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Depuis le 1er janvier 1976: Organe d'information de la Société fribourgeoise des écrivains

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1 i l

I *

LA VIE MUSICALE

Fr. 2.20

(2)

FRIBOURG - ILLUSTRÉ La vie musicale

Organe officiel des Fribourgeois

«hors les murs» depuis 1957 Depuis le 1er octobre 1975, organe de liaison de:

— Société cantonale des Musiques fribourgeoises

— Société cantonale des chanteurs fribourgeois

— Céciliennes

— Fédération fribourgeoise du cos¬

tume et des coutumes

— Fédération fribourgeoise des ac¬

cordéonistes

— Association des organistes

— Conservatoire de musique.

Depuis le 1er janvier 1976:

Organe d'information de la Société fribourgeoise des écrivains.

FRIBOURG-ILLUSTRÉ La vie musicale

Magazine bimensuel paraissant le premier et le troisième mercredi de chaque mois.

Edition, impression, administration:

Imprimerie Fragnière SA 35, route de la Glâne

1700 Fribourg Tél. 037 24 75 75 Rédaction:

Case postale 341 1701 Fribourg Tél. 037 24 75 75 Télex: 36 157

Rédacteur en chef responsable et photographe:

Gérard Bourquenoud Bureau: 037 24 75 75 Privé: 037 46 45 27

Rédacteur «La vie musicale»

Pierre Kaelin Bureau 037 22 16 03 Privé: 037 26 23 69

Quinze jours avant la parution Abonnements:

Suisse Annuel Six mois Trois mois Etranger Envoi normal:

Envoi par avion:

Fr. 36.90 21 — 15.—

Fr. 49 — 73.—

Compte de chèques postaux 17-2851

«Fribourg-lllustré» et le supplément

«La Vie musicale» ne peuvent être vendus séparément.

La reproduction de textes ou d'illus¬

trations ne peut se faire qu'avec l'autorisation de la rédaction.

La rédaction n'assume aucune res¬

ponsabilité pour les manuscrits et photos non commandés.

Service des annonces:

Annonces Suisses SA (ASSA) 8, bd de Pérolles

1700 Fribourg Tél. 037 22 40 60

Acquisiteur en annonces pour Fribourg-lllustré:

André Vial, Bulle Bureau: 037 22 40 60 Privé: 029 2 55 30 Tarif de publicité:

1/1 page Fr. 635.—

1/2 page 340.—

1/4 page 180.—

1/8 page 95.—

1/16 page 53.—

Supplément «La Vie musicale»

Une case 50 x 34 m/m Fr. 40.—

Reportage publicitaire:

1/1 page Fr. 750 — Rabais de répétition et sur abonne¬

ments d'annonces.

SOMMAIRE

Nous les jeunes

Sept hommes pour diriger le pays Programme TV

8e district fribourgeois Notre guide gastronomique Avant la Poya d'Estavannens Coupe romande de l'accordéon Feuilleton FI

L'abbé Bovet toujours présent...

Eglise de Matran

Sport équestre et Montréal Vos vacances chez nous Théâtre patois à Treyvaux Nouvelles installations pour la fromagerie de Rueyres-Treyfayes Concours FI

Les défunts Flashes du canton

^ » »» ♦» ♦»

A nos lecteurs.

Les textes et photos que vous désirez voir paraître dans notre magazine doi¬

vent parvenir à l'adresse suivante:

Rédaction de Fribourg-lllustré 35. rte de la Glâne

1701 Fribourg

Parution de notre prochain numéro Mercredi 19 mai 1976 Notre couverture

Dans ce paysage pittoresque des Arses, à Charmey, Charlotte a dé¬

couvert le printemps, du soleil, des fleurs, des racines, des fraises, en respirant le bon air de la montagne.

Photo Fribourg-lllustré

A la recherche des causes profondes de la guerre de Bourgogne

Malgré les efforts des chercheurs, il n'a pas encore été possible d'établir avec certitude toutes les raisons profondes qui ont conduit aux guerres de Bourgo¬

gne ainsi que les raisons de la politique bernoise et confédérée. Cela explique l'intérêt du colloque historique interna¬

tional qui s'est tenu à Morat au cours duquel des historiens de six pays n'ont pas chercher à reconstituer ou à glori¬

fier un événement du passé, mais à ana¬

lyser de façon critique la situation quia conduit à cette guerre.

Pour se faire une idée nouvelle sur la politique confédérée d'il y a 500 ans (surtout à la lumière des plus récentes études) il ne suffit pas de reconstituer la ou même les batailles. Il faut analyser les guerres de Bourgogne sous divers angles. Certes, l'époque de Charles le Téméraire nous est étrangère en de nombreux points, mais elle présente d'étonnantes similitudes avec la situa¬

tion actuelle.

En effet, les tentatives pour une nou¬

velle organisation politique de l'Europe, les conflits sociaux, les difficultés éco¬

nomiques et les tensions dans le monde cultivé de l'époque, ne sont pas sans parallèles avec notre époque. Un cer¬

tain nombre d'évolutions qui se sont amorcées alors restent décisives pour notre époque. Nous évoquerons les dé¬

buts des états nationaux et territoriaux européens, la naissance de l'adminis¬

tration moderne et l'omniprésence de

l'Etat. Les débuts de l'organisation mili¬

taire moderne et de la diplomatie ainsi que les racines du système économique capitaliste se situent également dans le contexte de cette époque.

Ces nouvelles idées, ces évolutions qui s'amorcent luttent contre des forces conservatrices, contre l'autarcie des princes et des villes, contre la volonté de gouverner et de diriger qu'à l'Eglise.

Ces éléments ont eu une influence cer¬

taine sur les causes des guerres de Bourgogne qui apparaissaient aux ob¬

servateurs d'alors comme un tournant dans l'histoire. Pour nous, hommes du XXe siècle il est intéressant de chercher à déterminer l'importance de ces diffé¬

rentes influences et évolutions sur ces guerres.

ETES-VOUS NOTRE GAGNANT?

La personne dont le visage est entouré d'un cercle, est invitée à se présenter à notre bureau jusqu'au 15 mai 1976 ou de nous faire parvenir une photo récente. Le gagnant touchera un abonnement de trois mois à

«Fribourg-lllustré - La vie musicale».

Courrier des lecteurs A la rédaction de FI,

Je vous remercie du beau reportage paru en janvier sur Semsales. Cela m'a fait très plaisir et m'a rappelé de nombreux souvenirs de ce village où j'ai passé la grande partie de ma vie.

Veuillez agréer... R perrotti

Prangins

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Nous les jeunes

La jeunesse et le troisième âge

Le problème que nous soulevons au¬

jourd'hui pourrait bien faire des remous dans l'une ou l'autre famille de chez nous. Nous voulons parler du problème des parents âgés vivant avec leurs en¬

fants. On nous a écrit à ce sujet en nous expliquant combien il est difficile de vivre avec des gens du troisième âge qui ont gardé une certaine autorité sur leur fils qui a repris l'exploitation du do¬

maine, ou de la fille qui est restée à la maison paternelle, parce qu'elle n'a pas encore trouvé l'homme de sa vie. Que la situation est parfois pénible pour un couple qui s'entend parfaitement bien, mais dont l'humeur des parents ne per¬

met de sourire qu'en cachette ou ail¬

leurs qu'au foyer. Les nerfs ne tiennent souvent plus le coup, l'entente n'est plus possible entre parents et enfants, tout le monde doit se soigner.

Nous pensons que c'est une erreur de vivre avec les parents dans la même maison, la même ferme, ou le même appartement. Si chacun peut se mettre à l'aise, alors tout ira beaucoup mieux pour tout le monde. Avec l'AVS, bien des parents s'en vont prendre un peu de repos dans une petite maison qu'ils ont acquis par leur travail, d'autres vont vivre dans un home pour personnes âgées. Mais il y a ceux qui ne veulent pas quitter la ferme où ils ont vécu toute leur vie. C'estcompréhensible dans un sens.

Précisons qu'il y a également des per¬

sonnes âgées qui ne peuvent pas s'ha-

Le coin

des animaux

Le chat:

un animal plein de mystère

bituer à une nouvelle vie solitaire en dehors du foyer des jeunes.

Le lettre d'une jeune couple nous pré¬

cise que l'initiative de quitter la maison ou la ferme appartient aux personnes âgées. Celles-ci doivent se rendre compte que leur place n'est pas néces¬

sairement dans l'appartement loué par leurs enfants qui ont de la progéniture.

Cela est unechose. Allez direaux parent ou grands-parents qu'ils n'ont pas à s'occuper de l'éducation des gosses, de l'organisation de l'entreprise ou de l'exploitation! Ce sont là des sources de conflits continuels. Nous admettons que c'est un peu dur de parler ainsi, mais voyons la réalité en face.

Un jeune homme qui vient d'accomplir son école de recrues, nous a écrit pour nous dire que jamais il ne vivra avec ses parents lorsqu'il sera marié et qu'il aura des enfants, lia peut être raison. Un bon père de famille nous a avoué que c'était aux enfants de s'établir ailleurs. Est-ce la bonne solution?

Si vous en voyez une autre pour rendre heureux les enfants mariés qui vivent avec leurs parents, n'ayez crainte de nous faire part de votre point de vue. On est là pour discuter. Et votre proposi¬

tion pourrait éventuellement éclairer bien des personnes âgées et même les jeunes dont la plupart ont encore beau¬

coup à apprendre.

Nous les jeunes

Le chat, disent les naturalistes, est un vertébré mammifère, de l'ordre des carnassiers, famille des carnivores, tribu des digitigrades, genre des féli¬

dés, lequel renferme le lynx, le tigre et le lion, le léopard et le guépard. Le sys¬

tème dentaire du chat comporte vingt- six dents pour la première dentition et trente dents pour la seconde dentition.

Le miaulement des chats est assez va¬

rié. Le cri d'appel des mâles et des fe¬

melles, celui des femelles pour appeler leurs petits, le cri pour demander la nourriture, celui qui exprime la joie ou celui de la souffrance. Ses longues moustaches n'ont qu'un rôle décoratif.

NOTRE MAGAZINE OUVRE SES COLONNES A LA JEUNESSE FRIBOURGEOISE, AFIN QU'ELLE PUISSE AUSSI S'EXPRIMER

Elles augmentent sa sensibilité et lui servent à se diriger et à mieux sentir les obstacles dans la nuit. Si le goût est d'une grande délicatesse, l'odorat est, au contraire, relativement peu déve¬

loppé. L'ouïe est très fine. Le chat est capable de capter le moindre bruit. Pour la femelle, la durée moyenne de la ges¬

tation varie de 65 à 67 jours. En liberté, le chat mange des souris et des oiseaux, c'est-à-dire de la viande crue. C'est un animal gourmand, mais très propre. Il passe de longues heures à sa toilette, imbibant sa patte de salive avant de lécheravec un soin minutieux toutes les parties de son corps.

Nous attendons avec impatience votre courrier à l'adresse suivante:

Rédaction de Fribourg-lllustré Rubrique «Nous les jeunes»

35, rte de la Glane 1700 Fribourg

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LA SUISSE: un pays, une patrie, et sept conseillers fédéraux

RUDOLFGNAEGI Président de la Confédération Chef du Département militaire Son père était agriculteur. Il vécut toute sa jeunesse à la campagne et restera toujours marqué par l'esprit des gens de la terre. Mais son père était aussi un homme politique, président de sa com¬

mune dès l'âge de vingt ans, puis dé¬

puté au Grand Conseil bernois, enfin conseiller national pendant vingt ans, fondateur aux côtés de Rudolf Minger du Parti des paysans, artisans et bour¬

geois. Si Rudolf Gnägi n'est pas devenu paysan, il a suivi l'exemple paternel sur le plan politique. Il éprouve un grand respect pour ce que la nature et la tradi¬

tion nous ont donné. Il est porté à pen¬

ser que les hommes d'aujourd'hui ont pour strict devoir de transmettre cet héritage aux générations suivantes.

Très particulièrement, il considère que nos institutions démocratiques revê¬

tent un caractère sacré. A ses yeux, si elles peuvent subir quelques perfec¬

tionnements, ells ne sauraient souffrir d'être modifiées dans leurs traits fon¬

damentaux. Conservateur, il ne porte pas une sympathie spontanée et active à ceux qui entendent tout remettre en question.

Bachelier ès lettres classiques, titulaire du brevet d'avocat, il exerce le barreau pendant trois ans. Mais, bientôt, immé¬

diatement après la Seconde Guerre mondiale, il se met au service du parti PAD fondé en 1919 pour encourager l'agriculture et la petite industrie, pour protéger l'artisanat et les classes moyennes, pour maintenir une défense nationale forte et pour lutter contre toutes les formes de collectivisme. Se¬

crétaire pendant six ans du parti ber¬

nois. puis du parti suisse pendant cinq ans. il est appelé en 1952 à prendre au Conseil exécutif du canton de Berne la succession de Markus Feldmann, élu au Conseil fédéral. Il y assume la direction du Département de l'économie pu¬

blique et. en cette qualité, voue ses soins à l'orientation et à la formation professionnelles, au développement des technicums, à l'industrie horlogère, au tourisme. En 1953, il accède au Con¬

seil national. Il sera appelé à jouer un rôle en vue au sein de la commission d'en¬

quête chargée de faire la lumière sur l'affaire des Mirage, ceci en étroite col¬

laboration avec deux de ses futurs col¬

lègues au gouvernement fédéral, Kurt Furgleret Pierre Graber. Elu au Conseil fédéral où il succède en qualité de Ber¬

nois à Friedrich Traugott Wahlen, il prend la direction du Département des transports et communications et de l'énergie. Il s'y sent à l'aise, car il a œu¬

vré activement en faveur du tourisme tout au long de sa carrière. Il aura ainsi l'occasion d'être le premier conseiller fédéral à se rendre officiellement en URSS. Il signera à Moscou la conven¬

tion soviéto-suisse sur la trafic aérien.

Au bout de deux ans et demi seulement, il doit quitter ce département, pour prendre la direction de la Défense natio¬

nale que le passage de M. Nello Celio aux Finances a laissé vacant. Il accepte par esprit de discipline. Des décisions importantes l'y attendent: le choix d'un nouvel avion de combat, le statut des objecteursde conscience, etc. La tâche est d'autant plus lourde que les contro- versésau sujet de l'armée se multiplient M.'Gnägi fait face avec son habituelle patience.

Né à Schwadernau, près de Nidau, le 3 août 1917. Gymnase à Bienne. Uni¬

versité de Berne. Avocat 1943-1946.

Secrétaire PAB bernois 1946. Secrétai¬

re parti PAB suisse 1947 - 1952. Conseil exécutif du canton de Berne 1952 - 1956. Président de la Conférence des chefs des départements cantonaux de l'économie publique 1957 - 1961. Con¬

seil national 1953 - 1965. Elu au Conseil fédéral le 8 décembre 1965. Chef du Département des transports et com¬

munications et de l'énergie, 1966 à fin juin 1968. Chef du Département mili¬

taire dès juillet 1968. Président de la Confédération 1971. Marié, père de quatre fils. Major d'artillerie.

KURT FURGLER Vice-président du Conseil fédéral Chef du Département de Justice et Police

Cet homme politique saint-gallois avait 47 ans seulement quand il fut élu au Conseil fédérai. Mais il était incontesta¬

blement une des vedettes du Conseil national auquel il appartenait depuis non moins de 17 années. Il avait mené sa carrière tambour battant, ouvrant une étude d'avocat à l'âge de 26 ans, ser¬

vant de secrétaire, puis de président aux chrétiens-sociaux saint-gallois, passant au Grand Conseil pendant deux législatures, entrant au Conseil national à 30 ans, président des commissions importantes, présidant le groupe démo-chrétien pendant deux législatu¬

res, faisant face au travail immense d'une étude d'avocat très bien achalan¬

dée, trouvant le temps de faire une ra¬

pide ascension au grade de colonel bri¬

gadier et de pratiquer divers sports jusqu'à devenir capitaine de l'équipe suisse de handball. Il était assez clair que rien ne viendrait freiner ce mouve¬

ment et que Kurt Furgler atteindrait aux charges suprêmes.

Ce qui l'avait particulièrement mis en évidence, ce qui avait permis à sa répu¬

tation de dépasser les limites de son canton et de la Suisse alémanique, c'est incontestablement la présidence de la commission d'enquête sur l'affaire du Mirage. Sur son intervention, avec le concours actif de deux de ses futurs collègues du Conseil fédéral, Pierre Graber et Rudolf Gnägi, il mena de lon¬

gues journées de «hearing» à l'améri¬

caine. On vit passer ainsi sur le gril toute une série de grands personnages de l'administration et de l'état-major gé¬

néral. On a su que les responsables de cette malheureuse mésaventure, et quelques autres également, ne furent pas ménagés. Kurt Furgler aime aller au fond des choses. Au sein de son parti, il a exercé une influence déterminante sur la rénovation de la doctrine démo-chré¬

tienne. A la tête de la commission mili¬

taire et de la commission des affaires étrangères, il s'est montré d'une inlas¬

sable et nécessaire curiosité, faisant preuved'une subtilité de théologien, de l'alacrité d'esprit propre à un grand ju¬

riste et d'une rigueur de raisonnement naturelle chez un professeur de droit.

S'il aime aller rondement de l'avant, il sait également faire preuve de patience et de souplesse, quand il faut attendre que les situations mûrissent pour dé¬

nouer des problèmes complexes.

On sait qu'en sa qualité de chef du Dé¬

partement de justice et police, mais aussi de coréligionnaire de nombreux Jurassiens, il s'intéresse à la solution du problème jurassien. Il a noué des con¬

tacts. Il se renseigne. Il constitue son dossier. Il ne le laissera pas toujours fermé. Son esprit est tourné vers l'ave¬

nir. Acceptant son mandat gouverne¬

mental, il déclara que, cet avenir, il faut le construire avec le concours de tous, avant tout de la jeunesse et qu'il s'im¬

pose de dissiper dans la vieille généra¬

tion le sentiment d'insécurité et de peur qu'elle éprouve face à la contestation de la société actuelle.

Originaire de Valens-Pfäfers (SG), né le 24 juin 1924 à Saint-Gall où il suit ses classes primaires et secondaires. Uni¬

versités de Fribourg, Genève et Zurich.

Elève de l'Institut universitaire de Hau¬

tes Etudes Internationales à Genève.

Doctorat en droit sur les «Problèmes»

fondamentaux de la responsabilité des Etats du point de vue du droit des gens». Avocat 1950. Deux législatures au Grand Conseil. Conseil national 1954. Présidence de la commission d'enquête sur l'affaire des Mirage 1964.

Président du groupe démo-chrétien des chambres fédérales 1963-1971.

Délégué au Conseil de l'Europe à Stras¬

bourg. Elu au Conseil fédéral 8 décem¬

bre 1971.

GEORGES-ANDRÉ CHEVALLAZ Conseiller fédéral Chef du Département des Finances et des Douanes Originaire de Montherod, dans le dis¬

trict d'Aubonne, issu d'une famille soli¬

dement liée au Pays d'EnHaut, il naît à Lausanne où il est formé à tous les de¬

grés del'enseignement. Historien, voué au professorat, il entre dans la politique active la quarantaine passée. S'il a donné une grande partie de ses forces à sa ville natale et à son canton, il est devenu rapidement un membre en vue des Chambres fédérales. Ses études et sa connaissance du passé, suisse et international, l'avaient préparé à traiter avec maîtrise les problèmes de la poli¬

tique suisse et des affaires étrangères.

Travailleur infatigable, il n'a d'ailleurs jamais abandonné, en dépit de ses lour¬

des charges politiques, ses recherches historiques. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages: Histoire générale de 1789 à nos jours. Le Traité de Vienne et la cons¬

truction de l'Europe. L es grandes confé¬

rences diplomatiques (dans Les dos¬

siers de la Seconde Guerre mondiale), La paix des démocraties ou l'illusion wilsonniénne. Les tournants diploma¬

tiques (dans Les dossiers de la guerre froide), ainsi qu'un essai sur la politique intérieure La Suisse ou le sommeil du juste.

Né à Lausanne le 7 février 1915. Licence ès lettres 1937. Docteurès lettres 1949.

Major d'infanterie. Professeur à l'Ecole supérieure de commerce 1942 - 1955.

Directeur de la Bibliothèque cantonale et universitaire et chargé de cours d'histoire diplomatique 1955 - 1958.

Syndic de Lausanne 1958 - 1973. Con¬

seiller national 1959. Membre (1964)du Conseil de la fondation Pro Helvetia, puis vice-Président de celle-ci (1966).

Président de l'Union des Villes suisses 1967 - 1973. Président de la délégation suisse de la Conférence européenne des Pouvoirs locaux et président de la Commission générale de cette confé¬

rence 1968. Présidentdela Commission nationale suisse pour l'Unesco 1969 - 1971. Président de la Commission des affaires étrangères du Conseil national 1970- 1971. Président du groupe radi¬

cal des Chambres fédérales 1970. Con¬

seiller fédéral 1974.

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LA SUISSE: un pays, une patrie, et sept conseillers fédéraux

ERNST BRUGGER Conseiller fédéral Chef du Département de l'Economie publique

Quand il prit la direction du Départe¬

ment fédéral de l'économie publique au début de janvier 1970, ce nouveau con¬

seiller fédéral était pratiquement in¬

connu de la grande majorité des parle¬

mentaires, ses grands électeurs. Mais, outre que ses concitoyens zurichois le recommandaient vivement, sa person¬

nalité séduisait par l'originalité de sa formation et par la variété exception¬

nelle de ses activités antérieures. Il avait vu le jour à Bellinzone où son père était mécanicien au service des CFF. Mais, trois ans plus tard, celui-ci réalisait un vieux rêve, achetait un domaine agri¬

cole à Mönchaltorf dans le canton de Zurich et devenait paysan. Très jeune, son fils travailla aux champs et sa fa¬

mille n'envisageait pour lui pas d'autre avenir que celui d'un homme de la terre.

Mais son instituteur qui appréciait son intelligence et sa vivacité réussit à con¬

vaincre ses parents de l'envoyer à l'Ecole normale de Küsnacht. Institu¬

teur à Wila, il fit parallèlement des étu¬

des de lettres à l'Université de Zurich et acquit un brevet de maître secondaire.

Là-dessus, il partit pour l'Angleterre où il travailla comme traducteur dans une usine d'aviation de Croydon. Il y reçut son brevet de pilote. Ses séjours d'étu¬

des le menèrent également à Paris et à Poitiers. Revenu au pays, il enseigna à l'Ecole secondaire de Gossau (ZH), commune victime de la crise, mori- bondr sans doute condamnée.

L'unique usine de la petite ville ferme ses portes et 300 chômeurs désespèr¬

ent de retrouver un sort meilleur. Ernst Brugger, en marge de son enseigne¬

ment, lutte contre le marasme, cherche à répandre une nouvelle confiance. Il redonne vie à des sociétés culturelles.

Longtemps, sa carrière publique est apolitique. Mais, plus tard, ses conci¬

toyens l'envoient au Grand Conseil et le mettent à la tête de la commune en qualité de président. Et, plus tard, c'est le Conseil d'Etat où, dirigeant tout d'abord le Département de l'Intérieur et de la Justice, il réussit la tâche délicate

de faire voter une nouvelle législation ecclésiastique, mène à chef une ré¬

forme de la Cour d'assises et met au point une nouvelle péréquation des charges entre le canton et les commu¬

nes. Ensuite, dirigeant le Département de l'économie publique, il traite de tous les problèmes qu'il retrouvera plus tard au Palais fédéral: le logement, les tra¬

vailleurs étrangers, l'agriculture, le tra¬

vail, la protection des travailleurs. On lui fait crédit en raison de son objectivité, de sa pondération. Sa carrière est heu¬

reuse. Il la poursuit à Berne. Il y pratique avec rigueur et persévérance une poli¬

tique de stabilisation du nombre des travailleurs étrangers. Il a pris l'initiative d'une politique plus efficace et plus réa¬

liste en matière d'encouragement de la construction. Il est à l'origine du projet d'article constitutionnel sur la politique conjoncturelle. Il a pris rapidement une place importante dans la vie fédérale.

Originaire de Möriken (AG), aujourd'hui de Gossau (ZH). Né à Bellinzone le 10 mars 1914. Brevet d'instituteur 1932.

Brevet de maître secondaire 1933. En¬

seigne à Gossau dès 1936. Officier ob¬

servateur d'aviation, puis affecté à «Ar¬

mée et Foyer». Grand Conseil 1974. Pré¬

sident de la commune de Gossau 1950.

Conseil d'Etat et chef de l'Intérieur et de la Justice 1959. Chef de l'Economie pu¬

blique 1967. Elu au Conseil fédéral le 10 décembre 1969. Président de la Confé¬

dération 1974.

PIERRE GRABER Conseiller fédéral

Chef du Département politique Il est au plein sens de ce mot un homme politique. On a peine à imaginer qu'il aurait pu choisir une autre carrière. Il aime la lutte. Manier les hommes et les foules est chez lui plus qu'un besoin, une passion. Aussi est-il né et a-t-il été élevé dans un climat d'affrontements

politiques quasiment permanents. Son père, instituteur à la Chaux-de-Fonds, était un des chefs du socialisme romand dès la fin du siècle dernier. C'était l'époque où les travailleurs avaient en¬

core tout à conquérir, où la défense de la cause ouvrière exigeait de l'intransi¬

geance et du courage. Les ténors du mouvement étaient suspectés de très noires intentions. Ils devaient faire face à des adversaires qui professaient à leur égard plus que de l'hostilité. Quand Pierre Graber eut à choisir un métier, il opta sans hésiter pour la politique. On était en pleine crise économique. Quit¬

tant son canton d'origine, il s'établit dans lecantonde Vauden 1933 pour ne plus le quitter. Il ouvre une étude d'avo¬

cat. Mais, surtout, dès après son arri¬

vée, il est élu au législatif lausannois. Six ans plus tard, il devient secrétaire ro¬

mand du Parti socialiste suisse. La tâ¬

che est dure. Il s'agit de reconstituer un parti socialiste, après que Léon Nicole eut entraîné la plus grande partie de ses troupes vers le communisme. Il reprend l'affaire à la base, avec une poignée d'amis. Il réussit. Dès lors, son ascen¬

sion politique est assurée: le Grand Conseil vaudois, la syndicature lausan¬

noise et la direction des finances muni¬

cipales, le Conseil national, le Conseil d'Etatvaudois, leConseilfédéral. Il s'af¬

firme auprès de ses coreligionnaires politiques autant que face à ses adver¬

saires. Ses capacités administratives sont incontestables. Ses dons oratoires et ses talents de polémiste sont redou¬

tables. Il tient solidemnet en mains le Parti socialiste vaudois qu'il préside pendant 14 années, et qu'il empêchede conclure alliance ~vec les communistes du POP: Il s'impose à la Municipalité et devant le Conseil communal, plus tard au sein du Conseil d'Etat. Aux Cham¬

bres fédérales, on lui confie des tâches difficiles, la présidence de la Commis¬

sion des affaires étrangères, la présen¬

tation du rapport français sur l'affaire des Mirage. Tout cela ne va pas sans mal. Son ironie, arme redoutable en Suisse romande, est peu appréciée dans les enceintes parlementaires. Elle lui vaut des inimitiés durables. Il n'est pas homme à baisser pavillon. Quand il entend donner un style nouveau au rôle du chef de la diplomatie suisse et qu'il multiplie les voyages à l'étranger, on lui en tient rigueur. Il persévère et, peu à peu, au fur et à mesure que s'aggravent les difficultés internationales, on recon¬

naît l'utilité des contacts qu'il a établis dans de nombreux pays d'Europe et de plus lointains continents. Plus nette¬

ment encore que ses prédécesseurs, il est l'homme de la neutralité active et de la présence helvétique dans le monde.

Originaire de Langenbruck (BL) et La Chaux-de-Fonds (NE). Né à la Chaux- de-Fonds le 6 décembre 1908. Gym¬

nase à Neuchâtel et Berne. Universités de Neuchâtel et Vienne. Licencié en droit, ès sciences commerciales et ad¬

ministratives. Avocat à Lausanne dès 1933. Conseil communal Lausanne 1933-1946. Syndic. 1946-1949. Con¬

seiller municipal chargé des finances 1949-1962. Député au Grand Conseil vaudois 1937 - 1946.SecrétaireduParti socialiste suisse romand 1939 - 1946.

Membre du Conseil d'Etat vaudois, chargé des finances 1962- 1969.Prési¬

dent 1968. Conseil national 1942- 1969.

Présidentdugroupe socialiste 1967. Elu au Conseil fédéral le 10décembre 1969.

Succède à Willy Spühler à la tête du Département politique. Entre en fonc¬

tions le 1er février 1970.

HANS HURLIMANN Conseiller fédéral Chef du Département de l'Intérieur

Il n'est peut-être pas en Suisse de mem¬

bre de nos autorités dont on puisse dire qu'il est à ce point un homme politique né. En pleine adolescence et bien avant que de bénéficier de ses droits civiques, il ne manquait jamais les assemblées communales de son lieu d'origine, Walchwil, dont les séances, petites Landsgemeinde à l'échelon local, se te¬

naient en plein air. Avec plusieurs ca¬

marades, en particulier avec son homo¬

nyme en compagnie duquel il a fait toute sa carrière à Zoug et aux Cham¬

bres fédérales, il se passionnait. Il ré¬

prouvait le besoin de participer, d'être présent, de faire avec persévérance cet apprentissage politique. Mais ses préoccupations n'étaient pas limitées aux événements de la terre natale. Sa culture classique est d'une qualité exceptionnelle. Il a grandi en compa¬

gnie des grands écrivains, des poètes et des philosophes de l'Antiquité. Comme son prédécesseur Philppe Etter, il lit au¬

jourd'hui encore leurs œuvres dans le texte original. Il a fait ses études univer¬

sitaires à Fribourg et à Berne. C'était le temps de guerre et les circonstances ne lui ont pas permis de compléter sa for¬

mation à l'étranger. Mais, précisément, sa culture très étendue a nourri dans son esprit le sens de l'universel. A quoi s'ajoute une connaissance approfondie des hommes de ce pays qu'il a acquise au gré d'une carrière politique et mili¬

taire à laquelle il a voué toutes ses for¬

ces. Il est exigeant, rigoureux, ennemi de la superficialité. Ce qu'il attend d'au- trui, il l'accueilleavec l'amitié qu'il porte naturellement à ceux qu'il rencontre ou avec lesquels il travaille. On le lui rend bien. Il a été élu au Conseil fédéral parun grand mouvement non seulement d'es¬

time, mais de sympathie.

Né le 6 avril 1918 à Walchwil/ZG, sa commune d'origine. Collège à Einsie¬

deln. Universités de Fribourg et Berne.

Docteur en droit 1943. Avocat 1945.

Conseiller juridique de la Ville de Zoug 1946. Grand Conseil 1947. Chancelier delà Ville 1954. Conseiller d'Etat 1954 - 1973. Dirige les Départements de jus¬

tice, police et militaire jusqu'en 1961, puis dès 1962 le Département de l'ins¬

truction publique et des cultes. Prési¬

dent de la Conférence des Directeurs cantonaux de l'Instruction publique 1968 à 1973. A ce titre pionnier de la coordination scolaire. Colonel EMG, chef de l'EM de la Division de monta¬

gne. Conseil fédéral 1974.

(6)

LA SUISSE: un pays, une patrie, et sept conseillers fédéraux

WILLI RITSCHARD Conseiller fédéral

Chef du Département des trans¬

ports et communications et de l'énergie

Le seul conseiller fédéral - avec Numa Droz qui fut graveur - qui ait exercé au début de sa carrière un métier manuel.

L'un des seuls - avec Paul Chaudet et Ernst Nobs - qui n'ait pas suivi les cours d'une institution universitaire. Sa per¬

sonnalité s'est imposée par d'autres qualifications. Il naît dans le canton de Soleure vers la fin de la Première Guerre mondiale. Son père cordonnier, est un ardent militant du Parti socialiste et fait partie du Grand Conseil pendant quatre législatures successives. Cadet d'une famille de cinq enfants, Willi Ritschard fait ses classes primaires et secondai¬

res, puis à l'âge de quinze ans com¬

mence un apprentissage de monteur en chauffage central. Mais la grande crise économique atteint la Suisse. Le jeune Soleurois est victime du chômage, comme tant d'autres. En attendant des jours meilleurs; il trouve un gagne-pain comme auxiliaire dans l'administration cantonale. Mais, son vrai départ dans la vie, il le fait dans le cadre des syndicats.

Rapidement on lui confie des responsa¬

bilités. Il suit les cours de la Centrale suisse d'éducation ouvrière où un de ses professeurs, le futur conseiller fé¬

déral Max Weber, le distingue et l'en¬

pouvoir acquérir en suivant une confor¬

table filière, très particulièrement dans le domaine de la culture et de la forma¬

tion générale, il en fera la conquête tout seul ou en compagnie de camarades de travail et de combat. Il déborde de vie.

Ses charges syndicales, bientôt ses ac¬

tivités politiques sa conquête d'une culture, ne suffisent pas à absorber tout son temps. Il reste près de la nature, vouant ses heures de loisirs à de lon¬

gues marches dans le Jura. Il est près des hommes, participant activement à la vie des sociétés locales. Il brasse la réalité à pleines mains. Ses concitoyens ne s'y trompent pas. Son tempérament profont est celui d'un politique. Il a à peine vingt-cinq ans qu'il devient con¬

seiller communal de sa commune qu'il va présider pendant douze ans. Deux ans plus tard, il entre au Grand Conseil.

A trente-sept ans, il est conseiller na¬

tional. A quarante-six, il entre au Con¬

seil d'Etat pour gérer les finances du canton de Soleure. Très rapidement, sa compétence est reconnue en dehors des frontières de sa petite patrie. Il de¬

vient le président très écouté de la Con¬

férence des directeurs cantonaux des finances et préside la commission insti¬

tuée pour étudier l'harmonisation des fiscalités cantonales. A la même époque, on l'appelle à siéger au Conseil d'administration des CFF, de Radio Suisse S.A. au Comité directeur de l'Of¬

fice national suisse du tourisme, ainsi

18.35 Rendez-vous 19.05 Affaires publiques 19.40 Téléjournal

19.55 Loterie suisse a numéros 20.05 A vos lettres

20.30 Chatillon tambour battant 21.30 Devertimento-spécial rose d'or 22.20 Football

Dimanche 16 mai 10.00 Culte SRG 11.00 Téléjournal 11.05 Tel-hebdo 11.30 Table ouverte 12.45 Horizons

13.05 Aventure dans le delta du danube 14.20 Nous avons l'honneur

15.20 Grand prix de Belgique 17.10 Emission jeunesse 17.35 Présence religieuse 17.55 Téléjournal

18.00 Les grandes batailles du passé 18.55 Dessins animés

19.05 Résultats sportifs 19.40 Téléjournal 19.55 Spécial cinéma 21.40 Entretiens 22.10 Vespérales

Lundi 17 mai 17.20 Point de mire 17.30 Les 4 coins 17.55 Téléjournal 18.00 Emission jeunesse 18.25 Sous la loupe 18.50 Nounours 18.55 Le village englouti 19.15 Un jour une heure 19.40 Téléjournal 20.00 Un jour, une heure 20.15 Archives

21.15 Les comiques associés 21.40 La voix au chapitre Mardi 18 mai

17.40 Point de mire 17.55 Téléjournal 18.00 TV-jeunesse

et rhéto-romanche de radiodiffusion et de télévision.

Socialiste convaincu, Willi Ritschard n'est pas un doctrinaire. Il est avant tout un réaliste, persuadé que l'on atteint d'autant mieux ses objectifs si l'on sait pratiquer la politique du possible. Mais, celle-ci, il la mène avec sa nature de lutteur et son tempérament combatif.

En décembre 1971, les Chambres fédé¬

rales l'ont porté au Conseil fédéral con¬

tre le candidat officiel de son parti, en sachant qu'avec lui la collaboration se¬

rait toujours possible, mais qu'elle se¬

rait loin d'être toujours facile.

Originaire d'Oberhofen (BE) et Luter- bach (SO). Né le 28 septembre 1918 à Deitingen. Apprentissage de monteur en chauffage dès 1933. Secrétaire per¬

manent de la Section soleuroise de la FOBB 1943, puis membre du Comité central. Président du Cartel syndical so¬

leurois 1955 - 1963. Membre du Conseil communal de Luterbach 1943 - 1959, président 1947 - 1959. Député au Grand Conseil 1945 - 1964, président 1963.

Conseil national 1955 - 1963. Conseil d'Etat, chargé du Département des fi¬

nances et des forêts 1964- 1973. Lan- dammann 1971. Election au Conseil fé¬

déral, décembre 1973, chargé du Dé¬

partement des transports et communi¬

cations et de l'énergie.

18.25 Courrier romand 18.50 Trois petits tours 18.55 Le village englouti 19.15 Un jour.une heure 19.40 Téléjournal 20.00 Un jour, une heure 20.20 Nick Verlaine

21.15 «Ma maison est un oeil...»

22.15 Shirley Scott Mercredi 19 mai 13.50 Point de mire 14.00 Hippisme 17.30 Les 4 coins 17.55 Téléjournal 18.00TV Jeunesse 18.25 Demain 18.50 Nounours 18.55 Le village englouti 19.15 Un jour, une heure 19.40 Téléjournal 20.00 Un jour, une heure 20.15 Du Rififi a Tokio 21.40 Les clés du regard Jeudi 20 mai

17.40 Point de mire 17.55 Téléjournal 18.00 TV-Jeunesse 18.25 Courrier romand 18.50 Nounours 18.55 Le village englouti 19.15 Un jour une heure 19.40 Téléjoumal 20.00 Un jour, une heure 21.20 Affaires de campagne 22.10 L'antenne est a vous Vendredi 21 mai 17.20 Point de mire 17.30 Les 4 coins 17.55 Téléjorunal 18.00 II faut savoir 18.05 Agenda 18.50 Nounours 18.55 Le village englouti 19.10 Un jour, une heure 19.40 Téléjournal 20.00 Un jour, une heure 20.20 spectacle d'un soir TELEVISION ROMANDE

Sélection du 10 mai au 21 mai 1976

Lundi 10 mai 17.20 17.30 17.55 18.00 18.05 18.50 18.55 19.15 19.40 20.00 20.15 21.00 21.45

Point de mire Les 4 coins Téléjournal TV-Jeunesse Sous la loupe Nounours Le village englouti Un jour une heure Téléjournal Un jour, une heure Ce jour-lè A bon entendeur La voix au chapitre Mardi 11 mai

17.40 17.55 18.00 18.25 18.50 18.55 19.15 19.40 20.00 20.15 21.05 22.05

Point de mire Téléjournal TV-Jeunesse Courrier Romand Nounours Le village englouti Un jour, une heure Téléjournal Un jour, une heure Nick Verlaine Plateau libre CM4 Mercredi 12 mai 17.20 Point de mire 17.30 Les 4 coins 17.55 Téléjoumal 18.00 TV-Jeunesse 18.25 Tremplin 18.50 Nounours 18.55 Le village englouti 19.15 Un jour, une heure 19.40 Téléjournal

20.00 Un jour une heure 20.15 Face au sport 22.25 Premières visions Jeudi 13 mai 17.40 Point de mire 17.55 Téléjournal 18.00 TV-Jeunesse 18.25 Courrier Romand 18.50 Nounours 18.55 Le village englouti 19.15 Un jour, une heure 19.40 Téléjournal 20.00 Un jour, une heure 20.15 Temps présent 21.15 Affaires de campagne 22.05 Hommage à Max Ernst Vendredi 14 mai

17.20 17.30 17.55 18.00 18.05 18.50 18.55 19.10 19.40 20.00 20.15 21.45

Point de mire Les 4 coins Téléjoumal Il faut savoir Agenda Nounours Le village enclouti Un jour une heure Téléjoumal Un jour, une heure Spectacle d'un soir Variétés ou Ballets Samedi 15 mai

13.30 Tele-revista 13.40 Un'ora per voi 14.55 TV-contacts 16.35 TV-Jeunesse 18.30 Téléjoumal

(7)

Une chronique «hors les murs»

de Gérard Bourquenoud

Sion à l'heure fribourgeoise

INTERVIEW

de M. Marcel Rouiller, fondateur de l'orchestre «Les Colibris», Bienne Propos recueillis par Gérard Bourquenoud

FI - Quand a été fondé votre orches¬

tre?

M. R. - L'orchestre «Les Colibris» a été fondé au mois de juillet 1972.

FI - Quelle est sa formation?

-Il est formé de trois musiciens: le fon¬

dateur et ses deux enfants. Jean-Marc, quatorze ans, est à l'accordéon; Pascal, treize ans, à la batterie; et moi-même à la guitare-basse et saxophone. En plus des instruments, mes fils bénéficient d'une belle voix. Ils chantent dans la plupart des partitions jouées par notre ensemble.

FI - Dans quel but à été fondé cet orchestre?

-Enpremierlieu, pouroccuperles loisirs de mes deux fils qui s'intéressaient à la musique. D'autre part, une activité cul¬

turelle est nécessaire pour qu'une fa¬

mille puisse s'épanouir normalement.

FI - Quel est votre répertoire?

- Il est très varié. Il se compose de no- nante chansons de caractère populaire et moderne qui plaît à tout le monde, du plus petit au plus grand, du plus jeune au plus âgé.

FI - Quelles sont vos prestations?

A Bienne où nous habitons depuis qua¬

torze ans, nous animons les parties ré¬

créatives des soirées de sociétés, ma¬

riages et manifestations diverses.

Comme notre famille est d'origine fri¬

bourgeoise, nous avons souvent des engagements du canton de Fribourg pour jouer à la Bénichon.

FI - Que vous apporte la musique?

Un rapprochement certain de la famille.

Elle nous permet de vivre et d'exercer une activité culturelle qui nous apporte une belle satisfaction, celle de répandre de la joie autour de nous.

FI - Que souhaitez-vous pour l'avenir de votre ensemble musical?

- Que la musique nous procure ce ré¬

confort familial dont chaque être hu¬

main a besoin aujourd'hui, encore plus que hier. Que mes fils puissent conti¬

nuer cette activité musicale longtemps encore et dans le même chemin. Et en¬

fin, que l'orchestre «Les Colibris» puisse aller jouer dans les Cercles f ribourgeois du dehors et se faire de nouveaux amis partout où l'on voudra bien nous ac¬

cueillir.

A l'occasion de l'assemblée des délé¬

gués de l'Association Joseph Bovet qui se tiendra dans la capitale valaisanne les 22 et 23 mai, l'Amicale des Fribour- geois de Sion, en collaboration avec l'Association des commerçants de cette ville, organise du 22 mai au 12 juin, une quinzaine gastronomique fribour¬

geoise. A ce jour, quinze commerces et huit établissements publics de la place ont accueilli favorablement cette initia¬

tive. Celle-ci permettra de mieux faire connaître les spécialités de la terre d'origine arrosées par de fines gouttes du Valais.

La journée d'ouverture, samedi 22 mai débutera par un cortège emmené par la fanfare d'Ependes et la troupe des ma¬

jorettes de Fribourg. Il y aura ensuite une partie officielle, au cours de la¬

quelle, des allocutions seront pronon¬

cées par des représentants des autori¬

tés civiles fribourgeoises, valaisannes.

et de l'Association des commerçants sédunois.

Cette quinzaine gastronomique fri¬

bourgeoise de Sion prendra fin samedi 12 juin par un cortège folklorique f ri- bourgeois conduit par le groupe de mu¬

siciens et danseurs «Au Fil du Temps», de Romont, et le Jodler-Club Alpenrö- sli. Ces deux sociétés se produiront également dans plusieurs quartiers de la ville, dans les commerces et restau¬

rants, qui participent à cette manifesta¬

tion qui promet d'être chaleureuse.

Danses, chansons du terroir, sonnailles, cor des Alpes, lanceurs de drapeaux, animeront le chef-lieu du Valais.

Quand tous les Dzodzets danseront, tous les Valaisans seront de la fête.

G.Bd Les majorettes de Fribourg défileront à Sion le 22 mai à 10 h.

Manifestations annoncées par l'AJB

15 mai 22 et 23 mai

Sion:

Assemblée des délégués des cercles et sociétés affiliés à l'Association Joseph 75e anniversaire du Cercle fribourgeois Bovet.

Lausanne:

M. Marius Jordan, président de l'Amicale fribourgeoise des Avants (à gauche), en

compagnie d'amis de Genève M. Pierre Musy parle à ses compatriotes de Renens

(8)

Tous les jours le

mmon est ouvert

Dimanche ouvert de 9 h. à 16 h.

Réservez vos tables Ch. Widmer

Les Daillettes - Villars-sur-Glâne Téléphone (037) 24 25 98

AUBERGE ST-6E0R6ES Corminbœuf Tél. 03

E

Tél. 037 / 45 11 05 Famille Baechler-L'Homme

Restauration soignée Menu du jour SPÉCIALITÉS:

Jambon de campagne Entrecôte Maison Fondues moitié-moitié Sur commande:

Filets de Perches

Salles pour banquets et sociétés de 10 à 200 couverts

Fermé le mercredi dès 13 h.

Restaurant Snack Self-Service

Famille J.C. Ballaman 037 6321 36

AU SAFARI 1468 CHEYRES / FR

Relais gastronomique dans son cadre naturel au bord du lac de Neuchâtel.

[~p] Grand parking

Places de port réservées aux clients

gôtcl « JUstoumnt

„, ölt ffierf

■"îi * ESTAVAYER-LE-LAC Tony et Jacqueline Barendregt-Schweickhardt Tél. 037/63 10 07

Menu, carte, service sur assiette.

Spécialités: Filet Strogonow à la wodka, Côte de bœuf du Cerf, Emincé

«Bombay Style», Spécialités de poissons et de saison.

Salle des Chevaliers pour sociétés et banquets Chambres confortables

Motel avec terrasse

Le guide gastronomique de Fribourg-lllustré vous recommande ces restaurants où vous

trouverez bonne table et bons vins.

Vins français

Le Beaujolais

A peine franchie la porte sud de Mâcon en direction de Lyon, la nationale 6 cô¬

toie le pays Beaujolais.

Ce beau vignoble de 18000 hectares se délimite aisément dans le sens de la longitude par les Monts du Beaujolais à l'ouest et le cours lent de la Saône à l'est. Le partage est moins précis au nord et au sud; on peut cependant dire qu'il commence où viennent mourir les derniers éperons secondaires du Mé¬

connais avec leurs cépages à vin blanc, tandis qu'il se termine au sud avec le cours inférieur de l'Azergues. Le Beau¬

jolais étale au soleil levant ses coteaux aux formes arrondies et gracieuses, face à la Bresse et au plateau des Dom- bes.

Les vignes escaladent les pentes dou¬

ces des collines granitiques et schisteu¬

ses, couvrant les mamelons généreux qui, en plans successifs, se détachent depuis la vallée jusqu'à la ligne bleue des crêtes qui culminent à 1012 mètres au Mont Saint-Rigaud, merveilleux ta¬

bleau d'une nature soumise à la peine des hommes.

Le Beaujolais est une des contrées les plus accueillantes de France. La beauté de ses montagnes et de son vignoble

Un village caché dans la vigne beaujo- laise

attire chaque année de nombreux visi¬

teurs et touristes étrangers.

Dans ce décor, au rythme immuable des saisons, la vigne beaujolaise, le Gamay noir à jus blanc, enfante ses 850 000 hectolitres annuels...

soit plus de 110.000.000 de bouteilles!

Monique, une serveuse d'Ursy

CAFÉ FRIBOURGEOIS BULLE RESTAURANT RENOMMÉ POUR son service sur assiette

ses spécialités de la borne ses fondues

sa petite carte H

Fam. P. VALLELIAN-STUCKI Tél. 029/2 71 39

ouvert tous les jours

(9)

Le guide gastronomique de Fribourg-lllustré vous recommande ces restaurants où vous

trouverez bonne table et bons vins.

Daube

«Gambrinus»:

un plat de fête avec un petit

«je ne sais quoi»

Nous revoilà avançant à pas de géant vers les jours de fête. La ménagère avertie réfléchit donc déjà à ce qu'elle pourra présenter de bon et de spécial sur sa table.

La personne qui aime un rôti savoureux accompagné d'une sauce de légumes riche et substantielle et qui veut agréa¬

blement surprendre ses invités par quelque chose qui sort de l'ordinaire, trouvera à son goût notre daube «Gam¬

brinus». Gambrinus, patron des bras¬

seurs, n'a pas seulement donné son nom à ce plat dont la préparation de¬

mande de la bière, une bière brune, agréablement épicée. Au Moyen Age déjà, les cuisiniers des monastères re¬

connaissaient les vertus de la bière comme assaisonnement pour les plats de viande campagnards.

Les traditions transmises des siècles passés devraient donc faire merveille pour ces repas de fête dans les cercles de vrais connaisseurs et des gourmets sans vaine prétention.

Ingrédients pour 4 personnes:

800g - 1 kg de rôti de boeuf entrelardé de la moutarde, du romarin et du thym 2 cuillerées à soupe de graisse

1 poireau 1 petit céleri-rave 2 carottes

1 oignon 2 gousses d'ail 2 tomates

2 cuillerées à soupe de purée de tomate 2 dl de bière brune

2 dl de bouillon de viande

Enduire la viande de moutarde, assai¬

sonner avec du thym et du romarin en poudre et faire bien rôtir de tous les côtés dans de la graisse chaude. Hacher l'oignon et l'ail, couper le poireau en julienne et les tomates en tranches, râ¬

per grossièrement les carottes et le cé¬

leri ou à la rigueur les couper en petits morceaux. Ajouter le tout à la viande et cuire à l'étuvée. Adjoindre ensuite la purée de tomate, ainsi que la bière et le bouillon. Faire cuire le rôti à point, pen¬

dant 2 heures à 2 h1 /2 dans unf our bien chaud.

Couper le rôti cuit en tranches, dresser celles-ci artistiquement et les couvrir d'une partie de la sauce et des légumes.

Servir le reste séparément. Accompa¬

gner de macaroni, de nouilles larges ou d'une pui ée de pommes de terre légère.

Dancing:

Tous les soirs,

orchestre-attractions-danse

Restaurant:

Spécialités à la carte Tournedos aux morilles Fr. 15 —

Service compris Scampis à l'Indienne Fr. 15 —

Service compris Fondue chinoise ou bourguignonne Fr. 15 — Service compris et toute une gamme d'autres mets.

Auberge

de la Croix-Blanche

Téléphone 037 33 11 53 1711 TREYVAUX

Restauration soignée

Locaux agréables et idéals pour banquets, noces, sociétés et fêtes de familles Chambres confortables 0

Jeux de quilles

H. Stöckli-Jendly, chef de cuisine Restaurant de la Restaurant français

(grande carte gastronomique) Brasserie (service sur assiette)

Salles pour sociétés et réunions de famille Grande salle pour 500 personnes

Place de la Cathédrale - FRIBOURG - Tél. 037 / 22 65 21

RESTAURANT

€<i Uicfoclku

C. J U NGO

47, Route du Jura — Fribourg Tél 037/26 16 26

SA CUISINE RENOMMÉE SON CADRE UNIQUE

SA CAVE SÉLECTIONNÉE En font le rendez-vous exclusif de tous les gourmets Grandes salles pour sociétés et banquets

Café-

Restaurant du

Chevreuil Villwlod Restauration soignée

Spécialité: jambon de campagne Salle pour banquets noces et sociétés Famille Perritaz Tél. 037 31 11 48

(10)

Le guide gastronomique de Fribourg-lllustré vous recommande ces restaurants où vous

trouverez bonne table et bons vins.

HOTEL DU LION D'OR Relais routier

ST- MARTI N-ORON Michel Schrago Balocchi

Tél. 021 93 71 98

SPÉCIALITÉS

Jambon à l'os - Charbonnade Salles pour sociétés

2 jeux de quilles automatiques

Le sourire de Vérène au Buffet de la Gare de Chénens

Toutes spécialités de produits laitiers Notre renommée: fromage à raclettes et à fondues préparés

G. SCIBOZ-BRODARD 1700 Fribourg

Grand'Rue Tél. 037 22 55 79

Une recette fribourgeoise Gâteau fribourgeois

Ingrédients pour la pâte:200 g de farine, 100 g de beurre, 6-8 cuilleréesà soupe d'eau salée.

Masse à fourrer:250 g d'amandes, 125 g de sucre, 1 dl d'eau, 60 g de beurre, 1 prise de sel, 1 morceau de citronnât, 1 jaune d'oeuf.

Préparation: Confectionner une pâte avec les ingrédients indiqués et la mettre 1/4 d'heure au froid. Moudre ou hacher très fin les amandes pelées. Les donner dans la poêle avec le sucre, le beurre, l'eau et le sel en remuant constamment jusqu'à ce que la masse commence è bouillir, sur quoi on la laisse refroidir. Foncer une forme à gâteau de la pâte et la revouvrir de la masse qu'on garnira de bandes de pâte en croisillon.

Déposer un petit morceau de citronnât au centre de chaque carré ainsi formé.

Badigeonner de jaune d'oeuf les bandes de pâte et cuire le gâteau env. 40 minutes au four très chaud.

Hôtel-Restaurant

Corbetta Les Paccots

Le rendez-vous des gourmets Cuisine française

Spécialités de saison

Carte variée, menu, serv. assiette Salles pour banquets-noces-repas de famille (choix de menus à disposition) Chambres confort

R. Zamofing-Boi Tél. 021 56 71 20

Ne sont-ils pas appétissants ces légumes du Vully?

Souscrivez un abonnement à Fribourg-lllustré -La vie musicale

BOUCHERIE-CHARCUTERIE

Raymond Demierre-Pittet Livraison à domicile le samedi

1675 URSY Tél. 021/93 52 04 Hôtel-Restaurant de L'Ecu Bulle

Fam. André Grand-Seydoux

Chef de cuisine - Nouveau tenancier Un aperçu de notre carte:

Feuilleté de ris de veau aux morilles Scampis Provençale ou Indienne Tournedos au poivre vert Chateaubriand Indoustani Filet stragonoff etc.

Restauration chaude à toute heure Salle à manger rustique

1630 BULLE Grand parking

Pl. Abbé-Bovet Tél. 029/2 78 95

(11)

LA POYA D'ESTAVANNENS:

Une fête populaire

typiquement gruérienne

La quatrième Poya d'Estavannens se déroulera le dimanche 9 mai. Elle sera non seulement un grand rassemble¬

ment des gens de la terre et de la montagne, mais aussi un point de ren¬

contre des Fribourgeois du dehors qui seront très nombreux à faire le déplace¬

ment en Gruyère. Cette grande journée

folklorique débutera par une messe cé¬

lébrée en plein air, au cours de laquelle, le sermon sera prononcé en patois.

A l'heure de l'apéritif, ce sera le con¬

cert-prélude de la montée à l'alpage, puis le grand pique-nique dans le ma¬

gnifique décor montagnard d'Estavan¬

nens. L'après-midi verra un jeu popu¬

laire intitulé: «Youhê! Diora, fô poT. «La direction du spectacle étant assurée par M. Michel Corpataux, ce talentueux chef de musique que tous nos compa¬

triotes «hors les murs» connaissent bien.

G.Bd Nous ne pouvons vous en dire plus sur cette manifestation, car notre maga¬

zine n'a reçu aucune communication et renseignements de la part des organi¬

sateurs. Nous le regrettons vivement pour les Fribourgeois émigrés aux qua¬

tre coins de la Suisse et à l'étranger.

La rédaction Frédy Chassot, peintre de

poyas

Né à Le Châtelard, Frédy Chassot habite aujourd'hui Les Monts-de Corsier où il travaille comme conseiller technique.

Enfant, il aimait déjà beaucoup le des¬

sin. De là, il a passé à la peinture qui lui apporte une grande satisfaction.

Jusqu'à ce jour, il a réalisé une dizaine de poyas qui se trouvent dans des éta¬

blissements publics de Genève, La Ro¬

che, Lentigny, Orsonnens, etc.

Il n'a pas pour autant laissé de côté les natures mortes, les corridas, les ani¬

maux, qui font l'objet de nombreux ta¬

bleaux.

L'activité artistique de Frédy Chassot occupe non seulement ses loisirs, mais elle permet de concrétiser un sujet tel qu'on le voit en imagination. Sa peinture reproduit fidèlement un paysage pitto¬

resque de chez nous et fait revivre les coutumes en voie de disparition.

Une poya de Frédy Chassot

Une poya d'Echarlens

POYA D'ESTAVANNENS DIMANCHE 9 MAI

Restaurant

bes fflontagnarbs

Délices de la borne Spécialités sur commande Restauration soignée

Dès 20 h. BAL

Petite salle pour sociétés Fam. Ecoffey-Jaquet propr.

Téléphone 029/6 21 14

1661 ESTAVANNENS

4e FÊTE DE LA

DIMANCHE

9 MAI POYA

D'ESTAVANNENS 9 h. réception des groupes

9 h. 30 Office en plein air 11 h. Concert-prélude

12 h. pique-nique 14 h. Jeu de fête

15 h. cortège (env. 800 participants) Organisation: AGCC - HARMONIE D'ESTAVANNENS

(12)

BULLE: CARREFOUR NATIONAL DE LA MUSIQUE ET DE L'ACCORDEON Bulle, chef-lieu de la Gruyère, a vécu

durant un week-end ensoleillé, la Coupe romande de l'accordéon dont les épreuves comptaient pour la sélection de la Coupe suisse. Plus de 370 concur¬

rents provenant de tous les coins de notre pays ont participé à cette grande manifestation musicale organisée à la perfection par la Jeune chambre éco¬

nomique de la Gruyère.

Cette rencontre des «mordus» de l'ac¬

cordéon débuta le samedi par le «Kios¬

que à musique», émission radiopho- nique animée par M. Roger Volet, avec le concours du Club des accordéonistes de Bulle, la fanfare de Riaz, le Club man- doliniste «Les Cigales», La Chanson du pays de Gruyère, l'Harmonie de la ville de Bulle, et le Chœur des Armaillis de la Gruyère. Les concours se déroulèrent dans les salles de la nouvelle Ecole se¬

condaire de la Gruyère, à Bulle.

Le samedi soir, ce fut le concert de gala donné dans la salle de l'Hôtel de Ville, par le Club d'accordéonistes de Bulle et Fribourg, sous la direction de Mme Irène Jeanneret, et celui de Delémont sous la direction de M. Edmond Montavon. M.

Jean-José Ruffieux, nouveau président du club bullois, fit un brillant exposé sur l'activité de l'année écoulée. Il eut le plaisir de remettre à Mme Chantai Ruf¬

fieux, Mlles Hélène Frossard et Made¬

leine Dousse, ainsi qu'à M. Didier Co- quoz, quatre diplômes d'assiduité con¬

firmant leurs dix ans d'activité au sein du club. Pour ses vingt ans de direction et de présidence, Mme Jeanneret, che¬

ville ouvrière des accordéonistes bul¬

lois, reçut un magnifique bouquet de fleurs et une gerbe de félicitations. Ce concert de qualité laissa une très forte impression aux auditeurs qui avaient envahi la salle jusque dans ses recoins.

Le silence fut encore plus remarquable lorsque la jeune Marie-Paule Castella joua seule une page de son choix pour le plus grand plaisir du public. Cette fille qui n'a que cinq ans et demi, fut ap¬

plaudi comme elle le méritait. Ce pro¬

gramme musical était complété par une prestation du Club des accordéonistes de Delémont dirigé parM. Montavon, et celui de Fribourg placé sous la direction de M. Bernard Bûcher, de Marly. Ces musiciens obtinrent aussi leur palme d'applaudissements.

La Coupe romande a un jeune musi¬

cien de Genève

Dimanche après-midi, à l'aula de l'Ecole secondaire, le public très discipliné eut la joie d'écouter un deuxième concert donné par les clubs de Fribourg et Bulle.

En complément de programme, le club

«L'Avenir» de Genève, dirigé avec beaucoup d'enthousiasme par M.

Jean-Claude Demierre (un enfant de chez nous) fit une excellente démons¬

tration de ses qualités musicales.

Si la Coupe romande de l'accordéon a été gagnée par Pascal Guillain, de Ge¬

nève, des Fribourgeois se sont particu¬

lièrement distingués à ce concours mu¬

sical. Nous citerons Christian Repond, de Bulle, qui est sorti premier ex-aequo avec Patricia Roulin d'Yverdon, dans la catégorie supérieure, et Marie-Paule Castella, qui a obtenu la mention

«excellent» en catégorie chromatique élémentaire. Nos compliments.

Une cérémonie empreinte d'émotion permit à M. Albert Etienne, conseiller communal, de féliciter les concurrents et les organisateurs de cette manifesta¬

tion qui fut pleinement réussie. Avec la Coupe romande de l'accordéon, dit-il, le chef-lieu de la Gruyère a acquis une nouvelle richesse musicale qui doit être un encouragemnet pour notre jeu¬

nesse. M. Albin Brunner, président cen¬

tral suisse, eut le plaisir de présenter les membres du jury et les concurrents qui ont été sélectionnés pour la Coupe suisse. M. Raymond Brovarone, prési¬

dent de l'Association romande des mu¬

siciens accordéonistes, eut la joie de faire la distribution des prix, alors que M. Jacques Baeriswil, président du co- mitéd'organisation, remercia tous ceux qui, de près ou de loin, ont collaboré à la parfaite réussite de cette manifestation qui pourbeaucoupdejeunes musiciens, parents et amis de la musique, restera gravée dans le cœur. Il faut reconnaître que c'était beau, charmant, étincellant de lumière et de jeunesse. Et chacun se donna rendez-vous le 26 septembre prochain à Berne où aura lieu la Coupe suisse de l'accordéon.

(Texte et photos G.Bd - FI) Mlle Hélène Frossard, Le Crêt. lors de son audition devant le jury

Les clubs d'accordéonistes de Fribourg et Bulle

Les concurrents sélectionnés pour la Coupe suisse Classement:

Catégorie initiation Aucun prix n'a été attribué.

Catégorie diatonique facile

Excellent:Bibiane Python, Riaz, 124,5 pts.

Très bien:Chantal Fragnière, Riaz, 113 pts; Marie-Josée Roprat, Marsens, 113 pts;

Marie-Claude Ropraz, Marsens, 106 pts.

Catégorie diatonique moyenne

Excellent avec félicitations du jury: Chantai Uldry, Grand-Lancy, 150 pts sur 150, 1er prix; René Léchot, Orwin, 137 pts, 3e prix.

Excellent: Frédéric Privet, Sorens, senior, 132 pts.

Très bien: Joëlle Ropraz, Echarlens, 114 pts.

Bien: Chantai Ropraz, Echarlens, 100 pts.

Catégorie élémentaire (aucun prix attribué) Excellent: Françoise Savary, Sales, 123 pts

Très bien: Olivier Collaud, St-Aubin, 114 pts; Catherine Froidevaux, Riaz, 108 pts;

Patricia Monney, Bulle, 111 pts; Francine Fahrni, Sâles, 105 pts; MartineSchorderet, Sales, 105 pts; Dominique Magnin, Sâles, 108 pts; Roland Sonney, Semsales, senior, 105 pts; Monique Dupasquier, Vaulruz, 105 pts; Daisy Dupasquier, Les Granges, 108 pts; Francine Coquoz, Siviriez, 105 pts; Catherine Esseiva, Charmey, 111 pts;

Christine Bonzon, La Joux, 111 pts; Martine Esseiva, Charmey, 111 pts; Corinne Buogo, Grolley, 117 pts; Anne-Catherine Muroux, Matran, 105 pts; Véronique Waeber, Cournillens, 105 pts.

Catégorie préparatoire

Excellent avec félicitations du jury: Carole Isch, Renens, 141 pts, 1er prix; Marie- Line Chappuis, Aile, 140 pts, 2e prix; Danielle Bourguet, Fribourg, 138 pts, 3e prix.

Excellent: EdméeDessibourg, St-Aubin, 130 pts; Marie-ClaudeVonlanthen, 128 pts Jean-Baptiste Kolly, Marly, 129 pts; Joël Bielmann, Treyvaux, 123 pts; Marie-Paule Castella, Neirivue, 132 pts; Fabienne Uldry, La Tour-de-Trême, 127 pts; Martine Dénervaud, Bouloz, 129 pts; Gisèle Wyss, Corminbœuf, 129 pts.

Catégorie moyenne

Excellent avec félicitations du jury: Stéphane Chappuis, Aile, 150 pts, 1er prix;

Marie-Josée Berset, Tramelan, 136 pts, 2e ex-aeque avec Philippe Voyame. Basse- court, 136 pts; Wallburga Fäh, Pompaples, 138 pts, 1er senior.

Excellent: Cécile Pasquier, Semsales, 125 pts; Dominique Ducry, Dompierre, 125 pts; Béatrice Neuhaus, Villars-sur-Glâne, 120 pts; Hélène Frossard, senior Le Crêt, 123 pts; Madeleine Dousse, Le Mouret, senior, 122 pts.

Très bien: Anne Castella, Neirivue, 108 pts. Josiane Gothuey, Semsales, 111 pts;

Christine Wenger, Romont, 115 pts; Roland Python, Corminbœuf, 115 pts; Jacque¬

line Leibzig, Marly, 110 pts; Ursula Raemy, Estavayer-le-Lac, 109 pts; Rose-Marie Lauper, Villarzel-sur-Marly, 107 pts; Chantai Buntschu, Pringy, 107 pts.

(13)

BULLE:

Carrefour national

de la musique et

de l'accordéon (suite et fin)

Christian Repond, de Bulle, 1 er prix en catégorie supérieure, récompense de douze ans de travail

Le club «L'Avenir» de Genève dirigé par M. Jean-Claude Demierre

Catégorie supérieure

Excellent avec félicitations du jury: Christian Repond, Bulle 140 pts, 1er prix;

Ex-aequoavec 140 pts, Patricia Roulin, Yverdon; Marie-Josée Grand, Orbe, 138 pts, 2e prix.

Catégorie excellence

Excellent avec félicitations du jury: Lilian Huber, Zurich, 148 pts, 1er Hanspeter Eggenberger, Köniz, 143 pts, 2e; Pascal Guillain, Genève, 140 pts, 3e; CédricStauffer, Le Locle, 138 pts, 4e.

Très bien: Bernard Bûcher, Marly, 113 pts.

Gagnantde la Coupe romande de l'accordéon 1976: Guillain Pascal, Genève, membre du Club «L'Avenir», dirigé par M. Jean-Claude Demierre. Nos félicitations.

Cerniat

Le chœur mixte paroissial inaugure nouveaux costumes

(Texte et photos G.Bd-FI)

ses

doux, ancien membre de la société, a donné un concert qui nous a conquis par une prestation exaltante et bien équilibrée, et qui nous a été offert dans une exécution claire, franche, et d'une éloquence épanouie. Mais aussi une matinée débordante de musique où se lisait la maîtrise d'un chef compétent, M. Hubert Grivet, à qui nous adressons nos félicitations. Et n'oublions pas no¬

tre coup de chapeau aux soliste, le cor¬

net Pierre Piller er le baryton André Brul- hart. M. Armand Pasquier, président de

«L'Alpée», adressa des compliments au chœur mixte de Cerniat qui, l'an passé, avait offert un concert de qualité à la population de Vaulruz. Voilà un bel exemple d'amitié réciproque.

Que le choeur mixte «L'Echo de la Berra» vive et prospère.

Restaurée il y a quelques semaines, l'église de ce village montagnard invite les fidèles de la paroisse au recueille¬

ment et à la solitude. Le concert annuel donné dans ce sanctuaire, le jour des Rameaux, par le choeur mixte paroissial dirigé avec compétence par M. Jean- Marc Descloux, un enfant de Vaulruz, a marqué avec certitude une inclinaison vers une meilleure évaluation des va¬

leurs musicales. Cet ensemble vocal nous a démontré, et ceci à la mesure de son talent, ce dont il était capable de réaliser et quelle impression stimulante il était à même de nous offrir. Dans un programme de choix, aux difficultés certaines, ce chœur formé de trente- cinq membres, interpréta des chants religieux et des chansons populaires. Il nous plaît de relever l'Ave Maria de l'abbé Bovet, partition chaleureuse qui était toute de recherche classique et de généreuse sonorité. La jolie qualité des voix surprenait agréablement les audi¬

teurs qui ne ménagèrent pas leurs ap¬

plaudissements. A la tête de ce chœur mixte, M. Jean-Marc Descloux, qu'il sied de féliciter pour sa direction pré¬

cise et son enthousiasme pour le rayon¬

nement musical. Au cours de ce concert qui marquait l'inauguration des nou¬

veaux costumes qui sont le «bredzon»

et le «dzaquillon», le doyen Jean Murith, curé de la paroisse, remercia la popula¬

tion pour sa générosité à l'égard de la société qui, grâce à elle, peut mainte¬

nant étrenner un bel habit gruérien. Il félicita le directeur et ses chanteurs as¬

sidus aux répétitions.

L'amitié d'une fanfare à un ancien membre

Le deuxième volet de cette manifesta¬

tion était reservé à la fanfare «L'Alpée»

de Vaulruz qui, en amitié pour M. Des-

La fanfare «L'Alpée» de Vaulruz, dirigée par M. Hubert Grivet

Le chœur mixte «L'Echo de la Berra» dans ses nouveaux costumes

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Chanter, c'est devenir meilleur, plus joyeux, plus décidé, plus optimiste.

L'abbé Bovet(1937)

L'ABBE BOVET (suite) LE GROUPE CHORAL FRIBOUR-

GEOIS

Le groupe Choral fribourgeois est né en juin 1918, à la suite d'un concert donné dans la grande salle du Cercle catho¬

lique, dans l'ancien Restaurant des Merciers, à l'occasion d'un grand Con¬

grès tenu à Fribourg par la Société suisse d'histoire, ainsi que par le «Hei¬

matschutz» et les représentants des Traditions populaires. Désireux de ré¬

server aux invités le plus chaleureux ac¬

cueil, l'abbé Ducrest, directeur de la Bibliothèque cantonale, s'adresse à l'abbé Bovet et lui suggère l'idée d'ac¬

cueillir les congressistes avec des chansons populaires. Inutile de dire que l'abbé Bovet fut enchanté de cette idée.

L'abbé Ducrest prenait à sa charge la fourniture des costumes. En fait, ces costumes avaient été prêtés par le peintre Reichlen, qui les avait sortis du Musée du quartier d'Alt.

De son côté, l'abbé Bovet avait réuni 16 chanteurs et chanteuses triés sur le vo¬

let, prélevés dans les chœurs mixtes de Saint Nicolas et de Saint Pierre, ainsi que dans la Société de chant de la Ville.

Après quelques brèves répétitions, le groupe étaient «fin prêt». Le jour J du Congrès, quelques curieux virent défiler

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