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F. PIOLA. —Effetti di campi magnetici oscillanti (Effets des champs magnetiques oscillants). - Elettricista, vol. XIV, fasc. 16: 1905

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Texte intégral

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HAL Id: jpa-00241118

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241118

Submitted on 1 Jan 1906

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F. PIOLA. -Effetti di campi magnetici oscillanti (Effets des champs magnetiques oscillants). - Elettricista, vol.

XIV, fasc. 16: 1905

A. Gallotti

To cite this version:

A. Gallotti. F. PIOLA. -Effetti di campi magnetici oscillanti (Effets des champs magnetiques oscil- lants). - Elettricista, vol. XIV, fasc. 16: 1905. J. Phys. Theor. Appl., 1906, 5 (1), pp.367-368.

�10.1051/jphystap:019060050036701�. �jpa-00241118�

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367 1 a’ u"n d’un champ p:, l’ L t) J i ( III e J’a 01 pli t Il d e co n s t a 11 te tjt t du periode supérieure à celle des vibrations acoustiques, et de telle façon que le..; vartations de flux magnétique dans une bol~lIl~’ qui l’entoure et qui mt fermée sur un téléphone n’y produisent aucun son. Mais. si on

vient à superposer au premier champ un autre champ oscillatoire amorti, à période très courte, comme celui que produisent des ondes électriques, on entendra un son dans le téléphone par suite de la

brusque variation d’intensité magnétique de la substance et du flux traversant la bobine.

Reprenant les explications données sur le fonctionnement de cet

appareil par différentes physiciens, 1I. Piola arrive a cette conclusion : pour obtenir des effets magnétiques réguliers, on devra s’arranger

pour que les chainps magnétiques dus aux ondes soient faibles.

L’effet sera le plus sensible s’ils agissentsur du ferextrémement divisé

recuit pendant longtemps, placé dans un circuit magnétique fermé, porté à la saturation magnétique par le champ primitif; l’onde devra

agir au moment le fer passe par un des points d’intlexion du

cycle primitif et dans un sens concordant. En outre, le circuit se

trouve le téléphone devra être constitué d’une façon variable suivant la résistance de celui-ci.

F. PIOLA. 2014Effetti di campi magnetici oscillanti (Effets des champs magnetiques oscillants).

-

Elettricista, vol. XIV, fasc. 16: 1905.

L’auteur, dans un ordre de recherches aualogue, essaie de donner

une explication des variations d’hystérésis et des effets de magné-

tisme anormal observés sur le fer soumis a un champ magnétique

oscillant à période assez longue, et au champ rapidement variable

que donnent les ondes électriques.

F. l’l ’I, 1.

-

Dl’tPl’IllilHl/inl1l’ dil’etla «1(’111) ~~r»~r~~ttn~~ot~~ 111’11(’ n...;cill:1,illni etct- tnclw !)~~temuio~tmn dn’cctf de 1 ;iiiii>itis,>iiit>fit dans 1(’’’’ ascillattiurl- c’K’c-

triques). - I:lf fl~ i~~i.,~n, ~-ul. XIB*, fa...!’, Il’; 1’111’,-

Pour ctudier 1 amortissement des oscillations électriques parcou- rant t 1111 circuit ~çest-à-dire le rapport entre del1, amplitudes SllCCl’S-

~iBt~ , on peut employer l’équation de lord Kelvin. Mais elle néglige

toutes les causes de déperdition d énergie autres que l’effet Joule.

De il (~~,t difficile de calculer, même par les formules cumpli-

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019060050036701

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quées de Wien, ’1 , , les grandeurs self-induction. résistance entrant dans cette équation.

~I. Piola a cherclié h le mesurer expérimentalement en n10ùifiant

convt’llah1eIl1ent la méthode de Rutherford (2 ~, reprise par miss Brooll-s ’t et en l’adaptant à des courants de petite amplitude.

A. GALLOTTI.

C. BENEDICKS. 2014 Ueber die Anwendung der Van der Waalschen Zustandsglei-

chung fur den festen Zust und Sur l’application de la formule de un der

Waals a l’etat solide.

-

Zetschrift fur anorganische Chemie, t. XLVII.

Pour savoir si la formule de Van der ~N’aals peut s*appliquer aux

solides, on a cherché a en tirer diverses conséquences vérifiables à l’aide de chiffres connns. L’auteur discute à ce sujet les travaux de

J. ’rraube ( ~ . Celui-ci avait vérifié deux conséquences de la formule:

la proportionnalité de la dilatation du covolume et de la quantité T ; -, la concordance de la valeur de la pression intérieure avec la dureté du corps correspondant, en se servant pour ce dernier point de com- paraison des résultats trouvés par Rudberg (3) et par Richard ~~) par deux procédés différents. Mais M. Benedicks montre que ces résul- tats pourraient être obtenus en partant d’une équation différente

et conclut en disant qn ’on ne peut encore admettre la validité de

l’équation de Van der NB-aals comme générale.

A. GALLOTTI.

~W!RN.D/’!~/~t.XV!.p.l:19):..

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II In;~~~~~.~_ f’l~il. 7’mrrm.. ~. ~:. t. II p. ’n_’.

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p.

-

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