K. SCHMIDT. — Ueber die elliptische Polarisation des an Kalkspath reflectirten Lichtes (Polarisation elliptique par réflexion sur le spath); Wied. Ann ., t. XXXVII, p. 353; 1889

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Submitted on 1 Jan 1890

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K. SCHMIDT. - Ueber die elliptische Polarisation des an Kalkspath reflectirten Lichtes (Polarisation elliptique

par réflexion sur le spath); Wied. Ann ., t. XXXVII, p.

353; 1889

J. Macé de Lépinay

To cite this version:

J. Macé de Lépinay. K. SCHMIDT. - Ueber die elliptische Polarisation des an Kalkspath reflectirten Lichtes (Polarisation elliptique par réflexion sur le spath); Wied. Ann ., t. XXXVII, p. 353; 1889. J.

Phys. Theor. Appl., 1890, 9 (1), pp.115-117. �10.1051/jphystap:018900090011501�. �jpa-00239051�

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par l’intermédiaire d’une ^{sorte de} petite ^{calotte creuse en} cire, qui permet ^de l’orienter dans toutes les directions.

Si l’on remplace ^{la fente} du collimateur par ^{une ouverture} cir- culaire de 1 mm de diamètre, ^on voit, ^{à l’oeil nu, se dessiner en} général ^deux petites images ^de l’ouverture, ^{à très} petite ^distance

de la sphère. Si, ^en particulier, ^le plan ^{des axes} optiques ^{est nor-}

mal à l’axe de rotation de la plate-forme, ^{on voit, pour quatre}

orientations convenables, la double image ^se transformer en anneaux circulaires, ^{de 2"lnl} environ de diamètre. La substitution d’un microscope ^à la lunette du goniomètre permet d’efl’ectuer des mesures, dont les résultats concordent parfaitement ^{avec ceux du}

calcul. J. MACÉ DE LÉPINAY.

K. SCHMIDT. 2014 Ueber die elliptische Polarisation des

Kalkspath reflectirten Lichtes (Polarisation elliptique par réflexion

le spath); ^Wied. Ann.,

t. XXXVII, p. 353; I889.

Pour rendre le phénoméne plus simple, ^{l’auteur s’est} placé

exclusivement dans le cas d’une réfraction uniradiale. En d’autres termes, la lumière incidente ^est polarisée ^{de telle sorte} qu’il

n’existe dans l’intérieur du spath ^étudié qu’un ^seul rayon réfracté.

Cette condition est satisfaite lorsque ^la lumière transmise _par le spath peut ^être complètement éteinte par

nicol. Les expé-

riences sont relatives presque exclusivemen ^{t â} des faces de clivage

ou naturelles, ^afin d’éviter l’influence du polissage.

llTesu~°e de l’anb~le d’ incidence principale. - ^On reçoit ^{la lu-}

mière réfléchie sur un nicol dont le plan ^de polarisation ^{est normal}

au plan d’incidence. On fait varier chaque ^fois l’angle d’incidence, jusqu’à ^ce que la lumière transmise par le nicol analyseur ^{soit le} plus complètement possible ^{éteinte, en} maintenant chaque ^{f’ois la}

réfraction uniradiale.

Les résultats obtenus sont indépendants ^du temps ^écoulé depuis

l’obtention de la face réfléchissante.

Si le rayon ^{transmis est} ordinaire, l’angle ^de polarisation

maxima est donné très exactement par la loi ^de Breyvster

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018900090011501

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il est indépendant ^de l’orientation ^w de la section principale ^du spath étudié par rapport ^au plan d’incidence, ainsi que de l’angle

w de l’axe avec la surface réfléchissante.

,

Si _{le rayon} transmis est extraordinaire, l’angle ^de polarisation

?’ dépend ^{à la fois de ces deux} angles. ^{Les résultats sont très bien} représentés par la formule de Neumann (1 )

OÙ f" ^{est l’angle} de réfraction de l’onde extraordinaire.

JrIesure de Ici dijét-ence ^de whase. ^{L’auteur a fait} usage du compensateur ^de Babinet; la lumière employée ^{est la lumière}

Drummond transmise à travers ^un verre rouge. On n’a _pu effec-

tuer qu’un nombre limité de _{mesures ;} car on ne peut orienter le

polariseur ^{de la manière la} plus convenable, ^{comme l’a fait}

Jamin pour ^la réflexion vitreuse, par suite de la nécessité d’établir

chaque ^{fois la} réfraction uniradiale.

Dans tous les cas possibles, la différence de marche 1 = ~ cor- x

respond ^très exactement à l’angle ^de polarisation maximum. Ce fait méritait d’être vérifié, ^{car il ne se} produit ^{nullement t dans le}

cas d’une réfraction biradiale.

Dans le cas du rayon ordinaire, ^la polarisation elliptique par ^ré- flexion est sensible sur une étendue totale de plus ^{de 10°, et ses}

variations avec J’angle d’incidence présentent ^{le même caractère} qu’offrent, d’après ^{Jamin, les} substances isotropes ^d’indice supé-

rieur à 1,46.

Dans le cas du rayon extraordinaire, les résultats dépendent ^à

la fois de w et de A; d’ailleurs la différence de marche varie avec

l’incidence à peu près ^comme pour les milieux isotropes; ^{la forme} elliptique ^{de la vibration réfléchie est} appréciable ^{sur une étendue}

de 8° à ioo. Il y ^a presque toujours retard de la vibration normale

au plan d’incidence ; ^il n’y a ^{eu avance de cette} vibration que dans le cas d’ une face artificielle parallèle ^{à l’axe.}

Signalons ^ce fait que ^ce n’est que pour des corps beaucoup plus

( 1 ) Pogg..Ann., ^L. xiil, p. 1; 1837.

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réfringents que ^le spath? ^{le diamant ou la blende,} que la ^forme

elliptique ^{de la vibration est} appréciable ^{sur une étendue aussi}

considérable. J. MACÉ

LÉPINAY.

ZEITSCHRIFT FUR INSTRUMENTENKUNDE;

T. IX, I889.

Premier Congres des mécaniciens allemands, p. 385.

Ce Congrès avait pour ^but de discuter diverses questions ^d’un

intérêt général pour la mécanique ^de précisiom, ^et de s’entendne

sur les intérêts matériels des mécaniciens allemands. L’assemblé(-

a décidé, ^en particulier, de s’adresser ^au gouvernement ^de l’Empire

pour que celui-ci engage le gouiveriienient ^{danois à faire des re-} cherches en Islande, ^{de manière à fournir le} spath nécessaire aux

instruments d’optique. ^La question ^des pas de vis a été ensuite dis- cutée longuenlent. ^{Les formules de} rhlmry ^{ont été} particulière-

ment prises ^en considération. Pour terminer, l’Institut physico- technique ^de l’Empire ^{a été} chargé ^{d’étudier la} question ^{et do}

faire des propositions. ^Un appendice ^contient les tarifs douaniers

sur les instruments de précision pour ^{tous les} pays ^du monde.

F. MYLIUS. 2013 Examen de la surface du

à l’aide d’une coloration, p. 5o.

O. SCHOTT. - Sur la pénétration de l’eau dans le verre, p. 86.

F. 1IYLIUS et F. I10ERSTER. - Sur la solubilité des

de potasse

et de soude dans l’eau, p. 117.

Ces recherches font partie ^d’un grand ^{ensemble de travaux en-} trepris ^en Allemagne, ^dans le but de réaliser des verres convenant

le mieux possible ^à divers usages. ^{Dans les verres} optiques, on

cherché à atteindre une grande pureté, ^{avec des indices de réfrac-}

tion déterminés pour diverses radiations. Pour la fabrication des

niveaux, ^des fioles de laboratoire, ^des thermomètres, ^{on s’est at-}

taché plutôt ^à chercher l’insolubilité et à éviter les déformations permanentes ^ou résiduelles. Ces travaux ont déjà ^{conduit à la dé-}

couverte de quelques principes ^généraux qui ^doivent guider ^dans

la fabrication.

Dans le premier Mémoire dont nous parlons, l’alltellr indique