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L'eikonon eisphora et l'autorité restaurée du roi

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L'eikonon eisphora et l'autorité restaurée du roi

SCHUBERT, Paul

Abstract

Le papyrus de Genève P.Gen. II 86 témoigne des efforts du jeune Ptolémée VI pour asseoir son autorité sur le trône qu'il a récemment récupéré.

SCHUBERT, Paul. L'eikonon eisphora et l'autorité restaurée du roi. In: Kramer, B. Akten des 21. Internationalen Papyrologenkongresses. Stuttgart : 1997. p. 917-921

Available at:

http://archive-ouverte.unige.ch/unige:80698

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Akten des 21. lntemationalen Papyrologenkongresses, Berlin 1995 Archiv für Papymsforsclumg, Beiheft 3, /997, 917-921

L'eh:6vrov

dmpopa

et l'autorité restaurée du roi

Paul Schubert (Neuchâtel/Suisse)

Dans le deuxième volume des Papyrus de Genève, paru en 1986, Claude Wehrli a publié un reçu de taxe de la pé~iode ptolémaïque (P.Gen. II 86) sous le titre suivant: "reçu délivré par un gardien des récoltes pour la contribution sur les images". Le papyrus comporte en fait les restes de trois textes distincts (respec- tivement a, b etc), dont l'un (b), en démotique, a été déchiffré par P. W. Pestman. C'est avant tout le texte c) qui, à juste titre, a retenu l'attention de l'éditeur: en effet, le contenu des deux premiers textes ne semble pas apporter la moindre lu- mière sur le troisième, que je reproduis ici:

i'1T]JlOKpÛTllÇ YEVllJlCCto-

<j)'UÀaÇ BaKxtâùoç 6.wvu- crtcp xaipuv. OJlOÀoycô JlEJlE:t pfl cr8at napà croû

5 eiKovwv dcrcpopàv nu(poû) àp(tâpaç) pp·.

eppwcro. (~:wuç) 8t . A8ùp

y.

Le papyrus est remarquablement bien conservé, et le déchiffrement ne pose aucun problème. Le commentaire de l'éditeur se concentre en priorité sur deux points: la date du document et la nature de l'dKovwv dcrcpopa. Rappelons briève- ment les conclusions auxquelles il est parvenu.

1. Date

A

la ligne 5, nous nous trouvons en présence d'une formule de datation peu con- ventionnelle. La mention du mot "année" manque, et l'ordre des chiffres (dizaine et unité) est inversé par rapport à la pratique courante. L'éditeur ne se trompe sans doute pas en mettant cette incongruité sur le compte d'un scribe égyptien, plus habitué à rédiger des documents en démotique qu'en grec. Par conséquent, le reçu de taxe est daté du 3 Hathyr de la 19ème année de règne d'un roi dont le texte ne précise pas l'identité. L'absence du iota final de 6.wvucr1cp permet d'emblée d'éli- miner le IIIème siècle av. J.-C.1 A l'aide de l'ouvrage de T.C. Skcat, The Reigns of

1 Cf. W. Clarysse, "Notes on the Use of the Iota Adscript in the Third Ccntury B.C.", 51 (1976) 150-151.

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918 Archiv für Papyrusforschung, Beiheft 3, 1997

the Ptolemies,2 on trouve aisément qu'il y a quatre possibilités pour une 19ème année de règne entre le Hème et le 1er siècle: le 10 décembre 187, le 4 décembre 163,3 le 17 novembre 96 et le 9 novembre 63. Les comparaisons paléographiques parlent en faveur de l'an 163.4

2. L'eh::6vrov dcrq>op&.

Le terme dcrcpopa dénote à l'origine une contribution extraordinaire dans l'Athènes classique.s Or l'éditeur établit un parallèle entre l'dKÔvwv dcrcpopa, ou contribution sur les images, et une autre taxe attestée à la même période, le cr'tÉ- cpavoç. Cette dernière taxe, destinée à J'origine à honorer les souverains lagides, est devenue, dès la fin du lllème siècle, une simple taxe foncière sur les terres des clérouques.6 L'éditeur mentionne aussi des contributions destinées à payer l'érec-

tion de statues pour des empereurs romains qui accédaient au trône; ces contribu- tions se transforment en de banales taxes, prélevées régulièrement. Il faudrait par conséquent supposer un glissement de sens pour le terme dcrcpopa, lequel, de con- tribution extraordinaire, s'appliquerait finalement à une taxe tout à fait ordinaire.

L'interprétation proposée ici pose cependant un grave problème. En effet, si J'on suppose que la contribution appelée ctKÔvwv dcrcpopa n'avait plus un carac- tère extraordinaire au Hème siècle av. J.-C., on peine à expliquer pourquoi, dans toute la documentation papyrologique parue jusqu'à ce jour, il n'existe aucun pa- rallèle à J'appellation ctKÔvwv dcrcpopa.? Pour une taxe devenue ordinaire, ce fait ne peut que susciter J'étonnement. La terminologie administrative en Égypte ptolé- maïque laisse rarement la place au hasard ou à l'imprécision. Si le terme êtcrcpopa apparaît, nous n'avons aucune raison a priori de ne pas admettre son sens d'origine de contribution extraordinaire.

Il convient également de nous pencher sur le sens précis à donner au mot ctKwv. Sur le plan étymologique, il signifie "représentation", c'est-à-dire la repro- duction aussi fidèle que possible d'une personne. Ainsi, EtKWV est opposé à aya'A-

j.lŒ, utilisé d'ordinaire pour désigner des statues de dieux, alors qu'dKÛ)V repré-

2 Münchner Beitrtige zur Papyrusforschung und antiken Rechtsgeschichte 39, München, 1954, 13-17.

3 L'éditeur avait cité la date du 30 octobre, confondant le système de datation romain, basé sur une année de 365 jours et un quart (la correction s'effectuant tous les quatre ans), avec le système de datation ptolémaïque, hasé sur une année de 365 jours exactement. Au lieu d'utiliser les tables de T.C. Skeat (op. cit.), l'éditeur a sans doute recouru à celles figurant dans l'ouvrage de R.S. Bagnall et K.A. Worp, The Chronological Systems of Byzantine Egypt, Zutphen, 1978, 95-

102. La correction a déjà été apportée parC. Balconi, Aeg. 66 ( 1986) 280.

4 C. W ehrli cite R. Sei cler, Paliiu~ral'hie der griechischen Papy ri 1, Stuttgart, 1967, pl. 5, da- tant de 163 av. J.-C. On retiendra en outre, dans la même série, vol. III, 1, Stuttgart. 1990, p. 335, UPZ 1 17, datant également de 163 av. J.-C.

5 Cf. B.A. van Groningen, "De trihuto quoù Eicrcpopa dicitur", Mnemosyne 56 (1928) 395-408;

R. Thomsen, Eisphora: A Suu/y (~( Direc:t Taxation in Ancien/ Athens, K0benhavn, 1964 (= Hunwn.itas Ill).

6 Cf. C. Préaux, L'économie royale des Lagides, Bruxelles, 1939, 395.

7 Le fait a déjà été constaté par F.A.J. Hoogendijk, Mnemosyne 45 ( 1992) 283.

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P. Schubert, L'eiK6vwv ei<J<popa et l'autorité restaurée du roi 919

sente des mortels. 8 A la période hellénistique, la distinction perd évidemment de son acuité, puisque les souverains - notamment en Égypte - jouissent d'un statut divin: le terme ci.Kwv en vient à désigner les représentations cultuelles des rois.9 Néanmoins, à strictement parler, dKwv ne désigne pas un dieu, mais seulement un humain, ou par extension un souverain divinisé. ID

Ces considérations m'amènent à proposer une première esquisse d'interprétation pour notre document. A une date qu'il nous faudra préciser dans la mesure du possible, un souverain décrète la levée d'un impôt extraordinaire destiné à la con- fection ou au rétablissement d'images. Si le style de l'écriture de notre papyrus permet d'écarter sans grande hésitation les deux dates retenues au Ier siècle avant notre ère, en revanche, les dates de 187 et 163 sont suffisamment proches pour que le critère paléographique ne joue pas de rôle déterminant. Nous devons par conséquent nous pencher sur le contexte historique des deux dates en concurrence pour tenter d'y voir clair.

Commençons avec la première de ces dates, à savoir le 10 décembre 187.

Moins d'une année plus tard, en août 186, Ptolémée V met fin à la révolte qui sévit en Thébaïde, et affermit ainsi son autorité sur le pays. Suite à cette victoire, le clergé égyptien promulgue un décret sacerdotal connu sous l'appellation de "Phi- lensis II", datant du 6 ou du 12 septembre 186.11 Ptolémée V y est honoré en re- merciement pour sa bienveillance envers les institutions religieuses égyptiennes.

Or, parmi ces bienfaits, on trouve le rétablissement des images de culte détruites, sans doute pendant les troubles qui secouent l'Égypte à cette période, et qui s'achèvent avec la victoire du roi en Thébaïde en août 186.12 On pourrait alors

8 Cf. L. Robert, Études anatoliennes, Paris, 1937, 17, n. 2; R.R.R. Smith, lfellenistic Royal Portraits, Oxford, 1988, 16. lsocr. 9, 57: un:èp &w h).leÎç J.tèv aùtoùç Ètl).l~CTO:).lêV taîç J.lëylCHŒIÇ tiJ.laÎç Kat tàç eiKOV cxc; aùtwv Ècrt~cra~tev' oi>n:ep tO tOÛ il IOÇ ayCXÀ.j.I.CX tOÛ (j(J)til poç, Kt À..; Dio Cass. 59, 4, 4 (à propos de l'empereur Caligula): n:poç oè tOUtOIÇ tÏKOVCXÇ te èotcxyopeucraç KCXt"

apxàç J.lllOÉva autoÛ tcrtavat, Kat Èç àycxÀ.j.l.cl-trov n:OtllcrtV n:pOëXWPllCiê.

9 Cf. F. Prcisigkc 1 E. Kicssling, Worterbuch der griechischen Papyrusurkwulen ... , vol. 1 ( 1925), s. v. eiKÙ>v 2). Le premier sens proposé ("Gotterbild") est erronné: dans le texte cité (OG/S 56, 61), il est question de représentations des reines. Cf. aussi Worterbuch IV (1966), s.v. eiKrov 2); le sens 1 ), attesté par un document du IV ème siècle de notre ère. n'a pas de pertinence dans le présent contexte.

10 On peut certes supposer que le mot a connu un élargissement progressif de son champ sé- mantique; dans cc cas, les eiK6veç dont il est question sur notre papyrus pourraient, à la rigueur, correspondre à des statues des dieux; cf. R.R.R. Smith, op. cit. (n. 8), 16, n. 17; OGIS 383, 26 (Commagène). Dans le commentaire de Jérôme au livre de Daniel (Il, 6-9), qui tire ses sources de Porphyre de Tyr, il est question de Ptolémée Ill. qui reçoit son titre d'Évergète pour avoir ramené en Égypte 2500 simu/acra deorum (FGrHist 260 F 43). Le terme simulacrum correspondrait d'assez près au mot grec eiKrov. Toutefois, l'éloignement des sources interdit de tirer une conclu- sion trop définitive de cc passage.

11 Cf. K. Sethe, lfieroglyphische Urkunden der griechisch-romischen Zeit, Leipzig, 1904, Il, 214-210.

12 K. Sethc, op. cit. (n. Il), Il 220.2-4: "Il (= le roi) donna de l'or, de l'argent cl toutes sortes de blocs de granit, aussi nombreux que possible, pour faire réapparaître les statues des dieux, qui avaient été trouvées détruites dans les sanctuaires. et pour pennettrc qu'elles soient (à nouveau) à

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920 Archiv für Papyrusforschung, Bcihcft 3. 1997

émettre l'hypothèse que l'eicrcpopà eiK6vwv a consisté en une levée extraordinaire, ordonnée par le roi, et destinée à rétablir les images de culte détruites à l'occasion des troubles précédant l'année 187.11 Le cas échéant, il serait possible d'établir un lien entre le P.Gen. II 86 et le décret Philensis II: le décret inclurait des remercie- ments pour la mesure royale dont le P.Gen. II 86 serait un témoignage. Toutefois, cette première interprétation se heurte à un problème de terminologie. Comme nous l'avons vu précédemment, le terme eiKwv dénote selon toute vraisemblance la représentation d'un souverain, et non celle d'une dieu. Il faudrait supposer, à la limite, que le texte du décret Philensis II désigne par la tournure "statues des dieux" les statues des souverains divinisés, et par extension celles des dieux dont les souverains partagent les sanctuaires.

Cette hésitation m'incite à préférer la seconde date, le 4 décembre 163, sans toutefois pouvoir absolument exclure la première hypothèse.14 C'est en 170 que le jeune Ptolémée VI associe à son règne sa sœur Cléopâtre II, en même temps que son frère cadet, Ptolémée VIII (le futur Évergète II). Pour marquer le début d'une ère nouvelle, les souverains inaugurent une nouvelle série d'années de règne: ainsi, la 12ème année du règne de Ptolémée VI devient la première année du règne conjoint de Ptolémée VI, Ptolémée VIII et Cléopâtre II. Les choses se gâtent en 164, d'abord avec la révolte de Pétosarapis en Thébaïde, puis avec l'expulsion de Ptolémée VI par son frère cadet Ptolémée VIII, en automne 164. Le comportement scandaleux de Ptolémée VIII a toutefois rapidement raison de la patience des Alexandrins, qui le chassent vers le début de l'été 163. Ptolémée VI est alors rappelé sur le trône, qu'il ne lâchera plus jusqu'en 145.15 Après avoir rétabli la situation en 163, Ptolémée VI interrompt la série des années de règne à trois, et re- prend l'ancienne numérotation correspondant à la période où il régnait seul, mais en maintenant sa soeur Cléopâtre à ses côtés.

La situation de l'été 163 demande que l'on s'y arrête quelques instants. Le Cor- pus des Ordonnances des Ptolémées contient plusieurs décrets datant de cette année.16 Le 13 août 163, le roi fraîchement revenu d'exil accorde un lot de terres

leur place". Le texte hiéroglyphique comporte une brève lacune au début de la ligne 2, mais la re- stitution est assurée par la version parallèle en démotique qui, elle, est conservée. Je dois cette tra- duction littérale au professeur E. Grzyhek (Lausanne ct Genève), qui m'a en outre fait part de plusieurs suggestions fort intéressantes lors de la préparation de cc travail; qu'il trouve ici l'expres- sion de ma reconnaissance amicale.

l3 Si le P.Gen. Il 86 date du 10 décembre 187, il a été rédigé avant l'écrasement de la révolte en Théhaïde. Il faut donc supposer que le roi est déjà en train de lever un impôt pour le rétablissement des images de culte en Moyenne Égypte, avant même d'en avoir fini avec la Haute Égypte. Dans le même ordre d'idée. le décret d'amnistie P. Koln VII 313 = C.Ord. Ptol. 34 (9 octobre 186), doit être considéré dans le cadre des succès remportés par Ptolémée V en Thébaïde en août 186; cf.

G. Holbl, Geschichtc des Ptolemiierrciches, Darmstadt, 1994, p. 138.

14 CL P.M. Fraser, Ptolemaic i\le.wndrio 1. Oxford. 1972, 119-121; G. Hülhl, op. cit. (n. 13), 12X-134 ct 157-171.

15 Cf. M. Chauvcau, "Un été 145", /3/FAO 90 ( 1990) 135-168, en particulier 146.

16 M.-Th. Lenger, Corpus des Ordonnances des Ptolémées, Bruxelles, 1964, et Suppl., dans la réimpression de 1980, 369-418; v. en particulier les numéros 33 à 36. Du même auteur, Corpus

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P. Schubert. L'eiKovwv eicr<popa ct l'autorité restaurée du roi 921

confisquées au gymnase de Théra (Santorin).17 Un document datant du 22 septembre 163 fait état d'une amnistie récemment déclarée par le souverain.18 Fi- nalement, un document datant du 8 octobre 163 contient un ordre d'exécution de Ptolémée VI et Cléopâtre II touchant l'allocation d'une arriéré d'indemnités en na- ture à des prêtresses du Serapeum de Memphis.

Ces divers témoignages nous montrent un souverain qui, en dépit de son jeune âge (il n'a que 23 ans lorsqu'il retrouve son trône), cherche à reprendre la situation en main. Le roi doit affirmer son autorité par des décrets qui ramèneront l'ordre dans son royaume affaibli, et la promulgation des amnisties lui permet de regagner la faveur de ses sujets. Or, pour justifier sa position, le roi est amené à faire réta- blir les images (EiKovE.ç) de ses ancêtres divinisés: excellent moyen de légitimer sa position sur le trône d'Égypte. On ne peut d'ailleurs pas exclure que Philométor ait décrété la mise en place de statues le représentant lui-même: en effet, les trou- vailles archéologiques nous ont livré plusieurs têtes de pierre de ce souverain.19 Le procédé n'est pas nouveau, puisque des décrets sacerdotaux de 217, 196 et 186 contiennent déjà des clauses relatives à l'érection de statues en l'honneur des sou- verains régnants.20 Une partie de I'E.tKOvû)v dcrc:popâ, prélevée en nature, servira sans doute aussi à remplir à nouveau les greniers royaux, lesquels ont dû se vider pendant la période de troubles qui précède immédiatement.

En conclusion, quelle que soit celle des deux dates que nous retiendrons, 187 ou 163, I'dKovcov dcrc:popâ apparaît comme une mesure extraordinaire décidée par un souverain, et s'inscrivant dans une politique plus globale destinée à raffermir son autorité sur le pays. Que les EtKovE.ç représentent le souverain lui-même, ou ses ancêtres, ou encore, par extension, les divinités égyptiennes, le but visé reste le même.

des Ordonnances des Ptolémées: bilan des additions et corrections ( 1964-1988), compléments à la bibliographie (= Pap. Brux. 24). Bruxelles, 1990. en particulier p. 13-14 ct 23-24. Compléments dans P.Küln VIl 313, p. 64, 11. 7. CL aussi W. Clarysse, Clt 69 ( 1994) 107-1 OS. Le fragment d'or- donnance édité par L. Migliardi Zingale, Alli XVII congr. int. di papirologia Ill, Napoli, 1984, 889- 900, est repris sous l'appellation SB XVI 12821 = PUG Ill 91.

17 C.Ord. Ptol. 33 = OGIS 1 59.

18 C.Ord. Ptol. 35

=

UPZ 1 110. En ce qui concerne C.Ord. Ptol. 34

=

P.Kroll, M.-Th. Lenger hésitait entre deux dates, le 17 août 163 ou le 9 octobre 186. La réédition du texte (P.Koln VII 313) a permis d'établir de manière définitive que le contenu de l'ordonnance date du 9 octobre 186.

l9 CL H. Kyrieleis, Bildnisse der Ptolemüer, Archiiologische Forschungen 2, Berlin, 1975, p. 58-62 +pl. 46-51; G. Hülbl, op. cit. (n. 13), p. 162, pl. Il; R.R.R. Smith, op. cit. (n. 8), pl. 46.

2

°

Cf. G. Hülbl, op. cit. (n. 13), p. 147; W. Huss, "Die in plolcrnaischcr Zcit vcrfasslen Syno- dai-Dckrelc der iigyplischen Pries ter", ZPE 88 ( 1991) 189-208. Le déc rel de Roselle (OG/S 1 90,

38; 27 mars 196) contient la clause suivante: crt~<mt 8è -roû aiwvo~iou ~acrtÀÉwç Oto(ÀE)J.wiou 1

8toû 'Errt<pavoûç Eùxapicrwu EiK6va 1 f.v ÉKacrtüH i.epéût f.v téût f.rrt<pa[vtcrtatwt -r6rrwt].

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