• Aucun résultat trouvé

C. RUNGE et F. PASCHEN. - On the radiation of mercury in the magnetic field (Sur le rayonnement du mercure dans le champ magnétique). — Astroph. Journ., 1902, t. XV, p. 235-252

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "C. RUNGE et F. PASCHEN. - On the radiation of mercury in the magnetic field (Sur le rayonnement du mercure dans le champ magnétique). — Astroph. Journ., 1902, t. XV, p. 235-252"

Copied!
3
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00240702

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00240702

Submitted on 1 Jan 1903

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

C. RUNGE et F. PASCHEN. - On the radiation of mercury in the magnetic field (Sur le rayonnement du mercure dans le champ magnétique). - Astroph. Journ.,

1902, t. XV, p. 235-252

J. Baillaud

To cite this version:

J. Baillaud. C. RUNGE et F. PASCHEN. - On the radiation of mercury in the magnetic field (Sur le rayonnement du mercure dans le champ magnétique). - Astroph. Journ., 1902, t. XV, p. 235-252. J.

Phys. Theor. Appl., 1903, 2 (1), pp.127-128. �10.1051/jphystap:019030020012701�. �jpa-00240702�

(2)

127

culer les tensions superficielles d’un mélange à partir des tensions

superficielles des composants par la formule de Lorentz :

dans laquelle

chaque fois que l’effet thermique du mélange est nul. [Les quantités désignées par a représentant les attractions moléculaires, j la ten-

sion superficielle, x la proportion de l’un des composants, celle de

l’autre étant ( 1 - x) . ~ ]

,

Si, au contraire, l’effet thermique est sensible, on obtient pour le coefficient de des valeurs voisines de 2 Va4G2’ d’autant plus petites que le refroidissement pendant le mélange est plus grand.

G. ROY.

C. RUNGE et F. PASCHEN. - On the radiation of mercury in the magnetic field (Sur le rayonnement du mercure dans le champ magnétique). 2014 Astroph.

Journ., 1902, t. XV, p. 235-252.

MM. Runge et Paschen se sont proposés de rechercher les rela-

tions qui pourraient exister dans le spectre du mercure entre le

phénomène de Zeeman et la distribution des raies en séries, rela-

tions que les travaux de Preston (1) et de Kent (2) n’ont pas assez nettement définies. Ils ont employé à cet effet, comme source de lumière, des tubes de Geissler de la forme imaginée par F. Pas- chen (3), un champ d’environ 25.000 C. G. S. produit par un électro- aimant semi-circulaire de Dubois, et un grand réseau concave de

Rowland,. Deux chambres noires de 2 mètres de large, placées à

côté l’une de l’autre, leur permettaient d’obtenir en une seule pose,

sur une série de plaques, les spectres de plusieurs ordres. Ils pou- vaient ainsi s’assurer de la réalité des composantes faibles en les

retrouvant sur plusieurs spectres.

La première partie de leur travail a été de s’assurer qu’avec des

intensités de champ différentes, les distances des composantes des (1) Pf0152STOX, LIX, p 248; 1899.

(2) KEXT, Ast¡’oph. Jour°., XIII, 289-319; 1901.

(3) F. PASCHEY, Zeitscht’ifl, 1, l18; 1900,

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019030020012701

(3)

128

diverses raies du spectre gardent les mêmes rapports; seule l’échelle de l’image change. Sans doute cette observation contredit celle que Kent et Reese avaient faite sur les raies du zinc; mais on doit accor-

der bien moins de poids aux mesures de ces derniers expérimenta-

teurs, car ils n’ont pas pu obtenir par exemple le type de la raie du nlercure À 5fi61, qm’ils dépeignent comme un triplet diffus, tandis qu’en réalité elle est formée de 9 composantes. MM, Runge et

Paschen ne peuvent dire d’ailleurs si la distance des composantes

croît proportionnellement au champ, car ils n’ont fait aucune

mesure d’intensité; mais tout ce que nécessite la réduction de leurs observations, c’est que les échelles des images formées par les composantes des différentes raies dépendent de la même manière

de l’intensité du champ. Sans s’astreindre alors à conserver au

champ rigoureusement la même valeur, ils ont pu comparer les pho- tographies prises en des poses successives.

Leurs observations sont résumées dans des tableaux où les raies sont groupées par séries. Elles mettent en évidence que les raies d’une même série ont le même nombre de composantes, séparées

par les mêmes intervalles (en nombres de vibrations), et polarisées

de la même façon. C:e résultat, très net pour les raies des deuxièmes séries secondaires, l’est moins pour les raies des premières; les longueurs d’ondes plus courtes et la présence de raies satellites rendent alors la répétition du même type plus difficile à observer.

Toutes les raies n’appartenant pas à des séries sont séparées en

trois composantes ; mais les différences des nombres de vibrations de ces composantes, quoique presque les mêmes, présentent des

variations bien plus grandes que les erreurs d’observations.

J. BAILLAUD.

ROYAL A. PORER. - The influence of atmospheres of nitrogen and hydrogen on

the arc spectra of iron, zinc, magnesium, and tin compared with the influence

of an atmosphere of ammonia (L’influence des atmosphères d’azote et d’hydro- gène sur les spectres d’arcs du fer, du zinc, du magnésium et de l’étain, compa- rée avec celle d’une atmosphère d’ammoniaque). 2014 Astroph. Journ., t. XV,

p. 274-281; 1902.

L’auteur résume ainsi qu’il suit ses expériences, effectuées avec un arc tournante) et des électrodes de zinc, de magnésium et d’étain chimiquement purs, et de fer commercial.

(1) CuEWEi t. XXXYII J, p. 379-386; 18S4.

Références

Documents relatifs

en France ceux qui abordent ces théories, trop peu entrées dans l’enseignement classique, ne seraient plus gênés par des indices imaginaires. Le chapitre est

Si on laisse passer de la lumière blanche par une flamme absorbante, on observe dans le spectre continu des raies d’absorption sombres, qui sont décompo-.. sées et

immobiles; les raies correspondantes (raies immobiles) occupent la même position dans le spectre, quel que soit l’angle de la direction d obserBation avec la

Perot a couches diélectriques ; depuis cette époque, chaque amelioration apport6e aux spectrom6tres photoélectriques a un seul etalon [1] et a double etalon, a ete

Ainsi la raie d’absorption peut être amenée en coïncidence avec le sommet d’une frange d’interférence par un choix conve- nable de la pression de l’air dans

- The Doppler effect and reversal in spark spectra (L’effet Doppler-Fizeau et le renversement des raies dans les spectres

- On the origin of double lines in the spectrum of the Chromosphere, due to anomalous dispersion of the light from the photosphere (Origine des raies doubles dans le spectre de

Ces deux séries d’observation, tout en donnant les vitesses radiales, par rapport au soleil, de la grande nébuleuse d’Orion et de quelques autres nébuleuses,