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P r i x du numéro 10 centimes

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pa Bibliothèque dn Collège, Chaux-de-Fonds

Cinquième année. — N0 93

P r i x du numéro 10 centimes

Les consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal.

Mercredi 18 Novembre 1891.

Bureaux: Rue Neuve, 19

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L ' e x p o s i t i o n d e C h i c a g o S'il faut en croire ce qu'en disent les journaux américains, l'exposition de Chi- cago sera vraiment grandiose; presque partout on s'y prépare, en Europe comme en Amérique. L'Amérique centrale, plus près que l'Europe, y enverra ses produits naturels les plus beaux et les plus frais.

Au Mexique, partout, se forment des clubs pour faciliter à leurs membres une visite à l'exposition.

En Allemagne, le gouvernement en- courage les industriels à exposer en masse. En France, les grandes industries se préparent pour cet intéressant tournoi, mais les petites industries parisiennes n'iront à Chicago qu'en petit nombre. La bijouterie et l'horlogerie hésitent, il en est de même d'une foule d'industries de luxe qui se plaignent avec raison du bill Mac-Kinley et de la façon dont les Amé- ricains du Nord pillent leurs modèles.

Voici quelques détails intéressants.

L'Utah se propose de voter une somme de 500,000 fr. pour construire un bâti- ment en fer et en verre qui, après l'ex- position, serait démonté et transporté dans la capitale de l'Etat.

L'ilc qui sera formée au milieu du ré- seau des lagunes et des lacs artificiels aura une superficie de seize acres. Les bords de l'île seront laissés en broussailles et auront un aspect sauvage; l'eau tout autour sera couverte de lis, nénuphars et autres plantes aquatiques. L'intérieur de l'ile sera partie boisée, partie semée de fleurs.

Dernièrement le comité a reçu et adopté les plans d'une scierie modèle ; ce sera une grande construction à deux étages dont les devis s'élèvent à 130,000 fr.

Les machines motrices de l'exposition seront de 24,000 chevaux et leur service occupera 250 mécaniciens, chauffeurs et

employés. On connaît l'ingéniosité amé- ricaine; partout l'on prépare des chefs- d'œuvre plus ou moins originaux. Un Canadien français vient de compléter, pour l'exposition, une horloge merveil- leuse; il y a une voie de chemin de fer autour du cadran, dont le tour est fait par une locomotive toutes les cinq mi- nutes. Il faut examiner les détails de la locomotive avec un verre grossissant. Les coupes à l'huile sont si petites que c'est à peine si l'on peut y faire passer un che- veu. Il y a une lanterne devant la ma- chine, des porle-pavillons sur le chasse- pierre et tous les détails du mécanisme.

La locomotive pèse 1 V

2

livre et s'appelle The Gem. Si l'on y ajoute qu'il y a quel- ques jours à peine, une bande de bri- gands dévalisaient un train de chemin de fer à quelque distance de Chicago, on voit que les attractions les plus variées seront offertes aux visiteurs.

Voici, à titre de curiosité, les sommes affectées à la construction des diverses bâtisses que renferment cette exposition que les Américains entendent faire plus brillante que celle de Paris :

Administration . . . Fr. 2,250,000 Arts et manufactures . » 5,000,000 Agriculture . . . . » 2,700,000 Machines » 6,000,000 Electricité s 1,875,000 Mines j> 1,300,000 Transports s> 1,300,000 Horticulture . . . . » 1,525,000 Pêcheries s 1,000,000 Bâtiment des femmes . » 6,000,000

Ce tableau ne s'applique qu'aux choses officielles; on peut par là deviner ce que fera l'initiative privée qui, comme on le sait, est très développée aux Etats-Unis.

* * *

Cette grande solennité s'annonce donc comme devant être absolument grandiose sous tous les rapports et l'on peut s'atten-

dre, malgré le bill Mac-Kinley et la mau- vaise humeur qu'il a provoquée, à une participation assez générale des produits européens. Que fera la Suisse, c'est ce qu'il est difficile de dire dès aujourd'hui.

Les succès que la plupart de nos indus- tries ont remporté à l'exposition univer- selle de Paris sont bien faits pour nous inspirer le courage d'aller nous mesurer dans ce vaste champ clos du travail, dans cette joute pacifique, où nous serons sûrement à même de maintenir notre place honorable d'il y a deux ans. Aussi s'y prépare-t-on, dans la grande indus- trie.

Quant à l'horlogerie et à la bijouterie, les opinions ne se sont pas encore nette- ment dessinées. Déjà une étude préli- minaire a été faite par le bureau de l'In- tercantonale, puis par le Syndicat des fabriques de montres, sans qu'une déci- sion d'une portée pratique ait été prise.

Le syndicat sus-désigné sera d'ailleurs prochainement convoqué pour entendre un rapport sur la question.

Mais l'idée qui domine, croyons-nous, c'est que notre exposition doit être col- lective, soit par groupes, soit dans sa gé- néralité. Le temps marche et, si nous voulons être prêts et bien prêts, il n'est pas trop tôt de prendre des décisions et d'arrêter des mesures d'ensemble qui assurent, à l'horlogerie suisse, la place qu'il lui appartient d'occuper à l'exposi- tion de Chicago.

Mais si, par impossible, quelques-uns

de nos meilleurs producteurs croyaient de-

voir se tenir à l'écart; si nous ne nous pré-

sentons pas à Chicago avec ce que nous

produisons de mieux en haute horlogerie,

dans les différents genres de fabrication

de nos manufactures et dans les nom-

breuses spécialités qui font que notre

carte d'échantillons est la plus complète

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450 LA FÉDÉRATION HORLOGÊRE SUISSE

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qu'il soit, il vaudrait mieux ne-pas expo- ser du tout.

Après le succès de Paris, il faut le succès de Chicago. Noblesse oblige ! Le tarif douanier suisse pour l'horlogerie

Assemblée, à la Chaux-de-Fonds M, James Perrenoud présidait. M. le con- seiller national R. Comtesse, chef du dépar- tement cantonal de. l'industrie, était présent.

Les débats ont été intéressants Y ont pris part MM. James. Perrenoud, Donat Fer, R. Comtesse, Paul Vuille, Ernest Jeanneret, Ali Guinand et Sandoz, fab.

Nous croyons devoir rappeler que cette assemblée était la conséquence logique du mouvement qui s'est produit, d'abord à Ia Chaux-de-Fonds, vers la fin de l'hiver der- nier, par suite des exorbitants tarifs doua- niers maximum et minimum en délibération devant les Chambres françaises. On se sou- vient de ce qui se passa alors. Dans plusieurs assemblées de fabricants d'horlogerie et de chefs d'ateliers monteurs de boîtes d'or et d'argent, on constata que les droits proposés pour l'horlogerie dans le tarif suisse place- raient notre fabricatio.i dans un état d'infé- riorité à l'égard de la concurrence française.

Un mémoire sur cette question fut adressé aux autorités fédérales, lequel contenait de nouvelles propositions de droits supprimant le tarif au poids et établissant une classifica- tion par catégories dans le genre de celle adoptée par la France. Les Chambres suisses maintinrent toutefois le système du tarif au poids; elles le relevèrent à 100 francs les cent kilos pour les montres de poche et leurs parties détachées et le fixèrent à 16 francs les cent kilos pour les pièces détachées d'h)r- Iogerie ébauchées et les ébauches. Toutefois, une déclaration insérée au procès-verbal du Conseil national réservait, dans le cas où les négociations des traités de commerce ne donneraient pas un résultat satisfaisant, la possibilité d'une revision du tarif des péages, notamment en ce qui concerne l'horlogerie.

Le comité des intérêts industriels, qui avait soutenu le mouvement précité, ne per- dit pas de vue la question. De nouveaux évé- nements lui donnent l'occasion de continuer

son activité, à savoir d'un côté le fait que la France persiste à promulguer son double tarif prohibitif, et de l'autre la votatim popu- laire du 18 octobre qui, en sanctionnant le tarif suisse des péages, crée également une situation nouvelle en matière de politique douanière.

Or, MM. Jiimes Perrenoud et Donat Fer, en introduisant laquestion, constatent, d'après des renseignements obtenus par eux à Berne dans une récente audience avec M. Droz, chef du département des affaires étrangères,

"que s'il est permis d'admettre que des traités de commerce seront conclus avec l'Allema- gne, l'Autriche et probablement l'Italie, il ne faut attendre rien de pareil avec la France.

A la vérité, cette dernière nation nous pro- posera peut-être un nouveau régime provi- soire d'une année, d'après lequel elle appli- querait contre la Suisse son tarif minimum moyennant qu'en vertu de la clause de la nation la plus favorisée, nous fassions profiter à la France des concessions accordées par nous ailleurs. Mais cette perspective n'a rien de rassurant pour l'horlogerie suisse, attendu que le tarif minimum français est un véri- table tarif prohibitif et que l'horlogerie fran- çaise, grâce à nos droits minimes actuels, pourrait continuer par son importation en Suisse à faire une concurrence inquiétante à notre industrie nationale. D'ailleurs la France parait considérer son tarif minimum comme

la limite de ses concessions aux autres Etats.

Ces orateurs insistent sur la différence ab- solument disproportionnée qui existe entre le droit suisse et le droit français minimum.

(Nous rappelons ces chiffres qu'on avait don- nés naguère : une grosse de montres or 12 à 13 lignes à raison de 100 francs les 100 kilos (tarif suisse), fr. 3s>60; Ia même quantité selon le tarif français minimum, 500 francs environ ; 100 kilos de boîtes brutes or, tarif suisse : 16 francs ; tarif français : plus de 20,000 francs. M. Fer a rappelé en outre vendredi que la montre métal dont la boîte contient des parties détachées or ou argent paiera en France le droit de la montre or ou argent. — iîe'ci.).

Les mêmes orateurs rappellent en outre qu'on a constaté en 1890 l'entrée en Suisse d'environ 24 à 25,000 boîtes bisontines, chiffre qui doit s'élever à 40,000 si l'on tient compte de celles non contrôlées. Or, étant donnés ces faits et ces chiffres, déjà fournis il y a quelques mois et qui n'ont pas été con- testés, ils estiment qu'il y a lieu d'aviser à des mesures se traduisant par un nouveau relèvement des droits suisses, à établir d'après une classification plus naturelle que celle au poids. Ils insistent sur le fait que la Suisse doit cependant partir du point dé vue de là réciprocité, c'est-à-dire qu'un abaisse- ment éventuel de droits en France amènerait une chose analogue en Suisse. Enfin, ils pen- sent, vu l'éventualité d'un relèvement du tirif admis par le Conseil national, que des propositions de revision concernant l'horlo- gerie seront prises en considération à Berne.

M. Ie conseiller national Comtesse envi- sage également qu'il faut en ces circonstances agir dans le sens indiqué par MM. Perrenoud et Fer et le plus tôt possible. Il serait bon que le Conseil fédéral lût nanti de proposi- tions avant la réunion des Chambres fixée au 7 décembre, afin que celles-ci, saisies à leur tour de la question, puissent délibérer tout de suite sur le projet. Nous avons fait notre devoir en combattant il y a un mois le tarif douanier dans l'intérêt de la vie à bon mar- ché. Mais puisque nos espérances ont été déçues sur ce terrain, il est urgent de défen- dre notre industrie contre une concurrence étrangère que les taxes suisses actuelles pour l'horlogerie favoriseraient certaine- ment. C'est sérieusement que l'Assemblée fédérale avait admis l'éventualité d'une revi- sion. Le mémoir j à adresser au Conseil fé- déral devra d'ailleurs être fortement mo'ivé.

Au reste, l'échéance du traité de commerce avec la France est prochaine (1e r février 1892). Nous'ne savons pas si les Chambres français s auront achevé la délibération de leur double tarif français à cette époque.

C'est une raison de plus pour prendre ses précautions en Suisse, bien qu'on doive es- pérer que la France mettra quelque forme et quelque délai pour l'application de ses nou- veaux droits. *

MM. Fer et Perrenoud exposent qu'une réunion du bureau du comité des intérêts industriels a déjà préparé les études pour la rédactiion du mémoire et des propositions à envoyer à Berne. Ainsi il a nommé trois sous-commissions, l'une qui s'occupera du régime des boîtes, l'autre du régime des mouvements, la troisième de la manière d'appliquer les nouveaux droits.

La plus grosse difficulté, ajoutent-ils, est de nature administrative. Le département fédéral des péages envisage qu'une surélé- vation du tarif en matière d'horlogerie favo- riserait le développement de la contrebande et par conséqnent entraînerait un renforce- ment du cordon des gardes-frontière et un surcroît de dépenses. Or, il faut proposer des mesures qui ôteraient au département des péages ses appréhensions et ne changeraient

rien ou peu de chose à la surveillance de la frontière. Pour cela, on a mis à l'étude un système d'estampillage des produits étran- gers et des produits suisses, boîtes et mou- vements, qui rendrait la contrebande pour ainsi dire impossible ; il va sans dire que ce système serait agence de telle manière qu'il ne soit pas une gêne sensible pour les pro- ducteurs et qu'on ne le confon.de pas avec îe poinçonnement de garantie.

Quelques observations, dorçt \l sera tenu compte, sont encore échangées, puis r a s - semblée ratine à l'unanimité les* résolutions du bureau portant ί 1° la nomination des trois sous-commissions susindiquées; 20Ia rédaction de nouvelles" propositions de drçtts corrélatives aux droits français minimum;

3° l'envoi de ces propositions au Consçit fé- déral appuyées par un mémoire'motive. '

La séance est levée à 10 heures.

Extrait du National Suisse.

Traités de commerce

On s'occupe surtout dans les pays Scandi- naves, comme ailleurs, des traités de com- merce. Suivant un télégramme de l'A.gence générale, la Suède aurait fait savoir au gou- vernement français qu'elle avait nommé des plénipotentiaires pour négocier à Paris la prolongation du traité de commerce, en fai- sant abstraction des articles du larif. La nou- velle a été interprétée par quelques journaux d'une manière inexacte.

On savait et il est confirmé de bonne part que le gouvernement français, en dénonçant le 20 janvier dernier ses traités de commerce qui expirent au commencement de février prochain, s'était déclaré prêt à conclure des arrangements à l'effet de prolonger provisoi- rement les traités, sans les articles du tarif.

Le* gouvernements en avaient pris connais- sance. Le roi de Suède a nommé en consé- quence, le 30 octobre, des plénipotentiaires pour la Suède et la Norvège en vue de ces négociations de prolongation partielle, et le gouverne ment suédois en a averti la France.

Il pourra maintenant déclarer aux Chimbres Scandinaves qu'il a fait ce qu'il pouvait dans cette voie.

Il faut savoir que la Suède attache surtout de l'importance au traité de navigation qui avait été conclu en même temps que le traité de commerce, le 30 octobre 1881, et contient' non seulement Ia clause de la nation la plus favorisée, mais celle du traitement national respectif, en ce sens que la France, pour citer un exemple, devait traiter les bâtiments suédois comme les siens. Seulement on ignore à Stockholm, comme dans d'autres capitales intéressées, quand les négociations dont il ^'agit, en dehors même des articles de tarif, pourront commencer à Paris.

Tout cela prouve que la nouvelle d'il y a quelques jours des journaux de Paris, suivant laquelle le gouvernement français allait in- viter ou avait invité déjà les Etats intéressés à ouvrir des négociations pour la prolonga- tion des traités de commerce sur la base de son tarif minimum, était pour le moins pré- maturée. On n'en avait, du resté, pas con-<

naissance à Bruxelles, à Stockholm ou ail- leurs.

— D'après des nouvelles de Rome, on ne parlerait pas encore de commencer les négo- ciations commerciales avec la Suisse. Des échanges d'idées ont eu lieu entre les deux cabinets, mais les difficultés seraient si nom- breuses qu'il serait difficile de fixer les bases du nouveau traité. On ne sait même pas si ces négociations auront lieu à Munich, à Rome ou à Berne.

On prétend aussi que le gouvernement

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LA FÉDÉRATION HORLOGERE SUISSE 451

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italien repoussera tout projet du gouverne- ment suisse pour le percement du Sirapjlon.

' — Le Sénat français a fixé à jeudi, sur la demande. île M. Ferry, appuyé par M. de Freycinet, la discussion des tarifs des douanes. . ...

NOUVELLES DIVERSES

' V e r r e s d e m o n t r é e . — Ensuite de grèves répétées des ouvriers mineurs et ver-

riers, les fabriques se sont syndiquées et un nouveau tarif de hausse va entrer en vigueur.

F a b r i q u e d ' é b a u c h é e . — Une fabrique d'ébauches du Jura bernois va établir à la Çhaux-de-Fonds son principal établissement.

Une autre fabrique étrangère au canton se propose d'en faire autant.

E x p o s i t i o n . — Le comité de l'Associa- tion des commerçants allemands s'est pro- noncé pour une exposition internationale à Berlin.

A e e u r a n e e o b l i g a t o i r e . — Les Socié- tés de secours mutuels de la Chaux-de-Fonds se sont prononcées en faveur de l'assurance obligatoire de tous les citoyens, sans distinc- tion de position sociale ni de nationalité.

S i t u a t i o n f i n a n c i è r e . — Les nouvelles reçues de Madrid dépeignent la situation financière comme très grave à la suite des hésitations du gouvernement dans la ques-

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ion des réserves métalliques effectives de la Janque d'Esppagne. Le bruit court, en effet,

U9 le chiffre des réserves publié dans les bilans hebdomadaires manque de sincérité, b

parce que la Banque fait figurer dans le chiffre des réserve^ les dépôts appartenant à des particuliers et confiés à sa garde.

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Le rédacteur responsable : Fritz HUGUENIN.

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