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la validation de la RP est visée comme le cas de figure « souhaitable » par une instance subjective différente du terme de départ, et l’instance subjective

WILL + NOT

+IMPLICATION Qlt (Qnt)

1/ la validation de la RP est visée comme le cas de figure « souhaitable » par une instance subjective différente du terme de départ, et l’instance subjective

correspondant au terme de départ bloque la validation. Par exemple :

(109) What should I do if I like a girl and she likes me but she won't go out with me?

http://lorettalaroche.com/HYSask.htm 2/ la validation de la RP est posée comme un cas de figure « non-souhaitable » par une instance subjective différente du terme de départ, et l’instance subjective correspondant au terme de départ accepte de se plier à ce choix en s’engageant à ne pas valider la RP. Par exemple :

(110) "You, now, you won't tell anyone you read this letter, okay?"

"Very well, I won't tell."

http://menic.utexas.edu/menic/cmes/pub/iboy/sec9.html Je commencerai par analyser les contextes où le point de vue des deux instances subjectives est co-orienté (cas N°2).

4.2.1 LA VALEUR "WILLINGNESS" SANS CONFLIT INTERSUBJECTIF

Lorsque le terme de départ accepte de mettre en œuvre l’événement visé par une première instance subjective, il n’y a pas d’opération de rejet, les deux points de vue étant effectivement co-orientés. Si on observe les exemples suivants, on constate que cette absence de conflit dans les positions intersubjectives ne permet pas de construire une paraphrase avec refuse :

(110) “You, now, you won't tell anyone you read this letter, okay?"

"Very well, I won't tell."

http://menic.utexas.edu/menic/cmes/pub/iboy/sec9.html

(110a) " You, now, you won't tell anyone you read this letter, okay?"

* "Very well, I refuse to tell."

Ce type d’énoncés n’a pas une valeur de refus, mais une valeur d’acceptation.

On remarque par ailleurs que dans ce type d’exemples, on a affaire à un événement qui a une valeur référentielle spécifique. On peut observer, à titre de comparaison, que dans l’exemple suivant (qui a également une valeur spécifique), cette manipulation est possible :

(111) "The bus is very late today, isn't it? Why can't we take a train, instead? I asked her but she won't tell me."

http://www.okanaganlife.com/lw98dan.html (111a) "The bus is very late today, isn't it? Why can't we take a train, instead? I asked her but she refuses to tell me."

Dans cet exemple, c’est la valuation négative qui est prédominante. La délimitation de l’occurrence est secondaire : à partir de la valeur actuelle de refus, on infère que la relation prédicative est non-validée relativement à To. La modalité concerne bien les conditions liées à la validabilité de la relation prédicative, de sorte que la délimitation quantitative n’entre pas en ligne de compte. En revanche, dans l’exemple 110, on a en plus une valeur de renvoi à l’avenir : on envisage une absence d’occurrence de la notion. Ce sont moins les conditions de validabilité que la non-validation per se qui est pertinente.

Cette opération peut être décrite de la manière suivante. D’une part, une première instance subjective pose la validation de la relation prédicative comme un cas de figure « non-souhaitable ». Il n’est pas toujours facile de décider si on a affaire, de la part de la première instance subjective, à une valuation négative de la validabilité de la relation prédicative ou à la visée du cas de figure positif. On remarque que, dans l’exemple 110, on peut proposer une paraphrase avec DO NOT WANT TO :

(110b) "[. . .] You, now, I don’t want you to tell anyone you read this letter, okay?"

D’un autre côté, on pourrait également proposer des paraphrases WOULD RATHER, qui laisserait penser que la négation affecte la relation prédicative :

(110c) "[. . .] You, now, I’d rather you didn’t tell anyone you read this letter, okay?"

Dans un cas comme dans l’autre, on a affaire à une opération sur la délimitation qualitative de la notion. En outre, on peut estimer à ce stade, que l’opération qualitative de valuation peut déjà s’accompagner d’un renvoi à l’avenir, comme dans l’exemple 110 : You won’t tell anyone . . ..

Dans un deuxième temps, l’instance subjective correspondant au terme de départ accepte de se plier à cette première valuation. Il ne s’agit alors pas de valuer une seconde fois le scénario négatif, mais plutôt de s’engager à ce que la relation prédicative soit non-validée. On retrouve ce principe dans des énoncés à la une première personne, dans lequel on vise à ce que le co-énonciateur s’engage à respecter certains principes :

(112) [À propos d’un chien] When in the car, I will not insist on having the window rolled down when it's raining outside. I will not bark each time I hear a doorbell on TV. [Etc]

http://www.gillys.com/cay.htm On a ainsi un travail à la fois sur les composantes quantitative et qualitatives :

On constate que, dans cette opération en deux temps, les deux opérations sont effectivement co-orientées. Il s’agit avec cette valeur de confirmer le choix préconstruit (QLT1ou QLT2 ?) en garantissant une absence d’occurrence de la notion à laquelle renvoie la RP (QNT2), de sorte qu’il y a nécessairement une activation de la composante Qnt avec ce type d’emploi. On va voir que ce n’est pas toujours le cas dans les contextes où la valeur "willingness" se traduit par un rapport intersubjectif conflictuel.

4.2.2 LA VALEUR "WILLINGNESS" AVEC CONFLIT INTERSUBJECTIF

À la différence des contextes dans lesquels les deux points de vue sont co-orientés, les contextes impliquant une altérité entre les positions intersubjectives permettent de construire des valeurs de volition sans renvoi à l’avenir. WILL+NOT a alors une valeur « constative » pour reprendre le terme de P. Larreya (1984, p. 295). Je commencerai par faire quelque remarque au sujet de cette neutralisation de la valeur de prédiction avant de poursuivre cette analyse de la valeur "willingness".

4.2.2.1"WILLINGNESS" ET VOLITIONNON-FUTURE : PREPONDERANCE QLT

P. Larreya rappelle que les emplois de WILL à valeur de « volition non-future » se limitent à deux types de contextes : « certains contextes négatifs et certaines subordonnées » (1984, p. 294). Bien que le premier contexte nous intéresse plus particulièrement, il sera intéressant de faire quelques remarques au sujet des subordonnées. Ces deux contextes ne sont d’ailleurs pas exclusifs, de sorte que, avant d’examiner les contextes négatifs à part entière, on pourra préparer l’analyse en examinant le cas des subordonnées qui comportent également une négation.

4.2.2.1.1 VOLITION NON-FUTURE ET SUBORDONNEES

Dans les exemples suivants, on a affaire à des occurrences de la forme négative à l’intérieur de subordonnées hypothétiques. Dans les quatre exemples suivants, on a encore une valeur de type "willingness" (toujours avec le sens que J. Coates prête à ce terme). En effet, comme cela est signalé par les « paraphrases » entre crochets, on pourra

Instance subjective 1 Instance subjective 2 Instance subjective 1

p p’ p p’ p p’

p, p’ p, p’ p, p’

QLT2 QNT2 QLT1

WILL+NOT WILL+NOT

(107) If your car won’t [refuses to] start, you try to find out why.

http://www.geocities.com/Athens/Delphi/8449/comp2.html (113) If your cat won't [refuses to] eat: Don't panic . . . she may just be fed up with the same old food. Try something else.

http://www.oink.demon.co.uk/pets/cat.htm (114) We were a dozen feet apart. Still I advanced steadily, looking for him to turn tail at any moment and run. At six feet the panicky thought rushed into my mind: What if he will not [refuses to] run?

http://www.jacklondon.com/seawolf.htm Dans les deux premiers exemples, la neutralisation de la valeur de renvoi à l’avenir va de pair avec le fait que le contexte est de type générique. Dans l’exemple 114, en revanche, le contexte spécifique et la non-validation est envisagée comme à venir relativement au repère point de vue. Cependant, on constate que là encore WILL+NOT peut être remplacé par refuse to + simple present. Le contexte hypothétique suspend là aussi la délimitation quantitative de l’occurrence. On peut sans doute expliquer ce phénomène par le fait que ces subordonnées construit un cadre de référence fictif mais stabilisé, et qui, en tant que tel, peut servir de repère pour la proposition principale. Or, si WILL(+NOT) construisait un renvoi à l’avenir dans ce cas, il n’y aurait pas de stabilisation référentielle puisque l’ultériorité temporelle doit elle-même être repérée par rapport à une coordonnée externe. La volition, en revanche, fait appel à des coordonnées subjectives, et notamment au terme de départ. La modalité est alors repérée par rapport à des arguments intra-propositionnels, et est ainsi compatible avec l’autonomie référentielle que supposent les hypothétiques.

Néanmoins, il n’est pas impossible de relever des subordonnées hypothétiques dans lesquelles WILL+NOT a essentiellement une valeur de renvoi à l’avenir :

(115) The newsletter is sent out every week and the listings once a month. We always inform subscribers if there won't be an issue.

http://www.londontheatre.co.uk/faq-guide.html Il est intéressant de noter que, dans ce cas, on constate une ultériorité temporelle de l’événement modalisé par rapport à la situation point de vue :

FIRST ⇒ THEN

We inform subscribers. There won’t be an issue.

P. Larreya souligne ainsi à propos de ce type d’emploi que :

« [. . .] en même temps que l’implication, will marque un futur non pas par rapport au moment de l’énonciation [. . .] mais par rapport à l’événement hypothétique auquel correspond l’antécédent. »

(1984, p. 219 et 221) En revanche, lorsque WILL+NOT a une valeur de volition, cette chronologie temporelle n’est pas valide. La proposition dans laquelle s’exprime le refus réfère au contraire à un état de choses qui est chronologiquement premier dans le rapport interpropositionnel :

FIRST ⇒ THEN

Your car won’t start You try to find out why.

Your cat won't eat You try something else.

Bien que l’événement auquel réfère la proposition puisse être situé dans l’avenir relativement à To, cette interprétation de la chronologie événementielle entre la condition et le conséquent induira en tout état de cause une valeur de volition :

(116) "Also, I’ve enclosed a money order for your video. If she won't read your book, I’ll make her watch your video! What do you think?"

http://www.bettydodson.com/emerson.htm Je vais maintenant étendre cette analyse aux contextes négatifs non-hypothétiques. On va voir, qu’à la différence des hypothétiques, la valeur référentielle de l’événement peut entraîner une activation de la délimitation quantitative.

4.2.2.1.2 VOLITION NON-FUTURE ET NEGATION

En dehors de ce type de subordonnées, on relève également des occurrences à valeur de volition pure avec la forme négative en contexte assertif. Je commencerai par analyser les exemples où la volition ne s’accompagne pas de renvoi à l'avenir :

(104) "I don't know why she won't [ refuses to] iron my pants. My mum always used to."

http://www.wedding2001.co.uk/

(117) The key to prevention is linking the idea of brain dysfunction with presenting behaviors, reframing perceptions, and moving from punishment to support. The shift is from seeing a child as one who "won’t" [ refuses to] do something to one who possibly "can't".

http://treefort.org/~tjk/cantwont.htm Comme le montrent les manipulations entre crochets, tous ces exemples peuvent être paraphrasés par le verbe refuse+simple present. On note par ailleurs que ces énoncés ont une valeur référentielle non-spécifique, ce qui contribue à neutraliser la valeur de renvoi à l’avenir. Par ailleurs, les deux derniers exemples sont particulièrement intéressants puisqu’ils opposent deux modalités relatives au sujet : la volition et la capacité. Là encore, on a affaire à deux formes de modalités dont la validité ne requiert pas de délimitation temporelle spécifique de l’occurrence. Cette valeur de volition pure peut également s’illustrer dans des exemples en contexte spécifique. Dans ce cas encore, il est possible de vérifier que l’on a affaire à une valeur de refus en remplaçant WILL+NOT par le lexème négatif refuse :

(118) "The bus is very late today, isn't it? Why can't we take a train, instead? I asked her but she won't [ refuses to] tell me."

http://www.okanaganlife.com/lw98dan.html C’est, là encore, de la validabilité de la relation prédicative qu’il est question plus que de sa délimitation spatio-temporelle. Comme on le voit, le refus est relatif à une situation révolue ("I asked her"), de sorte que, si la délimitation quantitative de l’occurrence était pertinente, l’événement (i.e. She did not tell me) devrait avoir une détermination aspectuo-temporelle, comme dans les énoncés épistémiques. Or, on sait que seule la modalité est compatible avec ce type d’opération lorsqu’on a affaire à une volition pure :

(118.1) * "The bus is very late today, isn't it? Why can't we take a train, instead? I asked her but she won't have told me."

(118.2) "The bus is very late today, isn't it? Why can't we take a train, instead? I asked her but she wouldn’t [ refused to] tell me."

C’est donc bien la composante qualitative qui est prépondérante dans ce cas.

L’opération peut ainsi être décrite de la manière suivante. D’un côté, la validation de la relation prédicative est visée par une instance subjective différente du terme de départ comme le cas de figure « souhaitable ». Cependant, une seconde instance subjective, indentifiable au terme de départ, contrarie cette visée et bloque ainsi la validabilité de l’occurrence. On peut reformuler ce commentaire par le biais du système de représentation formelle :

p p’ p p’

p, p’ p, p’

visée préconstruite blocage de la visée

Instance subjective 1 Instance subjective 2

QLT1

On retrouve la dissociation entre la source de la valuation et le sujet participant de la mise en œuvre de la validation. On pourra faire deux remarques au sujet de cette interprétation.

D’une part, on constate que la composante opératoire « QLT1 prépondérant » est également attribuée à certains emplois de CAN+NOT. Et comme on l’a remarqué, on rencontre des énoncés avec une co-occurrence de ces deux modaux (i.e. WILL+NOT et CAN+NOT) :

(117) The key to prevention is linking the idea of brain dysfunction with presenting behaviors, reframing perceptions, and moving from punishment to support. The shift is from seeing a child as one who "won’t" do something to one who possibly "can't".

http://treefort.org/~tjk/cantwont.htm Dans ces exemples, on voit que la différence entre les deux marqueurs se joue au niveau de la valuation négative attribuable au terme de départ. Avec CAN+NOT, cette valuation est absente : ce sont les propriétés notionnelles associées au sujet qui entraînent une incompatibilité avec la validation de la relation prédicative. Avec WILL+NOT, en revanche, le blocage de la validation découle de la volition d’un sujet, qui est contradictoire avec la visée préconstruite. Pour cette raison, je pense qu’il est justifié d’adopter l’idée selon laquelle, dans ce cas, « on peut prêter une volonté à un objet, ou même à une notion abstraite »34. Des exemples comme 119 et 120 semblent assez bien appuyer cette idée :

34 P. Larreya, 1984, p. 396.

(119) Well you wanted me to come and visit your page so I did!! It's really cool even though this stupid computer won't download the music.

http://books.dreambook.com/dahc/dahc.html (120) Sometimes the high-tech things are too temperamental and won’t even work well just because of the humidity."

http://www.wolfemachin ery.com/wpas.htm La présence d’adjectifs comme stupid ou temperamental laissent en effet penser que ces emplois de WILL+NOT révèlent une appréhension animiste du rôle des objets. EN effet, je ne pense pas que la volition soit essentiellement attribuable à l’instance subjective responsable de la visée. Il apparaît au contraire que le terme de départ, quel que soit sa nature, est lui-même appréhendé comme la source d’un blocage intentionnel de la validabilité de la RP. Ainsi, comme le dit U. Dubos :

« Ces occurrences s’expliquent sans doute par une projection subjective de la part du locuteur qui interprète la non-réalisation de l’événement comme émanant d’une ‘intention négative’. »

(1990, p. 204) La seconde remarque concerne la question de la prépondérance qualitative.

E. Gilbert pose que, dans le cas des valeurs de refus, c’est la dimension quantitative qui est affectée par la négation :

« Dans le cas de la valeur de refus, on a en effet vu qu’un sujet valuait qualitativement la relation, mais que le sujet de l’énoncé bloquait son occurrence. On pourrait donc avancer, dans le cadre de notre représentation, que la négation porte sur la dimension quantitative de la relation. »

(1998) Il ne semble pas que l’idée selon laquelle le sujet « bloque l’occurrence » doive être envisagée comme une opération de type Qnt. Il y a deux raisons à cela. La première est que, comme on l’a vu, l’énoncé peut avoir une valeur générique qui ne suppose pas la délimitation situationnelle d’occurrence :

(117) The key to prevention is linking the idea of brain dysfunction with presenting behaviors, reframing perceptions, and moving from punishment to support. The shift is from seeing a child as one who "won’t" do something to one who possibly "can't".

http://treefort.org/~tjk/cantwont.htm De ce point de vue, s’il y a délimitation d’occurrence, elle ne peut être que notionnelle. Par ailleurs, cela impliquerait que l’on aurait, dans le même énoncé, une délimitation quantitative de la notion avec CAN+NOT, qui modalise la même relation prédicative. Il semble cependant qu’on travaille uniquement sur les propriétés relatives au sujet.

La deuxième raison est que, comme j’ai tenté de le montrer, la construction de l’occurrence n’est pas envisagée dans les exemples qui viennent d’être analysés. C’est en partie à ce niveau que se distinguent les emplois de type « volition non-future » des autres valeurs de volition. Seul le blocage de la validabilité de l’occurrence est ici en cause, en dehors de toute prise en compte de l’ancrage de cette occurrence dans un espace de référence.

On va cependant voir qu’à côté de cette « volition non-future », à laquelle correspond une prépondérance de la composante opératoire « QLT1 + valuation », on trouve également des contextes où le « refus » se double d’un renvoi à l’avenir.

L’apparition de cette seconde valeur va alors impliquer une activation de la composante QNT2.

4.2.2.2 WILLINGNESS ET VOLITION FUTURE : EQUIPONDERATION QNT/QLT

Dans les deux énoncés suivants, la valeur de refus s’accompagne d’une valeur de prédiction. À la différence des exemples précédents, on pourrait paraphraser cet emploi de WILL+NOT par « will refuse to », le simple present étant ici exclu :

(121) "Good idea," the old man replied. "But the monks there are a strange lot.

I'm afraid they won't tell you anything."

http://wang2.hypermart.net/bs8.html (121a) "Good idea," the old man replied. "But the monks there are a strange lot.

I'm afraid they will refuse to tell you anything."

On retrouve la dimension intersubjective conflictuelle exposée plus haut. Ainsi, dans le dernier exemple, le personnage espère obtenir des informations en s’adressant aux moines shaolin. Le co-énonciateur anticipe alors un refus de leur part. Il y a ainsi une visée de la validation de la relation prédicative <they – tell me what I need to know> et d’autre part la construction d’un blocage de cette validation. La réintroduction d’une valeur de prédiction permet ainsi d’anticiper la non-validation de la RP relativement à une coordonnée temporelle ultérieure à To. Le fait que ces énoncés n’aient pas une valeur de « refus pur » semble confirmé par la possibilité de passiver ces énoncés (cette manipulation n’est pas acceptable dans le cas de la volition non-future)

(121) "Good idea," the old man replied. "But the monks there are a strange lot.

I'm afraid you won’t be told anything."

(118) "The bus is very late today, isn't it? Why can't we take a train, instead? I asked her but she won’t tell me."

http://wwwkanaganlife.com/lw98dan.html (118.3) * "The bus is very late today, isn't it? Why can't we take a train, instead? I asked her but I won’t be told (anything)."

À la différence de la volition pure, on a ainsi une équipondération des

À la différence de la volition pure, on a ainsi une équipondération des