• Aucun résultat trouvé

Sur quelques expériences de réfraction conique

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "Sur quelques expériences de réfraction conique"

Copied!
2
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00237041

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237041

Submitted on 1 Jan 1875

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

Sur quelques expériences de réfraction conique

Nodot

To cite this version:

Nodot. Sur quelques expériences de réfraction conique. J. Phys. Theor. Appl., 1875, 4 (1), pp.166-166.

�10.1051/jphystap:018750040016601�. �jpa-00237041�

(2)

166

élevé à une

température

de 414

degrés.

Le fer fondant à 1500 de-

grés, on aura la

longueur

l du fil

qui

serait fondu par la

décharge,

, ~ , ,

~ 1 t ...

1" lIn

en

posant 2013.2013

= 1 JOO~ t üu

l = O"’., 2~ .

SUR QUELQUES EXPÉRIENCES DE RÉFRACTION CONIQUE;

PAR M. NODOT,

Preparateur de Physique à la Faculté de Dijon.

Jusqu’ici

ce sont surtout lcs cristaux

d’arragonitc cjui

ont servi

;1 manifester les

phénomènes

de la réfraction

comicjuc.

La rareté

de cristaux un peu

épais

de cette substance a

poussé plusieurs physiciens

à améliorer le système

optique

par

lequel

on

agrandit l’angle

du cône extérieur propre à ce genre de

phénomènes;

mais

une v oie restait ouverte, a savoir la recherche de cristaux naturels

ou artificiels

capables

de rivaliser, par

l’énergie spécifiques l’épais-

seur et la

limpidité,

avec

l’arragonite. A

en

juger

par les valeurs des trois indices propres a de nombreux cristaux

biaxes, l’arrago-

~~ite serait le minéral le

plus

favorable ; mais lcs

espèces chimiques

sont si nombreuses

qu’on

devait

espérer

y rencontrer des cristaux

qui

lui fussent

supérieurs

sous ce rapport.

C’est ce

qui

m’est arrivé. Je

remplace

avantageusemcllt, dans les

,

appareils

de la réfraction

conique, l’arragonite

par une des trois substances suivantes, dont on trouve aisément dans le commerce

des cristaux

épais

et

limpides :

le sucre, le bichromate de potasse et l’acide

tartrique.

La taille des deux

premiers

ne réclame aucun tàtonnement, car une face naturelle pour le sucre et une face de

clivage

pour le bichromate se trouvent être nolmales à l’un des axes

optiques.

Pour l’acide

tartrique,

il Il’en est pas de même, et il faut

chercher par tâtonnement la direction des faces à travers

lesquelles

on verra l’un des axes. On y arrive asscz v ite en se

guidant

par

l’emploi

du

microscope d’Amici,

et l’on est

récompensé

de sa

peine

par

l’énergie

des cristaux,

qui,

à

épaisseur égale,

donnent, dans le

même

appareil,

un cône deux fois

plus

ouvert

qu’avec l’arragonite.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018750040016601

Références

Documents relatifs

des cristaux épais et limpides : le sucre, le bichromate de potasse et l’acide tartrique. La taille des deux premiers ne réclame aucun tàtonnement, car une face

ducteur est assez forte, sa distance convenable et la surface des deux petites boules assez grande par rapport à celle des fibres de lin et du petit anneau, on

Pour la surface vue par réflexion, la partie du champ correspondant aux rayons réfléchis totalement sera tout à fait éclairée, l’autre partie le sera moins,

- Nos mesures mettent nettement en évidence l’exis- tence d’une anomalie de dispersion de l’acide tartrique en solution aqueuse étendue : même pour la solution à

Notre approche va consister à étudier la distribution de l’indice de Rand et de celui dérivé de Mac Nemar en engendrant par simulation des partitions qui devraient être proches

2014 La méthode des impulsions de chaleur a été utilisée pour étudier dans le quartz la propagation des phonons de polarisation transversale dont le vecteur d’onde

nante, que la force avec laquelle le disque était pressé en arrière égalait l’énergie par centimètre de la longueur du faisceau, - sur- prenante si nous nous

concours d’une génératrice avec mn rayon contenu sensiblement dans le plan normal au cylindre, remarquons que l’ensemble des rayons du faisceau émergent total est