Histoire à mettre en pratique : Des bâtons et des pierres

Présentation : Avant de terminer cette leçon, j’aimerais vous raconter une histoire vraie qui a eu lieu ici, en Afrique. C’est une histoire qui est arrivée à des élèves, comme vous.

A l’école, les garçons jouent à toutes sortes de jeux. Cependant, il est bien regrettable de dire que certains des jeux violents auxquels ils jouent s’inspirent des émissions télévisées ou des films qu’ils ont vus au cinéma.

Un jour, dans une école primaire, des garçons se sont divisés en deux gangs, comme ils l’avaient vu faire à la télévision. Ils voulaient juste s’éclater. Ils ne cherchaient à blesser personne. Ce n’était qu’un jeu, pur et simple. Armés de bâtons, ils faisaient semblant d’avoir des pistolets. Pris par le jeu, un garçon enfonça son bâton dans le ventre d’un de ses amis. Celui-ci se tordit de douleur. Le jeu s’arrêta et le directeur de l’école dut conduire le jeune garçon à l’hôpital le plus proche.

Les enfants attendaient en silence pour voir ce qui allait se passer. Tout le monde fut choqué d’apprendre que l’enfant était mort. Les docteurs avaient fait tout leur possible, mais le jeune garçon décéda à l’hôpital. Son ami, celui qui l’avait éventré, fut arrêté par la police. On le conduisit au tribunal où il fut jugé pour meurtre.

Quelle triste histoire ! Le pire, c’est qu’elle aurait pu arriver à n’importe qui d’entre nous.

Tout a commencé par un jeu violent. Dieu hait la violence parce qu’elle détruit les vies qu’il a créées. C’est pour cela qu’il nous dit de ne pas tuer.

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Remarques : [END MARGIN]

7. Conclusion et réaction :

C’est mal de tuer parce que le meurtre détruit la vie que Dieu a créée et pour laquelle il avait un plan. Dieu nous dit de ne pas tuer. Souvenez-vous que le meurtre est la

conséquence d’une colère incontrôlée.

Pour terminer, j’aimerais que vous incliniez votre tête et que vous fermiez vos yeux.

Peut-être y a-t-il aujourd’hui parmi nous quelqu’un qui a du mal à contrôler sa colère.

Peut-être vous battez-vous souvent avec vos amis. Peut-être vous emportez-vous chez vous ou peut-être regardez-vous des émissions télévisées remplies de violence. Si vous ne faites pas attention, ces choses peuvent vous entraîner sur un mauvais chemin et peut-être même vous conduire au meurtre. Vous devez apprendre à contrôler votre colère afin de ne pas pécher. Si vous voulez prier avec moi, levez votre main. (Donnez-leur le temps de répondre.)

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« Seigneur, je sais que je me mets facilement en colère. Parfois il m’est très difficile de contrôler mes sentiments. Lorsque je m’emporte, j’éprouve tout de suite le besoin d’être violent. Je te prie de m’aider à faire le bien. Je désire obéir à tes commandements. Je ne veux pas pécher. Aide-moi à attendre d’être calmé avant de faire quoi que ce soit. Merci Seigneur. Amen ».

Instructions concernant l’activité à ramener à la maison et corrigé réservé au moniteur

L’activité à ramener à la maison pour cette leçon consiste à séparer les bonnes choses des mauvaises. Avant de photocopier la page, inscrivez les consignes suivantes à l’intérieur du cadre prévu à cet effet.

« Barrer toutes les images qui provoquent la mort. Colorier toutes celles qui mènent à la vie ».

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Activités complémentaires !

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Remarques : [END MARGIN]

Activité continue : Les Dix Commandements

(Faites cette activité après avoir terminé la leçon et après avoir prié.)

Ajoutez ce commandement à votre liste des Dix Commandements. Voyez ceux qui sont capables de réciter par cœur les versets des dix commandements étudiés jusqu’ici et récompensez-les en conséquence.

Sketch ou mime : Le cœur brisé

(Insérez ce sketch après la leçon de choses n°5 ou à la place de l’histoire à mettre en pratique.)

Personnages : Deux acteurs, personnage A et personnage B.

Préparation : Ce mime ou sketch muet doit être répété à l’avance. Vous pouvez également le rendre plus attrayant en ajoutant un fond musical.

Application : De nos jours, beaucoup de personnes ont le cœur brisé. Parfois ce sont leurs amis qui, par leurs paroles et leurs actions, les blessent. Parfois ces blessures sont même mortelles. Souvenez-vous que Jésus guérit les cœurs brisés et qu’il panse les blessures.

Présentation : (La scène commence avec le personnage A, debout, immobile.) Le personnage A lève les yeux vers le ciel, comme s’il était en train de recevoir un message venant d’en haut. Les mains levées vers le ciel, il reçoit quelque chose qui le fait sourire.

Il est heureux et il prend soin de l’objet qu’il tient en faisant avec ses mains des mouvements qui font comprendre qu’il tient un cœur. Il est évident que l’objet est un cœur.

Peu de temps après, un autre personnage arrive. Le personnage B a une attitude arrogante et il s’approche du personnage A, montrant qu’il veut lui emprunter son cœur. Le

personnage A ne fait pas confiance à son ami, le personnage B. Mais, après de longues supplications, le personnage A donne à contrecœur son objet au personnage B.

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Dès que le personnage B reçoit l’objet, il commence à le jeter en l’air, ce qui n’amuse pas du tout le personnage A. Puis, le personnage B le jette si haut que l’objet tombe à terre et se brise en mille morceaux. Le personnage A court vers son cœur brisé et commence à le ramasser, morceau par morceau. Le personnage B fait comme si aucun incident ne s’était produit et il sort aussi vite qu’il était apparu.

Le personnage A reste seul et triste. Mais il entend une voix qui l’appelle ; cette voix vient du ciel. Il lève les yeux vers le ciel, l’air perplexe, puis il secoue la tête en signe de mécontentement. Enfin, il décide de donner son cœur brisé à la voix. Il étend ses mains vers le ciel et il abandonne tous les morceaux de son cœur. Alors qu’il est sur le point de partir, la voix l’appelle à nouveau. Cette fois-ci, avec un sourire, il étend ses mains vers le ciel pour recevoir un nouveau cœur ; il est heureux.

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