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Sur une simplification dans le calcul des sections efficaces des processus de collisions corpusculaires

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Academic year: 2021

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Sur une simplification dans le calcul des sections

efficaces des processus de collisions corpusculaires

Gérard Petiau

To cite this version:

(2)

565 SUR UNE SIMPLIFICATION

DANS LE CALCUL DES SECTIONS EFFICACES DES PROCESSUS DE COLLISIONS CORPUSCULAIRES

Par GÉRARD PETIAU.

Dans les méthodes de calcul covariant des sections efficaces des processus de collisions entre

corpuscules

de

spin A

accompagnés

d’émission ou

d’absorption

2 . p

de

quanta

de

champs

de

spin

zéro ou

li,

électromagné-tiques

ou

mésiques,

on est

généralement

amené,

en fin de

calcul,

par

l’application

de la méthode de

sommation de

Casimir,

à l’évaluation d’une somme de traces ou de

produits

de traces de matrices cons-tituées par des combinaisons des matrices

Y!;,

y£,

... des

corpuscules

considérés.

Par

exemple,

dans le cas où un seul

corpuscule

de

spin

initialement dans l’état

d’énergie-impul-2

sion

Kfi

de masse réduite ij

(Kr

Ki,, +

u i

= o),

à la suite d’une série d’émissions ou

d’absorptions

de

quanta

de

champ

électromagnétique

k,,

k’,

... de

vecteurs de

polarisation

ef,

ef,,

...,

passe par

une

suite d’états

intermédiaires

(K’, u.i),

...,

(K", J.p),

...,

(KÎI,

[l-q)’

... et se trouve finalement dans

l’état

(Kf, fL f),

on est conduit au calcul d’une somme

de traces de la forme

De

même,

s’il y a deux ou

plusieurs

corpuscules

A

B,

... émettant ou absorbant des

quanta

de divers

champs

et liés par des

couplages

coulombiens

(çouplages

de

Moller),

on se ramène à des sommes de

produits

de traces de la forme

Le calcul de ces traces est considérablement

simplifié dans

le cas où les matrices

correspondant

aux processus

d’émission,

d’absorption

ou de

couplage

coulombien sont de la forme

(et

y,,),

Y5’ yv, si l’on

introduit en utilisant la relation

y2

=

i, au lieu des matrices yv, Yo,

y5,

les matrices

et si l’on pose

Des

expressions

telles que

.

s’écrivent maintenant

Les sommes de traces ou de

produits

de traces

précé-dentes se ramènent aux formes

Dans la dernière

expression,

la sommation sur les

indices

ce, p

s’étend de i à

5,

celle sur ,u et v seulement de i à 4.

L’évaluation de ces-traces s’effectue par la méthode

usuelle,

toutefois la

règle qui

donne la valeur zéro pour la trace d’un

produit

d’un nombre

impair

de

matrices yl-1 n’est

plus

exacte pour un

produit

de

cinq

ou

plus

de

cinq

matrices ya.

L’expression

obtenue

introduit directement des covariants de la forme

pour

lesquels

on a notamment

et dans le second cas

(couplages

coulombiens)

des covariants de la forme

Manuscrit reçu le I 5 févier 19fn .

MESURES SUR LA

PRÉCISION

DES

POINTÉS

LONGITUDINAUX

Par B.

DOSSIER,

P.

JACQUINOT,

M.

MARÉCHAL

et G. PIEUCHARD

Dans une

précédente

lettre

[1],

nous avons

proposé

des

répartitions d’amplitudes pupillaires

permettant

de réduire la

profondeur

de

foyer

d’un

objectif.

Nous donnons ici les résultats de mesures visuelles

et

d’enregistrements photométriques

faits avec les

diaphragmes

proposés (Co

et

Lo),

comparés

aux

diaphragmes

classiques

uniformes C

(cirçulaire)

et L

(rectangulaire),

ces derniers

étant,

en

outre,

comparés

entre eux. La confrontation des résultats visuels et des

enregistrements

montre que l’oeil

peut

être

sen-sible,

pour

juger

de

la meilleure mise au

point,

à la variation d’autres

grandeurs

que l’éclairement

central,

qui

a servi de base au calcul

exposé précédemment.

10 Pointés visuels. - Deux séries

d’expériences

(Institut d’Optique

et

Bellevue)

ont été faites avec

deux

systèmes

optiques

différents

ayant

tous deux une très faible ouverture

(Q

=

i/iooO),

de

façon

à

rester dans le domaine de la diffraction pure, et une

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