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POCKLINGTON. — On Rotatory Polarisation in Biaxial Crystals (La polarisation rotatoire dans les cristaux biaxes). Philosophical Magazine, 6e serie, t. II, pp. 361-370; 1901

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00240918

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00240918

Submitted on 1 Jan 1904

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POCKLINGTON. - On Rotatory Polarisation in Biaxial Crystals (La polarisation rotatoire dans les cristaux

biaxes). Philosophical Magazine, 6e serie, t. II, pp.

361-370; 1901

C. Raveau

To cite this version:

C. Raveau. POCKLINGTON. - On Rotatory Polarisation in Biaxial Crystals (La polarisation rotatoire dans les cristaux biaxes). Philosophical Magazine, 6e serie, t. II, pp. 361-370; 1901. J. Phys. Theor.

Appl., 1904, 3 (1), pp.54-55. �10.1051/jphystap:01904003005400�. �jpa-00240918�

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POCKLINGTON. 2014 On Rotatory Polarisation in Biaxial Crystals (La polarisation

rotatoire dans les cristaux biaxes). Philosophical Magazine, 6e serie, t. II, pp. 361- 370; 1901.

l.° Dans la partie théorique de ce mémoire, l’auteur, qui parle le langage de la théorie électromagnétique de la lumière, traite d’abord le cas d’un cristal biaxe placé dans un champ magnétique ; il admet

que la présence de ce champ détermine un effet Hall indépendant

de la direction, c’est-à-dire qu’il ajoute à la force électromotrice

proportionnelle au déplacement une composante proportionnelle à

la partie vectorielle du produit du champ magnétique extérieur par l’intensité du courant de déplacement. Il trouve ensuite l’équation

de la surface des indices, puis celle de la snrface des ondes, qui ne

diffère d’une façon sensible de celle de Fresnel qu’au voisinage des

axes optiques, ses deux nappes ne se rencontrent pas ; les deux ondes qui peuvent se propager dans une même direction sont polari-

sées elliptiquement ; les deux ellipses sont semblables avec les axes

correspondants rectangulaires ; elles deviennent des cercles dans la direction des axes. Elles sont complètelnent déterminées, ainsi que les vitesses de propagation. Les calculs d’Airy s’appliquent immé-

diatement au cas d’une ou deux lames observées en lumière conver-

gente.

NI. Pocklington indique ensuite très brièvement comment les

équations doivent être modifiées pour s’appliquer au cas d’un cristal où la polarisation rotatoire est due à la disposition ou à la structure

des molécules. La théorie qu’il esquisse ne semble pas conduire à des conséquences différentes de celles qu’a explicitées Gibbs dans

son mémoire sur la double réfraction et la polarisation circulaire dans les milieux parfaitement transparents (’ ). Le terme complémentaire contient, non plus la dérivée par rapport au temps du déplacement élec- trique, mais une fonction linéaire anisotrope des binômes alternés, formés au moyen des dérivées par rapport à l’espace ; les résultats

généraux indiqués plus haut subsistent. Les deux ellipses engagées

ont leurs axes dirigés suivant les vibrations de Fresnel correspon- dantes à leur plan.

2" Les expériences de M. Pocklington mettent en évidence la Fola-

risation rolatoire dans les cî,istaux de sucre et de sel de Seignette.

-

(1" Amel’ican Journal of Science, (3), XIII, p. 262 et 460 ; 1882.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:01904003005400

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La ligne neutre que présente une lame de sucre normale à un

axe, observée en lumière jaune convergente entre deux nicols croi- sés, n’est pas absolument noire. On obtient l’extinction complète en

faisant tourner l’analyseur, ci gauche, de 22° pour 1 centimètre

d’épaiss eur si la lame est, comme d’ordinaire, obtenue par clivage ou

à dro ire, de 64°, quand la lame est perpendiculaire au second

axe. La rotation due au sucre amorphe, calculée d’après celle d’une solution concentrée, serait de 101,2 à droite.

En lumière circulaire, blanche ou homogène, on distingue une spirale qui, sur une lame suffisamment épaisse normale à l’axe droit, peut faire un tour complet.

Pour faire passer deux fois de suite la lumière en sens inverse à travers une même lame, on place, entre la lame et le miroir horizon- tal de l’appareil de Norremberg, une lentille dont le plan focal est

sur ce miroir. Les rayons de retour sont alors parallèles aux rayons d’arrivée et l’on distingue, à l’intérieur du premier anneau, une spi-

rale affectant la forme d’un S vu par réflexion.

En lumière monochromatique, une lame de sel de Seignette a présenté un pouvoir rotatoire, à droite, de 12° par centimètre.

C. RAVEAU.

DRUDE’S ANNALEN DER PHYSIK;

T. XII, n° W ; 1903.

E. MARX. 2013 Ueber die Kondensatorentladung in verzweigten Systemen bei

Periodenzahlen 10-7 - 10-8 und das dielektrische Verhalten einiger Flüssigkei-

ten in diesem Frequenzbereich (Decharge des condensateurs dans les systemes

ramifiés pour les periodes 107- et i0-S; propriétes dielectriques de quelques liquides pour ces périodes).

-

P. 491-535.

Lorsqu’un courant sinusoidal de periode T se partage entre les

deux branches d’une derivation dont les resistances sont R1, R2 et les

self-inductions L1, 1 L2, les intensites efficaces sont 6gales dans les

deux branches, quand on a :

Supposons que l’une des branches soit formee par une resistance

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