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La notion de fantasme comme dispositif de conversion de la jouissance en plaisir a entraîné la révision du concept d’objet. La critique de la loi morale kantienne - et par là de la loi phallique comme unique référence du désir - et le dégagement de l’objet par rapport au signifiant qui en découle risquent d’introduire de la substance dans la structure. Il faut donc négativer l’objet pour éviter qu’il soit entendu comme un simple objet empirique et appropriable, une substance qui viendrait remplir le manque-à-être du sujet. Parce qu’il ex-siste dans un monde habité par le langage, l’objet est affecté de transcendance. Voilée, sa forme sensible est mentalement perçue, rendue intelligible. La structure de voile du fantasme est une structure puritaine, malgré la valeur érotique du voile. Mais Éros n’est-il pas inhibé, refoulé ? Cicatrice de la castration, le fantasme l’est aussi bien: la conversion de la jouissance en plaisir est une périphrase de refoulement.

Ce que le fantasme voile pudiquement c’est le négatif dont l’objet a est affecté et qui l’écarte radicalement de tout objet empirique. Le relief de l’objet dans le fantasme cache ce négatif essentiel. Dans le paradigme phallique, la négativation de l’objet passait par son absorption dans le creux du signifiant. Dans le paradigme fantasmatique, la négativation de l’objet passe par l’introduction du creux au sein de l’objet. La négativation est une stratégie fondamentale de la pensée lacanienne non seulement pour éviter la chute dans l’empirisme mais aussi pour atteindre le réel au-delà du fantasme et déconstruire la scène du monde.

On trouve dans l’oeuvre de Lacan deux voies successives d’approche du réel: la pulsion et le non-rapport sexuel. Ces deux voies d’approche du réel mettent en cause la fiction de mondanité en ce qu’elle signifie non seulement la substance sémantique de la réalité (le semblant) mais aussi le leurre d’une corrélation entre sujet et monde comme unités et totalités (univers), leurre qui est en fait l’illusion de la consistance (de l’être) du sens (de l’être). Comme stratégies de défection du tout (de l’être, du sens), pulsion et non-rapport sexuel élargissent la faille dans la consistance de l’Autre si bien que le symbolique va perdre sa suprématie sur l’imaginaire et le réel.

La pulsion vient gêner le fantasme dans la mesure où elle a affaire au vide que l’objet phénoménologique du fantasme enveloppe. Nous constatons que dans le Séminaire VII, l’objet a surgi comme objection éthique à la pureté logique du symbolique devient, dans le fantasme, l’instrument d’une fiction d’unité qu’il aura lui-même, en tant qu’objet de la pulsion, à fissurer. Il faut donc distinguer les différents aspects et fonctions de l’objet a jusqu’à ce que le Séminaire XX déplace sa fonction subversive à la jouissance pastoute des femmes et à la lettre.

8.1. L’objet et le vide de la Chose

Dans le Séminaire VII, Lacan affirme que l’objet façonné par l’homme, dont le pot est le prototype, n’est pas seulement un outil mais aussi un signifiant si bien que son utilité fondamentale est la fonction signifiante de nous faire concevoir métaphoriquement les mystères de la création. Mais que le pot soit le produit d’un acte créateur ne se pose pas pour Lacan comme imposition d’une forme au continu et à l’informe de la matière, tel que Lévi-Strauss l’assume dans La Potière jalouse. Le vase, dit Lacan, est fait à partir de rien. Le potier, ou la potière, qu’elle soit jalouse ou non,

crée le pot non pas à partir de l’argile à laquelle il ou elle donne forme, mais à partir de rien.

Le potier crée le vase autour de ce vide avec sa main, le crée tout comme le créateur mythique, ex-nihilo, à partir du trou (Lacan1985:146).

Le vase est un signifiant incarné en objet et, en tant que forme incarnée, il crée le vide, introduisant par là la perspective même de le remplir (idem:145).

Lacan met l’accent moins sur l’objet comme manque que sur le manque dans l’objet et qui est ce par quoi l’objet relève du vide créationniste. Par conséquent, ajoute Lacan, en tant que créé, en tant qu’il crée le vide, l’objet – et tout objet est en quelque sorte un vase – représente l’existence du vide au centre du réel qui s’appelle la Chose (idem:146). Un tel objet représente ce qui se présente dans la représentation comme un nihil, comme rien (idem:146), ce rien qui est au principe de la création et dont le sujet reçoit sa condition (1966:667). Dans La logique du fantasme (1966-7), Lacan dit que la fonction de leurre de l’objet dans le fantasme a trait à la méconnaissance du nihil d’où procède la création (dont l’agent est le signifiant): n’étant qu’effet du langage, le sujet ignore ou escamote ce statut et s’assume comme créature selon le modèle de l’objet qui s’enveloppe du contenant créé par le vide (ou le manque ou le nihil) – tout comme le pot est un objet créé autour d’un trou. Par l’identification à l’objet, le sujet se donne l’illusion d’être une créature, une substance, bref d’être un être (c’est l’illusion cartésienne de remplacer le cogito par la res cogitans). Et Lacan ajoute que la notion de créature, de tenir au sujet, est préalable à toute fiction (2001:324). La vérité du sujet barré, ce sujet creusé par le signifiant, décharné, devient dans le fantasme la fiction d’un corps selon le modèle de l’objet dont le vide qui le centre s’habille de quelque substance pour s’incarner86. De cette fiction naît l’imaginaire d’une proportion, d’une harmonie, d’une sorte de spécularité, entre sujet et monde, (Innenwelt et Umwelt) et aussi entre homme et femme.

8.2. La sublimation, déchirure du voile du fantasme

Contrairement à l’identification qui concerne les idéaux du Moi et leurs objets imaginaires inscrits dans un rapport narcissique – l’idéalisation est l’identification du sujet à son objet -, la sublimation, dit le Séminaire VII, concerne le vide de la Chose:

Entre l’objet tel qu’il est structuré par la relation narcissique et das Ding, il y a une différence, et c’est justement dans la pente de cette différence que se situe pour nous le problème de la sublimation (1986:117).

La sublimation est, comme destin de la pulsion, un destin singulier: ce qu’elle mobilise pour substituer n’est pas l’objet mais le but dans la mesure où elle se satisfait d’un but qui n’est pas sexuel-génital; de plus, comme on l’a vu (cf.1.1.5.1.), la sublimation n’est pas le refoulement. La sublimation fait se détourner la pulsion de son but et, ce faisant, elle apparaît comme le modèle ou le régime des vicissitudes pulsionnelles en général: si la pulsion se distingue de l’instinct c’est justement dans la mesure où elle n’est pas une voie directe vers une satisfaction naturellement appropriée mais une dérive, un détour; la pulsion est, on s’en souvient, une satisfaction détournée.

86 L’objet a réel, l’objet de la pulsion, est insaisissable au miroir et ne devient saisissable qu’habillé par l’image spéculaire (cf.1966:818).

Aussi, toute pulsion est-elle déjà sublimation. Pourtant, contrairement aux autres destins pulsionnels, la sublimation est intransitive et c’est cette idée freudienne que Lacan transpose dans la définition de sublimation comme élévation d’un objet à la dignité de Chose. Que peut bien vouloir dire ceci, sinon la reconduction de l’objet au vide qui fissure son être phénoménologique, autrement dit, l’effacement de sa forme sensible et représentable ?

Dans la mesure où la sublimation est rattachée à la pulsion comme telle, on peut dire que ce qui se pose à l’horizon de la tendance est également la Chose, ce point où l’objet est absorbé par le but:

Ce qu’il y a au niveau de das Ding du moment où il est révélé, c’est le lieu des Triebe, pour autant qu’ils n’ont rien à faire, en tant que révélés par la doctrine freudienne, avec quoi que ce soit qui se satisfasse d’une tempérance, de celle qui ordonne bien sagement les rapports de l’être humain avec son semblable aux différents étages hiérarchiques de la société, depuis le couple jusqu’à l’État, dans une construction harmonique (idem:131).

La satisfaction détournée – mais toujours sexuelle - de la pulsion n’a rien de socialement pacifiant: c’est de la jouissance au-delà des biens et des liens érotiques. La sublimation, et avec elle la pulsion en général, s’inscrivent dans un au-delà du refoulement, dans un au-delà de la chaîne signifiante, dans un au-delà du principe du plaisir, que le Séminaire VII présente comme le plan de la Chose, ce qui du réel pâtit du signifiant (idem:142,161).

Aussi la pulsion vient-elle subvertir la statique du fantasme où l’objet leurre le sujet au point de la Chose. Il voile la Chose – le sexuel traumatique – pour la présenter au sein d’une scène, d’une représentation, qui produit un sens pour le désir (la scène primitive). Le fantasme érotise dans la mesure où il relie le désir à un objet imaginaire.

La sublimation, par contre, désérotise parce qu’elle coupe les liens aux objets pour les transcender en vide de la Chose, l’ex-nihilo d’avant la création. Ou pour les dévoiler et les montrer dans leur nudité réelle: c’est l’obscène. Contrairement au fantasme, la sublimation est impudique.

Puisqu’elle constitue la ruse par laquelle la pulsion échappe à la loi du désir pour atteindre à la Chose, la sublimation prolonge l’opposition entre désir et jouissance par opposition à fantasme et pulsion. On voit ainsi que, dans le paradigme fantasmatique la pulsion n’apparait plus comme un domaine libido-imaginaire à être pris par et dans le signifiant (paradigme phallique) mais comme une instance qui menace de rupture la formation sur laquelle le désir se soutient: le fantasme.

8.3. La queue larguée du lézard

Le rapport entre fantasme et pulsion est une articulation dramatique, une tension, dans laquelle la dynamique de la pulsion perturbe la statique du fantasme. Dans le Séminaire XI, Lacan affirme que la pulsion est le mode d’un sujet acéphale, d’une subjectivation sans sujet; de même, l’objet a est présubjectif (cf.1973:208). Par contre le fantasme céphalise le sujet en lui donnant un objet à désirer. Le sujet du désir est un sujet structuré et apaisé dans l’illusion de son unité avec l’objet alors que dans la pulsion tout s’articule en termes de tension et d’écartèlement pluralisant.

Cette tension se déploye autour de l’objet. La fonction déstabilisante de l’objet de la pulsion vient du fait qu’il est un vicariant ou un index de l’objet cause du désir, c’est-à-dire le négatif qui ébranle l’être phénoménologique de l’objet visé par le désir.

C’est donc au vide qui les centre, que ces objets empruntent la fonction de la cause où ils viennent pour le désir (Lacan2001:324). Ce vide qui les centre est parfois assimilé au vide de la Chose, mais la Chose tend à disparaître du discours lacanien et à être remplacée par la séparation primitive d’un organe du corps, une livre de chair perdue87. L’objet de la pulsion est ainsi un objet qui vient en lieu et place de l’objet chu du corps sous le coup d’une auto-mutilation et qui est l’objet a cause du désir. N’importe quel objet peut représenter la fonction du manque (Freud disait que l’objet de la pulsion est indifférent) mais c’est en nombre limité qu’ils peuvent tenir le rôle que symboliserait au mieux l’automutilation du lézard, sa queue larguée dans la détresse (1966:853). Sein, fèces, phallus, regard, voix, rien – voici les objets détachables du corps capables de représenter la fonction du manque réel, figurée comme auto-mutilation.

Apportant au désir le négatif qui l’a causé, la pulsion lève le voile du fantasme.

Dans Le Trieb de Freud..., écrit contemporain du Séminaire XI (1964), Lacan décrit ainsi la relation entre fantasme et pulsion:

Les pulsions sont nos mythes, a dit Freud. Il ne faut pas l’entendre comme un renvoi à l’irréel.

C’est le réel qu’elles mythifient, à l’ordinaire des mythes: ici qui fait le désir en y reproduisant la relation du sujet à l’objet perdu.

Les objets à passer par profits et pertes ne manquent pas pour en tenir la place. Mais c’est en nombre limité qu’ils peuvent tenir un rôle qui symboliserait au mieux l’automutilation du lézard, sa queue larguée dans la détresse.Mésaventure du désir aux haies de la jouissance, que guette un dieu malin.

Ce drame n’est pas l’accident que l’on croit. Il est d’essence: car le désir vient de l’Autre, et la jouissance est du côté de la Chose.

Ce que le sujet en reçoit d’écartèlement pluralisant, c’est à quoi s’applique la seconde topique de Freud. Occasion de plus à ne pas voir ce qui devrait y frapper, c’est que les identifications s’y déterminent du désir sans satisfaire la pulsion. Ceci pour la raison que la pulsion divise le sujet et le désir, lequel désir ne se soutient que du rapport qu’il méconnaît, de cette division à un objet qui la cause.

Telle est la structure du fantasme (idem:853).

Désir et pulsion divergent sur le plan de l’identification, laquelle, selon Lacan, se détermine du désir mais ne se satisfaire pas de la pulsion. Ensuite, il y est question de deux divisions: la première, causée par la pulsion, entre sujet et désir; la seconde, causée par l’objet (de la pulsion), entre désir et objet, division que le désir, pour se soutenir, méconnaît dans le fantasme, moyennant l’identification (à l’objet). L’identification est donc la fonction du voile ou, si l’on préfère, le voile est l’instrument de l’identification du sujet à l’objet par laquelle le sujet couvre sa vérité de son désir 88.

Dans La logique du fantasme (1966-7), Lacan écrit:

(...) ils [objets a] ne tiennent cette fonction dans le désir [d’être cause du désir]

qu’à y être aperçus comme solidaires de cette refente (d’y être à la fois inégaux, et conjoignant à la disjoindre), de cette refente où le sujet s’apparaît être dyade – soit prend le leurre de sa vérité même. C’est la structure du fantasme notée par nous de la parenthèse dont le contenu est à prononcer: S barré poinçon a (Lacan2001:324).

Le désir se trouve ainsi installé sur une base imaginaire (identification, leurre, méconnaissance) que la pulsion travaille à faire éclater (écartèlement pluralisant). Ce

87 Dans Le Trieb de Freud, Lacan dit que l’auto-mutilation est jouissance dont l’effet déstructurant est métaphorisé par les haies et référé à la Chose – la jouissance est du côté de la Chose - et, par conséquent, mésaventure du désir – le désir qui vient de l’Autre.

Cependant la métaphore de l’auto-mutilation du lézard pointe la réduction de la Chose transcendantale en livre de chair perdue, petite chose du corps, reste – l’objet a; par conséquent, jouissance fragmentée, séparée, perdue, peu de jouissance dans la pulsion.

88 De même, le Séminaire VII établissait que l’objet a leurre le sujet au point de la Chose. Les fonctions de leurre et de méconnaissance ne sont plus le privilège du Moi mais appartiennent à une formation logique (la logique du fantasme).

faisant, elle brise la logique89 symbolique et imaginaire du fantasme et introduit la dérive, la multiplicité et la partialité (le polymorphisme pervers) dans l’unité de la scène du monde.

8.4. Les deux champs disjoints de la sexualité

Il y a un aspect de l’auto-mutilation que je voudrais souligner. Elle est une métaphore de la castration (jouissance perdue) mais, en tant que telle, elle n’est pas opérée par quelque entité hétérogène ou extérieure: le signifiant, l’Autre, le Nom du Père. Elle est purement interne, auto, immanente au corps. Aucun Autre ne coupe la queue du lézard: elle se sépare du corps d’elle-même par un mécanisme naturel, organique. C’est comme si la pulsion faisait rentrer la loi dans le corps. Tandis que la division d’ comme sujet du désir découle de son aliénation au signifiant, dans la pulsion il s’agit d’une séparation ayant lieu dans le corps d’un sujet qui n’est pas seulement parlant mais vivant. C’est pourquoi Lacan dit dans SSDD que la pulsion repère organiquement le sujet du signifiant.

Dans le Séminaire IX (1961), Lacan interrogeait l’unité signifiante du sujet, en suggérant qu’il se tient entre deux extrêmes: le pôle du vivant et le pôle du signifiant:

[Le sujet] est dans l’individualité radicale, réelle, dans le patient pur de cette capture, dans l’organisme dès lors aspiré par les effets du “ça parle” par le fait qu’un vivant entre les autres a été appelé à devenir ce que M. Heidegger appelle le berger de l’être, ayant été pris dans les mécanismes du signifiant. Est-il à l’autre extrême identifiable au jeu même du signifiant ? Et le sujet n’est-il que le sujet du discours en quelque sorte arraché à son immanence vitale, condamné à la survoler, à vivre dans cette sorte de mirage qui découle de ce redoublement qui fait que tout ce qu’il vit, non seulement il le parle, mais que le vivant il le vit en le parlant et que déjà ce qu’il vit s’inscrit en une “enos”, une Saga tissée tout au long de son acte même (Lacan1961:1).

Dans le Séminaire XI et dans Position de l’inconscient (1964), l’interrogation devient affirmation. Lacan établit, pour la sexualité, deux côtés, celui du vivant, où se trouve la pulsion, et celui de l’Autre, lieu des liens, des idéaux, de l’ordre et de la norme, bref du désir. Il écrit:

Du côté du vivant en tant qu’être à être pris dans la parole, en tant qu’il ne peut jamais enfin y tout entier advenir, dans cet en-deça du seuil qui n’est pourtant ni dedans ni dehors, il n’y a d’accès à l’Autre du sexe opposé que par la voie des pulsions dites partielles où le sujet cherche un objet qui lui remplace cette perte de vie qui est la sienne d’être sexué.

Du côté de l’Autre, du lieu où la parole se vérifie de rencontrer l’échange des signifiants, les idéaux qu’ils supportent, les structures élémentaires de parenté, la métaphore du père comme principe de la séparation, la division toujours rouverte dans le sujet dans son aliénation première, de ce côté seulement et par ces voies que nous venons de dire, l’ordre et la norme doivent s’instaurer qui disent au sujet ce qu’il faut faire comme homme ou femme (1966:849).

Le partage de la sexualité en ces deux côtés fait que la pulsion quitte le domaine du symbolique (elle intervient là où la parole fait défaut): elle n’est pas chez l’Autre, Ça ne veut pas parler: Ça veut un objet, tout simplement. Ça veut un objet qui n’est pas la Chose mais autre chose, un petit quelque chose, un petit a, qui puisse remplacer la livre de chair perdue selon le modèle de la queue larguée du lézard. Ça veut un petit objet en-deçà de la parole, d’un côté qui n’est pas celui de l’ordre symbolique, celui de la sexualité organisée en un réseau de circuits et de places pour la libido, selon la structure de parenté et les idéaux sociaux (le Nom du Père), de façon à ce que le sexuel devienne

89 Une logique dont la condition est le refoulement (cf.1.1.2.). Freud dit dans Introduction à la Psychanalyse que la pulsion est un moyen pour la libido d’éviter le refoulement (2001:439).

signifiant. Mais ce côté du vivant n’est pas non plus à confondre avec le plan de

signifiant. Mais ce côté du vivant n’est pas non plus à confondre avec le plan de