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La conception d’habitat pour tous : sa conception et ses enracinements

IV. 3.- Objet de la planification locale et sa pertinence

Parler de la planification locale, c’est de parler des échelles de planification urbaine influençant directement sur la vie sociale de quartier. Dans cette vision, les spécialistes en urbain ont fait une sorte une forme de classement des agglomérations urbaines en différenciant le village, la ville, de même, une petite ville, une ville moyenne, une grande ville ou une métropole. Le dictionnaire de l’urbanisme est riche de ce type de terminologie au point où on se trouve devant des vraies difficultés de les comprendre séparément. La question qui se pose devant cette difficulté est quel est l’objet principal de la planification locale, notamment dans les quartiers d’habitat social?

Est-ce d’assurer la stabilité des habitants pour ne pas laisser le territoire à la désertification ? Ou bien le contraire, chercher à garantir et de défendre le bien-être des habitants que leur destin pour une raison ou une autre les mettre dans ces quartiers proches ou éloignés des centres urbains riches, où il y a une disponibilité des postes d’emploi et de logements décents?

La classification des agglomérations est enracinée et ancrée dans l’esprit urbain sous forme de vocables permettant même difficilement à comprendre clairement ses dichotomies : ville/montagne, urbain/rural ou actuellement ville/nature. Et pour mettre dans l’ordre scientifique de la discipline, un travail pointu – en ciblant les aspirations des concepteurs et des habitants s’impose- sur les origines de la création urbaine et les paramètres incitant les extensions urbaines en prenant en compte de la dimension temps.

44 La planification locale répond essentiellement aux besoins nécessaires et élémentaires notamment les quartiers d’habitat urbains pour garantir la stabilité des citoyens. Mais l’augmentation démographique et les extensions urbaines en tâche d’huile ou en fusion encourage la prolifération des tissus urbains désorganisés et chaotiques. S’ajoute à cela, la conurbation est devenue un phénomène très naturel comme sans effets néfastes. Ces nouveaux paysages urbains ont mis les concepteurs urbains devant des situations inédites et difficilement appelables où l’objet urbain devient plus en plus difficile à former dans un système d’habitat social.

Dans ces formes d’organisation d’espaces urbains, l’habitat prend importance centrale dans la pensée urbaine. D’ailleurs, la planification locale et la classification des agglomérations ont une influence directe sur les typologies d’habitat et les systèmes d’habitat urbains à la fois, notamment la part traitant l’habitat à offrir pour assurer pour que tout le monde ait un toit dans la cité urbaine.

A cet égard, et pour mieux cerner et répondre à la problématique évoquée, il est préférable de ne pas se pencher longuement sur cette littérature riche et très étendue. De même, d’assurer un toit pour tous, reste un objet plus que primordial pour la planification locale, sachant que le terme urbanisme comme vocable est apparu depuis le XIX siècle.

Pour faire une classification logiquement acceptable des agglomérations urbaines, le nombre des habitants arrive en premier rang, et d’autres critères touchent l’aspect économique y compris les secteurs d’emplois et d’exploitation des richesses, puis les aspects environnementaux et de localisation. Ces données soulevées doivent être bien liées avec des systèmes de communication et de télécommunication ayant pour objectifs au moins affaiblir les distorsions qui surmontent en surface avec les avancées technologiques de développement durable. Dans une grande agglomération où se tassent les différentes classes sociales et les groupes sociaux des autres besoins vont nécessairement apparaitre. Ces besoins ont été traduits concrètement par l’idée des équipements d’accompagnement. Cette idée complète l’habitat urbain dans un système d’habitat. La réponse à ces concepts reste au génie de concepteur en matière de son implication dans les registres logiques de planification et le paradigme de codification. Actuellement, on assiste à l’apparition de la notion

‘mixité fonctionnelle’ dans le cadre de projet urbain durable, dont, le registre de spatialisation et la dichotomie ‘espace habitable/ espace appropriable’ prime dans la réalisation de l’image de la cité.

D’ailleurs, la ville (comme la ville de services) n’est pas toujours un espace où s’entassent les gens, c’est un endroit où l’interaction des intérêts personnels d’une part et des groupes d’autre part prend de l’ampleur. En résumé, la ville est un lieu de confrontations des enjeux sociaux, économiques, politiques et écologiques. L’équilibre de cet ensemble ressemble à un travail d’acrobates. L’Histoire des nations nous montre que les villes peuvent être classifiées selon lors rôles administratifs dont chaque nation a sa propre grille de classification23 : une ville économique, une ville capitale…..une ville chef-lieu…cela reflétant des échelons et des vocations administratifs où toutes les villes se trouvent dans une forme d’auto-organisation territoriale. Ce système rassemble tout un territoire gouverné par un même régime afin de régler le problème d’assurer un logis sain pour tous, qui persiste depuis notamment après la période d’industrialisation. La stabilité des classes

23 Les études effectuées à Baltimore par O. D. Duncan, W.R. Scott, S. Lieberson, B. Duncan, H. W. Wiesborough_

Metropolis and région : il y a toute une série de critère pour le classement des agglomérations. En premier lieu, on trouve la hiérarchie fonctionnelle et administrative (ville capitale du pays, chef lieu, chef région ou sou région. Ensuite, la capitalisation (genre de l’emploi), l’importance numérique de la population et enfin, l’ensemble des indices financiers et économiques qui permettent de saisir les attaches avec l’arrière pays. (Metropolis and région in formation des systèmes d’habitat, esquisse de la théorie des seuils).

45 sociales et son influence sur le système urbain dépend des classements des agglomérations, c’est la raison d’être et d’existence de système d’habitat social dans des supra-systèmes urbains.

Dans la littérature urbanistique, une fonction prépondérante peut mettre une ville dominée par une activité prédominante (B. Malisz 1972) dans un rang parmi les autres. En ce sens, on parle d’une ville portuaire, une ville minière, une ville marchandise… Cette manière de mettre des villes dans une forme de classification est basée notamment sur des calculs purement économiques et catégoriquement professionnels. La fonction dominante n’est pas automatiquement la seule existante dans cette ville mais c’est celle qui a une proportion majeure en matière d’attractivité de main d’œuvre et par conséquent les ménages à nourrir (faire habiter). Elle est le garant de la stabilité des citoyens en convergence et en harmonie avec la garantie de leur logis. Dans ce cas là, c’est le nombre des employés qui attribue cette catégorisation.

Un autre aspect important qu’on peut retirer de ce dernier se résume dans le phénomène d’attractivité de la main d’œuvre extérieure y compris les familles des ouvriers. Ces familles produisent une demande croissante de logements plus que les autres différentes classes sociales. Ce qui impose une recherche fouillée encore des mécanismes adaptés et intégrateurs qui fonctionnent dans un climat de justice sociale, en les érigeant sans invoquer des différenciations dans les filières d’accessibilité aux logements. De même, les utopies urbaines de XIX ont travaillé dans cette optique.

Donc, pour une habitabilité idéale d’un système d’habitat, un travail tenace et dur s’est imposé aux classes sociales dont les plus faibles doivent être traitées avec délicatesse et parfois avec l’assistanat.

Sous un autre angle, il est facilement constatable que les récits décrivant les villes anciennes ou nouvelles, de même, des publications et des recherches en urbanisme visent un paramètre de rangement autre que les précédents. Ils reposent sur la forme de la ville ou la morphologie de la ville (exemple : image de la cité, architecture de la ville…). Cette classification remonte depuis longtemps aux villes en échiquier, des villes avec la dominance de deux axes majeurs, des villes égocentriques, des villes géométriquement étudiées, des villes zonées...mais cette manière classification reste inefficace puisqu’elle ne reflète aucune réalité du terrain vécu par les citoyens, autrement dit elle est purement géométrique et sans âme. Une alternative conventionnelle en la matière qui manque pour le marquage d’une scène urbaine plus adaptée aux différentes réalités. A cet effet, le projet urbain avec ses registres logiques peuvent être la solution rêvée qui reflète un système urbain équilibré.

De tout ce qui précède, ce qui reste comme axe majeur autour duquel s’impose la problématique de classification, c’est à quel degré on est arrivé à satisfaire et contenter les besoins et les aspirations des citoyens qui se dessinent dans le logis en harmonie avec les services et les équipements qu’accompagnent. Dans cette optique, E. Howard et devant l’expansion des villes anglaises à l’époque industrielle a proposé sa vision urbanistique comme modèle qui a poussé vraiment l’habitat pour tous.

Un autre questionnement se pose et traquasse les chercheurs en la matière, est-ce que ces classifications même adoptées administrativement sont crédibles dans les différentes échelles, territoriales, locales (échelle d’action) ? De même, quelles sont les influences de cette classification sur l’habitat, notamment celui destiné à la classe sociale et les familles démunies ? Pour répondre à ce questionnement, on commence par remarquer les éléments édictant la formation de la pensée urbanistique : concrets visuels et d’autres abstraits spirituels.

Une autre réponse peut se montrer en surface, il s’agit des éléments non-classables dans un système urbain. Ces éléments vont perturber sa mise en scène, ou produire un résultat d’une mise en

46 scène mal-réfléchie. Comme a présagé Michaël RAGON : un bidonville/ une ville-bidon, or cette appellation utilisée souvent par tous. Ces bidonvilles comme composante de certaines villes partout dans le monde (l’Afrique, l’Amérique, etc.) est une réponse au déséquilibre des systèmes urbains et leur fragilité. En ce sens, il se rajoute le terme chaos urbain, ce qui qualifie aussi le chaos comme forme d’urbanisation, parce qu’elle tourne autour d’entassement des habitants malgré eux ou par eux-mêmes dans certains cas.

On trouve que ce morceau de la ville montre l’exemplarité de perte de la formation et de classification d’un système d’habitat. Un bidonville est une aire urbanisée sur la base d’une seule fonction urbaine qui est le logis non planifié en tant qu’enveloppe d’un espace privatif, sans aucun lien avec la notion d’habitat et dans l’extrême urgence. Ce qui infantilise au maximum l’esprit de système urbain où on assiste à l’absence des registres logiques disponibles constituant un système d’habitat. En matière de critères logiques d’implantation, ce morceau cancéreux est dépourvu des infrastructures (les voies urbaines, les égouts, desserte, impasse, etc.) et leurs alimentations non étudiées (eau potable, usées, électricité, gaz de ville, réseaux de télécommunication, etc.). S’ajoute à cela, l’absence des calculs techniques indispensables pour toute installation quoique sa nature et son emplacement, aussi bien que l’absence des procédés techniques de constructions et les matériaux de constructions convenables assurant l’intimité et le confort thermique et phonique. De même, l’aspect extérieur représente un vrai chaos et des formes indéfinissables. Cette cité perdue marquée aussi de l’absence des équipements administratifs, de santé et de sécurité, ce qui lui donne l’air d’un espace de prolifération des maladies, fléaux sociaux et d’insécurité urbaine. Ces phénomènes sont considérés comme intrus dans la formation d’un système d’habitat.

A travers cette description, on a évoqué seulement les aspects visuels où tout le monde est d’accord, reste tout un travail plus approfondi qui doit se faire par les spécialistes en sciences humaines, politique et géographique urbaine; afin de trouver un justificatif de ce mode de planification persistant au fil des temps, des fois mieux acceptée et habituel par leurs habitants qu’une planification qualifiée étudiée.

Pour éclaircir cette idée, un bidonville qui se trouve dans les abords d’une zone industrielle ou proche des possibilités d’embauche, est-ce possible qu’il deviendra un noyau urbain dans l’avenir ; dans ce cas le choix du site est édicté par les ouvriers et des habitants exogènes. De même, parler d’appauvrissement en équipements est le synonyme d’une aire urbaine de grande valeur, est-ce le cas avec ses petits chaos urbains ? Donc ; une grande problématique cherche à éclaircir son immense zone d’ombre, mais la réponse reste difficile à trouver; est-ce qu’il y a des agglomérations humaines inclassables ? Si la réponse est oui, comment les remettre dans un échelon convenable, sachant que l’histoire est riche de leçons et de renseignements sur les opérations urbaines qui viennent redresser une situation en soi-même ? Notre réponse, qui se présente comme la plus claire et logique, est le retour vers la notion de système d’habitat.

Mais la ligne de marquage réunissant les classifications urbaines y par conséquent tous les systèmes d’habitat est la nécessité de garantir un logis pour tous. Devant cette remarque, on ouvre des grandes parenthèses pour fouiller dans les récits et les civilisations qui ont essayé à répondre à cette question pour arriver enfin à notre aire moderne, aux lois, conventions, protocoles, aussi bien, des associations combattant pour l’égalité des chances, pour arriver finalement aux régimes politiques. C’est tout un paradigme philosophique et un processus de développement lent qui n’arrête

47 pas de se transformer et de se transposer au fil des années et des siècles, dont les prochains chapitres approfondissant ces volets.

IV.4.- Agglomérations urbaines en tant que système et les logements pour tous

De ce qui procède, les agglomérations urbaines organisées quoique leurs échelons ou classement ne soient que des systèmes d’habitat relativement optimales selon leurs époques. Ces systèmes simples ou complexes dépendent d’une conception planificatrice ciblant comme premier objet l’habitabilité de l’ensemble de l’espace urbain, dont chaque morceau de l’urbain doit être fonctionné avec l’ensemble. C’est la raison pour laquelle un habitat collectif comme concept et comme système d’habitat est apparu et a perduré depuis les anciennes civilisations en tant que signe de stabilité sociale. Mais depuis un siècle et demi, le phénomène de la croissance des tissus urbains a connu une forte accélération, accompagnée par une explosion démographique sans précédent dans l’histoire de l’humanité qui donnaient naissance à une urbanisation non maîtrisée et ‘permettaient une décentralisation urbaine’ (MUMFORD, L 1961 : 641). Cette croissance urbaine est apparue sous forme d’incapacité de supporter l’augmentation des habitants avec leurs besoins notamment le besoin d’habiter, qui désigne le mode d'occupation de l'espace par l'homme à des fins de logement.

Retournons aux études des agglomérations, juste pour permettre une compréhension fourragée de la notion de leur habitabilité. Dans cette optique, et selon B Malisz, plusieurs recherches ont été développées aux États-Unis répondant aux extensions rapides des villes en « tache d’huile » qui sont devenues aussi difficilement gérables et contrôlables. Les facteurs de détermination des agglomérations urbaines ont connu une multitude de tentatives pour les cerner dans un théorème urbain. Dans son ouvrage ‘An Introduction To Economic History’ N.S.B Cross (publié en 1922, par la maison d’édition Harper and Brothers Publishers, USA) a exposé la réalité urbanistique des anciennes périodes : égyptienne, d’antiquité, la période médiévale en arrivant à l’époque après la première guerre mondiale, la répartition de travail entre Homme et Femme depuis l’âge primitif.

D’après N.S.B Cross, l’aire métropolitaine n’est qu’un grand espace construit pour des raisons purement économiques. La ville centrale est le noyau responsable de dispersion et d’assurance d’emploi, donc la superficie doit aller en harmonie avec les demandeurs de logis. La notion de ségrégation dans les systèmes d’habitat doit être évité commençant par les grandes échelles. Cette remarque montre différents accès aux filières d’habitat notamment celui destiné à la classe ouvrière.

R.D Mac Kenzie in ‘The metropolitain community’ publié à New York en 1933 puis en 1967’, a ciblé les grands problèmes sociaux qui ont marqués cette période et qui, vont confronter le peuple américain. Cette recherche devient une source d’inspiration même pour le président Herbert Hoover afin de proposer des réformes sociales assurant l’égalité et d’équité. Pour lui le paramètre le plus important est la communication et la circulation, où le point de convergence de ces voies dispersées dans toutes les directions représentées par une ville centrale, à condition que les formalités de logis restent les mêmes. Donc, durant toutes les périodes de la civilisation humaine à nos jours, l’équité sociale perdure comme levier primaire de la stabilité sociale. Cette dernière est subordonnée par l’assurance d’un toit et d’un emploi pour tous. L’agglomération urbaine ne soit pas qualifiée urbaine et systémique qu’à partir du moment où la l’équité sociale est garantie et en résonance avec les autres registres logiques de planification urbaine.

48 V- Enracinement et Logique de la planification de l’habitat social collectif

Dans notre voyage dans l’histoire de l’Habitation humaine en ciblant objectivement le social destiné à la classe démunie, un aperçu sur l’enracinement s’avère primordial ‘en acceptant en même temps un principe pour le recours vers les expériences à l’éprouve de la réalité pour fin de sortir un discours positif et appréhendable….’ (Frédéric Lasfargues et al, 2007). L’objet est de mieux comprendre les notions de bases de la conception de cette typologie. Pour mieux comprendre nous avons tendance à scinder l’aire urbaine entre utopie individuelle et œuvre collective dans les deux sens initiation et généralisation de systèmes urbains en tant que modèle idéal. Comme a dit Pierre Lavedan en 1926 : ‘tout système d’urbanisme est condamnable en tant que système. Un plan de ville est une œuvre d’art, c’est-à-dire individuelle : il doit répondre à des conditions précises de temps, de lieu, d’activité. Un plan de ville est une œuvre de vie, et la vie ne serait être mise en formules géométriques’ (Histoire de l’Urbanisme, édition Henri Laurens, Paris). Donc, c’est une forme logique d’implantation en réconciliation des aspects des registres techniques, de réalité morphologique de terrain et de savoir-vivre le mieux-être.

Cet énoncé édicte clairement une logique pensée pour la construction de l’urbain en tant que support de registres logiques d’implantation d’une part, et qui justifie notre vision envers le paradigme de la conception systémique. Dans cette optique, une vie urbaine ne doit être en aucun cas bardée dans un seul cerveau humain qui ne reflète qu’une création individuelle rêvée.

L’individualisme se ressemble à un morceau musical joué par un seul musicien sans orchestre. Par contre la cité équitable demande fortement un esprit et une âme réconciliant à la fois toutes les avis des couches de la pyramide sociale.

Notre vision logique repose sur un principe que toutes les sciences se développent continuellement depuis leurs apparitions. L’urbanisme ne doit pas obéir à cette règle rétrospective et de rétroaction où les témoignages sont toujours les strates, les travaux de patrimonialisation, les textes et les figures des anciens tissus urbains.

Le fondement de la théorie de la connaissance et l’explication historique doivent finalement coïncider et se communiquer avec les mêmes codes et langages. Elles doivent enfin être comprises dans la « question en retour » comme une unique et même tâche. Cette question nous mène vers la même problématique dans notre ère, car pour Husserl celle-ci est ‘en Histoire, le primordial en soi’

(Husserl, 1939 : 207). On partage avec les philosophes de la science leur idée de l’importance majeure des expérimentations et par conséquent de l’Histoire de la science dans toutes les disciplines. De même, la crédibilité des remarques à donner sur les agglomérations primitives restent tolérables en montrant preuve d’imagination logique, en ce sens on partage pleinement l’opinion de J. de Morgan24. La difficulté réside dans l’interprétation des données qui se basent généralement sur les éléments matériels en cas d’absence de manuscrits et illustrations ou de publications scientifiques

(Husserl, 1939 : 207). On partage avec les philosophes de la science leur idée de l’importance majeure des expérimentations et par conséquent de l’Histoire de la science dans toutes les disciplines. De même, la crédibilité des remarques à donner sur les agglomérations primitives restent tolérables en montrant preuve d’imagination logique, en ce sens on partage pleinement l’opinion de J. de Morgan24. La difficulté réside dans l’interprétation des données qui se basent généralement sur les éléments matériels en cas d’absence de manuscrits et illustrations ou de publications scientifiques