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arccos −1−x2 1 +x2 + arcsin 2x 1 +x2 f(−x

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

Exercice 1

1. La fonction est dénie dansRcar 1−x1+x22 et 1+x2x2 sont dans[1,1]. En eet : 1x2

1 +x21 = 2x2

1 +x2 0 1x2

1 +x2 + 1 = 2 1 +x2 0 2x

1 +x21 =(1x)2

1 +x2 0 (1 +x)2

1 +x2 + 10 2. a. On utilise les formules de cours

arccos(u) =πarccosu arcsin(u) =arcsinu b. En combinant les relations précédentes, on obtient

f(1

x) = arccos

1x2 1 +x2

+ arcsin 2x 1 +x2 f(x) = arccos1x2

1 +x2 + arcsin

2x 1 +x2

f(1

x) +f(x) =π

3. On reconnait les formules donnant lesinet lecosen fonction destande la moitié. On a donc, pourx= tanθ:

1x2

1 +x2 = cos(2θ) 2x

1 +x2 = sin(2θ)

4. On poseθ= arctanxet on exprime f(x)dans quatre cas selon le tableau suivant : x ]− ∞,1] [1,0] [0,1] [1,+[

θ ]π2,π4] [π4,0] [0,π4] [π4,π2[ ]π,π2] [π2,0] [0,π2] [π2, π[

arccos(cos(2θ))

arcsin(sin(2θ)) π π

f(x) π4 arctanx 0 4 arctanx π

On en déduit le graphe de f (gure 1). On aurait pu se limiter aux deux intervalles dansR+ et obtenir les autres expressions avec le résultat de 2.b.

−1 3

Fig. 1: Graphe dearccos

1−x2 1+x2

+ arcsin

2x 1+x2

Exercice 2

1. Voir la gure Construction deM M0.

2. On forme les équations des droites(AB),(AB0)et leur pente :

(AB) : x

a+y

b = 1 pente :b

a

(AB0) : x

a+ y

b0 = 1 pente :b0 a

Les points M et M0 existent lorsque n'est pas parallèle à (AB) et 0 n'est pas parallèle à(AB0)c'est à dire pour

m6∈

b a,b0

a

Pour calculer les coordonnées deM, on substituemxày dans l'équation de(AB), on résout l'équation d'inconnue xainsi formée, puis on multiplie par m pour obtenir la deuxième coordonnée. On obtient

M : ab

b+ma, mab b+ma

Les coordonnées de M0 se déduisent de celles deM en remplaçant b parb0 et mpar

m. On obtient :

M0 : ab0

b0ma, mab0 b0ma

(2)

B

B0

A

0

M M0

O

Fig. 2: Construction deM M0

Pour former l'équation de(M M0)on commence par calculer et simplier les coordon- nées de−−−→

M M0. Il vient

−−−→M M0: am (b+ma)(b0ma)

(b+b0)a

2bb0am(b0b)

L'équation de(M M0)s'obtient en écrivant qu'un pointZ de coordonnées(x, y)est sur (M M0)si et seulement si :

det(−−→

M Z,−−−→

M M0) = 0

En réduisant les éléments de la première colonne au même dénominateur et en utilisant la bilinéarité du déterminant, on obtient le résultat annoncé.

3. a. Considérons une droite particulière à savoir l'axe (Oy). Dans ce cas M = B et M0 =B0 doncP est forcément sur(Oy). Notons(0, p)les coordonnées de P et écrivons (avec 2.) queP est sur (M M0)obtenue lorsque ∆ = (Ox)de pente m= 0. On obtient

2ab2b0bpa(b+b0) = 0 2ap(1

b + 1 b0) = 0

2 p= 1

b + 1 b0

b. Le raisonnement précédent montre l'unicité du point d'intersection des droites (M M0). Pour achever la démonstration on doit montrer que le déterminant de la question 2. est nul pour tous les m lorsque x= 0 et y =p= b+b2bb00. En eet une simplication se produit après une factorisation parb+am.

c. Les points O, B, B0 sont sur l'axe (Oy), les vecteurs −−→

OB et −−→

OB0 sont donc colinéaires. De plus :

−−→OB=λ−−→

OB0 avecλ= b b0

−−→P B= (bp)

j =λ(b0pb0 b )

j Or, d'après 3.a.

2 p= 1

b + 1

b0 2 = p b + p

b0 2b0= pb0

b +pb0pb0

b =pb0

d'où −−→

P B=λ(pb0)j =λ−−→

P B0

(3)

B

B0

O A

Fig. 3: Tracé de plusieurs droiteset M M0

4. a. La droite(AB0)parallèle à la deuxième bissectrice se traduit par a=b0

Le caractère xe du pointP se traduit par b= pb0

2b0p

b. On calcule les cordonnées du milieuI deAB0 puis l'équation de(BI). On déve- loppe ensuite en remplaçantaet b. Après simplications, on obtient :

I: a

2,b0 2

= b0

2,b0 2

(BI) :

x b20 yb b20 b= 0

= 0 (BI) :b0(2x2y+p) + (3px+py) = 0

Sur la dernière forme, on voit clairement que les droites(M I)passent toutes par le point dont les coordonées(x, y)vérient

2x2y = p

3x+y = 0 On en déduit l'existence et les coordonnées du pointQ:

Q: p

8,3p 8

Exercice 3

Comme il s'agit d'une application directe des méthodes du cours, on présente directement les fonctions constituant les ensembles de solutions. Pour chaque équation,λdécrit R.

x2 + λ

2 +x λR (1)

x arctanx+λ

2x λR (2)

xλcos 3x+µsin 3x+1 9x+ 1

18e3x (λ, µ)R2 (3)

(4)

P Q

O

Fig. 4: Tracé de plusieurs droites (p= 2)(B, milieu deAB0)

Les calculs pour obtenir une solution particulière pour la dernière équation sont plus compli- qués. On travaille d'abord avec le second membrexe3x. Pour lequel on cherche une solution particulière de la forme(ax+b)e3x. On obtient

a= 1

10(3i) b= 4i1

(3 +i)2 = 1

50(8 + 19i) Il reste ensuite à prendre la partie réelle et à multiplier par10

xλex+µex2 + (3 cosx+ sinx)x+1

5(8 cosx19 sinx) (λ, µ)R2 (4)

Exercice 4

1. a. Les deux équations du système sont équivalentes car elles sont conjuguées.

b. On résoud le système de la question précédente par les formules de Cramer. Le déterminant égal à|a|2− |b|2 est non nul. On obtient une seule solution :

az0+bz0ac+bc

|a|2− |b|2 2. Ici, l'équation(E)devient

rez+rez=zc0 On introduit alors les relations suivantes dans(E)

e=eiα+β2 eiα−β2 , e =eiα+β2 e−iα−β2 ce qui conduit à :

reiα+β2 2 Re(eiα−β2 z) =z0c Comme l'axe de−−→

AB est

ee=eiα+β2 2isinβα 2 On obtient bien que−−−→

CM0 est othogonal à−−→

AB. Le pointM0 d'axez0 est donc sur la droite (notéeD0) passant parCet orthogonale à (AB).

3. Si le pointM0 d'axe z0 est sur la droite (notéeD0) passant parC et orthogonale à (AB), il existe un réelλtel que

z0c= 2λeiα+β2

(5)

On peut alors simplier pareiα+β2 l'équation(E)ce qui donne

Re(eiα−β2 z) = λ r

En notantxety les coordonnées deeM qui sont aussi les parties réelle et imaginaire de l'axez, cette relation s'écrit

cosαβ

2 xsinαβ 2 y= λ

r C'est l'équation d'une droite dont la direction est

e π 2α−β2

On a vu qu'un vecteur directeur deD0 (orthogonal à(AB)) est

e α+β 2

L'angle de droites(D0, Dz0)est donc π

2 αβ

2 α+β 2 = π

2 α mod (π)

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