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6 ANALYSE DU CORPUS

6.3 G ESTION DE LA TERMINOLOGIE

6.3.3 Terme 3 : W bellow

La gestion de ce troisième terme, W bellow, nous semble intéressante non seulement du point de vue terminologique, mais aussi du point de vue descriptif. On le rencontre dans les articles n° 5, 9, 13, 15 et 16 et il est systématiquement accompagné d’une petite définition :

N° art. English Français

N° 5 the W bellows – the large bellows between the magnets

les soufflets en forme de « W » (grands soufflets situés entre les aimants)

N° 9 the ʻW bellowsʼ – the large accordion-shaped sleeves that cover the accordion-shaped sleeve that covers the interconnections between two magnets

le dernier des soufflets en forme de

« W » (ces grands soufflets en accordéon qui couvrent les interconnexions entre deux aimants)

N° 16 the final ʻW bellowʼ – the large accordion-shaped sleeve that covers the interconnections between two magnets

le dernier des soufflets en forme de

« W » (ces grands soufflets en accordéon qui couvrent les interconnexions entre deux aimants)

Dès lors, nous pouvons nous poser la question suivante : pourquoi recourir chaque fois à une définition ? Par ailleurs, la première fois qu’on les mentionne, dans l’article n° 5, les soufflets sont décrits de façon partielle et il n’est fait allusion à leur forme « en accordéon » que plus tard, à l’article n° 9. Cette question soulève le problème des connaissances présupposées du lecteur en matière de technique ; si le terme véhicule une notion technique difficile à comprendre ou peu familière pour le lecteur, la répétition systématique de cette petite définition peut se justifier. Cependant, nous voyons deux objections à cette répétition. La première s’appuie sur la fréquence des articles des Dernières nouvelles du LHC. En effet, le Bulletin du CERN est publié toutes les deux semaines et reste à disposition, pendant ces deux semaines, à la fois sur la première page du site web du Bulletin et sur les présentoirs du CERN, situés à plusieurs endroits de

41 Ibid., p. 37.

44 l’Organisation. Aussi les lecteurs ont-ils tout le loisir de lire leur journal pendant deux semaines et d’apprendre ce qu’est un soufflet en « W ». Nous pensons donc que, s’il a déjà été évoqué deux ou trois fois, le terme devrait être considéré comme connu des lecteurs et ainsi ne plus faire l’objet d’une définition à répétition, qui n’apporte rien de plus.

Cependant, sommes-nous certains qu’absolument tous les lecteurs lisent chaque semaine ces articles, et qu’ils s’en souviennent d’une semaine à l’autre ? Hélas non. C’est probablement la raison pour laquelle le journaliste a jugé bon d’insérer une définition lorsqu’il est question de W bellows dans un article. Quant à la traduction, elle s’appuie généralement sur une mémoire de traduction avec laquelle les traducteurs du CERN travaillent. Aussi la définition française des soufflets en « W » reste-t-elle quasiment identique dans chaque article parce que reprise telle quelle dans la mémoire de traduction.

La mémoire permet ainsi de gagner du temps et d’apporter une certaine cohérence dans la manière de traduire. Pourtant, elle peut aussi nuire à l’entreprise de traduction parce qu’elle laisse peu de place à la créativité et au changement ; mais la pression des délais est souvent la plus forte, et la mémoire de traduction reste un outil fiable, pratique et rapide pour les traducteurs.

La deuxième raison qui nous pousse à désapprouver la répétition systématique de la description des soufflets se trouve dans les principes de la vulgarisation. En effet, nous avons pu constater lors de nos lectures sur la vulgarisation que la répétition est un outil à utiliser avec précaution ; d’une part, parce que le fait de répéter les notions reflète un discours didactique, comme un professeur qui répéterait encore et encore les notions de biologie moléculaire à ses étudiants afin que ces derniers les retiennent enfin. D’autre part, le lecteur qui se voit expliquer le terme soufflet en forme de « W » finirait, à la longue, par s’ennuyer, car on ne lui apprend rien de plus qu’il ne sait déjà, et par se sentir sous-estimé, puisqu’on ne lui propose pas d’aller plus en profondeur, mais on le présuppose incapable de se souvenir de ce qu’il a lu. Il nous semblerait donc plus cohérent d’éliminer cette définition dans les trois derniers articles, le terme étant suffisamment parlant, selon nous.

Ainsi, pour améliorer ce point de la vulgarisation, nous proposons la solution suivante : à la première occurrence du terme W bellow, une explication (telle que celle de l’article n° 15, par exemple) suffirait. Ensuite, le deuxième article où les W bellows seraient mentionnés contiendrait une définition plus aboutie de cette pièce de la machine LHC, pour que le lecteur en comprenne mieux le mécanisme, ainsi qu’une illustration (qui

45 permettrait, en outre, de se rendre compte de la forme « en accordéon » si représentative de cette pièce). Enfin, il serait envisageable que, pour les occurrences suivantes, un hyperlien vers ce deuxième article soit proposé dans la version électronique, afin de répondre au besoin du lecteur qui n’aurait pas pris connaissance de la définition préalable du terme, tandis que la version imprimée indiquerait la référence à l’article précédent.

6.3.4 Bilan intermédiaire

Nous avons vu que la gestion de la terminologie peut s’avérer particulièrement ardue, notamment lorsque l’usage d’un terme en français diffère de la traduction normalisée ou, du moins, souhaitée par les traducteurs. Cela, en plus du cadre exceptionnel d’une organisation comme le CERN, où la communication s’effectue généralement en anglais dans un contexte d’innovation et d’évolution toujours plus rapide en matière de physique et de technologie. S’il est parfois difficile pour les traducteurs ou les rédacteurs francophones d’imposer leur terminologie aux « vrais » usagers de la langue, comme les techniciens et les ingénieurs, il est d’autant plus difficile de savoir gérer cette terminologie dans les articles comme les Dernières nouvelles du LHC, un journal interne qui se veut un moyen de communication entre collaborateurs du CERN. Aussi, qui dit « communication » dit

« compréhension » et cette compréhension passe également par le choix d’une terminologie acceptée de tous. Pour répondre à ce besoin terminologique, le Service de traduction du CERN possède sa banque de terminologie, sur laquelle nous avons travaillé lors de notre stage. Nous avons alors pu constater combien il était difficile d’établir des fiches terminologiques dans des domaines aussi pointus que la physique des particules ou la technologie des accélérateurs. En effet, certaines informations ne sont disponibles qu’en anglais, les recherches se révèlent longues et fastidieuses, et les traductions doivent toujours être soumises à l’approbation des physiciens francophones, ce qui allonge le processus d’élaboration des fiches. La traduction, à l’inverse, doit souvent se faire rapidement, dans des délais même très courts, notamment pour les Dernières nouvelles du LHC, l’article arrivant pour traduction généralement 24 heures avant sa parution, ce qui laisse un maximum de cinq heures pour le traduire. Or, il s’avère difficile, dans le cas de traductions comportant un nombre important de termes, de disposer du temps nécessaire à la recherche des traductions pouvant poser problème pour les usagers de ces termes et de proposer ensuite une traduction qui puisse satisfaire les lecteurs. Heureusement, malgré les divergences terminologiques, les différents groupes de physiciens, d’ingénieurs, de

46 rédacteurs et de traducteurs sont toujours prêts à discuter et à trouver des compromis, chacun étant disposé à travailler au mieux pour le bien de l’Organisation.

Du point de vue de la vulgarisation, l’utilisation de termes contreviendrait au troisième principe que nous avons abordé au chapitre 3.2.3, selon lequel le vulgarisateur devrait s’attacher à s’exprimer de façon simple, en évitant les termes techniques. Ce principe est à nuancer dans notre cas. Les termes techniques ne sont pas un frein à la compréhension s’ils sont gérés de façon cohérente et compréhensible. Comme nous l’avons vu avec les soufflets en forme de « W », répéter une définition qui suit le terme peut être perçu comme une manière de vulgariser, d’expliciter pour faire comprendre, mais la répétition ne nous paraît pas une solution adéquate, puisqu’un autre principe de vulgarisation voudrait que le lecteur soit amené progressivement à un niveau de connaissance supérieur à celui qu’il avait avant sa lecture du document vulgarisé. Or, comme nous l’avons vu, si donner une définition dans les deux ou trois premiers articles où apparaît le terme soufflet en forme de

« W » peut s’avérer formateur, d’un point de vue didactique, cesser cette définition par la suite permettrait de conduire le lecteur vers un autre niveau de compréhension ; puisque

« l’ignorant » aurait dès lors acquis la notion de soufflet, il se sentirait dévalorisé s’il était chaque fois soumis à cette définition presque « scolaire » pouvant entraîner un dégoût, voire un rejet, de ce qu’il aura acquis. Peut-être cette dernière réflexion va-t-elle trop loin, mais il nous semble bon de rappeler que le niveau de vulgarisation des articles du Bulletin se situe dans la « haute vulgarisation », qui dépasse le niveau scolaire, et, de fait, l’aspect didactique devrait être bien moindre que dans un article de vulgarisation générale.

Quant à l’utilisation même de termes techniques dans un article de haute vulgarisation, les exemples de quench et de busbar montrent que ces anglicismes, s’ils sont compris par les ingénieurs travaillant sur le LHC, ne seront peut-être pas aussi parlants pour un collaborateur en physique théorique, par exemple. Or, si le but de la vulgarisation est de véhiculer des notions scientifiques de manière simple, sans « jargon technique », le rédacteur aura d’autant plus intérêt à utiliser la traduction française, telle que transition résistive et jeu de barres, afin de respecter ce principe de vulgarisation. Ainsi, nous considérons que les termes utilisés dans les traductions des articles sur le LHC respectent, de manière générale, ce troisième principe de vulgarisation et doivent continuer de faire l’objet de discussions au sein de la communauté scientifique afin de contrecarrer l’effet des anglicismes sur la langue française.

47 6.4 Descriptions techniques

Les descriptions techniques se révèlent de précieux outils pour la compréhension de processus techniques, de phénomènes physiques, et ont pour but de rendre l’information compréhensible pour le lecteur. Dans un article de haute vulgarisation, cet exercice s’avère difficile, notamment parce que le rédacteur doit déterminer le niveau de connaissances de base de son lecteur. Or, un spécialiste de la mécanique des fluides et un théoricien de physique quantique, par exemple, n’auront pas les mêmes notions de technologie des accélérateurs et de la physique des particules. Les domaines de spécialité de chaque collaborateur étant radicalement différents, le vulgarisateur se trouve face à un public hétérogène qui ne maîtrise pas les mêmes concepts de base. La tâche du rédacteur consiste ainsi à choisir quels concepts, notions et processus il doit décrire dans ses articles et l’observation des descriptions techniques permet d’expliquer ces choix. Nous avons choisi quelques descriptions et définitions représentatives des articles de notre corpus et tenterons d’expliquer pourquoi le rédacteur et le traducteur ont pu avoir recours à une définition ou une formule spécifique. Nous verrons également comment deux articles ont été publiés dans le but d’expliquer de manière plus détaillée des notions apparues dans les Dernières nouvelles du LHC.

6.4.1 Les définitions

Nous avons pu constater quelques incohérences au fil des articles, notamment dans la présentation de certaines notions. Ainsi, des notions de base, telles que masse froide ou mise en cryostat n’ont pas besoin d’être explicitées, selon nous, car elles sont connues par la majorité des collaborateurs du CERN, qui ont pu se familiariser avec ces termes depuis quelques années déjà. Plusieurs articles présentent donc ces notions sans les définir plus en détail, jusqu’à ce paragraphe de l’article n° 11 :

N° art. English Français

N° 11 “Most of the spare magnets were ready to be ʻcryostatedʼ – put onto the cryogenic cover – and tested before going down to the tunnel. The final magnet, however, was still unfinished. “One of the reasons it took so long is because the ʻcold

La plupart des aimants de rechange étaient prêts à être mis en cryostat, c’est-à-dire installés dans l’enceinte cryogénique, puis testés avant d’être descendus dans le tunnel. Ce dernier aimant, par contre, n’était pas fini.

« C’est en partie pour cela qu’il a fallu du

48

Nous voyons qu’il s’agit d’une citation de Lucio Rossi, alors chef adjoint du département Technologie au CERN. Les deux notions de mise en cryostat et de masse froide sont, dans l’original comme dans la traduction, définies très brièvement, entre tirets en anglais et à coup de « c’est-à-dire » (et entre tirets dans un cas) en français. Pourquoi cette définition, à peine perceptible, certes, mais néanmoins redondante ? Nous pensons qu’il s’agit probablement d’un choix d’ordre stylistique du journaliste, dans la gestion des citations. En effet, comme nous l’a expliqué Corinne Pralavorio, il existe des différences culturelles notables au niveau de la rédaction journalistique, dont la citation est un exemple révélateur : le style rédactionnel anglophone, notamment, voudrait que la citation soit publiée telle qu’elle a été entendue, avec les mots exacts utilisés par la personne citée, tandis que le style français opterait pour un remaniement des propos afin, par exemple, de gommer le style trop familier ou argotique (et cela, même en citant entre guillemets)42. Cette différence stylistique expliquerait pourquoi le rédacteur anglophone a jugé bon de laisser les définitions de cold mass et de cryostated, puisque son interlocuteur, M. Rossi, lui en aurait fait part. Quant à la traduction, elle fait également état de ses définitions, probablement pour garder une sorte de parallélisme avec l’original et ne pas risquer de s’éloigner de la citation anglaise.

Par ailleurs, si beaucoup de collaborateurs ayant travaillé depuis un certain temps au CERN connaissent ces notions de base, il en arrive tout de même de nouveaux chaque mois, qu’ils soient temporaires, étudiants, chercheurs ou doctorants. Ils savent généralement ce que sont le LHC et ses expériences dans leur ensemble, mais ils ne se familiariseront que petit à petit avec l’idiolecte du laboratoire. Aussi le rappel de certaines notions est-il bénéfique pour les nouveaux collaborateurs dans leur apprentissage du langage de l’Organisation.

Voyons à présent une autre définition, à propos de l’absorbeur de faisceau :

N° art. English Français

N° 14 The beam was sent down the 2.8km Le faisceau a été envoyé sur la ligne de

42 D’après les propos recueillis lors d’un entretien au CERN, le 10 août 2011, avec Corinne Pralavorio, responsable du Bulletin du CERN d’octobre 2000 à avril 2009.

49 transfer line and stopped just before

reaching the LHC tunnel with a

“beam stopper” (known as TED) – 4m of graphite that is physically placed in the path of the beam line to prevent the beam from taking the last step into the LHC.

transfert de 2,8 km et arrêté juste avant le tunnel du LHC grâce à un absorbeur de faisceau (ou TED) – un bloc de graphite de 4 m d’épaisseur placé physiquement sur le trajet de la ligne de faisceau pour barrer l’entrée du LHC.

Ce passage nous semble particulièrement intéressant du point de vue de la traduction des éléments implicites. En effet, nous avons pu constater que de nombreux articles présentaient les éléments de physique ou de technologie des accélérateurs de manière très implicite en anglais. En témoigne l’exemple le plus frappant de nos observations, relevé dans cet article n° 14, 4m of graphite : le terme graphite n’aurait pu apparaître tel quel dans la traduction sans un complément qui le définisse, car on utilise ce matériau sous de nombreuses formes (fibres, poudre ou encore mine de crayon). Ainsi, le définir comme un bloc paraît tout à fait bienvenu. Nous supposons que le traducteur a certainement dû procéder à une recherche plus ou moins poussée pour arriver à trouver de quoi il s’agissait.

Dans un même souci de compréhension, il a également fallu expliciter 4m, d’autant que l’expression un bloc de graphite de 4 mètres, en français, sous-entendrait que l’on fait allusion à sa hauteur et non à son épaisseur (un raisonnement peut-être moins logique dans notre contexte, mais pas impossible). Aussi la traduction de ce bref passage nous semble-t-elle cohérente avec le principe de vulgarisation qui préconise de présenter les éléments de manière claire et limpide.

À l’inverse, nous avons pu constater un manque de définitions dans certains passages ardus, notamment le suivant, dont la traduction s’avère quelque peu déroutante :

N° art. English Français

N° 18a [...] the cause of the leak in Sector 2-3 has been confirmed as the flexible hose. This has now been replaced by a solid tube, with an expansion loop

En effet, qu’est-ce que le rétreint thermique ? Un document présentant les propriétés des matériaux à basse température trouvé sur Internet nous permet d’en savoir plus :

50 Lorsque la température d’un matériau décroît, en général, ces [sic] dimensions

diminuent et l’on parle couramment de rétreint thermique43

Notons l’adverbe « couramment », qui prend tout son sens dans un document rédigé à l’intention de techniciens spécialistes des matériaux aux propriétés cryogéniques. Selon nous, l’utilisation du terme rétreint thermique dans le contexte des articles sur le LHC ne convient pas, car il est trop peu familier pour être instantanément compris des lecteurs.

Sans doute aurait-il fallu parler de contraction thermique, étant donné que le terme contraction est communément employé dans plusieurs domaines et donc plus facilement compréhensible dans notre contexte. Cet exemple montre ainsi tout l’enjeu d’une définition qui, si elle est mal écrite, risque de dérouter le lecteur.

6.4.2 Les compléments d’information

L’article n° 12b a attiré notre attention, car il ne fait pas partie de la rubrique des Dernières nouvelles du LHC, mais a été rédigé comme complément afin de fournir des informations plus détaillées, en l’occurrence sur le système de protection contre les transitions résistives.

Cet article a certainement été rédigé pour répondre à un besoin d’informations complémentaires et développées concernant ce nouveau système dont parlent parfois les articles sur le LHC. Il explique, notamment, pourquoi la machine a besoin d’un tel système et comment ce dernier fonctionne. On y fait également état de l’incident survenu en septembre 2008, qui a, certes, causé de graves dégâts sur le collisionneur, mais aussi permis d’élaborer un système plus efficace pour éviter de reproduire ce même type d’incident à l’avenir. Ce genre d’article fait partie d’une campagne de communication très active au CERN, qui a été mise en place, en outre, pour répondre au manque d’informations qui a suivi l’incident de 2008. Une période critique pour tous les collaborateurs de l’Organisation, comme a pu nous le confirmer Corinne Pralavorio44. Aussi les informations sur les causes de l’incident étaient-elle rares et la majorité des personnes travaillant au CERN ne pouvaient-elles que spéculer, à la fois sur les causes, mais également sur les dégâts occasionnés et les coûts engendrés par les réparations. Afin

43 Définition provenant d’un document signé de Jean-Pierre Thermeau, de l’Institut de Physique Nucléaire d’Orsay, p. 12, le 12.08.2011 : http://rdm.cnrs.fr/IMG/pdf/pres_ProprieteCryo_JPT.pdf.

44 D’après les propos recueillis lors d’un entretien au CERN, le 10 août 2011, avec Corinne Pralavorio, responsable du Bulletin du CERN d’octobre 2000 à avril 2009.

51 de remédier à ce manque d’informations, l’année 2009 allait marquer l’Organisation à l’aide d’une communication assidue avec ses collaborateurs ; le CERN jouait désormais la transparence totale et multipliait ses moyens de communication, une ligne de conduite dont les Dernières nouvelles du LHC étaient la conséquence directe.

51 de remédier à ce manque d’informations, l’année 2009 allait marquer l’Organisation à l’aide d’une communication assidue avec ses collaborateurs ; le CERN jouait désormais la transparence totale et multipliait ses moyens de communication, une ligne de conduite dont les Dernières nouvelles du LHC étaient la conséquence directe.