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Mesures de pouvoirs réflecteurs de couches métalliques épaisses (rhodium, beryllium, nickel) dans la région de schumann

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Academic year: 2021

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(1)

HAL Id: jpa-00234765

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00234765

Submitted on 1 Jan 1953

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Mesures de pouvoirs réflecteurs de couches métalliques

épaisses (rhodium, beryllium, nickel) dans la région de

schumann

Simone Robin

To cite this version:

(2)

427 à 99 pour 100. Avant son

emploi,

il a été

bidistillé,

ce

qui

m’a

permis

d’éliminer la presque totalité des

hydrocarbures

d’ordre

supérieur qui

forment

la

majeure partie

des

impuretés.

Les résultats montrent

(voir courbes)

que la vitesse croît trèg notablement avec la

pression

- et ceci d’une

façon beaucoup plus importante

que pour les’ corps

déjà

étudiés - ainsi

pour une même

pression

de 700

atm;

la vitesse est de 600

m/s

dans

l’argon,

de 700

m /s

dans l’azote et de 1100

mis

dans le méthane.

Remarquons

aussi que la

température

a une influence notable : aux

pressions

relativement peu

importantes,

la vitesse croît avec la

température;

cependant

cette variation tend à

s’atténuer,

et pour des

pressions

supérieures

à 220’atm le

phénomène

s’inverse,

la vitesse décroît alors avec la

température.

Un

phénomène analogue

avait été

signalé

pour l’azote

[3],

alors

qu’il

ne semblait pas se manifester

pour

l’argon

[1].

Les

résultats

ont été obtenus avec un

quartz

oscil-lant de io mm

d’épaisseur

vibrant sur son

harmo-nique

3. La

fréquence

observée est voisine de 900 kHz. La

précision

pour les

points

les moins satisfaisants est

supérieure

à o,9 pour 100.

Manuscrit reçu le Ier mai

I953.

[1]

LACAM A. et NOURY J. - C. R. Acad.

Sc., 1952, 234,

362-364.

[2] LACAM

A. et NOURY J. - C. R. Acad.

Sc.,

1953,

236,

589-590.

[3] LACAM A. - J.

Physique

Rad., 1953, 14, ooo.

[4] LUCAS R. et BIQUARD P. - C. R. Acad.

Sc., 1932, 194,

2132.

SUR LE RAPPORT 03B3 DES CHALEURS

SPÉCIFIQUES

DE

L’AZOTE

SOUS

PRESSION.

Par

André

LACAM,

Laboratoire des Hautes Pressions, Bellevue. De la mesure de la vitesse des ultrasons dans l’azote

jusqu’à I I 5o

atm

[1]

par la méthode

de

diffraction de la lumière

[2], j’ai

déduit de ces valeurs le

rapport

y

c - des

chaleurs

spécifiques

en fonction de la

c

pression

à la

température

de 25,0 C.

La valeur de y est déduite de

l’équation

de

Laplace

en faisant intervenir le

produit

pv et la densité d. Les valeurs

dJÍ:J1

sont

obtenues à

partir

des

équations

d[d]

d’états de Michels et ses collaborateurs

[3] qui

expriment

pv sous la forme :

ph = A + /J d + C d"l. + Z d?J +

j d4 +

Y d5 + E d6 + Fd7, Les valeurs de la vitesse

introduites

dans les calculs sont celles de la courbe moyenne des valeurs

expé-rimentales;

une

précision

de l’ordre de i pour 100

sur lés valeurs de y

peut

être admise.

Les résultats obtenus sont

comparés

(voir courbe)

à ceux que Michels et ses collaborateurs ont déduits des valeurs de

Cp

et Cv calculées

séparément

à

partir

de leur mesure des

compressibilités. Jusqu’à

des

densités

de 30o

amagats (45o

atm

environ),

on note ’

une bonne concordance entre les deux séries de

résul-tacts,

ensuite une

divergence

apparaît qui

s’accentue

légèrement

avec la

pression.

Les divers auteurs

ayant

étudié

précédemment

l’azote s’accordent à

recon-naître que l’azote n’est pas

dispersif

[4,

[5], [6],

tout

au mgins dans le domaine

qu’ils

ont

étudié,

c’est-à-dire pour des

pressions

nettement inférieures à celles

auxquelles j’opère.

Ainsi

que

nous l’avions

déjà

fait

remarquer

[1],

il semblerait donc

qu’une légère

dis-persion

se manifeste pour l’azote aux

pressions

élue-vées.

Dispersion qui

devrait être attribuée aux actions

intermoléculaires; d’ailleurs,

ce

phénomène

semble

commencer à

partir

de la valeur maximum atteinte par y.

Manuscrit reçu le Ier mai I953. [1] LACAM A. - J.

Physique Rad., 1953, 14, ooo.

[2] LUCAS R. et BIQUARD P. - C. R. Acad.

Sc., 1932, 194,

2132.

[3]

MICHELS A., LUNBECK et WoLKERS. 2014 Publication of the Van der Walls Fund, n° 115.

[4]

HODGE A. H. 2014 J. Chem.

Phys., 1937, 5, 974. [5] KNUDSEN V. 0. - J. Acous. Soc.

Amer., 1931, 3, 126; 1933, 5, 112; 1935, 6, 199.

[6]

OBERST H. - Z. tech.

Physik, 1936,17, 580.

MESURES DE POUVOIRS

RÉFLECTEURS

DE COUCHES

MÉTALLIQUES

ÉPAISSES

(RHODIUM,

BERYLLIUM, NICKEL)

DANS LA

RÉGION

DE SCHUMANN

Par Mme

Simone

ROBIN,

Laboratoire de

Physique-Enseignement

de la Sorbonne. Nous avons

exposé

dans

une

précédente

publi-cation

[1]

les résultats relatifs aux couches

d’or,

platine

et chrome

(1).

Nous

avons

poursuivi

nos

(1) Par

suite d’une omission regrettable dans la

figure

de cette publication, l’échelle à

laquelle

correspondent les

pouvoirs

réflecteurs

à 450 n’a pas été

marquée.

L’échelle

indiquée

correspond

aux R à 180 et pour obtenir les R à 450, il faut ’diviser les valeurs lues sur cette échelle par 2.

(3)

428

mesures sur des couches

de rhodium,

béryllium

et

nickel. °°

L’appareil

utilisé

[2]

est le même et les mesures de

pouvoir

réflecteur ont été faites sous les incidences de 18 et

45°

avec deux miroirs

Mi

et

M2

de même nature.

Le rhodium a été choisi

pour

son inaltérabilité et

son bon

pouvoir

réflecteur dans l’ultraviolet

proche

[3].

Nous avons obtenu la couche de rhodium en chauffant

sous .vide des filaments de

tungstène préalablement

recouverts d’une couche de

rhodium

par

électrolyse.

Les

plaques

support

étaient du verre

poli optiquement.

Les résultats sont

représentés

sur la

figure.

Ils semblent

,du

même ordre de

grandeur

que ceux

déjà indiqués [3]

pour la

région

2 000-2 500

À,

aucune mesure, à notre

connaissance,

n’ayant

été faite au-dessous de 2 400 À.

’Le

beryllium

a été obtenu par

évaporation

sous

vide. Les courbes de

pouvoir

réflecteur

présentent

un minimum très net vers 1600 Á. Ces résultats sont ’

concordants avec ceux de Sabine

[4],

bien

supérieurs

à ceux de Gleason

[5],

.mais

totalement différents de la

courbe

donnée par Miss

Banning

[6]

pour une

couche

non

contaminée par

l’air.

Celle-ci attribue le minimum de 1600 À à

l’absorption

d’une mince couche de

tungstène

due à une contamination par

le B1

filament;

cependant

Glèason avait

opéré

par

pulvé-risation

cathodique

èt,

d’autre

part,

nous n’avons pas observé ce

phénomène

avec le rhodium.

Le,nickel a été

également

obtenu par

évaporation

sous vide. La courbe à

1 8 °

est très

légèrement

inférieure à celle de Sabine.

La

précision

des mesures est

toujours

de 5 et 10 pour 100 dans les

cas les

plus

défavorables.

Nous avons calculé

également

les valeurs de

Rf;)

et

V Rt

pour ces trois métaux

(ce

qu’il

fallait

déjà

lire dans la

publication [1]

au lieu de

(Rj 5)2

et

Rj/i);

les valeurs sont données dans le tableau ci-contre.

La relation

3

=

R;

5 de la théorie

électro-magnétique

semble assez bien vérifiée ici. Comme nous

l’avons

déjà dit,

une discussion

plus

détaillée sera

donnée ultérieurement.

Rhuditttîz.

Beryllium.

ivickel.

Manuscrit reçu le 4 mai I953.

[1] ROBIN Mme S. 2014 C. R. Acad. Sc., 1953, 236, 674. [2] ROBIN Mme S et VODAR B. - J.

Physique Rad., 1952,

13, 492.

[3] COBLENTZ W. W. et STAIR R. - Bur. Stand. J.

Res., 1939, 22, 93.

[4] SABINE G. B. -

Phys. Rev., 1939, 55, 1064. [5] GLEASON P. R. - Proc. Nat. Acad.

Sc., 1929,15, 551.

[6] BANNING Miss. - J.

Opt. Soc. Amer., 1942, 32, 98.

COMPLÉMENT

A

L’ÉTUDE

DU SPECTRE D’ABSORPTION DE L’OXYDE AZOTEUX SOLIDE DANS LA

RÉGION

DE SCHUMANN

Par Mme Janine

GRANIER-MAYENCE

et

M. Jacques

ROMAND,

Laboratoire de

Physique-Enseignement (Sorbonne).

Dans une Note

précédente [1],

nous avons donné les résultats obtenus dans l’étude du

spectre’

d’ab-sorption

entre 240o et 1600 Â de

l’oxyde

azoteux solide à la

température

de 6oo K.

Rappelons

que

la bande

observée,

dont le maximum est à

1780 A,

correspond

à la bande B du

spectre

du gaz

déplacée

vers les courtes

longueurs d’onde,

mais que la

région

de la courbe

comprise

entre 240o et 2000 Á semble

indiquer

la

présence

d’une’ autre bande dont nous

Références

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à celui du métal massif. Nous avons déjà signalé que cette interprétation n’est pas correcte, les couches n’étant plus continues mais granulaires. Les courbes,

à très petits grains est due surtout aux électrons thermiquement excités se trouvant dans les minima. de la bande de conduction situés près et

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