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Article pp.1-2 du Vol.36 n°2 (2006)

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(1)

ACTA ENDOSCOPICA

Ri~;~DACTEURS E N C H E F / E D I T O R S P. MAINGUET (Bruxelles), F. VICARI (Nancy)

Ch. FLORENT (Paris), G. GAY (Nancy), M. JUNG (Mayence) R [ ; D A C T E U R S / C O E D I T O R S

Allemagne : M. CLASSEN (Mtinich), M. MAIER (Puttlingen), B. MANEGOLD (Mannheirn), A. PFEIFFER (Miioich).

Angleterre : A.T.R. AXON (Leeds), Ch. WILLIAMS (Londres).

Belglque : L BELAICHE (Liege), J,.C. DEBONGNIE (Ottignies), P. DEPREZ (Bruxelles), L DEVIERE (Bruxelles).

V, GILLARD (Liege).

Espagne : J.R. ARMENGOL MIRO (Barcelone), L BOIX l VALVERDE (Barcelone), J.M. BORDAS (Barcelone), J.M, POU FERNANDEZ (Barcelone), J.A. RAMIREZ ARMENGOL (Madrid), J.L. VASQUEZ IGLESIAS (La Corogne).

France : L BOYER (Angers), J. FAIVRE (Dijon), J.M. CANARD (Paris), R. GIUL1 (Paris), J.F. REY (Saint-Laareot-du-Var), D. SAUTEREAU (Limoges).

Hollande : K. HUIBREGTSE (Amsterdam), G. TYTGAT (Amsterdam).

Hongrie : L. SIMON (Szekszard).

Itafie : G. BATTAGLIA (Padoue), G. CALETTI (Botogne), G. COSTAMAGNA (Rome), F. ROSSINI (Turin), A. RUSSO (Catane).

Portugal : ,I.M. CARRILHO RIBEIRO (Lisbonne), D1N1Z DE FREITAS (Lisbonne), GINESTAL DA CRUZ (Lisbonne), LOMBA VIANA (Lisbonne),

MASCARENHAS SARA1VA (Lisbonne).

Roumanie : A. OPROIU (Bucarest), O. PASCU (Cluj Napoea), C. STANCIU (lasi), Sirnona VALEAN (Cluj).

Suisse : Ph. MONNIER (Lausanne), M. VOIROL (Yverdon-les-Baius), Christa MEYENBERGER (Saint-Gall).

Tch~coslovaquie : Z. MARATKA (Prague).

C O R R E S P O N D A N T S Afrique : F, Klotz (Dakar)

Argentine (Buenos Aires) : Ana Maria BOSCO, V.E. FUCIg~E, Maria Claudia MILANO, C. VARSKY, D. ZAGALSKY.

Canada : N.E. MARCON (Toronto), A. WATIER (Sherbrooke).

Colombie : S. FASSLER (Bogota), A. PENALOZA (Bogota).

Israel : M. BEER GABEL (Jrrusalem), P. ROZEN (Tel Aviv).

Japon : K. KAWAI (Osaka), T. KIDOKORO (Nagoya), T. NAGAYO (Nagoya)

Marne : Naima AMRANI (Rabat), A. BENAISSA (Rabat).

USA : J. WAYE (New York), K.F. BINMOELLER (San Diego).

R U B R I Q U E S

Anapath : Marie Danielle DIEBOLD (Reims), Monique FABRE (Paris), Anne JOURET (Bruxelles).

Bancs d'essai : Anne LE SIDANER (Limoges), J.Ch. LETARD (Poitiers).

Cas cliniques : J. WEBER (Luxembourg).

Coelio-chin~rgie : J. LEROY (Lisieux), M. VAN KEMMEL (Lille), J. MARESCAUX (Strasbourg), J.F. GIGOT (Bruxelles), A. MONTORI (Rome).

Echo-endoscopie : H. GRIMM (Kiehl), M. GIOVANNINI (Marseille), L. PALAZZO (Paris), V. GILLARD (Liege).

EntOroscopie : G. GAY (Nancy), F.P. ROSSINI (Turin), A. VAN GOSSUM (Bruxel[es).

Epp. J. LAURENT (Nancy).

Europe : M, GREFF (Saint-Laurent-du-Var), V. LAMY (Charleroi), A. MARTIN (Padnue).

Gyndcologie : H. Ch. VERHOEVEN (D(isseldort).

F M C - H G E : Ph. HOUCKE (Lille).

Image : J.S. DELMO'ITE (Lille).

Organisuti~m des Cours Europ~ens d'Endoscopie Digestive : J.Ch. AUDIGIER (Saint-Etiern~e), F. COSENTINO (Milan), D. COUMAROS (S)rasbourg).

Pdrindologie : A. WATIER (Sherbrooke).

Pharmacologie Clinique : A. PAPAZIAN (Amiens).

Proc~ologie : P. D1ETERLING,(Nancy).

Radiologie : R. DONDELINGER (Liege), D. RI~GENT (Nancy).

R.M.N. : Val~rie LAURENT (Nancy), C. MATOS (Bruxelles), P.J. VALETTE (Lyon).

SFED : J. LAPUELLE (Toulouse).

V~t~rinaire : F. DARGENT (Paris).

R I ~ D A C T I O N ENDOSCOPICA BRUXELLES Brit. Les A~ches, Site U.C.L., rue Martin V, 40, Boite n ~ 4, B 1200 BRUXELLES.

Trl. : 00 (32) 2762.79.68.

I~DITION A D M I N I S T R A T I O N ENDOSCOP1CA NANCY 127, rue Saint-Dizier, 54000 NANCY.

Trl. : 03.83.37.44.38 - Fax : 03.83,35.34.53.

e-mail : Endoscopica@wanadoo.fr Site: www,act a-endoseopica.corn Direction : F. VICARI.

SecrOtariat-PubIicit6 : L. DEVRED.

Photographie : M. MERLE.

Relations : G. GAY.

Conseil Juridique : Ch. DEMOYEN (Paris).

A B O N N E M E N T S 2006 (5 humerus par an + 2 nurneros sp~cianx) Pour la France, port inclus :

Le numero . . . 43 '~

Abonnement :

Tarif normal . . . 130 Etudiants . . . 82 Pour I'~Iranger :

Abonnement (port inelus) :

Europe . . . 180 ~E Autres pays . . . 195

Les comrnandes et r~glements sont 8 adresser h : Orders and payments must be sent to:

ENDOSCOPICA, 127, rue Saint-Dizier, F-54000 NANCY Trl. : 03 83 37 44 38 - Fax: 03 83 35 34 53 - Banque : Credit Agricole - 6, rue des Michottes.

F-54000 NANCY - Cornpte n ~ 700 5314 6140

E d i t o r i a l

L'~valuation et ies m~decins

La mise en place d'une politique d'rvaluation des pratiques des mrdecins a soulev6 inquirtudes et intrrSts (y compris financiers !). Sous le nom d'rvaluation des pratiques professionnelles, c'est bien d'abord celles des mrdecins dont il s'agit.

Qui a avantage h se faire 6valuer ? La rrponse n'est pas si simple, car tout drpend de ce qui doit 8tre 6valur, de qui s'en charge et de la manirre dont celui-ci entend oprrer (1) (j,ai choisi ce terme avec un peu d'ironie).

S'il s'agit d'rvaluer les moyens h mettre en ceuvre, gageons que le consensus sera obtenu, dans son principe du moins. Les moyens financiers seront bien stir jugrs insuffisants comme tous les acteurs de soins le disent depuis si longtemps. Selon le penser ~ la franqaise, les moyens que l'rtat doit offrir sont toujours ridiculement insuffisants ! S'il s'agit de mesurer les domaines et les niveaux de comprtence, les choses peuvent encore s'arranger condition bien stir que les syndicats, les universitaires et autres formateurs s'entendent, ce qui n'est pas impossible. I1 y a la un gisement de congr~s, formations, srminaires et publi- cations varires oia se retrouveront les professionnels entre eux.

Mais 1~ oil les choses se drgradent, c'est quand il s'agit d'rvaluer les pratiques: qui peut avoir l'outrecuidance (et le temps) d'rvaluer les prafiques au cGeur du mrtier saul/~ se borner ~ l'hygibne, le savoir-vivre et l'organisation. Et d'ailleurs, la porte ne serait-elle pas ainsi ouverte au principal intrressr, le patient, pardon l'usager (service public) ou le client (mrdecine privre). I1 n'est pas certain que tous le souhaitent. Et qu'aurait-on ~t gagner dans cette affaire : quelques coups du crt6 nosocomial et sans doute pas grand chose d'autre, saul une aumrne h venir sur les cotisations d'assurance.

Ce qui pourrait motiver certains, et sans doute une majoritr, ce serait l'rvaluation des rrsultats et de l'efficience... ~t condition, bien stir, qu'il y ait quelque chose ~ trouver en contrepartie. On ne fait pas avancer les hommes autrement. I1 faudrait aussi convaincre que les 6valuations seront factuelles, indrpendantes de toute pression politique oh autre et qu'aucun constat ne sera 6dulcor6 au prrtexte de tenir compte de tel ou tel syst~me ~ ne pas surtout pas remettre en cause.

Est-ce 1~ une utopie ? Peut-~tre mais il est clair que notre socirt6 consumrriste demande de plus en plus la transparence et que les mrdias se chargeront du probl~me pour nous saul

nous y impliquer aujourd'hui.

I1 peut y avoir quelques perdants ; il y aura aussi beaucoup de brnrficiaires (16gitimes puisque leur qualit6 objective sera reconnue). L'image des mrdecins ne s'en trouvera pas altrrre. I1 y a moins ~ risquer ~ se voir 6valuer sur ses rrsultats que sur un rrfrrentiel pure- ment comportemental. Ce qui s'est lentement altrr6 darts l'image du mrdecin, c'est sa place d'artisan altruiste, de notable motiv6 par une vocation humanitaire et humaniste au profit de celle d'un technicien prolrtaris6 parfois dans sa tenue, sa coupe de cheveux et son lan- gage et parfois aussi, vedette du show business avec performances mrdiatiques et quelques autres maladresses.

Ce qui est devenu 6vident, c'est que la sant6 est un dfi, au m~me titre que le logement, la nourriture, les vacances et l'6lectromrnager. Ce qui est clair 6galement, c'est que l'rpoque off un Pran (2) oprrait quand bon lui semblait, comme il lui semblait, sans autre rrfrrentiel que lui-mrme est une 6poque rrvolue. Aujourd'hui, le travail mrdical est un travail d'rquipe oil interviennent de nombreux acteurs avant, pendant, et aprrs l'acte mrdical ou chirurgical. C'est bien vers une apprrciation du travail d'une cha~ne de soins que l'on s'oriente.

La HAS, sagement, tente de faire entrer aujourd'hui mrdecins, soignants et hrpitaux dans cette drmarche d'auto-rvaluation et d'rvaluation tout court, car ce qui est inrvitable doit ~tre anticip6 et organisr. Les rrsultats h en attendre drpendent beaucoup de l'engage- ment des uns, du courage politique des drcideurs et de la lucidit6 de tous.

I1 est 6thiquement bien normal d'avoir h rendre compte des rrsultats obtenus au regard des moyens financiers considrrables mis en jeu. I1 me semble prrfrrable d'avoir une rrflexion << avancre >> dans ce domaine plutrt que s'en tenir h une attitude indiffrrente, condescendante ou corporatiste.

Jean LAURENT President de la C o m m i s s i o n E P P du C R E G G

(1) L a faqon d'oprrer implique le juridique: peut-on innocemment proposer des revues de morbi- mortalit6 sans I'accompagnement juridique qui doit protrger ceux qui s'y engagent, par exemple.

(2) C f << Les morticoles >> de L r o n D A U D E T !

V o l u m e 3 6 - N ~ 2 - 2 0 0 6 I

Cet article des Editions Lavoisier est disponible en acces libre et gratuit sur archives-acen.revuesonline.com

(2)

A C T A E N D O S C O P I C A assure la publication :

-- d ' a r t i c l e s originaux se r a p p o r t a n t I'endoscopie dans ses applications madicales et chirurgicales ;

-- de bancs d'essai de materiel e n d o - scopique ;

-- d'analyses bibliographiques.

A C T A E N D O S C O P I C A int~resse :

les Gastroent6rologues, Gynecologues, O.R.L., Pneumologues, Urologues, Anato- mopathologistes, Chirurgiens, Echogra- phistes, Radiologues, V~t~rinaires et tout Medecin ou Technicien curieux de I'endo- scopie.

ACTA ENDOSCOPICA publishes:

-- original articles concerning endoscopy in its medical and surgical applications;

-- experimental studies ~ end~176 ins- trumentations;

-- bibliographical analysis.

ACTA ENDOSCOPICA is published for:.

Gastroenterologists, Gynecologists, E.N.T., Pneumologists, Urologists, Anatomopatho- /ogists, Surgeons, Echographists, Radio- /ogists, Veterinaries and all Physicians interested by endoscopy.

E d i t o r i a l

The evaluation and the doctors

The creation of a policy for evaluating doctor's practices raises concerns and spikes inter- ests (financial as well!). What is termed the evaluation of doctor's practices is first of all the evaluation of the doctors concerned.

What is the advantage of being evaluated? The response is not so simple, as all depends upon who must be evaluated, who is responsible for it and the fashion in which this person operates (3) (I have chosen this term with a bit of irony).

If it is a question of evaluating the means to be put into place, let's say that a consensus will be reached, at least in principle. The financial means will, of course, be considered to be insufficient as all involved in healthcare have been saying for such a long time. According to French thought, the means that the state must provide are always ridiculously insufficient!

If it is a question of taking measure of the different fields and levels of competence, it might be able to happen given, of course, that the unions, the universities and other schools can reach agreement, which is not impossible. Here there are the meetings, workshops, semi- nars and various publications where professionals can meet amidst themselves.

But where it comes apart is when it is a question of evaluating practices: who has the impertinence (and the time) to evaluate practices at the heart of the profession outside the limits of hygiene, good manners and organisation. In addition, won't the door be thus opened to the principal person concerned, the patient, or the user (public service) or the client (private healthcare). It is not certain that everyone wants this. And what will we have to win in this affair: a few hits on the nosocomial side and doubtless not much else, besides future alms on health insurance payments.

That which could motivate some, and doubtless a majority, would be the evaluation of results and efficiency...with the condition, of course, that there was something to be found in return. There is no other way to get people going. It must also be assured that the evalu- ations will be factual, independent of all political or other pressures and that no observation will be sweetened under the pretext of taking into consideration such and such a system which must above all not be questioned.

Is it a utopia? Perhaps, but it is clear that our consumer society requires more and more transparency and that the media will take charge of the problem for us, while implicating us.

Some may be penatised: there will also be many who benefit (legitimately, as their objec- tive quality will be recognised). The image of doctors will not be altered. There is less at risk to be evaluated according to one's results than according to a purely behavioural scale.

What has slowly been changing is the image of the doctor as an altruistic professional, moti- vated by a humanitarian and humanist vocation, in favour of a technician, proletarianized sometimes with his clothes, his haircut and his language, the star of a business show with media performances and other awkward things.

What has become evident is that health is a right, in the same respect as housing, vaca- tion and electrical appliances. What is also clear is that the epoch where a P6an (4) operated when he thought he should, without other reference than to himself, is over. Today medical work is teamwork where numerous actors intervene before, during and after the medical or surgical act. It is indeed towards the evaluation of a chain of healthcare that we are orienting.

The HAS, wisely, currently tries to involve doctors, other healthcare providers and hos- pitals in self-evaluation and also plain evaluation, as what is inevitable must be anticipated and organised. The results depend largely on the involvement of some, the political courage of deciders and on the lucidity of all.

Ethically, it is standard to have to be accountable for results obtained with regard to the considerable financial means at stake. It seems to me to be preferable to have an

~ advanced >> reflection in this field rather than to assume an indifferent, condescending or corporatist attitude.

Jean LAURENT President of the "EPP" Section of the CREGG

(3) The way of operating implies the legal sense of the word: can one innocently propose a review of morbidity-mortality without the legal accompaniment of those who engage themselves, for example.

(4) Cf <~ Les morticoles >> by Lron DAUDET !

Acta Endoscopica

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