• Aucun résultat trouvé

résultats Les résultats sont-ils interprétés en fonction du cadre de recherche et pour chacune des questions ou hypothèses ? Oui, les résultats sont présentés sous différents tableaux et interprétés selon l’évaluation de la qualité de vie, mais également au travers des sous-échelles comme la douleur, le niveau d’anxiété, etc. Les résultats concordent-ils avec les études antérieures menées sur le même sujet ? Sont-ils discutés à la lumière d’études antérieures ? Oui, les auteurs décrivent que les résultats antérieurs de recherche sont parallèles aux résultats de cette étude.

L’interprétation et les conclusions sont-elles conformes aux résultats d’analyses ? Oui.

Les limites de l’étude ont-elles été définies ? Les auteurs conseillent de poursuivre ces recherches à l’aide d’études plus approfondies.

Les conclusions découlent-elles logiquement des résultats ? Oui.

Conséquences et

recommandations Quelles sont les conséquences des résultats de l’étude pour la discipline ou la pratique clinique ? L’auteur a-t-il précisé les conséquences des résultats ? Dans cette étude, la qualité de vie des résidents des maisons de retraite a augmenté après une intervention de thérapie du rire. Des études expérimentales et quasi expérimentales ont démontré que la thérapie du rire augmente la qualité de vie et les émotions positives des résidents, et qu'ils se sentent mieux physi-quement et mentalement après la thérapie du rire. Ainsi, la thérapie du rire diminue les douleurs corporelles à travers des exercices de yoga et des exercices réguliers chez les résidents. Dans cette étude, le fonctionnement social des résidents a augmenté après l'intervention de la thérapie par l’humour. Une augmentation des interactions chez les personnes âgées a également été démontrée. Implication pour la pratique : les résultats indiquent que le programme de thérapie du rire a eu un effet positif sur la qualité de vie des résidents des maisons de retraite. Les infirmières peuvent utiliser la thérapie du rire comme une intervention pour améliorer la qualité de vie des résidents.

L’auteur fait-il des recommandations/applications pour la pratique et les recherches futures ? Pour évaluer les effets du rire sur la qualité de vie des résidents, les auteurs conseillent d’utiliser, pour les recherches futures, un échantillon plus large provenant de maisons de retraite ayant des structures socioculturelles identiques pour, ainsi, aider à généraliser les résultats. Les données sont-elles suffisamment riches pour appuyer les conclusions ? Oui, les auteurs concluent que dans cette étude, après la thérapie du rire, la qualité de la vie et les scores des sous-échelles (fonctionnement physique, émotionnel, douleurs corporelles, santé générale, santé spirituelle, fonctionnement social, vitalité) a augmenté parmi les résidents vivant en maisons de retraite. Selon ces résultats, on peut dire que la thérapie du rire peut être utilisée pour augmenter la qualité de vie des résidents.

121

Konradt, B., Hirsch, R. D., Jonitz, M. F., & Junglas, K. (2013). Evaluation of a standardized humor group in a clinical setting: a feasibility study for

older patients with depression. International Journal of Geriatric Psychiatry, 28(8), 850-857. doi :10.1002/gps.3893

Eléments d’évaluations Questions fondamentales à se poser

Titre Le titre précise-t-il clairement les concepts-clés et la population étudiée ? Oui, le titre précise la population étudiée et les concepts sont mis en lumière. Il s’agit d’évaluer les effets d’une thérapie par l’humour dans un groupe donné chez les patients âgés souffrant de dépression.

Résumé Le résumé synthétise-t-il clairement le résumé de la recherche : problème, méthode, résultats et discussion ? Oui, le résumé est très clairement séparé, ce qui nous permet de facilement distinguer :

Contexte : les effets positifs de l'humour chez les patients âgés présentant des symptômes dépressifs ont été démontrés. Cependant, les preuves empiriques sont rares. Les auteurs ont étudié l'efficacité d'un humour standardisé dans un groupe thérapeutique.

Patients et méthode : un groupe expérimental avec traitement par l’humour (49 patients) a été comparé à un groupe témoin sans traitement (50 patients).

Résultats : les deux groupes ont montré une amélioration pour la dépression, la tendance suicidaire, la gaîté et la mauvaise humeur. Conclusion : les résultats indiquent un avantage supplémentaire à l’utilisation d’une intervention thérapeutique spécifique chez les personnes âgées déprimées.

INTRODUCTION Problème de la

recherche Le problème/phénomène à l’étude est-il clairement formulé et circonscrit ? Que s’agit-il d’étudier ? Dans l’introduction, les concepts et les interventions sont clairement explicités. On y trouve également le phénomène étudié. Il s’agit d’évaluer, dans un groupe clinique, les effets de l’humour chez les personnes âgées atteintes de dépression.

remarque que la problématique est au centre de l’actualité. En effet, les problèmes dépressifs sont les maladies psychiatriques les plus fréquentes chez les personnes âgées. Un grand nombre de facteurs y contribuent, notamment des facteurs génétiques et physiologiques, le stress et les changements socio-économiques.

Le problème/phénomène a-t-il une signification particulière pour la discipline concernée ? Les postulats sous-jacents à l’étude sont-ils précisés ? Ce problème est significatif pour la discipline car le but est de démontrer les effets d’une thérapie par l’humour chez les personnes âgées. En effet, les auteurs mentionnent que les données regroupant l’humour et les personnes âgées sont rares. C’est pourquoi une avancée dans ce domaine pourrait être utile pour la discipline. Les postulats sous-jacents sont précisés, car la position des auteurs est la suivante : « cette étude devrait être similaire au niveau des résultats qu’ils ont trouvé dans les autres études ».

Recension des écrits Une recension a-t-elle été entreprise ? Oui, les auteurs mentionnent plusieurs articles et autres études.

La recension fournit-elle une synthèse de l’état de la question par rapport au problème de recherche ? La revue conclut qu’il y a, certes, des études menées sur le sujet mais elles sont très contradictoires et ne permettent pas à une conclusion générale.

La recension des écrits vous semble-t-elle présenter une base solide pour l’étude ? L’auteur présente-t-il l’état des connaissances actuelles sur le phénomène ou le problème à l’étude ? Oui, car les auteurs s’appuient sur divers articles et études. Ils synthétisent les connaissances actuelles sur les effets de l’humour et sur la population étudiée, à savoir les personnes âgées dépressives. Les auteurs nomment des études démon-trant un rapport entre la dépression et l’humour dans l’amélioration des symptômes et de la qualité de vie. La recension présente-t-elle des sources primaires ? Les sources primaires sont détaillées dans ce chapitre.

123

Cadre de recherche Les concepts-clés sont-ils mis en évidence et définis sur le plan conceptuel ? Est-il justifié et décrit de façon adéquate ? Oui, les concepts-clés sont mis en évidence. Le cadre de recherche est justifié puisqu’il est directement en lien avec la problématique posée par les auteurs.

Les concepts-clés s’inscrivent-ils dans un cadre de référence ? Est-il lié au but de l’étude ? Les bases philosophiques et théoriques ainsi que la méthode sous-jacente sont-elles explicitées et appropriées à l’étude ? Oui, les concepts-clés s’inscrivent dans un cadre de référence puisque, comme mentionné ci-dessus, la recension des écrits en fait très largement part. Ils sont également directement liés au but de l’étude. Les bases philosophiques et théoriques sont explicitées et, semble-t-il, approprié à l’étude puisque les auteurs font référence à plusieurs articles et études. La méthode sous- jacente est explicitée et appropriée à l’étude.

Buts et question de

recherche Le but de l’étude est-il énoncé de façon claire et concise ? Le but de l’étude est énoncé de la façon suivante :

Evaluer les effets d’une thérapie par l’humour dans un groupe donné.

Les questions de recherche ou les hypothèses, dont les variables-clés et la population à l’étude, sont-elles clairement énoncées ? Les auteurs définissent ainsi la question de recherche :

Y a-t-il des changements significatifs dans l’expérience d’une thérapie par l’humour dans le groupe expérimental, qui ne peut pas être montré dans le groupe contrôle ?

Les questions de recherche ou les hypothèses reflètent-elles le contenu de la recension des écrits et découlent-elles logiquement du but ? Traitent-elles de l’expérience des participants, des croyances, des valeurs ou des perceptions ? La question de recherche et les hypothèses sont clairement formulées par les auteurs. Les hypothèses sont définies de la manière suivante : les participants au groupe de la thérapie de l’humour devraient montrer des changements pertinents au niveau de la dépression, de la santé physique, du manque d’intérêt et des tendances suicidaires.

Variables de l’humour (gaîté, sérieux, mauvaise humeur)

Satisfaction de vie Résilience

Tous ces paramètres ont montré qu’ils sont influencés par l’humour.

Les questions s’appuient-elles sur des bases philosophiques, sur la méthode de recherche sous-jacente ou sur le cadre conceptuel ou théorique ? La question de recherche se base sur un cadre conceptuel et théorique à travers les articles et les définitions des divers auteurs.

METHODE Population et

échantillon La population visée est-elle définie de façon précise ? La population correspond à des personnes âgées avec un score d’au moins 5 sur une échelle de la dépression. Le groupe expérimental de l’humour réunit 49 participants et le groupe contrôle 50.

L’échantillon est-il décrit de façon suffisamment détaillée ? La méthode utilisée pour accéder au site ou recruter les participants est-elle appropriée ? L’échantillon est détaillé et la méthode de recrutement est explicitée. Les admissions se sont déroulées dans un hôpital, puis chaque participant a été assigné au groupe d’humour, Si celui-ci était déjà complet, les participants se retrouvaient dans le groupe contrôle. Dans le plan d’échantillonnage, l’auteur a-t-il envisagé des moyens d’accroître la représentativité de l’échantillon ? La méthode d’échantillonnage utilisée a-t-elle permis d’ajouter des renseignements significatifs et d’atteindre les objectifs visés ? Est-elle justifiée sur la base statistique ou par une saturation des données ? Aucun moyen d’accroître la représentativité de l’échantillon n’a été décrit. La méthode d’échantillonnage a permis aux auteurs de remarquer que, dans les deux groupes, un grand nombre de sujet étaient veufs.

125 Comment la taille de l’échantillon a-t-elle été déterminée ? Est-elle justifiée sur une base statistique ? On connaît l’échantillon de cette étude, à savoir 99 participants au total (49 dans le groupe expérimental et 50 dans le groupe contrôle).

Considérations

éthiques Les moyens pris pour sauvegarder les droits des participants sont-ils adéquats ? Les moyens pris pour sauvegarder les droits des participants sont décrits et l’étude a été approuvée par le comité éthique de la clinque où s’est déroulée l’étude.

L’étude a-t-elle été conçue de manière à minimiser les risques et à maximiser les bénéfices pour les participants ? Oui, car les mêmes instruments de résultats ont été appliqués en post- et prétraitement.

Devis de recherche Le devis utilisé permet-il que l’étude atteigne son but ? La méthode de recherche choisie est-elle conciliable avec les outils de collecte des données proposés ? Le devis de recherche correspond à une étude quasi expérimentale vu qu’elle effectue une comparaison avec des variables primaires et secondaires. Le devis permet que l’étude atteigne son but et la méthode de recherche est conciliable avec la collecte des données. Le devis fournit-il un moyen d’examiner toutes les questions de recherche ou les hypothèses ? Oui, car les effets sont comparés entre le groupe contrôle et le groupe expérimental.

Le choix du devis permet-il de respecter les critères scientifiques (véracité – applicabilité – consistance – neutralité) ? La véracité est démontrée car les auteurs évaluent les forces et les faiblesses des études. La consistance de ce devis est principalement composée d’une recension des écrits, ainsi que la comparaison des effets de l’humour entre un groupe contrôle et un groupe expérimental. En ce qui concerne l’applicabilité, elle est démontrée car les auteurs utilisent des outils déjà utilisés et validés dans des études antérieures. La neutralité n’est pas démontrée car les auteurs mentionnent un conflit d’intérêt.

La méthode de recherche proposée est-elle appropriée à l’étude du problème posé ? Oui, elle est appropriée car elle effectue une comparaison entre un groupe contrôle et un groupe expérimental afin de mesurer les

Y a-t-il suffisamment de temps passé sur le terrain et auprès des participants ? Oui, car les séances analysées pour démontrer les effets de l’humour se sont déroulées sur 6 séances pendant 6 à 18 semaines.

Modes de collectes de

données Les outils de mesure sont-ils clairement décrits et permettent-ils de mesurer les variables ? Oui, ils permettent de mesurer des variables telles que :

Le degré de la dépression, le risque suicidaire, etc. au travers des comparaisons entre les différentes études.

Les questions de recherche ont-elles été bien posées ou les observations du phénomène bien ciblées ? Ont-elles été rigoureusement consignées par la suite ? Oui, tout est clairement défini et est ciblé.

L’auteur indique-t-il si les instruments ont été créés pour les besoins de l’étude ou s’ils sont importés ? Les outils sont importés des études antérieures et de la recherche d’articles dans les bases de données.

La procédure expérimentale est-elle cohérente avec les outils mesurés ? Elle est cohérente car elle découle des articles de recherche.

Conduite de la

recherche Le processus de collecte des données/enregistrement est-il décrit clairement ? Oui, il est décrit car les données sont évaluées avec l’aide de diverses échelles, comme l’échelle de la dépression, l’échelle de l’évaluation du risque suicidaire, la satisfaction de l’échelle de vie.

Les données ont-elles été recueillies de manière à minimiser les biais en faisant appel à du personnel compétent ? Oui, car un tri d’articles a été fait en prenant en compte les potentiels biais de la recherche, et l’étude se base sur des données statistiques.

Si l’étude comporte une intervention (variable indépendante), celle-ci est-elle clairement décrite et appliquée de façon constante ? La variable indépendante correspond à la thérapie par l’humour, et les variables secondaires correspondent à la gaîté ou la

127 satisfaction de leur vie. Les variables primaires sont la dépression ou le risque suicidaire.

Analyse des données Les méthodes d’analyse sont-elles décrites ? Les méthodes d’analyses sont faites à l’aide d’une évaluation à travers diverses échelles en post- et pré-traitement entre le groupe contrôle et le groupe expérimental.

Les facteurs susceptibles d’influer sur les résultats sont-ils pris en considération dans les analyses ? Oui, les biais ont été pris en compte.

Le résumé des résultats est-il compréhensible et met-il en évidence les extraits rapportés ? Le résumé des résultats est compréhensible car il est présenté sous la forme d’un tableau explicite et sous forme de textes. Les thèmes font-ils ressortir adéquatement la signification des données ? Oui, car les différences entre le groupe de contrôle et le groupe expérimental est décrit.

RESULTATS Présentation des

résultats Les résultats sont-ils adéquatement présentés à l’aide de tableaux et de figures, de graphiques ou de modèles ? Oui, les résultats sont mis en évidence sous forme de textes narratifs avec des sous-chapitres (différence des groupes avant le traitement, changement après le traitement).

Les thèmes ou les modèles sont-ils logiquement associés entre eux afin de bien représenter le phénomène ? Oui, les principaux thèmes de l’étude sont représentés et sont en lien avec les divers résultats et/ou recherches antérieures.

Les résultats sont-ils résumés par un texte narratif ? Oui, les résultats sont également présentés sous forme de texte narratif.

L’auteur a-t-il fait évaluer les données par les participants ou par des experts ? Non.

résultats de recherche et pour chacune des questions ou hypothèses ? Oui, les résultats sont présentés sous différents items, comme mentionné précédemment. La comparaison entre le groupe de contrôle et le groupe expérimental est clairement mis en avant. Les participants au groupe de l’humour signalent significativement moins de symptômes physiques et une augmentation de la gaîté. En ce qui concerne la satisfaction de la vie, elle augmente pour les 2 groupes. Pour le groupe de contrôle, il a été démontré une réduction significative de la mauvaise humeur. Les résultats concordent-ils avec les études antérieures menées sur le même sujet ? Sont-ils discutés à la lumière d’études antérieures ? Une partie des résultats concordent avec les études antérieures, mais on remarque également des divergences avec d’autres études.

L’interprétation et les conclusions sont-elles conformes aux résultats d’analyses ? Oui.

Les limites de l’étude ont-elles été définies ? Oui, les limites de l’étude sont définies.

Les conclusions découlent-elles logiquement des résultats ? Oui.

Soulève-t-on la question du caractère transférable des conclusions ? Oui, les auteurs donnent des conseils pour les études futures.

Conséquences et

recommandations Quelles sont les conséquences des résultats de l’étude pour la discipline ou la pratique clinique ? L’auteur a-t-il précisé les conséquences des résultats ? L’étude démonte une diminution des symptômes dépressifs et des tendances suicidaires chez le groupe expérimental et chez le groupe contrôle. Des effets positifs sur l’humeur sont également remarqués dans les 2 groupes. Cependant, le groupe expérimental montre des changements significatifs au niveau de la qualité de vie et de la santé physique.

129 L’auteur fait-il des recommandations/applications pour la pratique et les recherches futures ? Les auteurs conseillent, comme d’autres, de mener des recherches plus approfondies, ceci dans le but d’enquêter sur des caractères plus préventifs et sur la longévité des changements observés par des thérapies par l’humour. Les données sont-elles suffisamment riches pour appuyer les conclusions ? Oui, les données sont assez riches et les auteurs démontrent leurs points-clés. Cette étude a évalué l’humour sur une population de patients âgés souffrant de dépression. Les effets de cette étude ont été comparés entre un groupe expérimental (49 patients) et un groupe témoin (50 patients).

Les deux groupes ont montré une amélioration pour la dépression, les tendances suicidaires et l’humeur. Seul le groupe expérimental a présenté un état amélioré sur la qualité de vie.

Les résultats indiquent des effets bénéfiques supplémentaires dans le groupe expérimental.

Les résultats démontrent qu’une intervention basée sur l’humour peut changer la qualité de vie en influençant des variables comme le sérieux, les symptômes physiques et la satisfaction.

0594.2010.00680.x Eléments

d’évaluations Questions fondamentales à se poser

Titre Le titre précise-t-il clairement les concepts-clés et la population à l’étude ? Le titre précise la population étudiée et les concepts sont mis en lumière. Il s’agit d’évaluer les effets de la thérapie par le rire sur la dépression, la cognition et le sommeil chez les personnes âgées vivant dans une collectivité.

Résumé Le résumé synthétise-t-il clairement le résumé de la recherche : problème, méthode, résultats et discussion ? Le résumé est très clairement séparé ce qui nous permet de facilement distinguer :

Objectif : le but est d’étudier les effets de la thérapie du rire sur la dépression, la fonction cognitive, la qualité de vie et le sommeil des personnes âgées dans une communauté.

Méthodes : l'échantillon total de l'étude est composé de 109 sujets âgés de plus de 65 ans, répartis en deux groupes (48 sujets dans le groupe thérapie de rire et 61 sujets dans le groupe témoin). Les sujets du groupe de la thérapie du rire ont subi une thérapie quatre fois par mois. Les auteurs ont comparé l'Échelle de