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Nécrologie

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Academic year: 2021

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SjA. T K I B U U ï E © E G M E V E d o 2 3 M A I i « 1 2

5

CHRONIQUE LOCALE

M O N C A L E P I N

Les tout petits.

C’est jeudi. Ils ont leur jour de vacan­ ces, comme les grands.

Aujourd'hui, on ne les verra pas, an moment de monter en classe, au bas de l’escalier de la vieille école, où il y a une directrice à la robe grise et au x cheveux d ’arg« nt qui les conduit avec un tact merveilleux, em brasser leurs p apas ou leurs m am ans ou encore une gouvernante — quaud la gouvernante n’est point re­ vêche. — On ne verra pas leurs petites jam bes nues qui escaladent les degrés avec une gaucherie am usante, m ais avec une décision touchante. On ne sur­ prendra pas leurs petites manières graves et im portantes.

L ’escalier restera silencieux et toute la m aison d ’école aussi. Leurs grands yeux sincères, leurs beaux yeux noirs ou clairs à la pupille profonde et large­ m ent dilalée se reposeront sur autre chose que la page blanche des cahiers où il fau t mfcvtre d ’aplom b des barres et. encore des barres, ou sur le livre im ­ primé et redoutable. Leurs grands yeux s’ouvriront sur les yeux de leur mère, ou d’une bonne m ère-grand.

L e jeudi, les tout petits réappartien­ nent à leurs familles. On les m ange de caresses et on leur gâte l’estomac avec un ta s de délicieuses choses.

E t c’est pourquoi le jeudi est une si belle institution.

I l n’y a quê les vieux garçons qui n’y comprennent rien.

T an t pis pour eux !

Gavroche.

Cinauièm* Edition sis fa ve!;!a

— Académie professionnelle.

Sam edi soir à 8 h. SO, A ula de l’U niversité, au ra lieu la d istribution des certificats e t des prix de l’Académie professionnelle de la Ville de Genève.

— Militaire.

Mercredi m atin sont entrées en caserne 32 recrues de la IV m e compagnie d u bataillon de carabiniers No 2.

L ’école qui prendra fin le 27 ju illet pro­ chain est com m andée p a r le m ajo r Louis de Suri.

— Apprentissages.

Les apprentis qui passent actuellem ent leurs exam ens so n t au nom bre de 320. L a distribution des diplômes e t des prix au ra probablem ent lieu le vendredi 5 juillet.

— Sur le lac.

L a prom enade printanière au to u r du lac à prix réduits, organisée chaque année p ar la Compagnie est fixée au dim anche 26 m ai.Elle comporte l’horaire su iv an t :

Aller. — Dép. Genève, Jardin-A nglais, 7 h., arrivée à St-Gingolph (Suisse), 10 h. ;d é p a r tà Bouveret-gare, m idi; arrivée T erritet, 12 h.20, arrivée M ontreux, 12 h. 30. R eto u r : D épart Bouveret-gare, 3 h. 45, de 'Villeneuve, 4 h. 15, de Territet-Chillon, 4 h. 25, de M ontreux, 4 h. 35, de Vevey-Marché 5 h., arrivée Ge­ nève 8 h.

Le nom bre des places é ta n t lim ité prière de prendre ses billets à l’avance au bureau du Jardin-A nglais ou au quai du Mont-Blanc.

L ’orchestre d ’Alessandro prendra p a rt à la

promenade. ” >

— Nos cygnes.

Une jeune mam an-cygne qui couvait en plein lac presque à l’e x tré m ité 'd u débarca­ dère d ’H erm ance donne actuellem ent ses soins à neufs petits.

— Aux Pâquis, on com pte q u atre œ ufs; au Brise-Lames, cinq. D ans ces d eu x nids, l’éclosion’ est im m inente. .

— On a arrêté :

H enri H ., scandale rue du Cendrier; Georges S., scandale rue d u R hône; E r ­ nest L., allures suspectes. Cet individu te n ta de prendre la fuite mais fu t rejo in t par l’agent de sûreté L achenm ann; Alonso M artinès, un. Espagnol qui é ta it entré chez MM. Golay fils e t Stahl. quai des Bergues, dans le b u t d ’ache­ ter des m ontres à bon marché. Les allures singulières de ce client intriguèrent les em ­ ployés qui le firent arrêter p ar un gendarm e. M artinès qui est en possession de 450 fr. a été interrogé par M. V ibert commissaire de police. Il sera expulsé car il ne possède aucun papier régulier.

— Un escroc.

M. A uguste W etteler, peintre en voitures au boulevard Carl-Vogt, a po rté plainte contre A lexandre F ., qui lui a em p ru n té sa

bicyclette e t encaissa pour environ 100 fr. de factures sans lui en rendre com pte.

— Polissons.

D eux gam ins, A lbert e t Joseph P eiry, se so n t am usés, m ardi soir, vers 6 h., à ou­ v rir le ro b in et d ’un récipient co n ten a n t du lait entreposé place Chevelu p a r M. G aston Pasehe, employé à la L aiterie centrale. U ne dizaine de litres de la it o n t été perdus.

— Une alerte.

M ardi, vers m inuit, une épaisse fum ée s'é c h a p p a it d ’une fenêtre de la fonderie de M. Eugène P é b a t, rue d u Cendrier.

A son arrivée, le lieu ten an t de pompiers Aebi c o n stata u n m auvais dégagem ent de la chem inée d ’une forge.

— Genève à Lyon.

Au dernier b a n q u et du ti r de Lyon, M. F ra n k Jullien, président du Guidon Ge­ nevois, a rem ercié les organisateurs au nom des tireu rs suisses.

— Petits faits.

U n cheval a tte lé à l’om nibus de l’hôtel V ictoria s’e st a b a ttu m ard i, a u quai d u Lém an.

— Un cirque sur la Plaine.

L a mairie de Plainpalais est en tractacions avec le cirque Pisimi, de Gênes, qui vien­ d ra it s’installer sur la Plaine à la fin du mois

de juin. '

Il y a eu égalem ent échange do lettres avec le cirque Schum ann, qui v o u d rait venir à la même époque.

L ’un ou l’au tre viendra certainem ent. — A la police.

On nous prie de dire que, dans la p etite cérémonie d o n t noua avons parlé, qui a eu lieu en l’honneur du brigadier Liengm e, c’e st le brigadier César Dechevrens, qui a rem is à son collègue le souvenir d ’argenterie.

Le brigadier Liengme, qui a servi cinq ans dans la Légion étrangère e t qui a fa it les campagnes d ’Algérie, du T onkin e t de M a­ dagascar, p o rta it les trois m édailles m ili­ taires qu’il a bravem ent conquises.

— Tout augmente.

Même le nom bre des pages d u com pte­ rendu annuel de l’adm inistration du Conseil adm inistratif. I l é ta it de 496 pour 1909: de 514 pour 1910. Le volum e de 1911, distribué m ercredi après-m idi, com pte 542 pages. s

Prsmîèra Edition — mlnutt

— Le consulat cambriolé.

L a police de Lyon a arrêté u n individu inculpé de recel dans le cam briolage du consu­ la t d ’A utriche-H ongrie.

Ce personnage a v a it acheté pour quelques francs une p artie des bijoux volés à Mlle Lydie R adinger, gouvernante de M. P a- dow etz-K han.

L ’individu arrêté é ta n t Fvan çais, les a u ­ to rités genevoises dem anderont à la justice de Lyon de juger.

— Exposition.

On a toujours du plaisir à s’a rrê te r de­ v a n t les expositions de photographies, su rto u t quand elles so n t rem arquables comme celles de M. F .-H . Jullien, l’habile e t a rtiste photographe d u cours de Rive. Les études qu’il expose en ce m om ent dans sa vitrine, chez MM. Chenevard et Rojoux, m é rite n t cependant une m en­ tion spéciale.

— Chimistes analystes.

Monsieur le D r F élix Scliott, de Breslau. à Lausanne, v ien t de subir avec succès les épreuves pour l’obtention du diplôme fédé­ ral de chim iste pour l’analyse des denrées alimentaires.

L ’examen a eu lieu à Genève, sous la présidence de M. le conseiller national E. Chuard. F aisaient p artie de la commis­ sion : MM. le D r Je a n p rê tre (Neuchâtel), prof. W ïlczek (Lausanne), D r C ristiani e t D r A ckerm ann (Genève).

— Nouveaux médecins

V iennent d’obtenir le diplôme fédéral de médecin-chirurgjen : M. V ictor Dem oie (Genève) e t M. Je a n E ggly (Genève).

— Aux Abattoirs. *

L ’é ta t de san té de M. F . Copponex, garde général a u x a b a tto irs de la ville de Genève n e s ’é ta n t pas a m é l io r é e Conseil A m inistra- tif a accepté sa démission, avec rem ercie­ m ents p our les services rendus p e n d an t plus de tre n te ans. Le conseil lui a donné pour suc­ cesseur M. F rançois C onstantin.

M. Georges L agotala a été nom m é au x fonctions de deuxièm e peseur e t M. Louis B lanc à celles de troisièm e peseur.

Deuxième Edition — 11 heures

— Société des Sciences Théclogiques ' Prochaine séance m ercredi 29 mai, à 4 h. y2 précises, au Casino de St-Pierre, salle No 1 (rez-de-chausBée). O rdre du jour : M. le pasteur A. O livet : Sébastien

Castel-lion ; esquisse de sa vie e t de son œuvre. Les m em bres de la Société sont priés d ’am e­ ner à la séance les personnes que le sujet peut intéresser.

— L’avancement de l’année.

A la d ate d u 19 mai, d ’après les sommes therm iques de L ausanne, l’année actuelle est encore de quinze jours en avance sur la m oyenne des 25 dernières années. Elle reste toujours la plus avancée de la série.La m oyen­ ne générale de L ausanne dans la dernière décade, a été do 17 0, de 4, 1 au-dessus de la norm ale, nous d it M. F. A. Forel.

Nous avons eu jusqu’à présent 9 jours chauds, soit 3. 6 de plus que la norm ale et, chose extraordinaire, 4 jours très chauds (tem pérature m oyenne de L ausanne supé­ rieure à 20 degrés) ce qui est sans précédent. L a d ate moyenne de la prem ière apparition d ’un jour très chaud, dans la dernier q u a rt de siècle, a été le 5 juin r la d ate la plus h â ­ tive jusqu’à présent observée, av a it été le 17 mai 1904; c e tte année nous avons déjà ea c e tte tem p ératu re estivale le 11 mai, avec 25 jours d ’avance sur la norm ale. E t ce qu’il y a de plus extraordinaire, ce n ’a pa? été un seul jo u r d e fœ hn a rriv a n t norm alem ent hors de tem ps, mais il y a eu 4 jours très chauds, on p o u rrait presque dire 5 jours, car le 15 m ai avec ses 19, 5 a presque a tte in t 20. C’est là u n record qui ne sera pas faci­ lem ent dépassé.

Troisième Edition — 1 heurs

— Un bon Français.

M. Jean-M arie Salansonnet, ancien res­ ta u ra te u r, d o n t nous avons récem m ent annoncé ia m ort, a légu* 3.000 fr. à la so­ ciété philanthropique française do Genève, et 20.000 fr. à l’asile de Reignier.

— Fontaine Wlonnier-Vallette.

L a « Volée » de 1895 s’est réunie m ercredi soir au re sta u ra n t Pellet. à Chêne-Bourg. Désireux de s’associer à l’œ uvre d o n t leurs jeunes successeurs o n t pris l’initiative, ces anciens Collégiens o n t fa it au dessert, en faveur de la F ontaine M onnier-V allette, une collecte qui a rap p o rté cinquante francs.

Quatrième Edition — 4 heures

— Quarante-deux amendes.

L a police sanitaire v in t d ’infliger q u aran ­ te-deux am endes de 10 francs p our infractions a u x dispositions sanitaires vétérinaires.

— Lyon'à Genève.

L ’E toile M andoliniste Genevoise (Etoilo'si- cilienne de Genève) recevra p our les fêtes de P en tecô te la société, groupe d ’études socia­ les de L yon (section m andoliniste e t violons). C ette réception au ra lieu à la gare de Cor­ n av in le dim anche 26 à m idi 30.

L E T E M P S Q U I L F A I T

U ne zone de basses pressions couvre en­ core presque to u te l’E urope; des m inim a voi­ sins de 775 mm. se tien n en t sur l’A ngleterre, l’A utriche e t le sud de la Scandinavie.

Les fort es pressions se tro u v en t dans les*pa­ rages des Açores e t en Islande.

Des pluies sont tom bées sur le nord le cen­ tre e t l’ouest de l'E urope ; en France, elles o n t été générales.

L a tem p ératu re s’est un peu abaissée sur nos régions. On note : 5 degrés à Vardce, 13 à B elfort e t à B ordeaux, 15 à P aris, 16 à Mo­

naco, 22 à Alger. .

E n Suisse, la p lu p a rt de nos statio n s con­ tin u e n t à enregistrer un tem ps pluvieux ou couveit. Les chutes d ’eau ont été particuliè­ rem ent abondantes dans la Suisse orientale. A Genève e t dans la région, ciel gris, aver­ ses par interm ittence. C ette situation va se m aintenir avec tem p ératu re voisine de la norm ale; le therm om ètre m arque 13 degrés à 11 heures.

Bulletin Bocquin, 23 m ai, 7 h. matin

STA TIO N S G e n è r . ... L a u s a n n e . . . . V e v e y ... M o n tro n s . . . . Z e r m a t t . . . . N e u c h â te l... hn Clmnx-de-FondB F r i b o u r g ... B o r n e ... I n t e r l a k e n ... RhIo

...

J.ngHno... Z u r i c h ... .. D a v o s ... S u in t-M o riz ... SæntiH ... G o th a rd (Gœsclienen ). P i l a t e ... W e is s e n s te in ... TEM PS — V EN T 6IUË8 .12 .12 .14 .13 ..3 .13 ..9 .1 1 .12 .11 .13 .14 .12 ..ô ..5 ..3 ..8 ..3 ,..7 C ouvert. Couvert. C ouvert. Couvert. Beau. . C ouvert. Pluie. Couvert. C ouvert. Couvort. Couvert. < -ouvert. Couvert. P luie. C ouvert. Couvert. C ouvert. Couvert. C ouvert. Calme. Calm e. Calm e. Calm e. Calm e. Calm e. Calm e. C alm e C alm e. Calm e. Calm e. Calm e. Calm e. Bise. Calm e. Calm e. Calm e. C alm e. Calm e. AUX PAQUIS On nous écrit :

« Bien que le tem ps ne fû t pas clém ent les 4 e t 5 mai une foule nom breuse se pressait dans la v aste école de Sécheron à l’occasion de la F ê te du Printem ps, organisée par le Groupe Philanthropique des Pâquis.

Aux concerts on e u t le plaisir d ’entendre les voix harm onieuses de Mmes Paquin- G randprè ; Larnel-Donque, S avaja ; de MM.

H u tin , Vigu}', Savaja. .

MM. M artinet, Fillon ont aussi rem porté un- gros succès, des complim ents particuliers s'adressent à MM. H erm ann e t Baroz, nos fins diseurs. Un bon point aussi à l’orehestre G ardet. L a fanfare l’A vcnir a droit à des rem erciem ents to u t particuliers pour son précieux concours du dim anche après-m idi; elle conduit le bal d ’une façon m agistrale. E t que dire du Groupe L ittéraire les Gracieux, des demoiselles mandolini tes, des Chorales des Pâquis e t de Sécheron î On ne p eu t que leur adresser un merci chaleureux pour leurs superbes productions.

Le Groupe P hilanthropique des Pâquis se fait u n devoir de rem ercier publiquem ent les artistes, les sociétés, toutes les personnes qui de près ou de loin o n t répondu à son appel e t ont contribué à l’organisation de la grande m anifestation philanthropique. M al­ gré le tem ps incertain, la fête à :em po,té un réel succès, le bénéfice.net, de plus:de cinq cents francs sera remis au Comité des Cui­ sines Scolaires de Sécheron pour l’aider dans son œ uvre de bienfaisance. »

UN CAMBRIOLAGE

M ercredi m atin, vers 2 h. 20, M. O tto Chevillard, em ployé chez M. Chavaz, ch ar­ cutier, ru e du Marché, 8, é ta it réveillé p a r u n b ru it insolite. E n hâte, il p ré v in t M. C havaz. qui p u t se rendre com pte de ce qui se passait.

Des cam brioleurs s’é ta ie n t in tro d u its dans son m agasin en fra c tu ra n t la p o rté qui donne su r l’allée. Us av aie n t o u v ert le tiroir-caisse dans lequel se tro u v a it une somme de q u a tre francs.

M. C havaz a v a it eu la précaution de m ettre la recette de la journée, près de 2000 fr., en lieu sûr.

Les prem ières co n statatio n s fu re n t faites p a r l’a d ju d a n t de gendarm erie Decorzens e t les gendarm es Bossus e t Delasoie.

Le cadre de la porte fractu rée a été entière­ m en t arraché, a u m oyen d ’une pioche,

croit-on. ‘

Les m alandrins devaient « surveiller » eux-m êm es la police, car à m in u it 45, les gen­ darm es de patrouille passaient d ev a n t le N o 8 sans rien rem arquer d ’anorm al; à 2 h., des agents de sûreté e n tra ie n t dans l’allée (celle-ci a une "issue s u r fa R ôtisserie) sans rien rem arquer; vin g t m inutes plus ta rd , le cam briolage é ta it commis.

Bicentenaire île J.-J, Rousseau

t a tête de la jeunesse

Ce sera le clou des sqjennités qui se p ré­ parent. Elle au ra lieu le sam edi 29 juin après-m idi de 2 h. à 5 h., sur la plaine de Plainpalais.

Mais a v a n t cette date, déjà, la jeunesse scolaire recevra, par les soins du d ép arte­ m ent de l’instruction publique, une bro­ chure historique et, p ar les soins d u comité de publicité, une plaquette-souvenir en a lu ­ minium, modelée p ar M. Jacot-G uillarm od.

S ur le recto, l’écusson cantonal; sur le verso, R ousseau père, à la fenêtre de son atelier, m o n tran t à son fils la ville en lui d i­ sa n t : « Jean-Jacques, aim e ton pays ». Ce souvenir sera remis à environ 12.000 élèves des écoles prim aires (3me, 4me, 5me, e t 6me années) et secondaires, Collège, etc. d u canton.

Le sam edi 29, toutes les classes se réu n i­ ro n t a u x B astions pour se rendre su r la P lai­ ne, où l’on se propose de célébrer une fête grandiose d o n t tous, grands e t petits garde­ ro n t u n souvenir ineffaçable.

L a commission de décoration e t de la fête de la jeunesse a élaboré un program m e qui est définitif.

Ils se rendront ensuite à Plainpalais pour le défilé.

P a r les soins de la commission artistiq u e, une v aste estrad e sera construite à peu près a u m ilieu de la P lain e; son centre se tro u v era dans l’axe d ’une ligne qui p a rti­ ra it du R o n d -P o in t de Plainpalais dans la direction de la ru e des Vieux-Grenadiers.

L ’estrade a u ra la form e d ’un hémicycle de V erdure, im itatio n d ’un ja rd in d u 18me siècle.

Ce podium sera trè s grand, près de 6000 m ètres carrés. I l sera en pente, a u ra une pro­ fondeur de 90 m ètres e t une h a u te u r de 1 m. 60 à 1 m. 90.

Au fond, des arceaux de verdure.

On accédera a u podium p ar deux ram pes. Les élèves m on tero n t sim ultaném ent, défi­ lero n t d e v a n t u n buste de R ousseau (la tê te seule a u ra une h a u te u r de 60 cm.). C’est l'œ u v re de MM. T ravella e t Bellino. Ils déposeront des fleurs, passeront sous les arceaux do verdure e t vien d ro n t se grouper d ev a n t l’estrade pour assister à une repré­ se n tatio n donnée en leur honneur.

C ette représentation a u ra u n g ran d cachet artistiq u e.

D eux orchestres (H arm onie N autique e t K ursaal) accom pagneront la can ta te de MM. Cougnard e t F errari e t les danses rythm iques dirigées p a r Mmes Poney e t P riv â t.

T o u t a été combiné pour donner de I’har- monie au x m ouvem ents qui s’exécuteront sim ultaném ent su r le podium e t sous les a r­ ceaux, où p ren d ro n t place des gym s e t des jeunes filles.

L a dislocation se fera sur la Plaine. ***.

Sous l’estrade seront placés divers ser­ vices : police, Sam aritaine, pom piers w.-c. etc

L ’estrade v ien t d être adjugée à M. Pellissier. entrepreneur. Elle coûtera en­ viron 8000 fr.

Nécrologie

Mme E douard F atio-B arbey s’est éteinte dans sa 74me année à Believue. Ce fu t une fem me de tête, fidèle e t u tile collaboratrice de son m ari, E douard F atio , qui l’a précédée de quelques années dans la tombe.

Mme F atio s’occupait avec prédilection d ’œuvres de relèvem ent.

Aucune dém arche ne lui coûtait, lorsqu’elle espéiait arriver au but.

Elle m e tta it dans to u t ce qu’elle en tre­ prenait, son cœ ur e t son intelligence.

Le service funèbre sera célébré dans le te m ­ ple de G enthod, jeudi à cinq heures.

**♦

On annonce le décès de M. D avid Schm idt, entrepreneur, âgé de 61 ans. M. Schm idt av ait q u itté l’Alsace peu après la guerre franco-allem ande, pour venir se fixer à Ge­ nève. Le reg retté défunt é ta it u n homm e de goût e t passait pour posséder le plus grand nom bre de toiles de Ferdinand Hodler.

Au domicile m ortuaire, une allocution tou ch an te fu t prononcée par M. le D r 01- tram are. Au crém atoire, M. C atal n, véné­ rable de « Fidélité e t P rudence » s’est fait l’interpi ête des vifs regrets de ses amis per­ sonnels e t des francs-m açons de Genève.

G ra n d C o n se il

Séance du mercredi 22 mai 1912' Présidence de M. Boveyrcn. président

Propositions intiivtdueiles ' U n ’en est pas présenté.

Cinémas

M. V alentin G randjean développe son interpellation su r l’abus des ciném atogra­ phes qui suggestionnent la jeunesse e t exer­ cent une, influence considérable sur la for­ m ation des jeunes intelligences. U ne vise pas le film B onnot qu’il approuve au contraire e t que la police a bien fait de ne pas interdire, mais il croit que l’on p o u rrait em pêcher les enfants non accompagnés d ’assister au x re­ présentations.

M. H. F azy annonce que le Conseil d ’E ta t répondra dans une prochaine séance.

Assermentation

M. H enri M artin, élu juge de paix à la d er­ nière séance, prête le serm ent de ses fonctions.

Naturalisations

Les candidats suivants de la 4me liste de 1912 sont reçus à la naturalisation Genevoise :

MM. Louis-Séraphin Bonin, 1879, Italien, m arié, un enfant, domicilié rue D u Rove- ray, 13, (pour la com m une des Eaux-V ives); Henri-Louis Claus, 1865, F rançais, m arié, sans enfant, rue de la Prairie, 29, (pour Genève); Joseph Fiser, 1870, A utrichien, m arié, deux enfants, rue Cornavin, 6 (pour Genève); Mme Elise-A ugusta Girod, veuve Foum ier, 1858, Française, mariée, un enfant, C hantepoulet, 7, (pour Genève); MM. Lo- renzo-Laim ondo Lavagno, 1891, Italien, célibataire, Terrassière, 53 (pour les E aux- Vives); A dolphe Lavorel, 1861, F rançais, m arié, cinq enfants, A v u sy ,(p o u r A vusy); Davide-M arco M artegani, 1881, Italien, m arié, un enfant, rue de la F ontaine, 27, (pour Genève); Joseph-D om inique N ebbia, 1888, Italien , céühataire, chem in d u Mail, 6, (pour Genève); F rançois-Jules Slukan, 1876, H ongrois, m arié, sans enfant, rue Klé- berg, 27, (pour G enève); Maurice-Marie V acherand, 1856, Français, m arié, trois en­

fants, à Corsinge, (pour Meinier). Egout de Carouge

Le p ro jet' de créd it de 50.000 fr. pour la, construction d ’un égout relian t les prom ena­ des de Carouge au collecteur du Grand-Bu­

reau. .

R envoyé à une commission composée de MM. C harbonnet, G uinand, Picolas, R iondel e t R evaz.

Taxe d’Hopital

S u r la dem ande de M. F azy ce p ro je t qui consiste au changem ent de titre de la lôi : taxe 'personnelle au lieu de taxe d'hôpital est voté sans discussion en deux débats.

Ecole secondaire et gymnastique des Pâquis

Le p ro je t o u v ra n t u n créd it de 46.000 fr. pour rép aratio n s a u b â tim e n t de l’EcoIe se­

condaire de la rue d ’Ita lie e t celui ao- co rd an t une subvention de 17.000 fr. en vue de la construction de classes prim aires au pre­ m ier étage du b âtim en t de gym nastique à la rue de Berne, sont renvoyés à MM. Char- bonnet, W eibel, Poncet, B ron e t G randjean.

Rhône

M. Bouvier rapporte sur le projet allouani un crédit de 8500 fr. pour les tra v a u x d( régularisation du Rhône à Chancy-Pougny. C’est la p a rt de V E tat de Genève à cettc dépense qui coûtera à la G " 50.000 fr.

Voté en deux débats. •

Organisation judic

Le projet com plétant l’a: : : 1 loi sur l’organisation judi e 1911 est voté en 3me débat.

Scehercm

M- Poncet, au nom de 1: ; , propose d ’allouer au Conseil v l i, le cré­ d it de 20.000 fr. qu’il demi.iu e p a i r élar­ gir la route de Lausanne à Séoheion. L commission rem eieie la Société des ini meubles de Sécheron. qui, par '< ix mo­ dique qu’elle a dem andé, a g: • f . cilité cette opération.

Voté en deux débats.

In s titu t pathologique

C’est M. le D r G autier qui u-..-/.. ïe et; nom de la commission. Elle est d ’accord pou le crédit de 202.000fr. pour construire à l’ins tilu t pathologique une nouvelle morgue, une salle d ’aulopsie, u n am phithéâtre e: divers locaux. Ces tra v a u x sont nécessaire:- et é ta n t donnée leur im portance, la somme demandée n ’est pas exagérée.

Voté en deux débats sans observation Autos et cycles

M. M abut rap p o rte sur le pro jet d ’arrê: législatif au to risan t le Conseil d ’E ta t à adhérer en ce qui concerne le canton i.i Genève, au concordat intercantonal en v u t d ’une réglem entation uniforme de la ci: • culation des autos e t des cycles. D ans s m ajorité elle est d ’accord pour approuvei le concordat qui est to u t à l’avantage de. ch"uffew s sérieux.

Le public doit être préservé contre les domm ages causés p ar les chauffeurs e t pour cela, le concordat exige d ’eux qu’ils con­ tra c te n t une assurance au profit des tiers en cas d ’accident.

M. Borel a fait m inorité dans la commis­ sion. I l reconnaît que le concordat contient des choses excellentes, mais il ménage des désillusions au public. D prévoit l’unification des taxas, des règlements e t .l’assurance. L ’unification des taxes est un leurre, les1 cantons restero n t libres d ’ajo u ter à l’im ­ p ô t des ém olum ents de police prohibitifs. P o u r la circulation des autos, certains can­ tons interdisent la circulation le dim anche à certaines heures qui v arien t su iv an t les cantons. Malgré le concordat, les règlements restero n t très différents en ce qui concerne la circulation sur les routes suisses.

Q uant à l’assurance, c’est une arm e à deux tra n c h a n ts : le chauffeur tém éraire se se n tira it couvert p ar l’assurance e t devien­ d ra it plus im pnident. E n outre, cette assurance ne concerne pas les nom breu­ ses voitures étrangères circulant sur notre territoire.

A u point de vue général, le concordat n ’ap p o rtera aucun progrès ni pour le public, n i pour les chauffeurs. M. Borel propose de ne pas accepter F adhésion au concordat.

M. F . M artin croit que l’idée de concordat est heureuse. Depuis le prem ier concordat intervenu, il y a eu d u progrès dans la tech­ nique de l’autom obile, e t il a fallu reviser le concordat. I l y a d an s ce nouveau concor­ d a t des choses excellentes, mais il y a en d ’autres que M. Borel a signalées e t qui sont mauvaises.

L ’assurance en particulier est u n leurre : le chauffeur d ev ra s’assurer pour 20.000 fr. e t le m otocycliste pour 10.000 fr. mais comme les étrangers n ’y seront pas soum is e t que ce so n t les autos d u dehors qui causent la grande m ajorité d es accidents; Q e st prévu que 10 % de l’indem nité restera à la charge d u coupable : or, on ne p eu t em pêcher le chauffeur de s’assurer com m e il le veut. M. M artin, comm e M. Borel, refusera l’a d ­ mission d u concordat. Ce qu’il fa u t, c’e st une loi fédérale.

M. O dy n ’e st pas de cet avis. P o u r les taxes, il y a avantage à am ener une certaine unification e t à em pêcher d e dépasser cer­ ta in s m axim a. Le concordat sera u n ache­ m inem ent à la loi fédérale qui viendra en­ suite. L ’assurance sera une garan tie pour le public contre les chauffeurs e t loueurs de ta x is qui n ’o n t pas de fortune. Le 10 % re s ta n t à la charge d u chauffeur con train ­ d ra ce d ern ier à la prudence.

M. R u tty se dem ande si pour le can to n de Genève, il y a un avantage à adhérer au •concordat e t il répond négativem ent. I l ne fa u t aliéner no tre liberté que contre un av a n ­ tage e t ce concordat ne nous en accorde aucun. L ’assurance sera sans aucune valeur pratiq u e L a disposition relative au 10 % est illusoire : le chauffeur pourra se réassurer en ce qui

concerne ce 10 % . L ’honorable dép u té si­ gnale certains articles rédigé» en un français douteux.

Plusieors cantons refusent leur adhésion. Faisons-en a u ta n t e t poussons à une loi fédérale. Ne nous pressons pas d ’entrer dans la voie du concordat.

M; V autier défend le projet de concordat. 11 m ontre l’avantage de l’unification relati­ ve des taxes et des règlem ents dans l’in té­ rêt, du tourism e. L’assurance lui semble aussi une excellente mesure : la preuve en est que la plupart des chauffeurs sont déjà assurés.

L ’objectif d o it être un concordat in tern a­ tional, m ais il fau d ra plusieurs années a v a n t d ’aboutir. Commençons par le concordat in-

tcrcantonal. .

M. W illemin insiste sur l’im portance de l’assurance qui g a ra n tit le public contre les chauffeurs qui produisent des accidents e t sont insolvables. A ctuellem ent dans cer­ tains cas le lésé no p eu t être indem nisé. Ce se­ ra un grand progrès.

M. G uinand reconnaît que c’e st c e tte ques­ tion de l’assurance qui amènerai© plus de d is-- cussion. Le concordat corrige-t-il l’inconvé­ n ien t de l’insolvabilité d u chauffeur ? Non. La Compagnie plaidera e t prouvera que la propriétaire de l’auto n ’a commis aucune faute, son au to é ta n t en bon é ta t e t son chauffeur a y a n t l’habitude de conduire. E n réalité l’article du concordat est u n coup d ’épée dans l’eau. Le règlem ent ne peut prim er une lo fédérale e t il serait prom p­ te m e n t annulé p ar le trib u n al fédéral. . M. le président consulte le G rand Conseil pour savoir s’il v eu t avoir u n second déb at.

M. R u tty propose d ’ajourner la décision du G rand Conseil jusqu’au m om ent où la m oitié des cantons se seront prononcés. Q

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INFORMATIONS FINANCIERES

Service spècial

P aris, mercredi. L ’ouverture s’effectue aux environs des cours de la veille. Les affaires sont très calmes. R ien d ’intéressant à signaler. La Sosnowice e t la Bakou s ’affaiblissent. Le Rio débute soutenu, mais il fléchit peu après. E n banque les Mines d ’or sont soute­ nues sur le fait accompli de la m ort de sir ffulius W emher. P a r la suite, la séance reste absolum ent nulle. On est indécis. La Perpétuelle s’alourdit. Les R entes étrangères subissent un léger tassem ent. Seul l’italien se m ontre très ferme. Parm i les établisse­ m ents de crédit, la B anque de Paris conserve une ferm eté de bon aloi. D ans le groupe des chemins de fer français, le. N ord réac­ tionne. Les Sociétés de tran sp o rt se retro u ­ v e n t médiocros. Le M étropolitain est plus résistant. Les valeurs d ’électricité sont irrégulières. Les chemins de fer espagnols 4t les M étallurgiques russes fo n t preuve de Rmrdeur. E n dernière heure, lin a c tiv ité est toujours la n o te dom inante. On finit calme. Le Rio term ine faible. Aurifères moiiis bonnes.

(Bulletin téléphonique)

: Lausanne, jeudi.

Bourse très calme. On tra ite les Chemins de fér fédéraux 4 % à 100, on offre la Jo u x e t |Orbe 4 % à 100, la Ville de Lausanne 1899 à 58.20. I l s ’échange des obligations Crédit Foncier Vaudois 3 % à 03, on dem ande les sé- E. e t G. à 95, la 4 1/4 à 99.80, l’obligation Crédit Foncier Suisse, 4 % , série 5 à 8 se traite à 95. On offre N ational e t Cygne à 100, Majestic Palace à 99.50, Seiler à Gletsch à 100.50, A ubert G renier à 100, Electro-Chimie fc 100.25 : on tr a ite Jura-Sim plon à 445.50 Bolivia Rr.ihvay à 480, lp C rédit Fon- ,0ier Egyptien, 3me série, à 267.50.

m Aux actions la B anque de M ontreux fait ,680, le Crédit Foncier Vaudois 660, Chamo-- nix-M ontenvers 530, les hôtels so n t très de­ m andés, Beau-Rivage à 1370, Leysin à 790, Peau-Séjour à 5Ô5, G rand-H ôtel des A vants g 495, l’H ôtel des Trois Couronnes à Vevey à J605. On dem ande aussi les actions de Che- fliins de for Aigle-Leysin à 750, T erritet-G lion ^ 545, Chocolats de Villars à 53, Croisier à *2» La Grande Brasserie à 650. .

. fücmmuniqué par la Société Suisse 4» Banque et dé Diftits, à Lîtustmm.)

Genève, jeudi. Les grandes places étrangères re ste n t maussades. Comme toujours, q u an d les a f­ faires se ralentissent, on recom mence à parler politique e t à s’inquiéter de la situ a ­ tion générale européenne qui n ’a p o u rta n t pas changé ces derniers tem ps. E n Amérique, on s’inquiète avec raison des succès électo- ra u x de R oosevelt.

Malgré cela, no tre m arché ne fa it pas tro p m auvaise figure, les valeurs favorites de notre cote se p résen ten t au jo u rd ’hui en fer­ m eté : L a p a r t Gafsa est en hausse d ’une tren tain e de francs, à 4050, entraînée p ar Paris, e t les B or o n t u n renouveau d ’an im a­ tion qui les fo n t reprendre ju sq u ’à 6550 Pordinaire e t 7125 la privilégiée.

L a T rique p a r contre est négligée e t p lu tô t faible à 526,50. •

L a T otis d ’ab o rd offerte à 1050, reprend vivem ent ju sq u ’à 1070.

L ’Union Financière reste à 616 e t la p a rt T ru st E lectrique Am éricain à 190.

Les T ram w ays de Genève so n t toujours fermes à 455.

L ts Cotonnières sont irrégulières, la p a ît est en hausse de 4 fr. à 349, tandis que l’ac­ tion est offerte à 879.

L a Tjikadoe est ferme à 62, prix fa it e t dem andé.

L a Concimi est plus faible, offerte à 122. L ’action B rasier perd 1 fr. à 140. L a M oulineaux e s t dem andée à 930. L a R afaël se m ain tien t à 328.

Les Docks de Santos so n t u n peu moins fermes à 1210.

L a p a rt O ran e st bien tenue à 34 e t l’ac­ tion est dem andée à 900.

L a G ardy est ferme à 170.

La- T udor est dem andée à 362. Nous p u ­ blions plu3 loin les résu ltats de l’exercice écou­ lé. Le dividende est fixé à 9 % .

Le marché des obligations e st calme. Chemins F édéraux 920.

Société de l’AccumuFateur Tudor. (A nony­ me au capital de fr. 2.450.000), à Paris. — P e n d a n t Texcrcice 1911, cette société a réa­ lisé un bénéfice n et de F r. 514.320, supérieur de fr. 64.951 à celui de 1910. Lo rep o rt de ce dernier exercice a y a n t été de fr. 387.327, le solde disponible ressort à fr. 861.647.

L’assemblée générale de m ardi a décidé la rép artitio n d ’un dividende de fr. 9 par action au lieu de fr. 7 l’an dernier, payables le 1er juin prochain.

Emprunt 4

y2 %

de la Société suisse pour valeurs de placement, à Bâle. — Le B ankve­ rein suisse, MM. R .-N . B ruderlin, les fils D reyfus e t Cie, E hinger e t Cie, P u ry e t Cie, A. Sarasin e t Cie, Vest, Eckel e t Cie et Zahn

e t Cie, offrent au p air en souscription publi­ que, d u 23 au 29 m ai, un em p ru n t 4 % de la Société Suisse pour V aleurs de P lacem ent à Bâle, d ’un m o n ta n t de 10.000.000 fr. (Voir détails du prospectus au x annonces).

P a r cette émission, le m o n ta n t des obliga­ tions émises de la Société s’élève à 30.000.000 de francs aveo u n capital-actions de 20 m il­ lions de francs d o n t 5.000.000 versés, les 15.000.000 non versés é ta n t représentés p ar des feuilles d ’engagem ent signées p ar les ac­ tionnaires. O utre le paiem ent d ’un in té rê t de 4 y2 % , ces obligations o n t d roit à une p a rt au 20 % du bénéfice n e t annuel de la Société, après d o tatio n des réserves e t paiem ent d ’un prem ier dividende de 4 y2 % sur le m o n tan t versé du capital-aotions. L a p articip atio n au x bénéfices des deux em prunts série A e t B s’est élevée pour l’exercice 1910-1911 à 3 fr. p ar obligation e t pour 1911-1912 elle a égalem ent été fixée à 3 fr. p ar titr e ; le rendem ent se tro u v a it ainsi augm enté de 4 e t 4 % % à 4,3 % e t 4,8 % . L a p articip atio n au x béné­ fices commence p our les obligations d u pré­ sen t em p ru n t série C. avec l’exercice social qui s’ouvre le 1er avril 1913 e t fin it le 31 m ars 1914. Les obligations émises p a r la Société so n t spécialem ent garanties p ar un gage cons­ titu é par des valeurs suisses e t étrangères, ef­ fets de com m erce e t avoirs en banque, d o n t la valeur, calculée au cours du jour, d o it êtro au moins égale au m o n ta n t nom inal des obliga­ tions en circulation. '

Le rembouz-sement d u p résent em p ru n t a u ra lieu le 15 avril 1932. C ependant la So­ ciété se réserve le d ro it de le rem bourser p ar anticipation à p a rtir du 15 avril 1918 m oyen­ n a n t un avertissem ent préalable de trois mois l’époque d u rem boursem ent d ev a n t coïnci­ der avec une échéance de coupons. Chaque obligation d u présent em p ru n t sera rem bour­ sée a u pair, plus éventuellem ent uno soulte com p ren an t sa p a rt au 20 % des réserves spé­ ciales de la Société, constituées en applica­ tion de l’article 35 alinéa 3 des sta tu ts , la p a rt afférente à chaque obligation é ta n t calculée proportionnellem ent à to u t le capital obli­ gations en circulation do la Société, que le cap ital jouisse en to ta lité ou en p artie seu­ lem ent du d ro it de p articipation au x béné­ fices.

Commo les anciens em prunts, ces obliga­ tions seront aussi cotées au x bourses de Bàlc, Zurich e t Genève. Depuis sa fondation, la Société suisse p our valeurs de placem ent à distribué les dividendes suivants : 1907-1909 6 % pro rata temporis; 1909-1910, 6 % : 1910-1911 e t 1911-1912,7i/2 % .

General Motor Cab, Londres.— Une nou­ velle assemblée de la General M otor Cab, te ­ nue m ardi, a approuvé le nouveau projet de réorganisation aveo l’assistance d u groupe

français, com prenant la « Comp. des Autos- Fiacres » e t la maison « H irschler e t Cie ».

Co groupe avancerait une somme do Liv. sterl. 60.0000 (à 7 % d ’in térêts) à la M otor Cab qui oréera en o u tre Liv. sterl. 650.000 d ’obligations rem boursables en 1952. L a participation du groupe français dans les bénéfices sera de 35 % e t celle des action­ naires de 65 % .

TIRAGES FINANCIERS Crédit Foncier de iFrance

Communales 1912 Tirage du 22 m ai 1912

Le num éro 335.260 gagne 100.000 francs Le num éro I.Ï03.159 gagne 10.000 francs Les num éros :

1.046.857 1.611.670 1.484.670 877.459 708.178 1.589.212 1.640.570 1.241.653 1.925.380 74.480 1.873.341 1.818.970 gagnent chacun 1.000 francs.

COURS COMMERCIAUX

du 22 mai (par dép.).

P aris, sucre courant, 46.62 % Paria, sucre prochain, 46.25 — .

H avre, café courant, 83_____ Havre, café prochain, 83.25.

H avre, cotons courant, 75.87 y2. H avre cotons prochain, 75.75. ‘

Cuivre. Londres, clôture, disponible liv. 73. sh. 15.

ClôLure à trois mois. liv. 74. sh. 2. 6.

Bourse de Genève

C O l I l t N O IT 2 3 M A I

F o n d s cl’E la ts

H Hi Empr-miiNs.. iuiiu-1902 xér. A i K. B20 — 1 0/0 Kmpmat Suisne. Ch. fer. Féd. 1912 . 507 50 H 0/0 Miilinv.ii* livre, hits...5)7 26

4 0/0 G enevois ... ... • • 502 — 5 0/0 V alais 187tf. lOtÜ) — 3 0/Ü lla h n n K'.nN-Uiiis d u B résil). • . 49B — l o t s ... RI — 5 0/0 R usse o r 1 U 0 8 ... ... # Çlfl —

O h llg n tln m M u n ic ip a le »

3 0/0 Villo de UenAvo I8H6 . . . 4G7

i 0/0 Villo de (üenàve 1 H 00...600

4 0/0 Ville tle Ijiiusmine 18Hî)flre ,0 m o sé r. 499 4 1/4 Ville do L a u sa n n e i9 0 0 ... 511

•1 0/0 V ille de Lunsuiiue 1909. , . . 5 0 1 5 d/0 V ille de K io to ... 499 5 0 0 *’ fîi ►-•Ff* -.1>iiiB»ro . , „ . 491 25 6 0/0 V ille d e T o k io . libérée» ■ • « • 497 4 u/0 Ville do V ienne 1 9 ü i ... 92 80

O b lig a tio n s de c h e m in s d e f e r s u i9ses 8 0/0 F rnuco-S nisse...442 50 U l/'J .1 iii'ii*Sliiii}tli>u IH U 4 ...44.G — O j l l g r 'i o n s d e c h e m in s d e f e r é tr a n g e r s 3 0/0 IUvliuua... iUB —

a tj/u l.innlmrils [et Snd-iuUioIio, Auo. S69 — a J/u utriilionnux ■l’it s l f . . . . 831 —

OliIlRntlnns ris Cliem. de {er amêrlr.ni'u •

4 1/2 Brésiliens • 482 —

Obligations de Banques suisses 2 0/0 Banque IStat de l^riliourcj, avec lots 53 50 4 1/2 Créd. Fono. Suisse, sêr. O et P. . 1028 — 4 0/0 Uréd. Fono. Suisse obi. tono. sér. 8 . 479 — 4 II 0 .Sooiôlé HnunciéroFranco-..utnao . 478 — 4 1/2 Soo. Financière Suisse-Américaine. 607 —

Obligations de Banques étrangères O/O liuiKjuo de Suède. IWM, n. t/l H0.000 490 — : 0, 0 Cr. Fon. Egyp., No 1 à400.0001. Ire s. 8H7 — i I (?i*4d. Font:. KiiiluiniuiH IW09 et 1911. 489 — 4 0/0 Créd. fono. Franco-Canadien 4‘20 — 4 1/2 Forenings-Banker Finlande . • . 472 —

Obliga tions rto G a z ol d’ E In c trlc It t

l 0/0 Frutico-Hitisso pour l’fnd. élec.fcr. . 478 — 5 0/0 Soo. Qrenob.de Force et de Lumière 487 — 4 1/2 Soc. Elect. de la Hauto-Italie (1899) 502 —

Obligations diverses

4 0/0 Docks de New-York, Ire hyp. . 4200 — 8'0/0 Joriiul do Cnmmeroio Hio do Janeiro. 500 — d 0/0 La Latium, Cie Coton otind. (Lavin) 495 —

Actions de Chomlns de fer

Tram w ays genovois (actions) . . . .

Actions rte Bnnqn09

Manque F éd érale (Soo. A non.) . . . . 712 — IIhuIivoroin S uisse . . . • • • • 748 — C om ptoir d ’E scom pte de G enève . • . 984 — Snn. F in . p. E n tr . é le triq . E tats-U nis, p a rts 190 — U nion F in a n c iè re d e G enève . • . • , 613 —

A c tln n s (lo Gaz fil rt’l- lo c lr lc iu In d u s. G enev. d n G a z (e x . 2“* ré p a rt. 80 fr. 825 — Gaz do M arseille (Bons de liq u id a tio n ) . 22 50 G a a e t Ifiluotriuité do M arseille . . * 699 —

A ccu m u lateu rs d’Œ rlik o n (nouvelles) . 388 -Kraiioo-Nuiatio p o u r t'IitdiisliHi» è!ontri<fite 528 — Comp. d’E l. de l ’O aost P a ris. (Ouest L um .) 184 —

Actions (te ivtlnes et Territoires M iniers

llo r(C o m p . F ra n ç . d esM in o sd e ) p riv . 7100 — lJor(Com pFrituçaiiie des m inos de)o rd in , 6550 — G afsa (C. des P hosp. e t Ch. de fer ) p a rts. 4050 — ‘Cotis . , ... 1070 —

Actions (13 Prort&lts albnonlalrïM

llra sserie do St-.lean ...118 — Choc. Soc. G én. suinso P e te r o t K o h ler . 864 — (Aiocolats, Sou. Isoler e t K o h le r (bons). . 86 — A c tio n s so c ié té s Im m o b iliè re s e t a g r ’co îe s f r ^ o l 'i l i ô r e d ’A lgérie, P arts . . . . 81 — Ür*X;<Colonies Suisso de) P a r t . . . . 695 —

Actions de Société? In d u s trie lle

A ppareillage G a rd y ...170 — Tj i Uadce - . . . ... —• Concim i (E ngrais e t p ro d u its chim iques) 121 — O utonnière Itu sso -K ra n v a ise ... 778 — C olounièro U iisso-Frun^uise, P a rta . . . 819 — Hooks de S antos 1212 — Frigoriiiquos e t clacièros do G enève. . , 190 —

F rig o rifiq u e s de B o rd eau x (Docks) p a rt. • 50 — M inoteries de P la in p a la is... ... 242 — O uest-A fricain (Sooiété co m m e rc ia le ). • 655 — P arvillée frères e t c . (ano. êtabliss.) ord.- 451 50 Son lta la e l (lab. de p a p i e r ) ... 627 50

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Actions G olhard. • Baltimore Oliio . • Sclmppo Bille . . . » Lyon . . . Chimique . . . . Aluminium . . . Kriiuco-Suisse. • . S l é S u i us o 111 d. 1GI or. t . Tendance affaiblie. 749 833 — 497 — &12 — 584 d, 20.50 d. 562 d, 8895 — 8795 — 2160 — 2480 ôïB d. V iennes.— 22 Mai. C IA lu rc -Clôt.précéd. C .duir Clmngo Paris . 95 63 95 60 Rente hongr. . 92 — 92 20 40/0 hongr. or , 109 — 105 90 40,0 autrichien 113 60 118 75 Aot. Alpine* . 963 — StS — Cliem. autriuh. 780 — 780 — Ch. Lombards . 105 — 101 — Crédit uutrioh. 689 — W89 — T otis... 999 — ---Tendance faible. Z u r ic h — 28 Afat.

Bank voroin Suisse • 747 à, Cham. . . . . • • 1795 — Got*r&. . • •

Aluminium . • . 2420 — Baikjuo Comm. Ital .

Credito liai i ano . . FiUkiieo-âuiase . • • Banque Comm. Bftle hilekt rik Zurich . . l’etttr.shm'gor Liolit . Union italienne U*. . (Ifirlikon... Uutor, . • . . . Tendance affaiblie. F r i t n c f e r t - 22jjfoi. C IA t C lô t.p récéd . C .d u jr A tu m in in m . • D iscouto . • 3 1/2 0/0 Italien Allg. Hteclrio. Drusdener Hic.

Sitiuans & ilalski . lU'OCh. Bagdad Tendance affa 184 50 184 20 262

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