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OTES EXPLICATIVES

Les tableaux de la présente annexe présentent des informations actualisées sur l’impact de la morbidité, ainsi que des mesures synthétiques de la santé des populations dans les Etats Membres et Régions de l’OMS pour l’an 2000. Les travaux qui ont permis d’établir les tableaux de cette annexe ont été entrepris principale-ment par le Programme mondial OMS pour les bases factuelles à l’appui des politiques de santé et le Dépar-tement Administration générale et financement de la santé en collaboration avec les services correspondants des bureaux régionaux de l’OMS. L’information figurant dans les tableaux sera présentée chaque année dans le rapport sur la santé dans le monde. On a élaboré des documents de travail expliquant les concepts, les méthodes et les résultats qui ne sont que brièvement mentionnés ici. Les références bibliographiques qui accompagnent les présentes notes donnent une liste complète des documents de travail.

Comme pour toute approche novatrice, les méthodes et sources de données peuvent être affinées et améliorées. On espère qu’un examen attentif et l’utilisation des résultats permettront progressivement de mieux mesurer la performance dans les futurs rapports sur la santé dans le monde. Tous les principaux résultats sont donnés avec des intervalles d’incertitude afin que l’utilisateur dispose d’un éventail plausible d’estimations pour chaque pays et chaque mesure. Lorsque les données sont présentées par pays, les esti-mations initiales obtenues par l’OMS et certaines explications techniques ont été adressées aux Etats Mem-bres pour recueillir leurs observations. Ces observations et les données obtenues en retour ont fait l’objet de discussions avec les Etats Membres et ont été dans la mesure du possible introduites dans le Rapport. Il reste que les estimations données ici doivent toujours être considérées comme les meilleures estimations de l’OMS, et non comme l’expression du point de vue officiel des Etats Membres.

TABLEAU 1 DE L’ANNEXE

Pour évaluer les résultats sanitaires d’ensemble, il est essentiel d’affiner la meilleure évaluation possible de la table de mortalité de chaque pays. L’élaboration de nouvelles tables de mortalité pour les 191 Etats Membres a commencé par un examen systématique de toutes les données disponibles provenant d’enquê-tes, de recensements, de systèmes d’enregistrement des échantillons, de laboratoires démographiques et d’enregistrements démographiques sur les niveaux et les tendances de la mortalité infantile et de la morta-lité des adultes.1 Cet examen a largement tiré profit des travaux de l’UNICEF sur la mortalité infantile2 et du United States Census Bureau sur la mortalité générale,3 ainsi que des évaluations démographiques pour 2000 de la Division de la Population de l’ONU.4 Toutes les estimations de la taille et de la structure de la population en 2000 sont fondées sur l’évaluation démographique concernant l’an 2000 établie par la Divi-sion de la Population de l’ONU. Ces estimations se réfèrent à la population résidente effective et non à la population résidente légale dans chaque Etat Membre. Pour faciliter l’analyse démographique et les analy-ses des cauanaly-ses de décès et de la charge de la maladie, on a divisé les 191 Etats Membres en cinq strates de mortalité sur la base du niveau de la mortalité des enfants (5q0) et des adultes de sexe masculin (45q15). La matrice définie pour les six Régions OMS et les cinq strates de mortalité a permis d’obtenir 14 sous-régions (toutes les strates de mortalité n’étant pas représentées dans chaque Région). Ces sous-régions sont utili-sées dans les Tableaux 2 et 3 pour la présentation des résultats.

En raison de l’hétérogénéité croissante des schémas de la mortalité chez l’adulte et l’enfant, l’OMS a mis au point un système de tables de mortalité utilisant un modèle logistique à deux paramètres basé sur une norme mondiale, avec des paramètres additionnels en fonction de l’âge, de manière à corriger les erreurs systématiques auxquelles donne lieu l’utilisation d’un système à deux paramètres.5 Ce système a été

large-ment utilisé pour l’élaboration des tables de mortalité des Etats Membres dépourvus d’un système adéquat d’enregistrement des données d’état civil, ainsi que pour leur projection sur 2000 lorsque les données dispo-nibles les plus récentes correspondent à des années antérieures. Des détails sur les méthodes, données et résultats par pays de cette analyse des tables de mortalité sont donnés dans le document technique corres-pondant.1 L’Organisation mondiale de la Santé utilise une méthode standardisée pour les estimations et projections des tables de mortalité de tous les Etats Membres qui ont des données comparables, ce qui peut conduire à des différences mineures par rapport aux tables de mortalité officielles établies par les Etats Membres.

Pour déterminer l’incertitude résultant de l’échantillonnage, de la technique d’estimation indirecte ou de la projection sur 2000, on a établi un total de 1000 tables de mortalité pour chaque Etat Membre. Dans le Tableau 1 de l’annexe, on a indiqué les limites d’incertitude en donnant les valeurs des tables de mortalité au 10e percentile et au 90e percentile. Cette analyse de l’incertitude a été facilitée par l’élaboration de nouvelles méthodes et de nouveaux logiciels.6 Dans les pays où l’épidémie de VIH a des effets notables, de récentes estimations de l’ampleur de cette épidémie et de la marge d’incertitude correspondante ont été prises en compte pour analyser l’incertitude des tables de mortalité.7

TABLEAUX 2 ET 3 DE L’ANNEXE

On a estimé les causes de décès pour les 14 sous-régions du monde en se basant sur des données tirées de registres nationaux d’état civil et correspondant à un total annuel de 17 millions de décès. En outre, pour mieux estimer les causes des schémas de la mortalité, on s’est servi d’informations provenant de systèmes d’enregistrement d’échantillons, de laboratoires démographiques et d’analyses épidémiologiques portant sur des affections particulières.6-8 L’OMS intensifie sa collaboration avec les Etats Membres pour obtenir et contrôler des données récentes tirées des registres d’état civil sur les causes de décès.

On a soigneusement analysé les données sur les causes de décès pour tenir compte des lacunes des registres d’état civil dans les pays et de différences probables dans les causes du schéma de la mortalité auxquelles on pouvait s’attendre dans les sous-populations, souvent pauvres, qui font l’objet de ces lacunes.

Pour cette analyse, on a mis au point des techniques basées sur l’étude de la charge globale de morbidité9 que l’on a affinées en s’appuyant sur une base de données beaucoup plus étendue et des techniques de modélisation plus fiables.10

Une attention particulière a été accordée aux problèmes posés par les erreurs d’attribution ou de codage des causes de décès dans les catégories maladies cardio-vasculaires, cancer, traumatismes et affections et symptômes mal définis. On a mis au point un algorithme de correction pour la reclassification des codes des affections cardio-vasculaires mal définies.11 La mortalité due au cancer par localisation a été évaluée à l’aide de données de registres d’état civil et de registres de l’incidence du cancer dans la population. Les données extraites de ces derniers ont été analysées pour chaque Région au moyen d’un modèle complet de survie au cancer par âge, par période et par cohorte.8

Le Tableau 3 de l’annexe donne des estimations de la charge de morbidité en utilisant les années de vie corrigée de l’incapacité (AVCI) pour mesurer les différences sanitaires dans le monde en 2000. Les AVCI ainsi que l’espérance de vie corrigée de l’incapacité sont des mesures synthétiques de la santé de la popula-tion.12,13 Une AVCI peut être considérée comme une année de vie en bonne santé perdue et la charge de morbidité comme la mesure de la différence entre l’état de santé actuel d’une population et une situation idéale où chaque membre de cette population atteindrait un âge avancé en pleine santé. Pour déterminer les AVCI correspondant à une maladie ou à un état morbide, on calcule la somme des années de vie perdues du fait d’un décès prématuré (AVP) dans la population et des années perdues du fait d’une incapacité (API) pour les cas incidents de l’affection considérée. On trouvera une analyse de l’élaboration des AVCI, ainsi que des récents progrès réalisés dans la mesure de la charge de morbidité dans Murray & Lopez.14 Pour une étude plus complète des questions conceptuelles et autres qui sont à la base des mesures synthétiques de la santé des populations, voir Murray et al.13 Les AVCI pour 2000 ont été estimées sur la base d’informations sur les causes de décès dans chaque Région, ainsi que d’évaluations régionales de l’épidémiologie des prin-cipales affections invalidantes. Pour le présent rapport, on a actualisé les estimations de la charge de morbi-dité pour un grand nombre de catégories de causes figurant dans l’étude sur la charge mondiale de la

morbidité en 2000, en se fondant sur les très nombreuses données sur les principales maladies et traumatis-mes recueillies par les programtraumatis-mes techniques de l’OMS, ainsi que dans le cadre de la collaboration avec des scientifiques du monde entier.15 On citera, à titre d’exemples, les nombreuses bases de données sur la tuberculose, les affections maternelles, les traumatismes, le diabète, le cancer et les infections sexuellement transmissibles. Ces données, ainsi que des estimations nouvelles ou révisées des décès par cause, par âge et par sexe, pour tous les Etats Membres, ont été utilisées pour mettre au point des estimations cohérentes de l’incidence, de la prévalence, de la durée et des AVCI pour plus de 130 causes majeures de morbidité dans 14 sous-régions du monde.

TABLEAU 4 DE L’ANNEXE

Le Tableau 4 de l’annexe indique le niveau moyen de santé de la population dans les Etats Membres de l’OMS en termes d’espérance de vie en bonne santé. A l’issue de plus de 15 années de travaux, l’OMS a introduit dans le Rapport sur la santé dans le monde, 2000 l’espérance de vie corrigée de l’incapacité (EVCI), mesure synthétique du niveau de santé atteint par les populations.16,17 Pour mieux refléter la prise en compte de tous les états de santé dans le calcul de l’espérance de vie en bonne santé, le nom de l’indicateur utilisé pour mesurer cette espérance de vie, à savoir l’espérance de vie corrigée de l’incapacité (EVCI), a été changé en espérance de vie corrigée de l’état de santé (EVCS). L’EVCS est basée sur l’espérance de vie à la naissance (voir le Tableau 1 de l’annexe), mais elle est corrigée du temps passé en mauvaise santé. On dira plus simple-ment que c’est l’équivalent du nombre d’années en pleine santé qu’un nouveau-né peut espérer vivre sur la base des taux actuels de morbidité et de mortalité.

La mesure du temps passé en mauvaise santé est basée sur une méthode qui associe les estimations relati-ves à chaque affection, données dans l’étude sur la charge mondiale de morbidité en 2000, à des estimations de la prévalence des différents états de santé par âge et par sexe tirées d’enquêtes sanitaires de l’OMS.18 Des enquêtes sur des ménages représentatifs sont entreprises dans environ 70 pays à l’aide d’un instrument basé sur la Classification internationale du fonctionnement et de l’incapacité,19 en vue de recueillir des informations auprès d’un échantillon représentatif d’enquêtés sur leur état actuel de santé dans sept domaines clefs.20 Ces domaines ont été déterminés à partir d’une analyse approfondie des instruments de mesure de l’état de santé actuellement disponibles.

L’analyse des résultats de plus de 50 enquêtes sanitaires nationales pour le calcul de l’espérance de vie en bonne santé dans le Rapport sur la santé dans le monde, 2000 a révélé de graves problèmes de comparabilité des données sur l’auto-évaluation de la santé correspondant à différentes populations, même lorsque l’on utilise des instruments et méthodes d’enquête identiques.17,21 Pour surmonter ces problèmes, l’instrument d’enquête de l’OMS utilise des tests de performance et des vignettes pour étalonner l’auto-évaluation de la santé dans des domaines tels que la fonction cognitive, la mobilité et la vision. L’OMS met au point plusieurs méthodes statistiques pour corriger les distorsions auxquelles donne lieu l’autonotification de la santé à l’aide de ces données, en se fondant sur un modèle de probits en ordonnancement hiérarchique (HOPIT).22 Les réponses étalonnées servent à évaluer la prévalence réelle des différents états de santé par âge et par sexe.

Les limites d’incertitude pour l’espérance de vie en bonne santé qui sont données au Tableau 4 de l’an-nexe sont basées sur le 10epercentile et le 90epercentile des distributions correspondantes.23 Ainsi calculées, ces limites donnent des intervalles d’incertitude de 80 % par rapport aux estimations. L’intervalle d’incerti-tude des EVCS est fonction de l’incertid’incerti-tude des mesures de la mortalité par âge dans chaque pays, de l’incer-titude des estimations de la prévalence des incapacités dans les pays basées sur la charge de morbidité, et de l’incertitude des prévalences des états de santé tirées des enquêtes sanitaires.

Les estimations de l’espérance de vie en bonne santé pour les Etats Membres en 2000 ne sont pas directement comparables avec celles publiées dans le Rapport sur la santé dans le monde de l’an dernier pour 1999 car elles incorporent de nouvelles informations épidémiologiques, de nouvelles données issues des enquêtes sanitaires et de nouvelles informations sur les taux de mortalité, ainsi que des améliorations apportées aux méthodes.

Les nouvelles données issues de l’étude multipays de l’OMS sur les enquêtes dans les ménages ont conduit à une augmentation globale de la prévalence pondérée en fonction de la gravité, à une

augmenta-tion chez les femmes par rapport aux hommes et par conséquent à une réducaugmenta-tion des estimaaugmenta-tions de l’EVCS.

Tous les Etats Membres sont concernés et, au niveau mondial, on constate que l’EVCS à la naissance est ramenée de 56,8 ans en 1999 à 56,0 en 2000. Dans le cas de certains Etats Membres, on constate aussi une modification des estimations de l’EVCS en raison de nouvelles informations fournies sur les taux de morta-lité par âge.

TABLEAU 5 DE L’ANNEXE

Les comptes nationaux de la santé sont conçus comme un instrument d’analyse politique, complet, cohérent, régulier et normalisé qui permet de déterminer les niveaux et les tendances de la consommation de biens et prestations de santé (approche dépenses), la valeur ajoutée créée par les industries de services et manufacturières qui produisent ces biens (approche production) et les revenus engendrés par ce processus, ainsi que les taxes, contributions obligatoires, primes et paiements directs qui financent le système (appro-che financière). A leur stade de développement actuel, les comptes nationaux de la santé de l’OMS tendent plutôt à mesurer les flux financiers.

Les estimations indiquées sont des dépenses mesurées qui ne donnent que des ordres de grandeur. Toutes les estimations sont provisoires.

Comme pour toute comptabilité de système à plusieurs étapes, les premières données risquent d’être considérablement modifiées au cours des phases suivantes du processus. Les toutes premières estimations pour 1997 ont été complètement revues à la lumière de statistiques et autres données devenues accessibles après l’achèvement du Rapport sur la santé dans le monde, 2000.

Les dépenses publiques de santé comprennent les dépenses de fonctionnement et d’investissement des gouvernements territoriaux (autorités centrales ou fédérales, autorités régionales, provinciales ou étatiques, et autorités locales ou municipales) et des régimes de sécurité sociale auxquels une proportion notable de la population est tenue d’être affiliée, ainsi que les fonds extrabudgétaires affectés à la prestation ou au finan-cement de services de santé. Elles comprennent les subventions ou prêts émanant d’organismes internatio-naux, d’autres autorités nationales et parfois de banques privées.

Les dépenses privées de santé comprennent les dépenses afférentes aux régimes d’assurance privée et aux plans de soins médicaux prépayés, les services dispensés ou financés par des entreprises (autres que les contributions à la sécurité sociale et les plans prépayés), qu’ils soient obligatoires ou non, les dépenses d’organisations non gouvernementales et d’institutions à but non lucratif destinées principalement à des ménages, les paiements directs des patients et les dépenses d’autres systèmes à financement privé non classés ailleurs, y compris les dépenses d’investissement.

Le financement des dépenses de santé de la sécurité sociale se fait au moyen des contributions des em-ployeurs et employés, à l’exclusion des paiements de transfert et des subventions à des institutions de la sécurité sociale qui sont financés par l’impôt ; cette distinction n’est que partiellement réalisée dans la comp-tabilité actuelle de la santé.

Les contributions au financement des systèmes de santé provenant de ressources extérieures sont princi-palement destinées à des programmes publics, mais comprennent aussi des transferts à partir de program-mes privés dont l’importance n’a pas pu être établie. Les montants de ressources extérieures identifiables inférieurs à 0,05 % des dépenses publiques de santé, ainsi qu’un petit nombre de postes dont on sait qu’ils sont positifs sans en connaître le montant exact, sont indiqués de la manière suivante «…».

Une partie des dépenses financées par l’impôt est destinée, dans certains pays, au remboursement des prêts contractés pour la santé, et n’a pas toujours pu être dissociée des dépenses directes pour la prestation et l’administration de services de santé.

Aux fins du Tableau 5 de l’annexe, les dépenses d’autres assurances-maladie privées prépayées qui ne sont pas strictement basées sur des contrats liés au risque ont été ajoutées à celles de l’assurance privée, étant donné qu’elles constituent une autre forme de répartition des risques. Les zéros figurant dans cette colonne n’indiquent pas nécessairement l’absence de ces intermédiaires financiers, mais peuvent simplement vou-loir dire qu’en l’absence de données, on les a rattachées aux dépenses directes des patients. Dans le cas où des rubriques positives ne s’accompagnent pas de preuves quantitatives, on a utilisé le signe «…».

Les paiements directs des patients (PDP) comprennent, dans la mesure du possible, les franchises et les quotes-parts payées au titre de la sécurité sociale et autres systèmes prépayés, les autres coûts encourus par les ménages, déduction faite des remboursements d’une assurance prépayée publique ou privée, et les versements d’autres formes d’assurance privée prépayées.

Lorsqu’aucune information n’est disponible pour l’assurance privée, les organisations non gouvernementa-les (ONG) et/ou gouvernementa-les dépenses des entreprises pour des services de santé, ces lacunes font grossir le montant des PDP. Les dépenses privées pour la santé ne sont pas nécessairement la somme des assurances privées et des PDP.

Les taux de change sont les taux moyens auxquels les devises sont échangées par le système bancaire, en dollars des Etats-Unis. On obtient les estimations en dollars internationaux en divisant l’unité monétaire locale par une estimation de la parité de son pouvoir d’achat (PPA) par rapport au dollar des Etats-Unis. Les PPA sont des taux de conversion des monnaies qui permettent d’égaliser le pouvoir d’achat de différentes monnaies en éliminant les écarts de prix entre pays.

Les PIB des pays de l’OCDE sont conformes aux comptes nationaux normalisés (SNA93), et ceux qui émanent de l’Organisation des Nations Unies et du FMI incorporent les séries chronologiques du SNA93 dans tous les cas où les services de statistiques des Etats Membres ont adopté les nouveaux concepts et définitions. Pour les pays autres que ceux de l’OCDE, dont les chiffres présentent des différences avec ceux de l’ONU, du FMI et de la Banque mondiale, les dénominateurs retenus tiennent compte de la tendance la plus plausible.

Aux fins des statistiques, les données de la Chine ne comprennent pas ceux de la Région administrative

Aux fins des statistiques, les données de la Chine ne comprennent pas ceux de la Région administrative