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dkrIti5Ieirc^ront signe un accord de cooperation techniquepor- techniquepor-tant sur l'accrcissement des echanges entre les deux pays, la creation dune

Dans le document Aper­çu du commerce extérieur : no. 23 (Page 90-94)

societe mixte d'import*,+i on et d'exportation et des pr6grammeS de cooperation

■technique entre les deux pays.

La societe mixte d<importation et d'exportation sera financee conjointement -par les deux pays. L'accord prevoit egalement les echanges de stagiaires,

d'experis. de fonotionnaires et;.].'octroi de bourses d«etudes.

Pour ce. crudest des echanges, la Tunisie vendra au Congo des fruits, legumes,

vins, conserves, arti-c., ^.i*wx, article, de menage, huile d'olive, alors qu'en retour, le Congo exportera vers la Tunisie du cuivre, cafe, cacao, foois

d'oeuvre, caoutchouc et acide sulfurique

(Africa, Paris, 15/i1M)

Ghana^Dahomey^Togo :. " li^Wnisbrea des traVaux publics du Dahomey et du

To™lTWfcTeunis le 16 octobre 1968 .^Xme avecle directeur de la Volta River Authority pour examiner notamment les^aspects1 techniques et finan-SiS=Td5~11et3bIiiSe^ent d'une ligne haute tension Akosombo-Lome-Cotonou et

la distribution d'energie electrique au Togo et au Dahomey a partir du barrage ghaneon. situe a 80 km au nord-est d'Accra. Un'acoord-d^principe pour cette fourniturc de courant a ete sigrie en mai 196$ .entre le Ghana, pays producteur, et les deux Etats usagars reunis en Compagnie electrique du Benin,

En prdncipe, le projet oomplet d*installation de la haute tension sera rea lise par le- Gouvernement canadien, quir sous les. auspices de son prograxnme^

d'aide exterieure, fournirait un pr§t sans interet de-l»ardre de 11v30p;-Oq©-"

Collars, rsnttpur^ahlo apres dix annees durant cinquante ans. . ....

Depuis'quclauos se^aines, une equipe de techniciens canadiens est sur place au Togo pour proceder a I1etude du.trace de la ligne7 qui doit notamment per-mettre do determiner ie coti-c exact;du projet. Cent cinq^aante raille dollars, , prcvenant c,»aj.on??it du "^'er^wirft7du Canada, sont prevus pour 1'etude du \ . trace <so yJj.^J ^i^:-., poar. '^-c au^b ^u projet et les dessins.

Le ■n:\->bl'>.=. d'une aatiistanoe financiere etrangere dans le cadre de ce projet interesse e^alenient et a un de^re eleve le Ghana pour faire face a ses obli-gatiorsj ca° conforra^ent a 1'accord intervenu entre les trois pays, le Ghana doit assurer le trass-;?-.:-1, c--. 0-1-ant ju^iVi la frontiere du Togo (AFLAO) a

partir de l.aquello so fera i-aciiat par le Togo et le Dahomey.

(liarchoD tropicaux, Paris, 26/10/68)

Guinee, Ja^^l€au^rtaniej_S§negal : Une reunion de deux jours des ministres

""ttj. transpor't;', dec postes et des telecommunications des pays membres de 1[Organisation des Etats riverains du fleuve Senegal (OERS), a laquelle ap-partiennont lo Senegal, le Mali, la Guinee et la Mauritanie, a lance un appel en fcvcv? de la coordination 'le la navigation sur le fleuve

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Les ministres ont propose la creation d!une societe de navigation fluviale inter-Etats et la construction d!un Centre de formation regional des postes et telecommunications a Rufisque (Senegal).

(Africa, Paris, 19/11/68)

Rwanda - Tanzanie : La. lanzanie et le Rwanda ont signe un accord en vue de la construction dfune importante liaison routiere entre les deux pays.

La route impliquera notamment la construction de ponts sur la riviere Kagera dans la partie de la Tanzanie situee a lTouest du lac Victoria. C'est le

Rwanda qui!semble avoir pris 1'initiative de la construction de cette route afin de faciliter ses exportations et importations qui passent actuellement

par Mombasa et l'Ouganda. .

Les deux pays etudient aussi des propositions en vue du resserrement des relations commerciales, de la creation des services aeriens communs, la con clusion d'un pacte de securite et d1immigration et du developpement de l'in-dustrie du toufisme dans les deuxrpays.

": (Africa, Paris, 7/i/T6"9)

Soudan - Republique arabe unie : Aux termes dfun accord de cooperation mutuelle, la Republique arabe unie accordera au Soudan un pr§t de 5 millions de livres ne portant pas d'interet. La Republique arabe unie fourni-ra aussi au Soudan du petrole contre des livfourni-raisons de ble.

(Africa, Paris, 19/11/68)

Soudan - Republique arabe unie : Au cours du mois dernier une delegation commerciale egyptienne est arrivee au Soudan pour examiner les rela tions commerciales entre 1'Egypte et le Soudan. II ressort d*un compte rendu paru dans la presse que les deux pays sont convenus de construire une route d'un millier de kilometres a travers le desert occidental, qui constituera une liaison entre Karthoum et Le Caire et facilitera les echanges commerciaux entre les deux pays. On precise que la contribution soudanaise a. ce projet sTelevera a quelque 11 mi1lions de livres soudanaises.

(Quarterly Economic Reviews, Londres, Janvier 1969)

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FO.IRES ET EXPOSITIONS

Republique arabe unie : Entre le 20 octobre et le 20 novembre 1968 quarante pays ont participe a, la foire industrielle..duCaire. a laquelle eta^ent representees 200 entreprises egyptiennes, dont 40 du secteur prive. La m&jO-rite des exposants etrangers venaient des pays arabes et de lfEurope de l'esi;,

Parrai les autres pays repr^sentes on releve l'Alleraagne federale, ifltalie:

1'Autriche, l'Inde, le Pakistan, le Japon, le Cambodge, la Tanzanie et le

(Quarterly Economic Reviews, Londres, Janvier 1969)

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QUESTIONS BANCAIRES ET MONETAIRES

Republique democratique du Congo : Dans le cadre de sa politiquede libera lisation des transactions internationales courantes que la Republique democratique du Congo poursuit depuis juin 19671 la Banque nationale du Congo vient d'annoncer que les Restrictions applicables aux transferts des benefices

sociaux seraient relachees' a partir de Janvier 1969- La Banque nationale pour-ra autoriser des tpour-ransferts de ce genre, la premiere fois pour les benefices realises au cours de l'annee financiere qui a pris fin en 1968. Cette regie-mentation nouvelle ne s'applique qu!aux societes avec participation de capitaux

etrangers, et le montant des benefices nets transferables sera determine

d*apres la quote-part des capitaux etrangers dans le capital social. Les bene fices doivent provenir des activites normales de la societe; les benefices rea lises au titre d!operations exceptionnelles ne pourront pas §tre transferes.

La Banque nationale autorisera le transfert seulement apres avoir examine les documents justificatifs pertinents presenters par les societes interessees.

Les mesures anterieures de liberalisation des echanges, adoptees depuis juin 1967, comprennent la suppression des restrictions quantitatives applica bles aux importations et l!assouplissement des regies limitant les paiements

au titre de la plupart des services et les transferts de caractere prive.

(international Financial News Survey, Washington, 24/1/69)

Afrique de l'est : Comrae suite a 1!embargo sur le commerce avec 1'Afrique du Sud, les trois pays de 1'Afrique orientale viennent dfinterdire les transferts de fonds aux personnes residant ou se trouvant en Afrique du Sud.

Les cas impliquant de graves difficultes (par exemple retraites de vieillesse)

pourront e*tre presentes au departement du contrSle des changes des banques

centrales. (Q^pterly Economic Reviews, Londres, decembre 1968)

Somalie : Conformement aux objectifs du nouveau plan, le Gouvernement somali se preoccupe du role reduit que jouent les fonds d!origine locale dans le developpement du pays. Une banque de developpement a ete officiellement creee le 1er juillet 1963, qui comprend notamment lfancienne division des prets

au developpement du Credito Somalo. La nouvelle Somalia Development Bank (SDB)

s'est fixe comme objectif de reunir un capital social de 100 millions de shillings somali. Actuellement, ce montant est bien plus bas et la banque essaie de trouver des fonds supplementaires en Italie et aux Etats-Unis. On espere que la SDB jouera dans l!economie soraalie, le m§me role actif que les societes de developpement du Kenya, de la Tanzanie et de l!0uganda. A court terme, il semble toutefois probable que la SDB devra recourir aux sources ex-terieures pour financer, en grande partie, ses premieres entreprises alors que les quelques etablissements d'affaires locaux continuent a placer leurs fonds dans des transactions commerciales a rendement rapide ou dans la propriete

im-mobiliere. (q^^qq^ Review, Londres, Janvier 1969)

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Soudan : Dorenavant la participation etrangere a des banques non soudanaises

522aS2Be;a limitee a 25 pour 100. Selon des sources offidelles, cette mesure

serait iustifiee par le fait que le capital total des banques etrangeres

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