Exercice 1 : La courbe ci-contre représente une fonction f. En utilisant le graphique, répondre aux questions.
1. Donner l'ensemble de définition de f. df = [−5 ;7 ]
2. Quelle est l'image de 4 par f ? f (4)=2
3. Donner le tableau de variations de f.
x –5 –2 2 7
f (x ) 2
–3
4
–1 4. Résoudre graphiquement l'équation f (x )=2 .
f (x )=2 ⇔ x=−5 ou x=0 ou x=4
5. Donner les antécédents de 0 (ou un encadrement à l'unité, si le graphique ne permet pas d'en connaître une valeur entière exacte) par f.
Les antécédents de 0 par f sont, d'après le graphique, , −1 et 5, avec α≈−3,5 ( −4<α <−3 ). 6. Résoudre graphiquement l'inéquation f (x )⩽2 (rédiger la méthode).
Résoudre graphiquement l'inéquation f (x )⩽2 revient à déterminer les abscisses des points de cf qui sont en dessous ou sur la droite d'équation y=2 , s'il en existe.
s1 = x ⩾ 0
7. Tracer la droite (d) d'équation y=x +2 et résoudre graphiquement l'inéquation f (x )⩾x +2 (rédiger la méthode).
Résoudre graphiquement l'inéquation f (x )⩾x +2 revient à déterminer les abscisses des points de cf qui sont au-dessus ou sur la droite d'équation y=x +2 , s'il en existe.
s2 = [−5 ;−3 ]∪[ 0 ;2 ]
Exercice 2 : Pour fabriquer une boîte parallélépipédique, on dispose d'une plaque carrée de côté 6 dm, dans laquelle on découpe à chaque coin un carré de côté x dm . On obtient ainsi le patron d'une boîte sans couvercle.
Soit V la fonction qui à la longueur x associe le volume V (x ) de la boîte. 1. a) Justifier que l'ensemble de définition de la fonction V est l'intervalle [0 ;3 ] .
x est une longueur donc x⩾0 . De plus, la découpe, étant faite dans chacun des coins, le carré découpé ne Généralités sur les fonctions - corrigé
peut avoir un côté supérieur à la moitié du carré de départ, donc x⩽3 . b) Déterminer, en fonction de x, les dimensions de cette boîte.
h=x c=6−2 x
c) En déduire que pour tout réel x de l'intervalle [0 ;3 ] , V (x )=4 x3
− 24 x2+36 x . Pour tout x ∈ [0 ;3 ] , V (x )=c2h V (x )=x (6−2 x )2 (expression de départ) V (x )=4 x(3−x )2 (forme factorisée de V (x ) ) V (x )=4 x(9−6 x + x2) V (x )=36 x−24 x2+4 x3 V (x )=4 x3− 24 x2+36 x
2. Calculer V(1,5). Interpréter concrètement ce résultat. Pour ce calcul, puisque 1,5=3
2 , l'expression de départ semble la mieux adaptée. V (1,5)=3 2×
(
6−2× 3 2)
2 V (1,5)=3 2×9 V (1,5)=27 2 =13,5En découpant, dans chaque coin de la plaque carrée, un carré de côté 1,5 dm, on peut construire une boîte de volume 13,5 dm³.
3. Pour quelle(s) valeur(s) de x obtient-on une boîte cubique? Quel est alors le volume de cette boîte ? La boîte est cubique si et seulement si c=h .
c=h ⇔
{
x=6−2 x0⩽x⩽3 (Existe-t-il une solution et est-elle unique ? Problème d'existence et d'unicité : d'où le travail par équivalence) ⇔
{
3 x =60⩽ x⩽3
⇔ x=2
L'expression factorisée permet de déterminer V (2) avec un minimum de calcul : V (2)=4×2×(3−2)2
V (2)=8
En découpant un carré de côté 2 dm dans chaque coin de la plaque, on obtient une boîte cubique (d'arête 2 dm) de volume 8 dm³. C'est la seule façon d'obtenir une boîte cubique.
4. Compléter le tableau de valeurs suivant à l'aide du mode TABL la calculatrice.
x 0 0,25 0,5 0,75 1 1,25 1,5 1,75 2 2,25 2,5 2,75 3
5. Construire la représentation graphique de la fonction V dans un repère orthogonal (unités : 4 cm en abscisses et 0,5 cm en ordonnées).
6. Conjecturer graphiquement le volume maximal de la boîte. Pour quelle(s) valeur(s) de x est-il atteint ? Le point le plus haut de la courbe semble avoir pour coordonnées (1; 16) . On vérifie bien, par le calcul, que
V (1)=16 .
Le volume maximal de la boîte semble être 16 dm³, atteint lorsque x=1 . 7. Vérifier que pour tout réel x de l'intervalle [0 ;3 ] , V (x )−16=4(x −1)2
(x − 4).
La question étant « Vérifier que... », il est autorisé de procéder en comparant les formes développées de V (x )−16 , d'une part, et de 4 (x−1)2(x−4) , d'autre part.
Pour tout réel x de l'intervalle [0 ;3 ] , V (x )−16=4 x3− 24 x2
+36 x−16 Pour tout réel x de l'intervalle [0 ;3 ] , 4 (x−1)2
(x−4)=4( x2 −2 x+1)(x −4) =4( x3−4 x2−2 x2+8 x +x−4) =4( x3−6 x2+9 x−4) =4 x3−24 x2 +36 x−16 Finalement, pour tout réel x de l'intervalle [0 ;3 ] , V (x )−16=4(x −1)2
(x − 4)
8. En déduire que, pour tout réel x de l'intervalle [0 ;3 ] , V (x )≤ 16 . Ceci permet-il de valider la conjecture de la question 6 ?
Pour tout réel x de l'intervalle [0 ;3 ] , 4 (x−4)<0 et (x−1)2
⩾0
Donc, pour tout réel x de l'intervalle [0 ;3 ] , 4 (x−1)2
(x−4)⩽0 V (x )−16⩽0 V (x )⩽16 De plus, V (1)=16
Donc, pour tout réel x de l'intervalle [0 ;3 ] , V (x )⩽V (1)
Exercice 3 : On connaît le tableau de variations d'une fonction f définie sur [−2 ;5 ] :
1. Répondre par Vrai, Faux ou On ne peut pas conclure : a) L'image de 0 par f est 1.
0 ∈ [−5 ;1] .
La fonction f est décroissante sur cet intervalle, et à valeurs dans [0 ; 4 ] . 0 admet une image par f dans [0 ; 4 ] , intervalle qui contient bien 1.
Il est donc possible que l'image de 0 par f soit 1, mais il est aussi tout à fait possible que ce ne soit pas le cas. On ne peut pas conclure.
b) f (2)=3
2 ∈ [1 ;3 ] . Sur cet intervalle, la fonction f est croissante. On peut donc affirmer que f (2)⩽ f (3) .
f (2)⩽2 f (2)≠3 L'affirmation est donc fausse. c) f (2)>0
On a de plus, f (1)< f (2) 0< f (2) L'affirmation est vraie. d) f (−5)< f (−2)
−5 et −2 sont dans l'intervalle [−5 ;1] , intervalle sur lequel la fonction f est décroissante. −5<−2 donc f (−5)⩾ f (−2)
L'affirmation est fausse. e) f (−6)<0
−6 ∈ [−7 ;−5]
f est croissante sur [−7 ;−5] et à valeurs dans [−2 ; 4 ] .
On peut donc juste affirmer que f (−6)∈[−2; 4 ] mais on n'a pas plus d'information. On ne peut pas conclure.
f) f est croissante sur [−6 ;−4 ] .
f est croissante sur [−6 ;−5] et décroissante sur [−5 ;−4 ] , atteignant un maximum local en −5 . Ce maximum est 4.
Il existe un nombre k voisin de 4 ( k <4 ) et deux nombres x1 et x2, respectivement dans [−6 ;−5] et dans [−5 ;−4 ] , ayant pour image k par f.
Pour tout x ∈ [−6 ; x1], f (x )⩽k Pour tout x ∈ ] x1;−5 ] , f (x )>k Pour tout x ∈ ]−5; x2], f (x )⩾k Pour tout x ∈ ] x2;−4 ] , f (x )<k Prenons u dans ] x1;−5 ] : f (u)>k Prenons v dans ] x2;−4 ] : f (v)<k
On a alors montré qu'il existe deux réels u et v dans [−6 ;−4 ] tels que u<v et f (u)> f (v) .
Ce qui permet d'affirmer que f n'est pas croissante sur [−6 ;−4 ] . L'affirmation est fausse.
g) 1 est un antécédent de 0 par f. f (0)=1
0 est l'image de 1 par f. 1 est un antécédent de 0 par f. L'affirmation est vraie.
h) 2 admet trois antécédents par f.
Un peu de théorie pour faciliter la rédaction de la réponse à cette question : f ([−7 ;−5 ])=[−2 ; 4 ] signifie 1. et 2. sont vrais :
1. f ([−7 ;−5 ])⊂[−2 ; 4 ] : tout réel de [−7 ;−5] admet (exactement) une image par f dans [−2 ; 4 ] . 2. [−2 ; 4 ]⊂ f ([−7 ;−5 ]) : tout réel de [−2 ; 4 ] admet (au moins) un antécédent par f dans [−7 ;−5] . D'après le tableau de variations, f ([−7 ;−5 ])=[−2 ; 4 ] .
Or, 2 ∈ [−2 ; 4 ] . Donc 2 admet au moins un antécédent par f dans [−7 ;−5] .
On sait de plus que f est (strictement) croissante sur [−7 ;−5] donc 2 admet exactement un antécédent par f dans [−7 ;−5] .
On montrerait, avec le même type de raisonnement, que 2 admet un unique antécédent dans [−5 ;1] , et un unique antécédent dans [1 ;3 ] (ce dernier étant d'ailleurs connu et égal à 3).
Finalement, 2 admet exactement trois antécédents par f. L'affirmation est vraie.
2. Donner un encadrement, le plus précis possible, de f (x ) , sachant que x vérifie : a) 1⩽x ⩽3 b) −5⩽x⩽3 c) −7⩽x ⩽3
a) Soit x un réel de l'intervalle [1 ;3 ]
f est croissante sur [1 ;3 ] donc f (1)⩽ f (x )⩽ f (3) . 0⩽ f (x )⩽2
b) D'après le tableau de variations de f, le miminum et le maximum de f sur [−5 ;3 ] sont, respectivement, 0 et 4.
Autrement dit : pour tout x ∈ [−5 ;3 ] , 0⩽ f (x )⩽4 , et les valeurs extrêmes sont atteintes. c) En procédant de même que dans la question précédente, on a :
Si x ∈ [−7 ;3 ] alors −2⩽ f ( x)⩽4 .
Exercice 4 : Tracer une courbe susceptible de représenter la fonction f sachant que : - f est définie sur l'intervalle [−2 ;5 ] ;
- le maximum de f sur [−2 ;5 ] est 2 et est atteint en 1 ; - le minimum de f sur [−2 ;5 ] est −3 et est atteint en 4 ; - les antécédents de 0 par f sont −2 , 0, 3 et 5.
Les informations (analytiques) ci-dessus se traduisent graphiquement ainsi :
- à chaque valeur de l'intervalle [-2;5] sur l'axe des abscisses est associé exactement un point de la courbe cf et aucun point de la courbe cf n'a une abscisse à l'extérieur de cet intervalle ;
- le point le plus haut de la courbe cf a pour coordonnées (1; 2) et aucun autre point de cf n'est aussi haut ; - le point le plus bas de la courbe cf a pour coordonnées (4 ;−3) et aucun autre point de cf n'est aussi bas ; - la droite d'équation y=0 (l'axe des abscisses), coupe cf en exactement quatre points, abscisses −2 , 0, 3 et 5.
Cela laisse pas mal de possibilités pour tracer une courbe susceptible de représenter f...
Exercice 5 : On s'intéresse à la fonction f définie sur ]−∞; 2[ ∪]2 ;+∞[ par f (x )=3 x−7 x−2 . On appelle c sa représentation graphique dans le plan muni d'un repère.
1. Étudier le signe de f (x ) . x –∞ 2 7 3 +∞ 3 x−7 – – 0 + x−2 – + ⋮ + f (x ) + – 0 +
2. Calculer l'image de
√
7 par f . Écrire le résultat sans radical au dénominateur. f (√
7)=3√
7−7√
7−2 f (√
7)=(3√
7−7)(√
7+2) 7−4 f (√
7)=3×7+2×3√
7−7−2√
7 3 f (√
7)=14 +2√
7 33. Montrer que pour tout x ≠ 2, f (x )=3− 1 x −2 . Pour tout x ≠2 , 3− 1 x−2= 3(x−2)−1 x−2 =3 x−7 x−2 =f ( x)
Une autre méthode (qui a l'avantage de ne pas présupposer le résultat) :
f est une fonction homographique et son expression possède donc une écriture canonique de la forme f (x )=α+ A x−2 (résultat de cours). Pour tout x ≠2 , α+ A x −2=f ( x) α(x−2)+A x−2 = 3 x −7 x−2 αx +(A−2 α )=3 x−7 (α−3) x+(A−2 α+7)=0
[x (α−3) x+(A−2 α+7) ] est une fonction affine (son expression est de la forme mx+ p ). Et, c'est, d'après ce qui précède, la fonction nulle. La seule fonction affine qui convient est telle que m=0 et p=0 . Donc,
{
α−3=0A−2 α+7=0
{
α=3A=−1
Finalement, pour tout x ≠2 , f (x )=3− 1 x −2
4. Montrer que la fonction f est strictement croissante sur ]2 ;+∞ [ . Soit u et v dans ]2 ;+∞ [ tels que u<v .
On a alors : 2<u<v
0<u−2<v −2 (ajouter −2 aux membres d'une inégalité n'en change pas le sens) 1
u−2> 1
v−2 (la fonction inverse est strictement décroissante sur ]0 ;+∞ [ ) − 1
u−2<− 1
v−2 (prendre l'opposé des membres d'une inégalité en change le sens) 3− 1
u−2<3− 1
v−2 (ajouter 3 aux membres d'une inégalité n'en change pas le sens) f (u)< f (v)
On a montré que pour tous u et v dans ]2 ;+∞ [ tels que u<v , on a : f (u)< f (v)
La fonction f conserve strictement l'ordre sur ]2 ;+∞ [ . Autrement dit, la fonction f est strictement croissante sur ]2 ;+∞ [ .
Autre présentation : [x x−2 ] [x 1 x ] [x −x+3 ] ]2 ;+∞ [ –––––––––– ]0 ;+∞ [ –––––––––– ]0 ;+∞ [ –––––––––– ]−∞;−3[ x ––––––––– x−2 ––––––––– 1 x−2 ––––––––– 3− 1 x−2 s ––––––––– 1 s t ––––––––– −t+3 x ––––––-–––––––––––––––––––-–––––––––––––––––––– f (x ) 5. Résoudre l'équation f (x )=3 . f (x )=3 ⇔ 3− 1 x−2=3 ⇔ − 1 x−2=0 Or, pour tout x ≠2 , 1
x−2≠0
L'équation f (x )=3 n'a pas de solution.
6. Déterminer les points d'intersection de la courbe représentative de f avec les axes de coordonnées. f (0)=7
2
La courbe c coupe l'axe des ordonnées au point
(
0 ;7 2)
.f (x )=0 ⇔ x=7
3
La courbe cf coupe l'axe des abscisses au point
(
7 3;0)
. 7. Soit A le point de la courbe c qui a pour abscisse 3.a) Déterminer les coordonnées du symétrique A' de A par rapport au point Ω(2; 3) . f (3)=2 donc A (3 ;2) .
A ' =sΩ(A) donc est le milieu du segment [ AA ' ] .
{
xA+xA ' 2 =xΩ yA+yA ' 2 =yΩ donc{
xA'=2 xΩ−xA yA'=2 yΩ−yA A ' (1 ; 4) b) Montrer que A' ∈ c. f (1)=4 donc A' ∈ c.Remarque : On se rappelle que f est une fonction homographique et que sa représentation graphique est une
hyperbole, centrée en Ω(2; 3) (2 est le seul réel à ne pas avoir d'image par f et 3 est le seul réel à ne pas avoir d'antécédent par f).
conserve l'ordre
change l'ordre
change l'ordre
Exercice 6 :
ABCD est un carré de côté 4. On place les points E et F sur [ AB ] et [ BC ] tels que : BE=BF =x .
1. a) Faire une figure dynamique à l'aide de Geogebra.
b) Conjecturer la position de E sur [ AB ] pour laquelle l’aire du triangle EFD semble être égale à 6.
2. On appelle f la fonction qui à x associe l’aire f x du triangle EFD .
Quel est l’ensemble de définition df de f ?
3. Montrer que, pour tout x ∈ df , f x =–12x24 x .
4. Déterminer la position de E sur [ AB ] pour laquelle l’aire du triangle EFD est égale à 6.
1. b) L’aire du triangle EFD semble être égale à 6 lorsque E est le milieu de [ AB ] . 2. On appelle f la fonction qui à x associe l’aire f x du triangle EFD .
df = [0 ; 4 ]
3. Soit G le point d'intersection de [ BD ] et [ EF ] . aEFD = EF×GD2
EFB est un triangle rectangle isocèle en B . Les côtés de l'angle droit ont pour longueur x .
Donc EF =x
2Par symétrie de la figure autour de BD , G est le milieu de [ EF ] et GB=1
2 EF= x
2 2 .[BD ] est une diagonale d'un carré de côté 4, donc BD=4
2 . G ∈ [ BD ] donc BD=BGGD GD=BD – GB GD=
4 – x 2
2 aEFD = x
2×
4 – x 2
2 2 aEFD = x×
4 – x 2
Finalement, pour tout x ∈ df , f x =–12 x24 x .
Une autre méthode, sans doute plus simple consistait à décomposer le carré ABCD à l'aide des quatre triangles ADE , CDF , BEF et DEF .
On a alors : aEFD = aABCD – aADE – aCDF – aBEF
On retrouverait le même résultat (sans faire apparaître
2 ...).4. f x =6 ⇔
{
– 1 2x 2 4 x=6 x∈[0 ; 4 ] ⇔{
x 2– 8 x12 x∈[0 ; 4 ]Le sommet de la parabole d'équation y=x2
– 8 x 12 a pour abscisse –2×1– 8 =4 et pour ordonnée 42– 8×412=– 4 .
On en déduit la forme canonique de l'expression x2– 8 x12 : Pour tout x ∈ ℝ, x2– 8 x12= x – 42– 4 . f x =6 ⇔
{
x – 4 2– 4=0 x∈[ 0 ;4 ] ⇔{
[x – 4 – 2 ][ x – 42 ]=0x∈[ 0 ;4 ] ⇔{
x – 6 x – 2=0x∈[ 0 ;4 ] ⇔ x=2L’aire du triangle EFD est égale à 6 lorsque x=2, soit lorsque BE=12 BA , donc lorsque E est le milieu de [ AB ] .