• Aucun résultat trouvé

L27 [V2-VàC] – Droites du plan

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "L27 [V2-VàC] – Droites du plan"

Copied!
15
0
0

Texte intégral

(1)

9

Droites du plan

27

Leçon n° Niveau Lycée

Prérequis notion de fonctions, vocabulaire de la droite (parallélisme, perpendiculaire, sé-cantes), vecteurs, équations cartésiennes, équations paramétrique.

Références [87], [88], [89], [90]

Dans cette leçon, on se donne un repère orthonormé(O, #»ı, #») dans le plan. Chaque droite du plan est caractérisée par une relation algébrique entre l’abscisse et l’ordonnée de ses points : c’est l’équation cartésienne de la droite.

27.1

Généralités sur les droites

27.1.1 Une définition

Définition 27.1 Soit A ∈ P et #»u un vecteur non nul. L’ensemble :

D(A,

u) =nM ∈ P, ∃λ ∈ R, AM# »= λ#»uo

est appelé droite passant par A et de vecteur directeur #»u.

Proposition 27.2 Soit D(A, #»u une droite du plan, B ∈ P et #»v un vecteur non nul.

D(A,u) = D(B, #»v) si et seulement si B ∈ D(A#»u) et #»v colinéaire à #»u. Conséquence 27.3 #»

u et #»v ne sont pas colinéaires si et seulement si D(A, #»u) et D(A0,

v) sont

sécantes en un unique point.

27.2

Droites parallèles à un axe

27.2.1 Parallèle à l’axe des ordonnées

Définition 27.4 Une droite parallèle à l’axe des ordonnées possède une équation de la forme x= k où k est un nombre qui mesure l’écart algébrique de la droite par rapport à l’axe des ordonnées. On dit parfois qu’une telle droite est verticale.

27.2.2 Droite parallèle à l’axe des abscisses

Définition 27.5 Une droite parallèle à l’axe des abscisses possède une équation de la forme y = k

où k est un nombre qui mesure l’écart algébrique de la droite par rapport à l’axe des abscisses. On dit parfois qu’une telle droite est horizontale.

27.3

Equation d’une droite

Définition 27.6 — Equation cartésienne d’une droite. Si une droite est non parallèle à l’un des axes de coordonnées, alors l’équation de cette droite est de la forme ax+ b. C’est une droite oblique.

(2)

−4 −3 −2 −1 1 2 3 −4 −3 −2 −1 1 2 3 0 x= 1 x= −2

FIGURE27.1 – Deux droites d’équations x= 1 et x = −2

−4 −3 −2 −1 1 2 3 −4 −3 −2 −1 1 2 3 0 y= 1 y= −2

(3)

27.3 Equation d’une droite 11

Exemple 27.7 Soit la droite tracée en figure27.4. On cherche l’équation de cette droite de la forme

y = ax+b. Cette droite passe par les points de coordonnées A(0, 1) et B(1/2, 0). Ainsi, on est amené

à résoudre le système d’équations suivant :

( b= 1 1 2a+ b = 0 ⇔ ( b= 1 a+ 2 = 0 ⇔ ( b= 1 a= −2

d’où l’équation de la droite est y= −2x + 1. 

−4 −3 −2 −1 1 2 3 −4 −3 −2 −1 1 2 3 0 2x + y = 1 A B

FIGURE27.3 – Droite d’équation y= −2x + 1

R 27.8 D’une façon générale, la recherche de l’équation d’une droite sous la forme y = ax + b conduit à un système de deux équations à deux inconnues a et b.

Exemple 27.9 Résoudre, par différentes méthodes, le système d’équations suivant :

(

x+ 2y = 9 x− 3y = 5



Dv

On résout le système d’équations par les différentes méthodes décrites plus en haut :

Par substitution On peut exprimer x en fonction de y dans la première équation du système :

x+ 2y = 9 x= 9 − 2y

(4)

On remplace alors x par cette valeur «9 − 2y » dans la deuxième égalité : x− 3y = 5 x= 5 + 3y 9 − 2y = 5 + 3y 4 = 5y y= 4 5

On remplace enfin y par sa valeur dans une des égalités pour trouver x :

x= 9 − 2y = 9 − 2 ×4

5 = 9 −85 = 375 .

Par comparaison On exprime, par exemple, x dans chaque égalité en fonction de y

x= −2y + 9 (27.1)

x= 3y + 5 (27.2)

À parti de (27.1) et (27.2), on peut former une nouvelle égalité : −2y + 9 = 3y + 5

4 = 5y et on en déduit ainsi les solutions du système.

Par addition On veut « éliminer » les termes en x. Pour cela, on multiplie la seconde équation par −1 œ

−(x − 3y) = 5 −x + 3y = 5 et on ajoute la première et la seconde :

x− x + 2y + 3y = 9 − 5

5y = 4 et on en déduit ainsi les solutions du système.

Graphiquement Les deux droites d’équations respectives x + 2y = 9 soit y = −12x+92 et x− 3y = 5 soit y = 13x−53 ont un point d’intersection de coordonnées x= 37

(5)

27.3 Equation d’une droite 13 2 4 6 8 10 2 4 0 A= (37/5, 4/5)

Conclusion Les solutions de ce système d’équations est le couple (37/5, 4/5).

Définition 27.10 — Ordonnée à l’origine. Si x est nul alors l’équation de la droite devient y= b (c’est une droite verticale). Le nombre b est appelé ordonnée à l’origine.

Proposition 27.11 Si une droite passe par l’origine, son ordonnée à l’origine est nulle. Son équation est de la forme y= ax.

−4 −3 −2 −1 1 2 3 −4 −3 −2 −1 1 2 3 0 A

(6)

Définition 27.12 — Coefficient directeur. Dans les équations y= ax ou y = ax + b (pour a 6= 0), le nombre a est le coefficient directeur de la droite. On l’appelle aussi la pente

Propriété 27.13 Si une droite est non parallèle à l’un des axes de coordonnées et passe par le point

A(xA, yA) et B(xB, yB), on a alors : a= yB− yA xB− xA . −4 −3 −2 −1 1 2 3 −4 −3 −2 −1 1 2 3 0 A B

FIGURE27.5 – La pente de la droite d’équation y= 3x − 1 est 3

27.4

Caractérisation de droites parallèles et perpendiculaires

27.4.1 Droites parallèles

Définition 27.14 Deux droites seront parallèles si et seulement si elles ont le même coefficient direc-teur (même pente). Soient deux droites(d) : y = ax + b et (d0) : y = a0x+ b0. Ces deux droites

sont parallèles si et seulement si a= a0.

Droites perpendiculaires

Comme on travaille sur un repère orthonormé, les axes sont perpendiculaires et les unités sur les axes sont les mêmes. Ainsi, on peut définir la notion de perpendiculaire.

Définition 27.15 Soient(d) : ax + b et (d0) : y = a0x+ b0 sont perpendiculaires si et seulement si aa0 = 1.

R 27.16 A noter que dans la définition précédent, il faut supposer que a 6= 0 et a0 6= 0, ce qui revient à dire que

(7)

27.4 Caractérisation de droites parallèles et perpendiculaires 15 −4 −3 −2 −1 1 2 3 −4 −3 −2 −1 1 2 3 0

FIGURE27.6 – Les deux droites d’équation « y= 2x + 1 » et « y = 2x − 4 » sont parallèles

−4 −3 −2 −1 1 2 3 −4 −3 −2 −1 1 2 3 0

(8)

27.5

Autres formes d’équations de la droite

27.5.1 Equation paramétrique de la droite

Définition 27.17 — Vecteur directeur.# » Soit(d) une droite. Si A et B appartiennent à (d), le vecteur

ABdirige la droite : c’est un vecteur directeur.

On choisit A comme origine de (d). Pour tout point M de (d), il existe un nombre k tel que # »

AM = kAB# »; les vecteursAM# »etAB# »sont colinéaires : ils ont la même direction. En notant M(x, y)

un point quelconque de(d), on peut écrire :

(

x− xA= k(xB− xA)

y− yA= k(yB− yA)

Définition 27.18 Si on note a et b les coordonnées du vecteurAB# »alors une représentation paramé-trique de la droite(AB) est de la forme :

(

x= xA+ ka

y= yA+ kb

 Exemple 27.19 Soit A(1, 4) et

# »

AB(3, −2). Les coordonnées du point M(x, y) appartenant à la

droite(AB) sont de la forme :

(

x= 1 + 3k y= 4 − 2k

Si k = 2, on obtient le point de coordonnées (7, 0) : intersection de la droite (AB) avec l’axe des

abscisses.  1 2 3 4 5 6 7 −1 1 2 3 4 0 A B M

FIGURE27.8 – Les deux droites d’équation « y= −12x+ 1 » et « y = 2x − 4 » sont perpendiculaires

(9)

27.6 Forme implicite, parallélisme et perpendiculaires 17

Théorème 27.20 Toute droite possède une équation cartésienne de la forme ax+ by + c = 0. On parle d’équation implicite car ni x ni y ne sont explicités l’un en fonction de l’autre.

Si une droite a pour équation cartésienne ax+ by + c = 0, un vecteur directeur est alors donné par #»v(−b, a).

27.6

Forme implicite, parallélisme et perpendiculaires

27.6.1 Déterminant

Définition 27.21 — Déterminant. Soient deux droites(d) : ax+by+c = 0 et (d0) = a0x+b0y+c0= 0.

On appelle déterminant des deux droites(d) et (d0) :

det(d, d0) = a a0 b b0 = ab0+ ba0.

Propriété 27.22 Deux droites(d) : ax + by + c = 0 et (d0) : a0x+ b0y+ c0 = 0 sont parallèles si et

seulement si leur déterminant est nulle.

ax+ by + c = 0 et a0x+ b0y+ c0= 0, (d) k (d0) ⇔ a a0 b b0 = 0 ⇔ ab0− a0b= 0. 27.6.2 Droites perpendiculaires

Proposition 27.23 Soient deux droites(d) : ax + by + c = 0 et (d0) : ax0+ by0+ c0 = 0. Les droites

(d) et (d0) sont perpendiculaires si et seulement si aa0+ bb0 = 0.

27.6.3 Distance d’un point à une droite

Définition 27.24 La distance d’un point M à une droite(D) : ax + by + c = 0 est la longueur d du

segment[MH] où H est le pied, sur la droite (D), de la perpendiculaire issue de M.

R 27.25 Les coordonnées x et y de H vérifient ax+ by + c = 0.

Proposition 27.26 Si M(x0, y0) et (d) : ax + by + c = 0. La distance d du point M à la droite (d)

est donnée par la formule suivante :

d= |ax√0+ by0+ c|

a2+ b2 ou d

2= (ax0+ by0+ c)2 a2+ b2 .

 Exemple 27.27 Soit A = (1, 2) et B(3, 0). On cherche la distance du point M(0, 1) à la droite

(AB). On calcule tout d’abord la forme implicite de l’équation cartésienne de la droite (AB).

( a+ b = 2 3a + b = 0 ⇔ ( a− 3a = 2 3a + b = 0 ⇔ ( a= −1 3 × −1 + b = 0 ⇔ ( a= −1 b= 3

Donc l’équation cartésienne de l’équation est y = −x + 3 et sous la forme implicite y + x − 3 = 0. Ainsi :

d2 = (1 − 3) 2

12+ 12 = 42 = 2,

(10)

27.7

Intersection de trois droites

Théorème 27.28 Soient D et D0 deux droites distinctes du plan qui se coupent en A. On note : D: ax + by + c = 0

D0: a0x+ b0y+ c0= 0

Soit∆ : αx + βy + γ = 0.

A∈ ∆ ⇔ ∃(λ, µ) ∈ R2, (λ, µ) 6= (0, 0), αx + βy + γ = λ(ax + by + c) + µ(a0x+ b0y+ c0) = 0. Dv •Démonstration — (⇐) On note : f(x, y) = ax + by + c f1(x, y) = a0x+ b0y+ c0 f2(x, y) = αx + βy + γ On a : f2(x, y) = λf(x, y) + µf1(x, y). A(x0, y0) ∈ D et A ∈ D0donc : λf(x0, y0) + µf1(x0, y0) = f2(x0, y0) = 0 ⇒ λ ∈ ∆. (⇒) Comme A ∈ D et A ∈ D0: ⇒ ( ax0+ by0+ c = 0 a0x0+ b0y0+ c0 = 0 ⇒x0+ bc 0− b0c ab0− ba0 y0= ca0− c0a ab0− ba0. A∈ ∆ donc αx0+ βy0+ γ = 0 ⇒ γ = αbab00− βa0 − ba0 c+ − bα ab0− ba0 = c0.

On cherche(λ, µ) ∈ R2 tel que f

2(x, y) = λf(x, y) + µf1(x, y). Cela implique que γ= λc + µc0. On pose :

λ= αb0− βa0

ab0− ba0 et µ=

− bα ab0− ba0

et on vérifie les égalités :

α= λa + µa0, β= λb + µβ, γ = λc + µc0.

(11)

Bibliographie

[1] Problème des sept ponts de Königsberg, Wikipédia, l’encyclopédie libre.

[2] C. LE BOT, Théorie des graphes, 2006, http://blog.christophelebot.fr/ wp-content/uploads/2007/03/theorie_graphes.pdf.

[3] Coloration des graphes, Apprendre-en-ligne, http://www.apprendre-en-ligne. net/graphes-ancien/coloration/sommets.html

[4] O. GARET, Exemples de problèmes de graphes, http://iecl.univ-lorraine. fr/~Olivier.Garet/cours/graphes/graphes-documents_d_

accompagnement.pdf.

[5] E. SIGWARD& al., Odyssée Mathématiques Terminale ES/L, Hatier, 2012.

[6] Graphes probabilistes, Terminale ES spécialité.http://mathadoctes.free.fr/TES/ graphe/f4_graphe.PDF

[7] G. COSTANTINI, Probabilités (discrètes), Cours de Première S, URL : http:// bacamaths.net.

[8] P. RIBEREAU, Cours 5 Probabilités : Notion, probas conditionnelles et indépendance, URL : http://www.math.univ-montp2.fr/

[9] P. DUVAL, Probabilités, TS. URL : http://lcs.werne.lyc14.ac-caen.fr/ ~duvalp

[10] G. COSTANTINI, Probabilités : Généralités, conditionnement, indépendance, Cours de

Pre-mière S. URL :http://bacamaths.net.

[11] M. LENZEN, Leçon no3 : Coefficients binomiaux, dénombrement des combinaisons, formule

du binôme. Applications., 2011, URL :http://www.capes-de-maths.com/index. php?page=leconsNEW

[12] G. CONNAN, Une année de mathématiques en Terminale S, Ch. 14, 2009-2010, URL :http: //tehessin.tuxfamily.org

[13] G. COSTANTINI, Loi binomiale, URL :http://bacamaths.net

[14] C. SUQUET, Intégration et Probabilités Elémentaires, 2009-2010. URL : http://math. univ-lille1.fr/~ipeis/

[15] L. LUBRANO& al., Mathématiques, BTS Industriels - Groupement B et C, Dunod, 2011.

[16] G. COSTANTINI, Lois de probabilités continues. URL :http://bacamaths.net.

[17] J.-P. GOULARD, Lois de probabilités continues, TS, 2014-2015. http://blog.crdp-versailles.fr/jpgoualard/public/

TS-2014-2015-cours-loiscontinues.pdf.

[18] Probabilités 3 : Loi uniforme sur [a; b], Lycée de Font Romeu. http://www. lewebpedagogique.com/cerdagne/files/2013/02/02-Loi-uniforme. pdf

[19] Loi uniforme sur[a; b], IREM de Toulouse. URL :http://www.irem.ups-tlse.fr/ spip/IMG/pdf_LOI_UNIFORME.pdf

(12)

[21] C. SUQUET, Initiation à la Statistique, 2010. http://math.univ-lille1.fr/ ~suquet/Polys/IS.pdf.

[22] J.-F. DELMAS, Modélisation stochastique, Cours de M2, 2009. URL :http://cermics. enpc.fr/~delmas/Enseig/mod-stoch.pdf

[23] L.-M. BONNEVAL, Chaînes de Markov au lycée, APMEP no503, 2013. URL : http:// publimath.irem.univ-mrs.fr/biblio/AAA13018.htm

[24] Marche aléatoire, IREM de Franche-Comte. URL : http://www-irem. univ-fcomte.fr/download/irem/document/ressources/lycee/marche/ marche-aleatoire.pdf.

[25] Marches sur Z, culturemath.ens.fr, URL : http://culturemath.ens.fr/maths/ pdf/proba/marchesZ.pdf

[26] Contributeurs à Wikipedia, Marche aléatoire, Wikipédia, l’encyclopédie libre, 2014.

[27] Marche au hasard dans les rues de Toulouse, URL : http://mappemonde.mgm.fr/ actualites/M_toulouse2.html

[28] R. NOEL, Statistiques descriptives, http://amphimaths.chez-alice.fr/N1/ stats_desc_poly.pdf

[29] J. LEVY, Séries statistiques, URL :http://jellevy.yellis.net.

[30] P. BRACHET, Statistiques : résumé de cours et méthodes, Première S. http://www. xm1math.net/seconde/seconde_chap9_cours.pdf.

[31] Contributeurs de Wikipédia, Série statistique à deux variables, Wikipédia.

[32] G. COSTANTINI, Séries statistiques à deux variables. URL :http://bacamaths.net. [33] A. GUICHET, Prépa ECS - Lycée Touchard, Chap 1. 1.2. URL :http://alainguichet.

mathematex.net/ecs-touchard/wiki.

[34] Y. DUCEL & B. SAUSSEREAU, Partie I : Du théorème de Moivre-Laplace (TML) au

Théorème-Limite Central (TLC), Journée académique « Terminale », Besançon, octobre 2012. http://bsauss.perso.math.cnrs.fr/IREM_FC_GrouProbaStat/ Terminale-I_JourneeOctobre-2012_DIAPORAMA_120929/DIAPORAMA-I_ JourneeTerminale_octobre-2012.pdf.

[35] R. BARRA& al., Transmath 2nde, Nathan, 2010.

[36] P. MILAN, Statistiques et estimation, Terminale S.

[37] IREM Aix-Marseille, Groupe Proba-Stats, Estimation : intervalle de fluctuation et de confiance, Mars 2012. http://www.irem.univ-mrs.fr/IMG/pdf/estimation_ nouveau_programme2012.pdf

[38] Intervalle de fluctuation, intervalle de confiance, Animation nouveaux programmes de mathématiques Terminale STI2D - Académie de Créteil, jeudi 3 mai 2012.

http://maths.ac-creteil.fr/IMG/pdf/intervalles__fluctuation_ confiance_sti2d-stl_1_.pdf

[39] N. DAVAL, Statistiques inférentielles : estimation. BTS Domotique. URL : http:// mathematiques.daval.free.fr

(13)

BIBLIOGRAPHIE 21

[41] P. MILAN, Multiples. Division euclidienne. Congruence, Terminale S Spé. URL : http://www.lyceedadultes.fr/sitepedagogique/documents/math/ mathTermSspe/01_Multiples_division_euclidienne_congruence/01_ cours_multiples_division_euclidienne_congruence.pdf.

[42] Contributeurs de Wikipédia, Liste des critères de divisibilité, Wikipédia.

[43] C. PARFENOFF, Division euclidienne, division décimale, Classe de Sixième. URL : http: //www.parfenoff.org

[44] J. ONILLON, Vestiges d’une terminale S — Résolution générale des équations diophantiennes.

URL :http://tanopah.com.

[45] ZAUCTORE, Équations diophantiennes du premier degré, 3 octobre 2007. http://www. mathforu.com/pdf/equation-diophantienne-premier-degre.pdf

[46] D.-J. Mercier, CAPES/AGREG Maths, Préparation intensive à l’entretien. URL :http:// megamaths.perso.neuf.fr/exgeo/preparationintensive.html

[47] F. HERBAUT, Souvenirs d’oraux du CAPES 2011, Académie de Nice. http://fabien. herbaut.free.fr/oraux/oraux_2011_v1.pdf.

[48] Contributeurs de Wikipédia, Équation diophantienne ax+ by = c, Wikipédia.

[49] P. MILAN, Les nombres premiers, Terminale S Spé, 22 janvier 2013. URL :http://www. lyceedadultes.fr/sitepedagogique/documents/math/mathTermSspe/ 03_Nombres_premiers/03_cours_les_nombres_premiers.pdf

[50] J.-P. BELTRAMONE& al., Déclic mathématiques, TS, Enseignements spécificique et de

spécia-lité, Hachette Éducation, 2012.

[51] D.-J. MERCIER, Fondamentaux d’algèbre et d’arithmétique, EPU, Publibook, 2010.

[52] B. BERTINELI& Y. SCHUBNEL, Leçons de mathématiques, CRDP de Franche-Conté, 2001.

[53] G. TENENBAUM& M. MENDÈS-FRANCE, Les nombres premiers, PUF Editions, 2000.

[54] X. DELAHAYE, Congruences, Terminale S. URL :xmaths.free.fr

[55] J.-P. QUELEN, Petit théorème de Fermat et codage RSA, 15 janvier 2011.

[56] M. LENZEN, Leçon no14 : Congurences dans Z. Anneau Z/nZ, 2011. www. capes-de-maths.com/lecons/lecon14.pdf

[57] Contributeurs de Wikipédia, Équations du second degré, Wikipédia.

[58] C. BOULONNE, Notes de cours, M101 : Fondements de l’algèbre, L1 Mathématiques,

2006-2007.

[59] Équations du second degré à une inconnue. URL : http://ww2.ac-poitiers.fr/ math_sp

[60] G. BONTEMPS& al., Fractale, Maths 1re S, Bordas, Programme 2001.

[61] G. COSTANTINI, Nombres complexes, Terminale S. URL :http://bacamaths.net. [62] G. CONNAN, Une année de mathématiques en Terminales S, Ch. 1, 2009-2010. http://

tehessin.tuxfamily.org

[63] D. FELDMANN, 21. Géométrie analytique. URL : http://denisfeldmann.fr/PDF/ 21ganal.pdf.

(14)

[65] Coordonnées Géographiques, MPS. URL : http://www.mimaths.net/IMG/pdf/ coorgeo.pdf.

[66] G. COSTANTINI, Exercices de Géométrie Analytique. URL :http://bacamaths.net. [67] J. ONILLON, Géométrie analytique : un regard d’un autre temps, 2007.http://tanopah.

jo.free.fr/ADS/bloc13/geoanalytique.pdf

[68] Contributeurs de Wikipédia, Géométrie analytique, Wikipédia.

[69] Contributeurs de Wikipédia, Repérage dans le plan et dans l’espace, Wikipédia. [70] Contributeurs de Wikipédia, Système de coordonnées, Wikipédia.

[71] D. ROBERT, Mathématiques en Terminale ES, Enseignement de spécialité, 2012-2013.http: //perpendiculaires.free.fr/wp-content/TESspe-2012-2013.pdf. [72] Devoir maison – 5, Chiffrement de Hill, Spé TS, Lycée Victor Duruy - Mont

de Marsan.http://mathstsduruy.fr/wp-content/uploads/2013/04/dev5_ Sp%C3%A9_maison_2012.pdf.

[73] Chapitre 12 : Proportionnalité. http://maths.vivien.free.fr/documents/ Cours/chapitre6D1-Proportionnalite.pdf.

[74] Chapitre 13 : Proportionnalité. http://www2.ac-lyon.fr/etab/colleges/ col-69/jgiono/IMG/pdf/cours_Proportionnalite.pdf

[75] Théorème de Thalès - Démonstration. URL : http://mathadoc.sesamath.net/ Documents/college/3eme/3thales/demoaire.PDF

[76] S. PASQUET, Proportionnalité, Classe de 6ème, 5ème, 4ème et 3ème. http://mathweb. fr.

[77] J.-G. CUAZ, Pourcentage, Première L Math-Info. http://francois. schulhof.perso.neuf.fr/cours_maths/lycee/statistiques/cours_ pourcentage.pdf

[78] Contributeurs de Wikipédia, Pente (topographie), Wikipédia.

[79] Pourcentages, CNED Académie en Ligne. URL :http://www.academie-en-ligne. fr/Ressources/7/MA11/AL7MA11TEPA0012-Sequence-02.pdf

[80] Intérêts simples. http://mathadoc.sesamath.net/Documents/mp/bacpro/ bacgestion/int_simp.PDF

[81] A. IMONE, Systèmes d’équations, d’inéquations, Troisième. http://albertimone. voila.net/Brevet/syst.3.html

[82] S. PASQUET, Systèmes d’équations et inéquations affines, Première ES.http://mathweb. fr.

[83] J. ONILLION, Systèmes d’inéquations, régionnement du plan. URL : http://tanopah. jo.free.fr/seconde/regionalpha.php

[84] Programmation linéaire,http://extranet.editis.com/it-yonixweb/images/ 500/art/doc/8/85a981cb4526acd3393830353930393136343535.pdf

[85] S. GOUIN & al., Dimathème TSTT (Action et communication commerciales administratives),

Programme 1999, Didier.

(15)

BIBLIOGRAPHIE 23

[87] S. MEHL, Droites du plan, étude analytique élémentaire. URL :http://serge.mehl. free.fr/anx/dtes_p.html

[88] C. PARFENOFF, Droites parallèles. Droites sécantes, Seconde. URL : http://www. parfenoff.org/pdf/seconde/geometrie/2de_Droites_paralleles_ Droites_secantes.pdf

[89] D. PERRIN, Droites du plan. URL : http://www.math.u-psud.fr/~perrin/ CAPES/geometrie/droites2012.pdf.

[90] M. HAMED, Leçon 24 : Droites du plan. http://michael.hamed.perso.sfr.fr/ acces/Le%C3%A7on%2024%20-%20Droites%20du%20plan.pdf

Références

Documents relatifs

Les 3 médiatrices d'un triangle sont concourantes en un point qui est le centre du cercle circonscrit au triangle... TRIANGLE

A partir de la formule analytique du produit scalaire, déterminer l’équation vérifiée par les coordonnées du point M.. Conclure en utilisant

Pour réaliser un nombre de ventes maximal par semaine, je trace la parallèle à la droite ∆ 320 qui passe dans la zone hachurée et qui a une ordonnée à l'origine maximaleb.

Madame Zed a fait mener une étude visant à déterminer le nombre d'acheteurs potentiels de son nouveau rouge à lèvres selon

Déterminer une équation cartésienne de la

Un vecteur normal à la droite (AB) est un vecteur orthogonal à

Remarque Déterminer l’équation d’une droite, si elle n’est pas de la forme x = c, revient à chercher l’expression de la fonction affine dont elle est la

Que peut- on dire du point de