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EVALUER ET PRéVENIR LES RISQUES D’INTRODUCTION D’ARBOVIROSES ET

Dans le document 2011-2015 (Page 112-119)

AUTRES MALADIES VECTORIELLES à LA RéUNION ET ADAPTER EN PERMANENCE LA STRATéGIE DE LUTTE

Porteur de l’action Partenaires associés Lien avec le PNSE2

Lien avec le PRSE1

CIRE - CRVOI - ARS-OI

CHR - COI - Communes - EPCI - Etat

Fiche 13 Risques émergents ACTION 42 : Améliorer le dispositif de surveillance et d’alerte

Fiche 14 Recherche ACTION 50 : Renforcer les disciplines de recherche majeures et les thématiques prioritaires pour la prédiction et l’évaluation des risques et dangers environnementaux, notamment sur les pathologies en forte augmentation ou ré-émergentes et sur les risques émergents Prolongement d’une action spécifique Réunion RUN 17 «Lutte contre les maladies à transmission vectorielle et les zoonoses»

objeCtifs (généraux et/ou spécifiques) et desCription sYnthetique Cohérence avec le plan national

Le PNSE 2 met l’accent sur les risques émergents et sur la nécessité de se préparer à y faire face, notamment en améliorant le dispositif de surveillance et d’alerte (action 42) et la connaissance de ces risques par la recherche (action 50). Cette action s’inscrit totalement dans ce cadre puisqu’elle s’attache à mieux connaitre les risques émergents qui menacent l’île de La Réunion et à se préparer à y faire face.

Objectifs de l’action

Evaluer les risques d’introduction d’arboviroses et autres maladies émergentes à La Réunion.

Prévenir l’apparition de ces risques émergents.

Etre en capacité de détecter l’émergence d’un de ces risques à La Réunion, ou l’augmentation du risque d’émergence.

Préparer le système de soin au risque d’émergence d’une nouvelle menace en termes de capacité de diagnostic biologique et de prise en charge des patients.

Encourager la recherche sur les maladies vectorielles.

Adapter en permanence la stratégie de la lutte anti-vectorielle (LAV) aux risques menaçant la population réunionnaise.

Description de l’action

L’action peut se décliner en plusieurs domaines complémentaires :

La connaissance des risques émergents : dans cette optique, la mesure 6.2.1 prévoit la réalisation d’une veille bibliographique afin de déterminer les risques émergents qui menacent l’île de La Réunion et de mieux connaitre leurs caractéristiques (nature des agents, transmission, effets sanitaires, prévention, etc.).

La capacité à déceler l’émergence de ces risques : afin d’être en mesure de faire face à une maladie émergente, il faut avant tout être en capacité de détecter sa survenue.

Ainsi La Réunion se doit d’être dotée d’un dispositif fiable et réactif permettant de détecter l’arrivée sur le territoire de toute menace éventuelle pour la santé publique, d’évaluer le risque encouru, et d’alerter les pouvoirs publics en cas de réelle menace pour la population. Par ailleurs, la collaboration avec les pays de la zone d’échange (Maurice, Madagascar, Comores, Seychelles) est essentielle dans ce cadre. Ces aspects sont abordés dans la mesure 6.2.2.

L’amélioration des capacités de diagnostic biologique et de prise en charge médicale des personnes touchées : afin d’être en

.2

112 Plan Régional Santé Environnement 2011-2015 de La Réunion

capacité de faire face à un nouvel agent infectieux qui toucherait la population réunionnaise, il est nécessaire d’être en capacité de confirmer biologiquement les cas. Pour cela, la mesure 6.2.3 prévoit d’étudier la faisabilité et la pertinence d’un dispositif garantissant en cas de besoin la fonctionnalité d’outils de diagnostic biologique. Elle s’appuiera notamment sur les résultats de la veille bibliographique visant à améliorer les connaissances des risques émergents (mesure 6.2.1). De même, il est indispensable que le système de soin réunionnais soit en capacité de faire face à l’apparition voire l’augmentation brutale de malades. Pour cela, les professionnels de santé doivent être formés aux pathologies menaçant la population, à la prise en charge des cas, et doivent pouvoir s’appuyer sur un groupe d’experts capables d’émettre des recommandations. La mesure 6.2.4 s’attache à ces aspects de diagnostic biologique et de prise en charge médicale.

La connaissance et la lutte contre les ma-ladies vectorielles : les mama-ladies vecto-rielles constituant un risque majeur pour La Réunion, un effort tout particulier doit être fait dans ce domaine. La recherche a notamment un rôle essentiel à jouer dans l’amélioration les connaissances sur les ca-pacités vectorielles des moustiques et des

tiques vis-à-vis des arboviroses et autres maladies vectorielles circulant dans la zone, tel que prévu dans la mesure 6.2.5.

Les efforts de recherche sur la Technique de l’Insecte Stérile doivent notamment être maintenus, comme le prévoit la me-sure 6.2.7. Enfin, la lutte anti-vectorielle de terrain est le principal moyen de lutter au jour le jour contre la propagation des maladies vectorielles. En ce sens, il est in-dispensable d’adopter en permanence une stratégie de lutte anti-vectorielle intégrée, qui s’adapte aux connaissances acquises sur les vecteurs, leurs capacités vectorielles, les résistances aux insecticides, les mala-dies circulant dans la zone et la situation épidémiologique. C’est ce que prévoit la mesure 6.2.6, avec pour ambition d’y inté-grer les informations recueillies par un ré-seau d’expertise en matière de LAV dans la zone OI. Par ailleurs, toujours dans le cadre de la lutte anti-vectorielle de terrain, les ravines constituant un lieu propice de déve-loppement de nombreux vecteur, la mesure 6.2.8 s’attache à la mise en place d’un plan ravines pour lutter contre ce problème.

Contexte local, état des lieux, avancées éven-tuelles depuis le PRSE1

Cette action est en continuité avec l’action 17 mise en place dans le cadre du PRSE1.

Contraintes et atouts potentiels Contraintes

Certaines mesures dépendent de la disponibilité de moyens financiers (ex : 6.2.3 : développements d’outils biologiques, 6.2.7 : technique de l’insecte stérile), d’une volonté politique (ex : 6.2.7, 6.2.8 : entretien des ravines), ou encore de la participation des personnes ressources qui seront sollicitées (ex : 6.2.4 : participation des experts).

Atouts

Plusieurs des mesures identifiées sont déjà plus ou moins initiées et doivent donc seulement être maintenues et améliorées dans le temps, en fonction des nouvelles connaissances disponibles.

pilotes et autres responsabilites speCifiques CIRE

Professionnels de santé Collectivités

fiChe

6.2

fiChe

6.2

mesures operationnelles de mise en Œuvre de l’aCtion

Description

Il s’agit de réaliser une veille bibliographique constante sur les épidémies en cours dans la zone, les agents infectieux pathogènes susceptibles d’être introduits puis disséminés sur le territoire, et les moyens de prévention existant pour se protéger.

Pilote

CIRE et CRVOI.

Remarque : le CRVOI conduit une veille scientifique sur les vecteurs agents de maladies infectieuses émergentes et dispose d’une base de données bibliographique de plus de 5000 ref.

Cette veille s’articule parfaitement avec la veille épidémiologique conduite par la CIRE.

Echéances

2013 (l’état des connaissances doit être continuellement mis à jour).

Lien avec d’autres procédures Sans objet.

Objectifs opérationnels

Disposer d’un document recensant les agents infectieux représentant un risque pour La Réunion.

Pour les risques représentant un risque majeur à court terme, disposer d’un document permettant de mettre en place des mesures de gestion adaptées.

mesure 6.2.1 Poursuivre la synthèse bibliographique sur les risques infectieux émergents dans la zone

Description

Il s’agit d’avoir et de maintenir à La Réunion un dispositif fiable et réactif permettant de détecter toute menace éventuelle pour la santé publique, d’évaluer le risque encouru, et d’alerter les pouvoirs publics en cas de réelle menace pour la population.

Pilote

ARS-OI - CIRE - COI.

Echéances

2013 (un dispositif est déjà en place mais doit être constamment amélioré).

Lien avec d’autres procédures Sans objet.

Objectifs opérationnels

Disposer d’un centre unique de réception des signaux sanitaires à La Réunion.

Disposer de systèmes de surveillance permettant de détecter précocement toute menace pour la santé publique.

Partager des informations avec les pays de la zone d’échange (Maurice, Madagascar, Comores, Seychelles).

Etre en capacité d’évaluer la menace.

Etre en capacité d’alerter les pouvoirs publics, les professionnels de santé et la population en cas de menace.

mesure 6.2.2 Maintenir un dispositif de veille et d’alerte sanitaire sensible et réactif au niveau régional

Description

Pour chacun des risques infectieux émergents considérés comme pouvant affecter La Réunion (identifiés notamment via la mesure 6.2.1), il s’agira d’étudier la possibilité et la pertinence de disposer d’outils de diagnostic biologique permettant de réaliser les analyses biologiques sur place.

Pilote

CHR - CIRE - CRVOI.

Echéances 2013.

Lien avec d’autres procédures Sans objet.

mesure 6.2.3 Etudier la possibilité de développer des outils biologiques de diagnostic de certaines maladies émergentes (faisabilité et pertinence)

114 Plan Régional Santé Environnement 2011-2015 de La Réunion d’alerte, de permettre des diagnostics rapides en première approche.

Développer des outils de diagnostics biologiques plus sensibles pour les agents pathogènes identifiés comme prioritaires

au regard de la menace qu’ils représentent pour La Réunion.

Etudier la faisabilité et la pertinence de développer des kits diagnostics simples et rapides pour mener des investigations épidémiologiques en cas de menace identifiée dans la zone.

Description

Il s’agit de former les professionnels de santé à la prise en charge des cas pour les maladies émergentes particulièrement méconnues, et de mettre à disposition des procédures afin d’améliorer l’offre de soins. Un comité d’experts sera notamment constitué, composé d’un groupe pluridisciplinaire de professionnels ayant une expertise en termes de maladies émergentes et/ou de prise en charge médicale : réanimateurs, urgentistes, médecins généralistes, épidémiologistes, biologistes, etc.

Pilote

ARS-OI - CHR.

Echéances 2013.

Lien avec d’autres procédures Sans objet.

Objectifs opérationnels

Mettre en place une formation destinée aux professionnels de santé sur les maladies émergents les plus méconnues.

Etablir des supports de formation et de communication.

Constituer un groupe d’experts se réunissant régulièrement et pouvant être sollicité dans les plus brefs délais en cas de besoin.

mesure 6.2.4 Renforcer les procédures de prise en charge des patients en cas de maladies émergentes, et mettre en place un comité d’experts sur les aspects cliniques

Description

Il s’agit, pour chacune des arboviroses et autres maladies vectorielles circulant dans la zone et susceptible de représenter une menace, de caractériser les espèces vectorielles (moustiques et tiques) correspondantes à La Réunion et leur capacité à transmettre ces pathologies. L’ensemble de ces informations est nécessaire à l’anticipation et l’adaptation des stratégies de lutte anti-vectorielle intégrée.

Pilote

CRVOI - ARS-OI.

Echéances 2013 - 2014.

Lien avec d’autres procédures Sans objet.

Objectifs opérationnels

Lister les espèces de vecteurs prioritaires à La Réunion au regard de l’évaluation des risques d’introduction et de diffusion des maladies vectorielles circulant dans la zone.

Assurer une surveillance entomologique permanente des deux principales espèces vectrices (Aedes albopictus, Anopheles arabiensis) et des études ponctuelles de caractérisation des autres espèces susceptibles de présenter un risque.

Assurer une veille cartographique des espèces vectorielles jugées prioritaires.

Caractériser les résistances aux insecticides de l’ensemble des espèces de vecteurs jugées prioritaires et en assurer un suivi régulier pour les deux principales espèces vectrices.

Caractériser les capacités vectorielles des populations de vecteurs à La Réunion jugées prioritaires, et les facteurs biotiques et abiotiques qui pourraient interférer sur ces compétences.

mesure 6.2.5 Améliorer les connaissances sur les vecteurs, leurs

capacités vectorielles et leurs résistances aux insecticides, au regard des arboviroses et autres maladies vectorielles circulant dans la zone

fiChe

6.2

Description

La connaissance des maladies vectorielles circulant dans la zone (mesures 6.2.1. et 6.2.2), de la présence à La Réunion des espèces vectorielles associées à ces maladies, et de leur capacité à transmettre effectivement ces pathogènes (mesure 6.2.5), permet d’évaluer en permanence le risque d’introduction et de diffusion de ces maladies à La Réunion.

L’amélioration des connaissances de ces espèces de vecteurs jugées prioritaires, à la fois en matière de répartition géographique, d’écologie, mais également de résistances aux insecticides, doit alors permettre de définir ou d’adapter la ou les stratégies de lutte anti-vectorielle pour chacune des espèces de vecteurs prioritaires. Dans le cadre de cette démarche, il conviendra de distinguer la situation des deux principales espèces de vecteurs à La Réunion (Aedes albopictus, Anopheles arabiensis) qui disposent déjà de stratégies de surveillance et de lutte anti-vectorielle, des autres espèces potentiellement vectrices dont les dispositifs de prévention et de lutte sont à définir à titre de précaution.

Pilote ARS-OI.

Echéances Permanent.

Lien avec d’autres procédures ECOPHYTO 2018.

Objectifs opérationnels

Adapter en permanence les stratégies de lutte anti-vectorielle intégrée (y compris prévention) pour les deux principales espèces vectrices. Mettre à jour si besoin le dispositif opérationnel ORSEC de lutte contre le chikungunya et la dengue.

Elaborer pour les autres espèces vectrices jugées prioritaires des stratégies de lutte susceptibles d’être engagées en cas d’alerte.

Intégrer dans ces stratégies les informations recueillies par le réseau d’expertise en matière de LAV dans la zone OI.

Assurer, en lien avec le Centre National d’Expertise sur les Vecteurs (CNEV), une veille sur les molécules utilisables en lutte anti-vectorielle, leur toxicité et les perspectives de nouvelles stratégies de lutte chimique ou biologique.

mesure 6.2.6 Adapter en permanence la stratégie de lutte anti-vectorielle intégrée, au regard des connaissances acquises sur les vecteurs, leurs compétences vectorielles, les résistances aux insecticides, les maladies circulant dans la zone et la situation épidémiologique

Description

Le projet TIS s’inscrit dans la perspective d’une réduction du nombre de molécules insecticides disponibles pour la lutte anti vectorielle (LAV) et de la nécessité d’apporter de nouveaux moyens de lutte afin de prévenir toute future crise sanitaire à La Réunion. De plus, l’impact environnemental associé à certaines molécules appliquées aujourd’hui impose de proposer des alternatives biologiques, spécifiques des espèces cibles et respectueuses de l’environnement.

Le projet repose sur la production de mâles stériles qui, une fois lâchés, vont féconder des femelles sauvages sans que leur descendance soit viable. Différentes méthodes de stérilisation sont disponibles mais celle par exposition de moustiques à un rayonnement (déjà utilisé pour le traitement de certains aliments et des poches de sang pour la transfusion) semble la

plus simple à étudier à La Réunion. Le choix de La Réunion pour ce projet a été dicté pour son isolement dû à sa nature insulaire limitant ainsi les échanges de vecteurs, pour la qualité et le savoir faire du service technique en place et grâce à une volonté politique forte (nationale et régionale). Ce projet s’inscrit également dans un projet régional Ouest Océan Indien soutenu par la COI et l’AIEA.

Pilote

CRVOI - ARS-OI.

Echéances 2015.

Lien avec d’autres procédures Sans objet.

mesure 6.2.7 Maintenir les efforts de recherche sur la mise en oeuvre de la Technique de l’Insecte Stérile à La Réunion (Guy Lemperriere)

116 Plan Régional Santé Environnement 2011-2015 de La Réunion

fiChe

6.2

Objectifs opérationnels

Finaliser les études de faisabilité scientifique et socio-économique du projet (phase 1) Développer les études sur terrain semi-ouvert :

grandes cages puis serres, et un élevage de masse d’insectes stériles (phase 2)

Développer une stratégie en sciences humaines et sociales visant à préparer l’acceptabilité du projet par la population et les acteurs de la politique locale et à aider à l’évaluation des risques et de leur gestion. d’Accompagnement dans l’Emploi (CAE) destinés à permettre la réalisation par les communes de plans d’actions, soit directement soit par l’intermédiaire d’associations. Ces plans d’actions comprennent :

le nettoyage de l’intérieur et des abords de ravines : faucardage et enlèvements de déchets,

l’entretien des accès aux ravines,

l’entretien des espaces publics en bordure de ravine,

des actions de médiation auprès des riverains pour inciter à ne plus jeter dans les ravines.

Le plan ravines s’avère être un dispositif particulièrement efficace et qui répond pleinement aux attentes des collectivités et des usagers, à la fois en terme de nettoyage et d’entretien des ravines, de libre écoulement des eaux, mais aussi de santé publique, lutte anti-vectorielle et prévention de la leptospirose, compte tenu notamment de la quantité très importante de déchets extraits des ravines.

Aussi, l’objectif de l’action est d’identifier et de mettre en œuvre le ou les dispositifs juridiques et financiers susceptibles de permettre la pérennisation du plan ravines à l’issue de la

période de 3x 8 mois prévue initialement dans le cadre de la mise à disposition de contrats

Lien avec d’autres procédures Sans objet.

Objectifs opérationnels

Identifier les formes juridiques possibles susceptibles de faire évoluer le « Plan ravines » vers un ancrage plus économique, dans le cadre de projets d’Economie Sociale et Solidaire.

Initier une démarche pilote de pérennisation du dispositif par la création d’une structure ad hoc regroupant l’ensemble des partenaires (Etat, collectivité, associations...).

Mettre en œuvre le dispositif pilote sur une commune ou un regroupement de communes, puis l’évaluer en vue de l’élargissement de la démarche à d’autres communes voire à l’ensemble du territoire, dans le cadre de la création d’un Service Permanent d’Entretien de Ravines Urbaines (SPERU).

mesure 6.2.8 Mettre en place un service permanent d’entretien des ravines (SPERU)

fiChe

6.2

indiCateurs de suivi et de realisation de l’aCtion

6.2.1

6.2.2

6.2.3

6.2.4 6.2.5

6.2.6

6.2.7

6.2.8 mesures

(thème.

action.

mesure)

indiCateurs retenus

d’activité / de réalisation

Qu’est-ce qui montre que la mesure est mise en œuvre ?

(nombre d’organismes impliqués…)

de résultat / bénéfice (nombre de plans mis en place…)

Nombre de réponses apportées Nombre de signalements émis par

les partenaires

Nombre de pathologies émergentes susceptibles d’être diagnostiquées à La Réunion

Nombre d’espèces de vecteurs jugées prioritaires et faisant l’objet de programme de surveillance et d’études de caractérisation, voire de capacités vectorielles

Nombre d’espèces de vecteurs faisant l’objet d’une stratégie de lutte anti-vectorielle

Nombre de communes couvertes par un dispositif pérenne d’entretien de ravines

Réalisation d’une synthèse bibliographique

Nombre de signalements reçus et traités

Nombre de partenariats mis en place

Nombre de formations réalisées Nombre de programmes d’études engagés

Fin de la phase 1

Démarrage de la phase 2

Création d’une structure juridique répondant aux attentes de pérennisation du plan ravines

118 Plan Régional Santé Environnement 2011-2015 de La Réunion

thématique 6

RISQUES éMERGENTS ET MALADIES VECTORIELLES

aCtion 6.3

RENFORCER LE DISPOSITIF DE

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