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P r i x du numéro IO centimes

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pa M. Joies Gfeller, «r*fflTWeBenrt*- - Berne

Les consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal.

Troisième année. — N0 16.

P r i x du numéro IO centimes

Samedi 23 février 1889.

B u r e a u x : R u e de l'Union, 2

ABONNEMENTS

Un au : Six mois : Suisse . . . 6 fr. 3 fr.

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Organe de la Société î n t e r e a n t o n a l e des i n d u s t r i e s d u J u r a , des C h a m b r e s de commerce, des B u r e a u x de contrôle et des Syndicats industriels.

U n i o n S u i s s e d e s f a b r i q u e s d e m o n t r e s .

Mardi, 19 courant, l'Union suisse des fabriques de montres a eu une impor- tante séance dont le résultat a été la dis- solution de l'association dans sa forme actuelle et Ia création d'un syndicat nou- veau comprenant les fabriques qui pro- duisent la montre en entier.

Constituée pour la défense et la sauve- garde d'intérêts horlogers, généraux et particuliers, l'Union Suisse des fabriques de montres avait groupé, au début, tous les établissements de fabrication de la montre placés sous le contrôle de la Loi fédérale concernant le travail dans les fabriques. De ces établissements, les uns fabriquent la montre entièrement, et d'autres ne font que la terminer.

L'expérience a prouvé que les intérêts de ces deux catégories de producteurs n'étaient pas toujours semblables, et que leur antagonisme pouvait nuire à la réali- sation du but que l'association poursuit.

Dès lors, et d'un commun accord, les deux catégories de membres qui compo- saient l'Union Suisse, ont compris la né- cessita de constituer deux groupements indépendants, qui seront mieux en me- sure de chercher, dans une réorganisation rationnelle des deux groupes, la sauve- garde de leurs intérêts spéciaux.

Ainsi est consacré le principe fonda- mental sur lequel doit reposer toule l'or- ganisation syndicale de l'industrie horlo-

»gère et que l'on peut formuler comme suit :

Chaque syndicat professionnel ou in- dustriel ne doit comprendre que des inté- rêts semblables et identiques, et les rap- ports des syndicats entre eux, de même que la conciliation de leurs intérêts réci-

proques doivent être réglés par un pouvoir supérieur composé de délégués de tous les syndicats.

L e s m é t a u x a n t i - m a g n é t i q u e s . L'application toujours plus grande de l'électricité aux usages industriels a attiré l'attention des savanls sur les effets que cet agent puissant pouvait produire sur les métaux soumis à son action et sur les conséquences qui en pouvaient résulter au point de vue des fonctions que ces métaux sont destinés à remplir dans les instruments de précision.

L'industrie horlogère, la plus délicate de toutes au point de vue de la fabrica- tion, et dont les parties les plus essentiel- les sont en acier, c'est-à-dire en un métal soumis aux influences magnétiques, ne pouvait échapper à la nécessité d'un exa- men minutieux et impartial des effets que l'aimentalion peut produire sur la marche et par conséquent sur le réglage des montres.

La question était de savoir si le danger de l'aimentalion est assez fréquent pour qu'il vaille la peine d'opérer, pour y échap- per, des modifications complètes dans la composition des métaux employés pour la fabrication des montres et principale- ment de l'échappement et des parties qui en dépendent, ou si les risques d'aimen- tation sont assez peu nombreux pour que l'on puisse les considérer comme une quantité négligeable.

Les uns l'ont résolue dans un sens af- firmatif ; les autres dans un sens négatif.

Les premiers, se basant sur l'invasion des applications de l'électricité dans tous les domaines, envisagent qu'il faut à tout prix soustraire la montre aux dangers de l'ai- mentation ; ils se sont mis à la recherche

de métaux non aimentablès, pouvant rem- placer l'acier, notamment dans Ia fabri- cation des balanciers et des spiraux de montres.

Les seconds envisagent, au contraire, qu'aucun autre métal que l'acier n'offre les qualités indispensables à certaines parties de la montre, et qu'après tout une montre ne s'aimente que si on la soumet, sans nécessité ou par imprudence, à l'ac- tion de l'électricité.

Le débat reste ouvert ; on sait que d'importants établissements industriels sont organisés pour fabriquer des montres dites non-magnétiques, considérées par eux comme pouvant seules répondre à tous les besoins et à toutes les exigences.

Nous n'avons pas à prendre parti dans celte affaire ; aussi, en commençant la publication d'une série d'articles qui nous sont annoncés sur celte importante ques- tion, nous entendons simplement ouvrir un débat dans lequel les deux opinions auront également droit à l'hospitalité de nos colonnes.

E m p l o i d e e m é t a u x d ' a l l i a g e e t n o n m a g n é t i q u e s d a n s l ' h o r l o g e r i e . La chimie, cette science dont les progrès constants nous font chaque jour pénétrer de nouveaux mystères et qui semble devoir un jour résoudre même le problème de la vie, nous apprend que tous les corps sont com- posés de molécules, considérées comme étant la limite que la division mécanique puisse atteindre sans opérer la décomposition.

Rien, au fond, n'est plus vague ni moins significatif que cette appellation ; car per- sonne n'a jamais vu les molécules, et si la molécule est la plus petite quantité d'un corps qui puisse exister à l'état libre, comme l'atome serait encore l'élément de la molé- cule, nul œil n'a aperçu ces infiniments petits dont la science est néanmoins obligée d'ad- mettre l'existence pour pouvoir expliquer certaine phénomènes — celui de la dilatation

.

(2)

78 LA FEDERATION HORLC 3ERE SUISSE

par exemple — que présentent les corps lorsqu'ils sont soumis à certaines influences et celui de la cristallisation qui ne s'explique que par l'association des molécules selon cer- taines lois géométriques.

Quoiqu'il en soit, et cette hypothèse néces- saire étant admise, la manière dont ces molé- cules se comportent entre elles réagit sur toute la masse des corps qu'elles composent et c'est une étude scientifique des plus inté- ressante, que de rechercher les lois qui pré- sident à leurs évolutions, dans l'atmosphère idéale qui les entoure.

Nous n'avons pas à nous occuper, dans cette étude, des corps organiques; les métaux, et parmi eux ceux qui sont employés dans la fabrication de l'horlogerie, sollicitant seuls notre attention.

Il est aisé de comprendre que la formation d'un bloc de métal sorti d'un creuset après la fonte, n'est pas la même que celle du même métal après qu'il a subi les préparations qui le rendent aptes aux usages industriels et que si, dans le premier cas, les molécules sont placées dans des conditions normales, il n'en est plus ainsi lorsque ce même métal, après avoir passé par le laminoir ou la forge, subit l'épreuve d'un usage journalier et les dilata- tions ou les contractions résultant de l'éléva- tion ou de l'abaissement de la température ambiante.

Ces quelques considérations générales énoncées, nous entrerons plus spécialement dans l'examen des causes qui peuvent avoir une influence fâcheuse sur les métaux em- ployés dans l'industrie horlogère, et nous le ferons dans l'unique but d'être utile à l'une des plus belles et des plus importantes in- dustries de la Suisse. (A suivre.) Z.

PROGRAMME DES EWMEJiS

qui auront lieu à ZURICH, les 4 mars et jours suivants, pour l'obtention du diplôme fédéral

d'essayeur-juré pour le CONTRÔLE DES OUVRAGES D'OR ET D'ARGENT.

Le Département fédéral des affaires étran- gères (division du commerce) informe les in- téressés que, à partir du 4 mars prochain, dès 8 heures du matin, auront lieu, à l'École polytechnique suisse, à Zurich (neuesChemie- gebâude), les examens des aspirants au di- plôme d'essayeur-juré pour le contrôle des ouvrages d'or et d'argent.

Les personnes qui désirent prendre part à ces examens doivent se faire inscrire au Dé- partement avant le 25 février courant. En présentant leur demande d'admission, elles devront fournir des certificats indiquant quel- les classes elles ont fréquenté et quelles ont été leurs études théoriques et pratiques, ainsi que des certificats officiels de bonne conduite.

La finance d'examen est de 20 fr. et doit être versée, avant le 3 mars, en mains de M. le professeur LUNGE, à Zurich, chargé de la direction des examens avec M. Eugène TISSOT, essayeur-juré.

Chaque aspirant, en se rendant aux exa- mens, devra se munir de sa boite de poids d'essais.

L'examen oral comprend : Eléments de chimie inorganique. Nomenclature et formu- les. Propriété des métalloïdes les plus im- portants pour l'industrie et de leurs combi- naisons les plus importantes. Composition et caractères distinctifs des alliages les plus en usage dans les arts. Principe d'analyse qua- litative et quantitative des alliages des mé- taux, par voie sèche et par voie humide.

Description des agents chimiques employés

dans les essais et recherche de leur pureté.

Préparation de l'or et de l'argent chimique- ment purs. Application de la balance pour les pesées délicates. Prise d'essais. Fabrica- tion de coupelles. Exercice des calculs se rapportant aux essais et aux alliages. Con- naissance de la loi fédérale sur le contrôle des ouvrages d'or et d'argent et des règle- ments d'exécution.

Les candidats pourront être examinés en allemand ou en français, selon leur désir.

Pour l'examen oral, ils seront partagés en groupes de trois au maximum ; cet examen aura une durée de deux heures pour chaque groupe et, s'il le faut, plus longue encore.

Seront admis à y assister les membres du Conseil de l'école et les délégués des autori- tés fédérales, des gouvernements cantonaux et des administrations locales.

L'examen pratique comprend 15à20 essais de différents alliages d'or, d'argent et de platine par voie sèche et par voie humide ; en outre, l'emploi de la pierre de touche et la manipulation du poinçonnement. Prises d'es- sais. Fabrication de coupelles. Pour les essais à la coupellation, la plus forte tolérance ad- mise ne devra pas dépasser 2 millièmes pour l'or et 5 millièmes pour l'argent; pour les essais par voie humide, 1 '/2 millièmes.

Le résultat des deux examens (oral et pra- tique) devra être exprimé par l'une des trois notes suivants : bien, passable, insuffisant.

Lorsqu'un aspirant reçoit la note ,,insuffi- sant1' dans l'un des deux examens, il ne peut être diplômé.

Toutefois, il peut se présenter encore deux fois à des examens ultérieurs. Mais, quand par trois fois il ne réussit pas, il est envisagé comme définitivement renvoyé.

Berne, le 18 février 1889.

Département fédéral des affaires étrangères, Division du c o m m e r c e .

A ι»·«ι>θ!* d ' u n a r t i c l e i n t i t u l é ι A l a p o r t e !

La lettre que M. Ditisheim-Goldschmidt a fait insérer dans l'Impartial nous est enfin parvenue; c'est un peu lard que nous la publiions.

En même temps que cette lettre, la per- sonne que son auteur avait chargée de nous la transmettre, nous soumet des documents et deux lettres de M. D.-G., desquels il résulte :

A. Des documents :

1° Qu'en octobre 1888, M. D.-G. a reçu livraison de savonnettes, cuvettes argent, re- montoirs 13 lignes, au prix de fr. 84, payés à 55 jours de facture, sous 2 °/0 d'escompte.

2° Qu'en février courant, un fabricant de Bienne indiquait comme dernier prix pour ce genre de montres fr. 84 et 3 % d'escompte.

— U paraît que ce prix n'est pas suffisamment réduit, puisque M. D.-G. cherchait, dans la journée du 12 courant, des montres sembla- bles au prix de fr. 80 le carton, ou «dans les 80 francs» pour nous servir de l'expression employée par M. D.-G lui-même. —

B. Des deux lettres:

1" Que M. D.-G. admet que certains de ses fournisseurs ont pu être mécontents des pro- cédés de sa maison.

2° Qu'il décline toute responsabilité con- cernant les faits de cette nature qui ont pu se passer, attendu que cette responsabilité in- comberait à un ancien associé de la maison, qui lui aurait fait beaucoup de tort.

Nous donnons acte, à M. D.-G., de celte dernière déclaration, par laquelle il se met personnellement hors de cause.

Comme on le voit, M. D.-G. qui a tenu à déclarer que le récit que nous avons fait des démarches d'un chercheur de montres à bas prix pouvait s'adapter à certaines cir- constances de son dernier voyage à Bienne, place le débat qu'il a soulevé sur un terrain qui n'est plus le nôtre.

Il s'agit, en effet, d'une question de res- ponsabilité. Dans le cas particulier, c'est une affaire de ménage de laquelle nous devons nous désintéresser.

NOUVELLES DIVERSES

A d r e s s e s d e c o n s u l a t s . — Le bureau fédéral de l'émigration, section du commis- sariat, a reçu du Consultât suisse à Knoxville (Tennessee) une lettre que nous croyons de- voir reproduire dans l'intérêt des autorités ou des personnes qui se trouveraient dans le cas de lui adresser des communications.

Cette lettre s'exprime comme suit :

« Permettez-moi de vous prier de vouloir ajouter à l'adresse de toutes vos communica- tion le mot de Tennessee après celui de Knox- ville, afin d'assurer leur sure et prompte ré- ception. Quinze Etats de l'Union possédant chacun une ville du nom de Knoxville, il est tort difficile aux employés de la poste de savoir sur quel point diriger des lettres ou imprimés adressés simplement à Knoxville.

Plusieurs fois, des envois faits par des auto- rités suisses ne me sont parvenus qu'après avoir été dirigés sur Knoxville, Jowa, Illinois, Pennsylvanie, etc., dont ils portaient les timbres; d'autrefois la direction des postes de New-York les a envoyés à Washington, marqués adresse insuf/hante , et ce n'est qu'après des recherches faites par le « Dead Letter Office » de cette ville-là, que ma rési- dence fut découverte et que lesdits envois m'ont été réexpédiés par ses soins.

« Des lettres et journaux qui m'avaient été envoyés de Suisse par des particuliers et compagnies, et adressés simplement à Knox- ville, ne me sont jamais parvenus, malgré toutes les recherches que j'ai pu faire. La poste américaine ne transporte pas les lettres on imprimés de provenance indigène qui n'indiquent pas le nom de l'Etat ou du terri- toire, outre celui de la destination. Les articles sont rendusauxexpéditeurs s'ils peuvent être découverts, sinon ils sont détruits après un certain temps. »

Nous ajoutons que le consul suisse hPort- land (Orégon) désire également que les en- vois qui lui sont faits portent la désignation de l'Etat où il réside, attendu qu'il existe aux Etats - Unis plusieurs localités du nom de Portland.

*

H o r l o g e r i e . — Ecole d'horlogerie de Genève. Nous extrayons ce qui suit'd'un ar- ticle publié dans le dernier numéro du Jour- nal suisse d'horlogerie:

« Le rapport du conseil administratif sur l'année scolaire 1887-88 débute en signalant les questions de la réorganisation de l'école d'horlogerie et de l'opportunité d'en séparer la classe de mécanique, queslions qui n'ont pas encore reçu de solution.

En revanche, la création d'une, classe de fabrication de l'horlogerie par les procédés mécaniques a été décidée ; grâce à une sub- vention fédérale de 20,000 fr., l'outillage a pu être établi dans d'excellents conditions, et les anciens moteurs, dont le service était dé- fectueux, ont été remplacés par une turbine de douze chevaux.

(3)

LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE 79

L'école a été fréquentée par 1Oi élèves, dont 07 Genevois, 1! Suisses d'autres cantons et 26 étrangers. A la fin de l'exercice, elle en comptait 73, dont 47 Genevois, 8 Suisses d'autres cantons et 18 étrangers.

Le petit musée de l'école s'est accru de quelques spécimens intéressants et continue à se recommander aux amis de cette utile création. La classe d'industrie et de commerce a fait remise à la ville, pour le terme de dix ans, de sa riche collection du conservatoire industriel, collection qui doit se transporter à l'école et qui sera d'une grande utilité pour les cours. »

- i » - < K » 5 - -

V A R I É T É S

Nouvelle cause d'arrêt des montres. — Un nouveau chapitre est à ajouter au traité sur les causes d'arrêt dans la marche des montres.

"Voici, telle qu'elle nous est décrite par un correspondant humoristique, quelle serait la substance de ce nouveau chapitre, que nous proposerions d'intituler: l'arrêt àlapuee, ou lu puce bienfaitrice du rhabilleur :

« Un fait qui vient de m'arriver me paraît jeter un jour tout nouveau sur certains arrêts des montres qui semblent incompréhensibles, et qui font blanchir les cheveux des horlo- gers, à moins qu'ils ne préfèrent se les arra- cher. Le voici dans toute sa simplicité et dans toute son éloquence :

« Un de mes amis me livre une petite montre de dame (ne lisez pas une montre de petite dame) cylindre, à clef, dont il croyait

le ressort cassé. Je l'ouvre, j'essaye, le res- sort fonctionne, mais la montre est à l'état de cadavre. Délicatement, je lève mon balancier et je trouve embroché dans une dent de la roue d'échappement... un animal, une petite bête, oui, une bête avec une tête rose, un corps blanc, de jolies petites pattes brunes jointes comme dans une dernière prière. Cet animal ressemblait beaucoup à une puce (pulexj humaine, mais en plus petit et en plus mignon . . . .

« Je m'arrête, et laisse à votre science le soin de faire les recherches et investigations nécessaires pour savoir par quel accouple- ment singulier des métaux cette petite bête a pu naître. Quelle admirable découverte et quelles dissertations il y aurait à faire sur le phylloxéra des montre!

« J e décline d'avance toute gloire, tout honneur, toute récompense, fût-elle de 500,000 francs, et je vous envoie le corps du délit pour le prochain musée fédéral d'horlo- gerie, section d'histoire naturelle. »

(Journal suisse d'horlogerie.)

lies a n n o n c e s c o n c e r n a n t les offres et d e m a n d e s d ' o u v r i e r s o u d'em- ployés p o u r l'horlogerie, a i n s i q u e les convocations d'assemblées d'as- sociations p a t r o n a l e s et o u v r i è r e s j o u i r o n t d ' u n p r i x «le l a v e u r et s e r o n t i n s é r é e s à r a i s o n tle IO centimes la ligne o u son espace.

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Le rédacteur responsable: Fritz HUGUENIN.

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