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Exercice II

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

SESSION 2010 E3A

Concours ENSAM - ESTP - EUCLIDE - ARCHIMEDE

Epreuve de Mathématiques B PSI

Exercice I

Partie A

(1) (a)La matrice

In B 0n In

est triangulaire supérieure et donc son déterminant est le produit de ses coefficients diagonaux. Par suite, det

In B 0n In

=1n=1.

En développant suivant la première colonne, on obtient det

In 0n

0n D

=1×det

In−1 0n−1,n

0n,n−1 D

=det

In−1 0n−1,n

0n,n−1 D

.

En réitérant, on obtient det

In 0n 0n D

=1n×det(D) =det(D). De même, det

A 0n 0n In

=det(A).

(b)Un calcul par blocs montre que

In 0n 0n D

In B 0n In

A 0n 0n In

=

In B 0n D

A 0n 0n In

=

A B 0n D

. Par suite,

det

A B 0n D

=det

In 0n 0n D

det

In B 0n In

det

A 0n 0n In

=det(A)×det(D).

(c)D’après la question précédente, det

A 0n

C D

=dett

A 0n

C D

=dett t

A tC 0n tD

=det(tA)×det(tC) =det(A)×det(C).

(2)

A B C D

D 0n

−C In

=

AD−BC B CD−DC D

=

AD−BC B

0n D

car les matrices C et D commutent. Par suite,

det

A B C D

detD=det

A B C D

det

D 0n

−C In

=det

AD−BC B

0n D

=det(AD−BC)×det(D).

Enfin,Dest inversible et donc det(D)6=0. Après simplification par det(D), on obtient det

A B C D

=det(AD−BC).

Si Cet Dcommutent etD est inversible, det

A B C D

=det(AD−BC).

(3) (a)Puisque Ccommute avecD etIn, pour tout complexex,CetDxcommutent.

Sixn’est pas une valeur propre deD,Dx est inversible et d’après la question précédente det(Mx) =det(ADx−BC).

CommeDadmet un nombre fini de valeur propre, il existeSsous-ensemble fini deC(à savoirS=Sp(D)) tel que∀x∈C\S, det(Mx) =det(ADx−BC).

(b) Les fonctions x 7→ det(Mx) et x 7→ det(ADx−BC) sont polynomiales et coïncident en une infinité de valeurs de x. On en déduit que ces fonctions sont égales et en particulier prennent la même valeur en 0. Pour x = 0, on obtient det

A B C D

=det(AD−BC).

Si Cet Dcommutent, det

A B C D

=det(AD−BC).

(2)

Partie B

(1) Soit(i, j)∈{1, 2}2.RA(Ei,j) = (aE1,1+bE1,2+cE2,1+dE2,2)Ei,j =

aE1,j+cE2,jsii=1

bE1,j+dE2,jsii=2 . Donc la matrice de RA dans la baseBest

MatB(RA) =



a 0 b 0 0 a 0 b c 0 d 0 0 c 0 d



=

aI2 bI2 cI2 dI2

.

De même,LA(Ei,j) = Ei,j(aE1,1+bE1,2+cE2,1+dE2,2) =

aEi,1+bEi,2sij=1

cEi,1+dEi,2 sij=2 . Donc la matrice de LA dans la baseBest

MatB(LA) =



a c 0 0 b d 0 0 0 0 a c 0 0 b d



= t

A 02

02 tA

.

(2) Par suite,

∀q∈C\ {0, 1},MA=MatB(RA−qLA) =

aI2−qtA bI2

cI2 dI2−qtA

.

(3) (a)On sait que AeA= AAe = (ad−bc)I2. Puisque les matricesbI2 et dI2−qtAcommutent, la partie A permet d’écrire

det(MA) =det((aI2−qtA)(dI2−qtA) −bcI2) =det((ad−bc)I2+q2(tA2) −q(a+d)tA)

=dett((ad−bc)I2+q2(tA2) −q(a+d)tA) =det((ad−bc)I2+q2A2−q(a+d)A)

=det(AeA+q2A2−q(a+d)A) =det(A)det(Ae+q2Aq(a+d)I2), (b)puis

det(MA) =det(A)det

d+q2a−q(a+d) −b+q2b

−c+q2c a+q2d−q(a+d)

=det(A)det

(1−q)(d−qa) −(1−q)(1+q)b

−(1−q)(1+q)c (1−q)(a−qd)

= (1−q)2det(A)det

(d−qa) −(1+q)b

−(1+q)c (a−qd)

(par linéarité par rapport à chaque colonne).

(c)et enfin

det(MA) = (1−q)2det(A)(ad−q(a2+d2) +q2ad− (1+q)2bc)

= (1−q)2det(A)(−q(a2+2ad+d2) + (q2+2q+1)ad− (1+q)2bc)

= (1−q)2det(A)(−q(a+d)2+ (1+q)2(ad−bc)) = (1−q)2det(A)(+(1+q)2det(A) −q(Tr(A))2).

(4) (a)On sait que Tr(A) =α+β, det(A) =αβ. Donc

det(MA) = (q−1)2αβ((1+q)2αβ−q(α+β)2) = (qα−α)(qβ−β)(q2αβ−q(α22) +αβ

= (qα−α)(qβ−β)(qα−β)(qβ−α) =PA(qα)PA(qβ).

det(MA) =PA(qα)PA(qβ).

(3)

(b)

∃B∈ M2(C)\ {0}/ AB=qBA⇔∃B∈ M2(C)\ {0}/(RA−qLA)(B) =0

⇔0∈Sp(RA−qLA)⇔det(MA) =0⇔PA(qα)PA(qβ) =0

⇔(q−1)2αβ(qα−β)(qβ−α) =0

⇔αβ=0ouα=qβouβ=qα(car(q−1)26=0)

⇔det(A) =0ouα=qβouβ=qα.

(5) On supposeA6=0. D’après la question précédente, on a det(A) =0 ouβ=qαouα=qβ.

•Supposons det(A)6=0. Alorsα6=0, β6=0et β=qαouα=qβ. Quite à échanger les noms des deux valeurs propres, on supposeraβ=qα.

Dans ce cas,Aadmet les deux valeurs propresα6=0 etqα6=0. De plus,qα6=αcar qα=α⇔(q−1)α=0⇔q=1 ou α = 0 ce qui n’est n’est pas. Ainsi, A admet deux valeurs propres distinctes à savoir α et qα. On sait que A est diagonalisable et donc semblable à une matrice de la forme

α 0 0 qα

, α6=0.

•Supposons det(A) =0. Alors ou bienα=β=0ou bien l’un des deux réelsαouβest nul et l’autre non.

1er casSupposonsα6=0 etβ=0 ouα=0etβ6=0. Quite à renommer les valeurs propres, on peut supposer queα6=0 etβ=0. Dans ce cas encore,Aa deux valeurs propres distinctes et est donc diagonalisable. Mais alorsAest semblable à une matrice de la forme

α 0 0 0

,α6=0.

2ème casSupposonsα=β=0. AlorsPA=X2 et d’après le théorème deCayley-Hamilton,A2=0. Comme A6=0, Aest nilpotente d’indice 2.

Soitf l’endomorphisme deC2canoniquement associé àA.f6=0et donc il existe e2tel que f(e2)6=0. Posonse1=f(e2).

Puisquef2=0, on a doncf(e1) =0.

Ainsi,e1est un vecteur non nul de Ker(f)et e2n’est pas Ker(f). Donce2n’est pas colinéaire àe1. Par suite,(e1, e2)est une base deC2. Dans cette base, la matrice defs’écrit

0 1 0 0

et doncAest semblable à cette matrice.

Exercice II

Partie A

(1) (a)Montrons par récurrence que∀n∈N, an etbn existent et sont positifs. C’est vrai pourn=0. Soitn>0. Si an+1= an+bn

2 et bn+1=√

anbn existent et sont positifs. On a montré par récurrence que pour tout entier natureln,an etbn existent et sont positifs.

(b)Soitn∈N.

an+1−bn+1= an+bn

2 −√

anbn = 1 2(√an2

−2√

anbn+√ bn

2) = 1

2(√an−√ bn)2.

(2) On en déduit que pour tout entier natureln bn+16an+1ou encore, pour tout entier naturel non nuln,an6bn. Ensuite, pourn>1,bn+1−bn =√

bn(√an−√

bn)>0etan−an+1= 1

2(an−bn)>0. On a montré que

∀n∈N,06bn 6bn+16an+16an.

(3) Soitn∈N.(an−bn) − (√an−√

bn)2=2√

anbn−2bn =2√

bn(√an−√

bn)>0. Donc

∀n∈N,(√an−√

bn)26an−bn. Mais alors, pourn∈N,06an+1−bn+1= 1

2(√an−√

bn)26 1

2(an−bn)puis par récurrence,∀n∈N, 06an−bn6 1

2n1(a1−b1) = 1 2n(1−√

a)2. Enfin,(1−√

a)2= (1−a)2 (1+√

a)2 =|1−a| |1−a|

1+2√

a+a 6|1−a|1+a

1+a =|1−a|. On a montré que

(4)

(4) Ainsi, la suite(an)n∈N décroît, la suite(bn)n∈N croît et la suite(an−bn)n∈N converge vers0. On en déduit que les deux suites(an)n∈N et (bn)n∈N sont adjacentes et donc convergentes de même limite.

Les suites(an)n∈N et (bn)n∈N convergent vers la même limite.

Partie B

(1) D’après la partie A, pour chaquex>0, les deux suites(an(x))n∈N et (bn(x))n∈N convergent vers la même limite ou encore, les suites de fonctions(an)et(bn)convergent simplement sur[0,+∞[vers une certaine fonctionf.

(2) (a)• a0(0) =0,b0(0) =1 puisa1(0) = 1

2 et b1(0) =0.

Soitn >1. Supposons que bn(0) =0. Alors,bn+1(0) =0. Ceci montre par récurrence que∀n >1, bn(0) =0. On en déduit quef(0) = lim

n+bn(0) =0.

•a0(1) =b0(1) =1. Mais alors, par récurrence,∀n∈N,an(1) =bn(1). Par suite, f(1) = lim

n→+an(1) =1.

f(0) =0 etf(1) =1.

(b)(erreur d’énoncé : l’encadrement est faux pourx∈]0, 1[)

Soitx>0. La suite(bn)n∈N tend versf(x)en croissant. On en déduit que√

x=b1(x)6f(x).

Si de plusx>1,a0(x) =x> 1+x

2 =a1(x). Mais alors la suite(an)n∈Ntend versf(x)en décroissant. On en déduit que f(x)6a0(x) =x.

∀x>0,f(x)>√

xet∀x>1,√

x6f(x)6x.

(3) SoitA > 0. Pourx∈[0, A]et n∈N, on a bn(x)6f(x)6an(x). Par suite, pour toutn∈N et tout x∈[0, A], d’après la question (3)(a) de la partie A, on a

|an(x) −f(x)|6|an(x) −bn(x)| 1

2n|1−a0(x)|= |1−x|

2n 61+A 2n . On en déduit que pour tout entier naturel non nuln, Sup{|an(x) −f(x)|x∈[0, A]}61+A

2n puis que lim

n→+Sup{|an(x) − f(x)| x ∈ [0, A]} = 0. On a montré que la suite de fonctions (an)n∈N converge uniformément vers la fonction f sur le segment[0, A].

De même, puisque∀n∈N,∀x∈[0, A],|bn(x) −f(x)|61+A

2n , la suite de fonctions(bn)n∈Nconverge uniformément vers la fonctionfsur le segment[0, A].

Les suites de fonctions(bn)n∈Net (bn)n∈Nconvergent uniformément vers la fonction fsur[0, A].

(4) Les fonctionsa0et b0 sont continues sur [0,+∞[ à valeurs dans [0,+∞[ et si pour n∈N, les fonctionsan et bn sont continues sur[0,+∞[ à valeurs dans[0,+∞[, alors les fonctionsan+1= an+bn

2 etbn+1=√

anbn sont continues sur[0,+∞[à valeurs dans[0,+∞[. Ceci montre par récurrence que pour tout entier natureln, les fonctionsan etbn sont continues sur[0,+∞[.

Puisque la suite de fonctions (an)n∈N converge uniformément vers la fonction f sur tout segment [0, A] de [0,+∞[, la fonctionf est continue sur tout segment[0, A]de[0,+∞[et donc sur [0,+∞[.

La fonctionfest continue sur[0,+∞[.

Partie C

(1) La fonctionϕ : t7→ 1

p(t22)(t22)est continue surR. De plusϕ(t) ∼

t±

√1 t4 = 1

t2. Doncϕest intégrable sur un voisinage de+∞ou de−∞et finalement

la fonction ϕest intégrable surR.

(5)

(2) Soienta > 0puisA > a. Posons G : [a, A]×[0,+∞[ → R (x, t) 7→ G(x, t) = 1

p(t2+x2)(t2+1) dt .

•Pour chaquex∈[a, A], la fonctiont7→G(x, t)est continue par morceaux et intégrable sur[0,+∞[d’après la question (1) appliquée àα=xet β=1.

•La fonctionGadmet sur[a, A]×[0,+∞[une dérivée partielle par rapport à sa première variablexdéfinie par

∀(x, t)∈[a, A]×[0,+∞[, ∂G

∂x(x, t) = − 1

√t2+1 × x (t2+x2)3/2 De plus

- pour chaquex∈[a, A], la fonctiont7→ ∂G

∂x(x, t)est continue par morceaux sur[0,+∞[, - pour chaquet∈[0,+∞[, la fonction x7→ ∂G

∂x(x, t)est continue sur[a, A], - pour chaque(x, t)∈[a, A],

∂G

∂x(x, t)

= 1

√t2+1× x

(x2+t2)3/2 6 1

√t2+1 × A

(a2+t2)3/2 =ψ(t).

De plus, la fonctionψ est continue sur[0,+∞[et équivalente en+∞à A

t4. Par suite, la fonctionψ est intégrable sur[0,+∞[.

D’après le théorème de dérivation sous le signe somme (théorème deLeibniz), la fonctiongest de classe C1 sur[a, A].

Ceci étant vrai pour tous réelsaetAtels que0 < a < A, on a montré que la fonction gest de classeC1sur]0,+∞[.

(3) (a)Soitx > 0. La fonctionSxest de continue sur]0,+∞[et strictement croissante sur]0,+∞[en tant que somme de deux fonctions strictement croissantes sur]0,+∞[. Par suite,Sxréalise une bijection de]0,+∞[sur

t→lim0+Sx(t), lim

t+Sx(t)

= ] −∞,+∞[=R. De plus,Sx est de classeC1 sur]0,+∞[.

∀x > 0,Sxest une bijection de classe C1de]0,+∞[surR.

(b)Soitx=αβ > 0. PuisqueSxest une bijection de classeC1de]0,+∞[surR, on peut posers=Sαβ(t) = 1 2

t− αβ

t

et doncds= 1 2

1+αβ

t2

dt. On obtient Z+

v 1 uu t s2+

α+β 2

2!

(s2+αβ) ds=

Z+ 0

v 1 uu t 1

4

t− αβ t

2

+

α+β 2

2! 1 4

t− αβ

t 2

+αβ

! 1 2

1+ αβ

t2

dt

=2 Z+

0

t2+αβ r

(t2−αβ)2+t2(α+β)2 (t2−αβ)2+4t2αβ dt

=2 Z+

0

t2+αβ

p(t4+ (α22) +α2β2) (t4+2αβt22β2) dt

=2 Z+

0

t2+αβ q

(t22)(t22) (t2+αβ)2 dt

=2 Z+

0

p 1

(t22)(t22) dt.

(c)Puisque la fonctions7→ 1 vu

ut s2+

α+β 2

2!

(s2+αβ)

est paire,

Z+

v 1 uu t s2+

α+β2!

(s2+αβ) ds=2

Z+ 0

v 1 uu t s2+

α+β2!

(s2+αβ)

dset on a donc montré que

(6)

∀α > 0, ∀β > 0, Z+

0

v 1 uu t t2+

α+β 2

2!

(t2+αβ) dt=

Z+ 0

p 1

(t22)(t22)dt.

Partie D

(1) Montrons par récurrence que∀n∈N,∀x > 0, g(x) = Z+

0

p dt

(t2+a2n(x)) (t2+b2n(x)).

•Puisque∀x > 0,a0(x) =xet b0(x) =x, la formule est vrai pourn=0.

•Soitn>0. Supposons que∀x > 0,g(x) = Z+

0

p dt

(t2+a2n(x)) (t2+b2n(x)). Alors d’après la question (3)(c) de la partie précédente, pourx > 0,

g(x) = Z+

0

v 1 uu t t2+

an(x) +bn(x) 2

2!

(t2+an(x)bn(x)) dt=

Z+ 0

q dt

t2+a2n+1(x)

t2+b2n+1(x)

Le résultat est démontré par récurrence.

∀n∈N,∀x > 0, g(x) = Z+

0

p 1

(t2+a2n(x))(t2+b2n(x)) dt.

(2) (a)Soitx > 0. Pourt > 0, lim

n→+hn(t) = 1

p(t2+f2(x))(t2+f2(x))= 1 t2+f2(x). (b)Soitx > 0. Pourn>1,a2n(x)>b2n(x)>b21(x) =xet donc pourn>1et t>0,

0 < hn(t) = 1

p(t2+a2n(x))(t2+b2n(x))6 1

p(t2+x)(t2+x)= 1 t2+x. (c)Soitx > 0.

•Chaque fonctionhn,n∈N, est continue par morceaux sur[0,+∞[.

•D’après (a), la suite de fonctions hn converge simplement sur[0,+∞[vers la fonction h : t7→ 1

t2+f2(x). De plus, la fonctionh est continue sur[0,+∞[.

• D’après (b), pour tout n ∈ N et tout t ∈ [0,+∞[, |hn(t)| 6 1

t2+x = u(t) (hypothèse de domination). De plus, la fonctionuest continue sur[0,+∞[et équivalente en+∞à 1

t2. Donc la fonctionuest intégrable sur[0,+∞[.

D’après le théorème de convergence dominée, on a Z+

0

hn(t)dt= Z+

0

h(t)dt= Z+

0

1 t2+f2(x)dt

= 1

f(x)Arctan t

f(x) +

0

(carf(x)>√ x > 0)

= 1 f(x)

π 2 −0

= π

2f(x).

∀x > 0, lim

n→+

Z+ 0

hn(t)dt= π 2f(x). (d)D’autre part, d’après la question (1),∀n∈N,

Z+ 0

hn(t)dt=g(x). Quandntend vers+∞, on obtient

∀x > 0,g(x) = π 2f(x).

En particulier, la fonctiongne s’annule pas sur]0,+∞[. De plus,gest de classeC1 sur]0,+∞[ d’après la question (2) de la partie C. On en déduit quef= π

2g est de classeC1 sur]0,+∞[.

La fonctionf est de classeC1sur]0,+∞[.

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