• Aucun résultat trouvé

Probl` eme d’alg` ebre

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Probl` eme d’alg` ebre"

Copied!
6
0
0

Texte intégral

(1)

Correction : Devoir surveill´e n˚1

MP Clemenceau 2020-21 Vendredi 11 septembre 2020

Probl` eme d’alg` ebre

SoitE unK espace vectoriel (K= IR ou C) et uun endomorphisme de E. On d´esigne par ker(u) le noyau deuet Im(u) l’image deu.

Pour tout entierkstrictement positif,ukd´esigne l’endomorphismeu◦u◦u· · ·◦u(kfois) etu0d´esigne l’application identique deE.

PREMIERE PARTIE

A -

Dans cette partie,E d´esigne un espace vectoriel sur IR dont une base estB= (e1, e2, e3, e4).

Soitul’endomorphisme de E tel que la matrice deupar rapport `a cette base est :

M =

1 1 0 0

−1 −1 0 0

0 0 −1 1

0 0 1 −1

1) D´eterminer le rang deuet donner une base de Im(u), une base de keruen fonction des vecteurs de la base B.

Correction :le rang est invariant par op´erations ´el´ementaires sur les lignes et colonnes, on a donc :

rg(M) =

C1−C2→C1

rg

0 1 0 0

0 −1 0 0

0 0 −1 1

0 0 1 −1

=

C3+C4→C3

rg

1 0 0

−1 0 0

0 0 1

0 0 −1

= 2

Autre r´edaction : Les colonnesC1 et C2 sont ´egales, les colonnesC3 et C4 sont oppos´ees, etC1et C3 sont clairement non colin´eaires, donc le rang de M est 2.

L’image d’un endomorphisme est engendr´e par l’image des vecteurs d’une base.

On a donc Im(u) =vect{e1−e2, e3−e4}. Donc une base de Im(u) est (e1−e2, e3−e4).

D’apr`es le th´eor`eme du rang, comme rg(u) = 2, le noyau deuest un sous espace vectoriel deEde dimension 2. D’apr`es les calculs pour obtenir le rang on a u(e1−e2) = 0 et u(e3+e4) = 0. Les vecteurs e1−e2 et e3+e4sont clairement non colin´eaires, on en d´eduit qu’une base de ker(u) est (e1−e2, e3+e4).

2) Calculer M2, M3 et montrer que pour tout entierp>2, il existe un r´eel αp et une matrice A telle que : MppA.

Expliciter alorsMp. Correction :On a :

M2=

0 0 0 0

0 0 0 0

0 0 2 −2

0 0 −2 2

M3=

0 0 0 0

0 0 0 0

0 0 −4 4

0 0 4 −4

Si on poseA =

0 0 0 0

0 0 0 0

0 0 −1 1

0 0 1 −1

, alorsM2 =−2A et M3 = 4A. On remarque queA2 =−2A et on a alors, par r´ecurrence, que, pourp∈IN\ {0,1},Mp= (−2)p−1A.

(2)

3) (a) Donner une base, en fonction des vecteurs de la baseB, de chacun des sous-espaces vectoriels suivants : Im(u2), ker(u2), Im(u3), ker(u3).

Correction :`a l’aide des matrices trouv´ees `a la question pr´ec´edente on obtient :

Im(u2) = Im(u3) =V ect(e3−e4) et ker(u2) = ker(u3) =V ect(e1, e2, e3+e4) (b) D´eterminer : ∀k>2, ker(uk), Im(uk).

Correction : Soitk>2. Comme les matrices dans la baseBdeuk sont proportionnelles `a celle deu2 on a directement que Im(uk) =V ect(e3−e4) et ker(uk) =V ect(e1, e2, e3+e4)

(c) Montrer queE= ker(u2)⊕Im(u2).

Correction :on montrer que la famille (e1, e2, e3+e4, e3−e4) est libre donc une base deE, pour en d´eduire le r´esultat.

B -

SoitK[X] l’espace vectoriel des polynˆomes `a coefficients dans le corpsKetdl’endomorphisme deK[X] qui

`

a un polynˆomeP associe son polynˆome d´eriv´eP0.

4) dest-il injectif ?dest-il surjectif ? Comment peut-on en d´eduire queK[X] n’est pas de dimension finie ? Correction : d n’est pas injective car deux polynˆomes diff´erents d’une constante ont mˆeme d´eriv´ee. On peut dire aussi que le noyau de cette application est IR0[X] qui n’est pas r´eduit `a 0.

dest surjective car tout polynˆome admet une primitive dansK[x].

Tout endomorphisme d’un espace vectoriel de dimension finie est injectif si et seulement si il est surjectif si et seulement si il est bijectif. Commedest surjective mais non injective,K[X] n’est pas de dimension finie.

5) D´eterminer : ∀q∈IN, ker(dq).

Correction :par r´ecurrence (par exemple) on a ker(dp) =Kp−1[X]. On peut aussi le justifier en raisonnant sur le degr´e.

DEUXIEME PARTIE

Soituun endomorphisme deE, pour tout entier naturelp, on noteraIp = Im(up) et Kp= ker(up).

6) Montrer que :∀p∈N, Kp⊂Kp+1 etIp+1⊂Ip.

Correction : Soity ∈Im(up+1), il existe x∈E tel quey =up+1(x). Pour un telxon a alors up+1(x) = up(u(x)), doncy est un ´el´ement de Im(up).

Conclusion :Ip+1⊂Ip.

Soitx∈ker(up), on aup+1(x) =u(up(x)) =u(0) = 0, doncxest ´el´ement de ker(up).

Conclusion :Kp⊂Kp+1.

7) On suppose queE est de dimension finie etuinjectif. D´eterminer : ∀p∈N, Ip etKp.

Correction :en dimension finie tout endomorphisme injectif est bijectif. La compos´ee d’applications bijec- tives est bijective, donc, pourp∈IN,Ip=E et Kp={0}.

8) On suppose queE est de dimension finiennon nulle etunon injectif.

(a) Montrer qu’il existe un plus petit entier naturelr6ntel que :Kr=Kr+1.

Correction : Pour p ∈ IN l’inclusion Kp ⊂ Kp+1 implique que dim(Kp) 6 dim(Kp+1). La suite (dim(Kp))p∈IN est donc une suite d’entiers croissante et major´ee par dim(E), elle est donc constante `a partir d’un certain rang. L’ensemble{k∈IN/Kk=Kk+1}est donc une partie non vide de IN, il admet donc un plus petit ´el´ement r. La suite (dim(Kk))k∈[[1,r]] est alors strictement croissante. On obtient alors par r´ecurrence que dim(Kr)>r−1 + dim(K1). Par hypoth`ese dim(K1)>1, donc dim(Kr)>r.

Or dim(Kr)6dim(E) d’o`ur6n. On a doncKr⊂Kr+1et dim(Kr) = dim(Kr+1), doncKr=Kr+1. (b) Montrer qu’alors :Ir=Ir+1 et que :∀p∈N, Kr=Kr+p et Ir=Ir+p.

Correction : On a, d’apr`es la question 6) queIr+1⊂Ir, de plus, d’apr`es le th´eor`eme du rang et ce qui pr´ec`ede :

dim(Im(ur)) = dim(E)−dim(ker(ur)) = dim(E)−dim(ker(ur+1)) = dim(Im(ur+1)) On en d´eduit queIr=Ir+1.

Soit p > r, supposons que Ip = Ip+1. On a toujours, d’apr`es la question 6) que Ip+2 ⊂ Ip+1. Soit y∈Ip+1, alors il existex∈E tel quey=up+1(x) =u(up(x)). Par hypoth`eseIp =Ip+1 donc il existe

(3)

x0 ∈E tel queup(x) =up+1(x0). On a alorsy =up+2(x0). On en d´eduit que Ip+1⊂Ip+2 et par suite Ip+1=Ip+2.

On vient donc de montrer par r´ecurrence que pour toutp>r,Ip =Ip+1, et par suite que pour tout p>0,Ir+p=Ir.

Pour p∈ IN, l’inclusion Kr ⊂Kr+p et le th´eor`eme du rang (dim(E) = dim(Kr) + dim(Ir)), permet d’avoir l’´egalit´eKr=Kr+p.

(c) Montrer que :E=Kr⊕Ir.

Correction :soitx∈Kr∩Ir. Il existey∈Etel quex=ur(y). On a aussiur(x) = 0, d’o`uu2r(y) = 0, doncyest un ´el´ement deK2r. Or d’apr`es la question pr´ec´edenteK2r=Kr, doncur(y) = 0 et par suite x= 0.

D’apr`es le th´eor`eme du rang dim(E) = dim(Kr) + dim(Ir), on en d´eduit queE=Kr⊕Ir. 9) LorsqueE n’est pas de dimension finie, existe-t-il un plus petit entier naturelr tel queKr=Kr+1?

Correction :si on reprend l’exemple de la d´erivationd, on a pour toutr Kr= IRr−1[X] et doncKr6=Kr+1.

(4)

Probl` eme d’analyse

PARTIE I

1) On d´efinit la fonctionϕsurh

−π 2,π

2 i

par :ϕ(t) =1 t − 1

sin(t) sit6= 0 etϕ(0) = 0.

(a) i. Donner le d´eveloppement limit´e deϕau voisinage de 0 `a l’ordre 4.

Correction : soit t au voisinage de 0, diff´erent de 0. On a, en utilisant la parit´e de la fonction sinus

sin(t) =t− 1 3!t3+ 1

5!+o(t6) On a alors :

ϕ(t) = 1

t − 1

t−3!1t3+5!1 +o(t6) = 1 t −1

t

1

1−3!1t2+5!1t4+o(t5) On utilise alors le d´eveloppement limit´e en 0 deu7→ 1

1−u. Par parit´e de la fonction l’ordreest toujours 5 :

1

1−3!1t2+5!1t4+o(t5) = 1+

1 3!t2− 1

5!t4

+ 1

3!t2 2

+o(t5) = 1+1 3!t2+

−1 5!+ 1

(3!)2

t4+o(t5) On obtient finalement :

ϕ(t) =−1 3!t−

−1 5!+ 1

(3!)2

t3+o(t4) =−1 6t− 7

360t3+o(t4) ii. En d´eduire queϕest continue et d´erivable en 0. Pr´eciserϕ0(0).

Correction :toute fonction admettant un d´eveloppement limit´e d’ordre 1 en 0 est, par d´efinition, d´erivable en 0. Elle est par cons´equent continue en 0. De plus on aϕ0(0) =−1

6. (b) Montrer que ϕest de classeC1 surh

−π 2,π

2 i. Correction :Comme la fonction est d´erivable surh

−π 2,π

2 i

elle y est continue. Il faut montrer que la d´eriv´ee y est aussi continue pour que la fonction soit de classeC1.

Pourt∈h

−π 2,π

2

i\ {0} on aϕ0(t) =−1

t2 + cos(t)

sin(t)2. On a alors, sur un voisinage de 0 : ϕ0(t) =−1

t2+ 1−2!1t2+o(t2)

(t−3!1t3+o(t3))2 =−1 t2+1

t2

1−2!1t2+o(t2)

(1−3!1t2+o(t2))2 =−1 t2+1

t2

1− 1

2!t2+o(t2) 1 + 2

3!t2+o(t2)

En d´eveloppant on obtient alors :ϕ0(t) =−1

6+o(1). On en d´eduit que lim

t→0ϕ0(t) =−1 6. Conclusion :ϕest bien de classeC1sur h

−π 2,π

2 i

. (c) Soit la fonctionψd´efinie surh

−π 2,π

2 i

par :ψ(t) = t

sint sit6= 0 etψ(0) = 1.

Montrer queψest une fonction de classeC1 surh

−π 2,π

2 i

. Pr´eciserψ0(0).

Correction :ψest une fonction de classeC1 surh

−π 2,π

2 i

comme rapport de fonctions de classeC1. De plus on a, `a l’aide du d´eveloppement limit´e de la fonction sinus en 0, que, sur un voisinage de 0, on aψ(t) = 1 +16t2+o(t2). On en d´eduit queψest continue et d´erivable en 0 et queψ0(0) = 0.

Pourt∈h

−π 2,π

2

i\ {0},ψ0(t) =sin(t)−tcos(t) sin2(t) .

On en d´eduit que sur un voisinage de 0 :ψ0(t) = o(t2)

t2(1 +o(1)) =o(1). Par suite lim

t→0ψ0(t) = 0 et donc ψest de classeC1.

2) Soientaetb r´eels tels quea < b. Soitg une fonction de classeC1 sur [a, b] `a valeurs r´eelles.

Montrer, `a l’aide d’une int´egration par parties, que :

b

Z

a

g(t) sin(λt)dt tend vers 0 lorsqueλtend vers +∞

(5)

Correction : les fonctionsg ett7→ −1

λcos (λt) sont de classeC1sur [a, b], on a donc par int´egration par parties :

Z b a

g(t) sin(λt) dt=

g(t)

−1

λcos (λt) b

a

+ Z b

a

1

λcos (λt)g0(t) dt

La fonction g ´etant de classe C1 sur le segment [a, b] elle est born´ee et sa d´eriv´ee est aussi born´ee (elles atteignent toutes les deux leurs bornes mais ce n’est pas utile ici). Il existe doncM etM0tel que pour tout t∈[a, b]|g(t)|6M et|g0(t)|6M0. On a alors

Z b a

g(t) sin(λt) dt

6 2 λM +1

λ Z b

a

M0dt6 1

λ(2M+ (b−a)M0) On en d´eduit par comparaison que lim

λ→+∞

Z b a

g(t) sin(λt) dt= 0.

Remarque : on pouvait se passer deM en majorant par |g(a)|et |g(b)|.

3) Soitn∈IN. On d´efinit Sn sur [0, π] par :Sn(t) = 1 + 2

n

X

k=1

cos(2kt).

(a) i. Montrer,sans r´ecurrence, que :∀t∈]0, π[, Sn(t) =sin((2n+ 1)t) sin(t) Correction :on utilise les complexes : soitt∈]0, π[

Sn(t) =< 2

n

X

k=0

e2kt

!

−1 =<

2e2(n+1)t−1 e2t−1 −1

=<

2 entsin((n+ 1)t) sin(t) −1

Sn(t) = 2 cos(nt) sin(n+ 1)t)−sin(t)

sin(t) =sin((2n+ 1)t) + sin(t)−sin(t)

sin(t) = sin((2n+ 1)t) sin(t) ii. CalculerSn(0) etSn(π).

Correction :on revient `a la d´efinition deSn(t) : Sn(0) = 1 + 2

n

X

k=1

cos(0) = 1 + 2nde mˆemeSn(π) = 1 + 2

n

X

k=1

cos(2kπ) = 1 + 2n

(b) Calculer la valeur de l’int´egraleJn =

π/2

Z

0

sin((2n+ 1)t) sin(t) dt.

Correction : cette int´egrale est correctement d´efinie car l’int´egrande est prolongeable par continuit´e en 0 et en π

2. Elle correspond `a Sn sur l’intervalle ouvert et donc

Jn=

π/2

Z

0

sin((2n+ 1)t) sin(t) dt=

Z π/2 0

1 + 2

n

X

k=1

cos(2kt) dt= π 2 + 2

n

X

k=1

1

2k[sin(t)]π/20 = π 2

PARTIE II

4) (a) D´eterminer la limite de Z π/2

0

ϕ(t) sin((2n+ 1)t)dtlorsquentend vers +∞.

Correction : la fonctionϕest de classe C1 d’apr`es la question1b), on peut donc utiliser le r´esultat de question2)et par composition de limite on a

π/2

Z

0

ϕ(t) sin((2n+ 1)t) dt= 0.

(b) En d´eduire la limite deIn=

π/2

Z

0

sin((2n+ 1)t)

t dtlorsquentend vers +∞.

Correction : pour n∈INon a, par lin´earit´e de l’int´egrale,In= Z π/2

0

ϕ(t) sin((2n+ 1)t) dt+Jn. A l’aide de la question3) et la question4a)on en d´eduit que lim

n→+∞In =π 2.

(6)

5) (a) i. V´erifier que la fonctionf d´efinie parf(t) = sint

t se prolonge en une fonction continue surR. Correction :f est clairement d´efinie et continue sur IR, de plus lim

t→0

sin(t)

t = 1, doncf se prolonge sur IR en une fonction continue.

On noteF la fonction d´efinie surR+ par :F(x) =

x

Z

0

sint t dt.

ii. ComparerF

(2n+ 1)π 2

etIn.

Correction :on utilise le changement de variablet= (2n+ 1)uet on a F

(2n+ 1)π 2

=

Z (2n+1)π/2 0

sin(t) t dt=

Z π/2 0

sin((2n+ 1)t) t dt=In

(b) i. Soit xr´eel, x > π

2. Justifier l’existence de n ∈ N (d´ependant de x) tel que : (2n+ 1)π

2 6 x <

(2n+ 3)π 2.

Correction :soitx6 π

2. Le r´eel 1 2

2x π −1

est positif. On pose alorsnsa partie enti`ere. C’est l’unique entier naturel qui v´erifie :n61

2 2x

π −1

< n+ 1. Cette double in´egalit´e est ´equivalente

`

a (2n+ 1)π

2 6x <(2n+ 3)π

2. D’o`u l’existence et l’unicit´e den.

On noteα(x) = (2n+ 1)π 2. ii. Montrer que

x

Z

α(x)

sint

t dttend vers 0 lorsquextend vers +∞.

Correction :On a :

Z x α(x)

sin(t) t dt

6 Z x

α(x)

1 t dt Or

Z x α(x)

sin(t) t dt= ln

x α(x)

et, par d´efinition deα(x),x−π < α(x)6x.

On a donc lim

x→+∞

x

α(x)= 1. Par suite lim

x→+∞

Z x α(x)

sint t dt= 0 (c) En d´eduire queF(x) admet une limite`sixtend vers +∞. Pr´eciser`.

Correction : pourx∈IR on aF(x) =F(α(x)) + Z x

α(x)

sint

t dt=Iα(x)+ Z x

α(x)

sint

t dt. Par d´efinition deα(x) on a lim

x→+∞α(x) = +∞. On en d´eduit `a l’aide des questions4b)et5bi)que lim

x→+∞F(x) = π 2. 6) (a) Soientxety r´eels, tels que y > x >0. Montrer que :

y

Z

x

sint t dt

6 2

x. (On effectuera une int´egration par parties).

Correction :pourxet ytels quey > x >0, les fonctionst7→ −cos(t) ett7→ 1

t sont de classeC1 sur [x, y], on a alors, par int´egration par parties :

Z y x

sint t dt=

−cos(t) t

y

x

+ Z y

x

cos(t) t dt

On en d´eduit en majorant|cos| par 1 avant d’int´egrer la seconde int´egrale et par in´egalit´e triangulaire

Z y x

sint t dt

6 1

x+1 y + 1

x−1 y (b) En d´eduire que :∀x >0, |`−F(x)|6 2

x. Correction : on a

Z y x

sint

t dt = F(y)−F(x), il suffit de faire tendre y vers l’infini pour avoir le r´esultat.

Références

Documents relatifs

[r]

[r]

Les droites (AB) et (CD) sont parallèles si et seulement si −→. AB

[r]

D´ eduire de 2.b-2.d que dans un espace localement compact une inter- section d´ enombrable d’ouverts denses est dense (c’est le th´ eor` eme de

La matrice A est inversible car l'algorithme du pivot partiel permet de se ramener à une forme triangulaire, on peut poursuivre alors pour calculer l'inverse.. Il existe un

3) Montrer en utilisant la question pr´ ec´ edente que l’image d’un parall´ elogramme par une application affine est un

La formulation du lycée est une forme condensée qui ne doit pas faire oublier qu’il s’agit en fait de deux énoncés (énoncé direct et énoncé réciproque). Cela est fondamental