan

de

symétrie Q,

est

équidistante

de l’électrode et du

plan

P. Cela

conduit à des valeurs inférieures à 200.

Nous donnons ci-contre

(fig. 10),

une

représen-Fie. 10. - valeurs

possibles

de oc.

tation des valeurs de a

possibles,

en fonction du

(5)

50

Cas de la

symétrie cylindrique.

- Les mêmes

expériences

ont été

faites,

mais cette fois avec des

modèles en forme de secteurs

circulaires,

dans une

cuve

électrolytique

à fond

oblique.

Cette

fois,

le

FIG. 11. - Cuve à fond

oblique.

fond de la cuve et la surface libre font réflecteurs

et forment ainsi des surfaces

cylindriques

dont l’axe est le fond de la cuve où

l’épaisseur

de l’eau

est évanescente.

Ici encore, les modèles furent définis par

l’entre-fer suivant l’axe 2e et les

grandeurs b /a

avec

l’angle

oc.

Les résultats furent

analogues,

et la valeur de d

trouvée

(d

=

(b

-

a) tg cc)

est aussi de

0,104

c’est-à-dire,du dixième du demi-entrefer et les

angles

a

FIG, 12. - Modèles choisis

(à symétrie circulaire).

peuvent

être choisis dans une assez

large bande,

la

représentation

précédente

étant encore valable.

Vérification

expérimentale.

- Nous

avons

réa-lisé,

sur un

électroaimant,

type

904

Sime,

deux

pièces

polaires

en forme de cône creux.

Étant

donné

que ces

pièces

sont formées de deux

cylindres

cou-lissant l’un dans

l’autre,

nous avons

choisi,

comme

valeurs de b et de a, les dimensions des rayons des

cylindres,

soit b = 20 mm, a = 45 mm. Cela nous

donne

alors,

pour un entrefer de 60 mm, une valeur

de d de 3 mm et un

angle

oc de 70. Il est

peut-être

préférable

de

prendre

une valeur de oc

plus grande,

mais nous y avons été conduits par la

simplicité

d’usinage.

L’étude du

champ

a été conduite alors par

réso-nance

paramagnétique

nucléaire. Une sonde

conte-nant un peu d’eau avec du nitrate

ferrique

a été

déplacée

dans l’entrefer et les variations de

champ

magnétiques

notées avec

soin,

suivent les

positions

du centre de celle-ci. L’électroaimant était alimenté

par la grosse batterie

(1 000 AH)

du laboratoire et toutes les

expériences

faites entre 6 h et 8 h

du-,

matin,

avant la mise en route des autres

appareil-lages,

ceci afin d’obtenir la

plus grande

stabilité

dans le

temps.

Le

champ,

au centre de

l’entrefer,

étant de 4 400 gauss, nous

pouvions

mesurer

faci-lement des variations de

0,1

gauss. La carte du

champ

a été faite pour différents entrefers entre 50

et 60 mm.

Avant

transformations,

nous avons tracé la carte

du

champ

par une série d’entrefers et nous avions

obtenu une

homogénéité

de 5 X 10-4 pour un

volume de 4 mm3 autour du centre.

Nous avons conduit nos

expériences

de

façon

à

obtenir une correction du

champ

la meilleure pour

60 mm d’Entrefer et nous avons constaté que ce

résultat était obtenu pour 55 mm.

Cette différence doit

s’interpréter

par le fait que

la surface

équipotentielle

n’est pas la surface de la

pièce

polaire

ou, si l’on

veut,

que les-

lignes

de

force ne

partent

pas

orthogonalement

aux

pièces

polaires.

La

petite

différence trouvée

correspond

à

l’approximation

que nous avons faite.

-Les résultats

expérimentaux

font

apparaître,

pour 55 mm, une

homogénéité remarquable.

Dans un volume

cylindrique,

donc de base

circu-laire de diamètre 3 cm et de hauteur

1,7

cm, soit 12

cm 3, -le_champ

reste constant

à +

36 x

10-4 près.

FIG. 13. - Courbes

équichamp.

H = 4 400 G. Pour: les valeurs positives de l’augmentation de champ, lire, de haut en bas : 1,25 ; 2,50 ; 3,75.

Inversement,

le

champ

res,te

constant à

10-5 près

dans un volume

cylindrique

de diamètre de base

0,9

et de hauteur

0,5

cm, soit

0,3

cm3.

Dans le volume de la sonde de résonance

nu-cléaire

qui

est une

sphère

de 2 mm de

diamètre,

de

volume 4 mm3

environ, placée

au centre du

champ,

(6)

Ce résultat ne

peut

d’ailleurs pas être

exploité

dans l’état actuel de notre

installation,

car la

stabi-lité dans le

temps

n’est pas assez

grande.

Nous pas-sons à la réalisation d’alimentations stabilisées.

Conclusion. - Nous

avons

admis,

afin de faire

une

analogie

électrostatique,

que les

lignes

de force

qui

se trouvaient dans l’entrefer d’un électroaimant

quittaient

les

pièces polaires orthogonalement.

Nous avons alors construit des modèles

qui

ont été

étudiés à la cuve

électrolytique.

Afin

d’obtenir,

dans

l’éntrefer,

des courbes

équi-potentielles qui

soient des droites

et,

dans

l’espace,

des

plans,

de

façon

à avoir un

champ homogène,

il

est nécessaire d’incliner vers l’intérieur du

champ,

les

pièces

polaires

qui

deviennent creuses de telle

manière que l’avancée soit environ le

vingtième

de

l’entrefer, l’angle

de raccordement étant au

maxi-mum de 200.

Avec des moyens aussi

simples,

il est facile de

multiplier

par 150 environ

l’homogénéité spatiale

du

champ

d’un électroaimant courant.

LETTRES

A LA

RÉDACTION

CIRCUIT ALLONGEUR D’IMPULSIONS RAPIDES

Par M.

LEBLANC,

Laboratoire de Physique Nucléaire, Faculté des Sciences, Orsay.

LE JOURNAL DE PHYSIQUE ET LE RADIUM

PIIYSIQUE APPLIQUÉE

SUPPLÉMENT AU N° 3.

TOME 23, MARS 1962, PAGE 51 A.

Les circuits

allongeurs

d’impulsions

ont pour but

de transformer une

impulsion

très brève en une autre

impulsion

de hauteur

correspondante

et de

largeur

déterminée,

celle-ci

pouvant

être

plusieurs

fois la lar-geur de l’émulsion

incidente ;

(On

trouvera la

biblio-graphie

dans l’article de A.

Sarazin,

J.

Samueli,

G.

. Ducroo et Praimbault Nucl.

Instr.,

1960,

8, 71.)

les

solutions utilisées pour résoudre ce

problème

diffèrent

par des détails

dépendant

de la

rapidité

des

impul-sions à «

allonger

», mais le

principe général

subsiste,

celui de la

charge

d’une

capacité

à la tension de crête de

l’impulsion

par- l’intermédiaire d’une cathode

sui-veuse et d’une diode. Cette

capacité

est ensuite

dé-chargée

au moyen d’un

dispositif

annexe

qui

peut

être

la résistance de

fuite

si la

rapidité

du retour à l’état initial n’est pas une côndition

primordiale’.

FIG. 1.

Cette solution est excellente pour des

impulsions

triangulaires

ayant un temps de montée allant

jusqu’à

10-7 ;

elle s’avère

plus

diflicile à utiliser pour des

im-pulsions plus

rapides.

La cathode suiveuse

devant

(fig. 1)

fournir une

inten-Ai. AF

dement lim ..

sité moyenne Ai =

8 T’

on est

rapidement

limité par

la

pente

des

lampes

et la valeur de la

capacité

du

condensateur.

Deux conditions contradictoires fixent le choix de C : une valeur faible pour

que’Ai

soit

acceptable,

une

valeur élevée pour que la

charge persiste

un certain

temps,

la résistance de fuite ne

pouvant

être

infini-ment

grande.

Principe

de l’extenseur

d’impulsion

figure

2.

FIG. 2.

L’impulsion

à

allonger

attaque

une

ligne

à retard

sur

laquelle

des

prises

équidistantes

sont

pratiquées.

Sur-chaque

prise

est branchée une diode

qui charge

àla tension de crête une

capacité

commune. La

capacité

est

ici la

capacité

parasite

du circuit. Le RC résistance

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