• Aucun résultat trouvé

A.-F. SUNDELL. - On galvanic induction. (Sur l'induction galvanique); Philosophical Magazine, t. XLV, p. 283; 1873

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "A.-F. SUNDELL. - On galvanic induction. (Sur l'induction galvanique); Philosophical Magazine, t. XLV, p. 283; 1873"

Copied!
4
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00236884

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00236884

Submitted on 1 Jan 1873

HAL

is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire

HAL, est

destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

A.-F. SUNDELL. - On galvanic induction. (Sur

l’induction galvanique); Philosophical Magazine, t. XLV, p. 283; 1873

A. Potier

To cite this version:

A. Potier. A.-F. SUNDELL. - On galvanic induction. (Sur l’induction galvanique); Philosoph- ical Magazine, t. XLV, p. 283; 1873. J. Phys. Theor. Appl., 1873, 2 (1), pp.369-371.

�10.1051/jphystap:018730020036901�. �jpa-00236884�

(2)

369 L’auteur a observé des

phénomènes analogues

avec les mé-

langes :

15. Nitrate de potasse et nitrate

d’ ammoniaque ;

16. Nitrate de

baryte

et nitrate de

plomb ;

17. Nitrate de strontiane et nitrate de

plomb;

18. Sulfate de cuivre et sulfate de

fer;

19. Sulfate de

magnésie

et sulfate de zinc.

VIOLLE.

A.-F. SUNDELL. - On galvanic induction. (Sur l’induction galvanique);

Philosophical Magazine, t. XLV, p. 283;

I873.

M. Edlund a

proposé

la formule

pour

représenter

la force électromotrice totale induite sur l’élément ds1 par le passage subit du couraiit 1 dans l’élément

ds;

0 et 0,

étant les

angles

que forme la

ligne

de

longueur

r

qui joint

les mi-

lieux de ces éléments avec chacun

d’eux;

cz,

b, k

et Il étant des con-

stantes dont la

dernière,

suivant les

hypothèses théoriques

de

M.

Edlund,

est la vitesse de l’étlzen dans le courant inducteur.

Cette formule ne diffère de celle bien connue de NI. Felici :

que par l’introduction du terme en cos2 0.

On sait que la formule de M.

Felici,

celle de

Weber,

celle de

Neumann,

conduisent au même résultai

lorsque

le courant induc-

teur est

fermé,

ce

qui

est le cas

pratique;

on peut donc en dire

autant de la formule de M.

Edlund,

toutes les fois que le terme en cos2 e

disparaît

par

l’intégration.

Tel est le cas de deux circuits

circulaires, perpendiculaires

à la droite

qui joint

leurs centres : la

force électromotrice totale induite est alors une fonction des rayons

et de la distance des centres,

qui

peut être calculée. M. Sundell a

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018730020036901

(3)

370

fait

plusieurs

séries

d’expériences

de ce genre, et obtenu des résul-

tats conformes à ceux que le calcul

indiquait a priori.

Si 1’on se

place

dans une autre

position,

il n’en sera

plus toujours

de même : tel serait le cas de deux circuits circulaires

placés,

l’un

dans le

plan

des xy, ayant son centre à

l’origine,

l’autre dans le

plan

de yz; si l’on

s’astreint,

de

plus,

à la condition que l’axe des y et celui des z soient tous deux extérieurs au circuit

induit,

la

force électromotrice

totale,

calculée avec les formules

ordinaires,

est

nulle ;

le second terme de la formule de 1VI. Edlund subsiste seul

après l’intégration,

et l’on démontre facilement que la force électro- motrice ne peut être nulle dans cette seconde

hypothèses.

Des

expé-

riences conduites dans ce sens

permettraient

donc de décider de l’existence de ce second terme dans la formule véritable. M. Sun-

dell, n’ayant

pu réussir à

placer rigoureusement

les circuits dans

cette

position théorique,

remarque que, des deux termes de la for- mule de M.

Edlund,

le

premier

terme

change

de

signe

avec la di-

rection du courant, tandis que le second ne

change

pas ; en se

pla-

çant donc

approximativement

dans les conditions

sus-indiquées,

et

changeanL

le sens du courant

inducteur,

on doit

obtenir,

sinon deux

courants induits

égaux

de même sens, au moins deux courants

qui

seront

inégaux

et de

signe

contraire.

L’expérience

montre au con-

traire que, dans la limite des erreurs

d’observations,

le

change-

ment de sens de l’inducteur

produit

seulement un

changement

de

sens de l’induit. M.

Sundell, partisan

de la formule de 31.

Edlund,

en conclut seulement que le facteur

k,

bien que contenanL la vitesse de l’éther dans le

circuit,

est

petit

relativement à a.

Or si ce terme est si

petit (1) qu’il

est

impossible

de le mettre en

évidence par ce

procédé,

on ne peut dire que les

expériences

de

M. Sundell confirment la formule

proposée

par 1VI. Edlund. Cette formule a d’ailleurs l’inconvénient grave

qu’elle

conduit â deux

(i) Dans la formule déduite par M. Edlund de ses hypothèses sur la nature du courant,

serait,

d’après les expériences de Weber, 440 000 kilomètres par se-

Vk

conde, h la vitesse de l’électricité, pour laquelle il prend un nombre donné par M. Walker (30 00o kilomètres); pour la constante a, dont la valeur numérique devrait

être indiquée par la théorie, M. Edlund remarque seulement que ah est plus petit que i, ce qui ne saurait conduire à une limite lllJ erzellre au rapport

a.

·

a

(4)

37I résultats

différents,

suivant

qu’on

compte les arcs dans un sens ou dans l’autre. Il

n’y

a donc aucune raison d’abandonner les for- ,mules connues.

A. POTIER.

ALOÏS SCHULLER. - Ueber die Messung von Rotationgeschwindigkeiten (Sur la mesure

des vitesses de rotation); Annales de Poggendorff, XLVI, 497; I872.

Le

procédé employé

par l’auteur est une

application

de la mé-

thode des coïncidences. Prenons un

disque

transparent,

mi-partie

en verre rouge et vert, dont un secteur a été recouvert de

papier noir,

de telle sorte que les trois couleurs embrassent chacune un

tiers de la circonférence. Ce

disque

est mobile autour d’un axe hori-

zontal,

et tourne au devant du

pendule

d’une

horloge astronomidue.

La

tige

de ce

pendule

porte une fente verticale éclairée par derrière

qui,

dans la

position d’équilibre

du

pendule,

se trouve dans le

plan

vertical de l’axe de la lunette d’observation. Si le

disque

est au

repos, ou exécute dans une seconde un nombre exact j2 de tours, l’observateur

aperçoit

la même couleur à

chaque

passage de la fente.

Nlais si la vitesse de rotation diiiaère de

d’un nombre exact de

tours, la couleur observée

changera

du rouge au vert et au

noir,

par

exemple,

et de telle sorte que, entre deux

changements

succes-

sifs,

du rouge au vert, il s’écoulera exactement dix secondes. Il suf-

fira, d’après cela,

d’observer l’intervalle des deux passages, pour déterminer la fraction dont la vitesse diffère d’un nombre exact de

tours par seconde. Ce nombre lui-même devra être déterminé

par

un autre

procédé.

La méthode ordinaire consistant à faire passer un cordon sans

fin,

muni d’un

repère,

sur une

poulie dépendant

de l’axe et sur une

poulie

folle

extérieure,

pourra être

employée

faute d’autre meilleure

à la détermination

approximative

de la vitesse.

L’explication

donnée par l’auteur est

incomplète. Soit n+p

q le nombre

qui

mesure la vitesse de

rotation, e

étant une fraction

irréductible I. 2

Projetons

sur le

disque, supposé immobile,

les

Références

Documents relatifs

À partir de cette représentation, construite sur un corpus en bengali, nous comparons plusieurs approches de clustering (k-moyennes, clustering hiérarchique et

Pour mesurer le facteur de force B`, on ajoute un objet non métallique posé sur l’enveloppe (après avoir ôté m add ), et on augmente le courant jusqu’à atteindre un

Comme dans le cas de l’induction de Neumann, l’induction de Lorentz dans un circuit non filiforme impose le calcul du champ ´ electromoteur qui va donc cr´ eer des courants de

Relations entre les composantes symétriques des courants induits d’une machine à induction et les harmoniques d’espace dans l’entrefer : études théoriques.

On rappelle que la perméabilité du vide est  0 =4  .10 −7 et que l’intensité du champ magnétique au centre d’un solénoïde, de longueur L, composé de N spires,

Rappelons encore que M. La force électromotrice nécessaire pour établir le courant s’est de même montrée indépendante du rayon du tube et entre.. deux points la

si la tenlpératllre change; dans le systènze hexagonal ou tétra- gonal, ceci n’est vrcci que pour les droites perpendiculaires ou parallèles it l’axe de symétrie dit

1° Toutes les raies spectrales sont triplées quand les variations sont émises dans un champ magnétique ;. ~° La séparation est proportionnelle à l’intensité du