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DÈPARTEMENT DES MINES ET DES PÊCHERIES

LA FAUNE

DE LA

PROVINCE DE QUÉBEC

G

Un aperçu de sa valeur konomique

par

LOUIS-ARTHUR RICHARD

Intc ,ttlinistre

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LA FAUNE

DE LA

PROVINCE DE QUÉBEC

UN APERÇU

DE SA VALEUR 'ECONOMIQUE

Quelle est la valeur de la faune terrestre et aqua- tique de la province de Québec ? Quelle place tient-elle dans notre économie nationale ?

Il n'est pas facile de répondre directement à cette question, mais il est possible de le faire d'une façon indirecte, au moyen de comparaisons. Nous res•

terons dans une approximation très relative, mais fort honnête. Quelques explications préliminaires

paraissent cependant indispensables.

Une partie de notre faune n'a qu'une valeur purement commerciale. Exemple, la morue chez les poissons ou le rat musqué chez les mammifères.

Seuls, les pêcheurs ou les chasseurs professionnels ont intérêt à les capturer.

Une autre partie de notre faune a une valeur à la fois commerciale et sportive, mais la valeur sportive

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4 LA l'AUNE

en toujours beaucoup plus considérable que la valeur commerciale. Exemple, une truite morte d'une livre ne vaut guère plus que quelques cents, alors qu'une truite d'une livre, vivant dans un lac ou dans une rivière, peut amener quelque fervent de ta pêche à dépenser plusieurs dollars pour avoir le plaisir de la tenir au bout de sa ligne. Autre exem, pie, un orignal peut fournir plusieurs centaines de livres de chair à raison de quelques sous la livre. Ce- pendant — le calcul en a été fait â plusieurs reprises

— au point de vue sportif on peut dire que, en moyenne, chaque orignal abattu par un chasseur non professionnel lui conte quelques centaines de dollars. Dans une évaluation même très approxima, tive, ii convient donc de donner à la faune sa valeur maximum, c'en-à-dire celle qui profite davantage à l'économie générale.

Dans cette étude, il ne sera question que de la faune aquatique ou terrestre dont la valeur commet., ciale en accrue par le caprice de certaines gens qui, pour avoir la satisfaction de la posséder, au milieu de mille difficultés et de nombreuses fatigues, sont disposés à en payer plus que la valeur réelle. Ne seront donc pas pris en considération les poissons du golfe, d'une partie du Saint-Laurent et de nom- breuses rivières ; seront également ignorés les ani- maux à fourrures qui vivent dans nos forêts, ainsi

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DE LA PROVINCE DE QUfiBEC 7 que de multiples oiseaux qui n'offrent aucun inté- rêt au chasseur sportif. Le champ où évolue notre faune sera donc considérablement réduit, comme sera également réduit la valeur de ce que les Anglais appellent d'une si jolie expression : The wiid life.

Encore une fois, nous ne nous en tiendrons qu'à la faune purement sportive.

Quelle est exactement cette faune ? L'énuméra- tion en est facile. Pour les poissons, voici une liste à peu près complète : le saumon, la truite, la ouananiche, l'achigan, la touladi, le doré, le maskinongé, la perche et quelques-uns ajoutent même k brochet. Pour les mammifères, l'orignal, le caribou, le chevreuil et l'ours. Quant aux oiseaux, mentionnons les différentes variétés de perdrix et de canards, les oies, les outardes, la bécasse, la bé, cassine. C'est à dessein que nous faisons grâce au lecteur des noms scientifiques puisque nous désirons parler le langage de tout le monde.

Tous ceux qui ont une assez bonne connaissance de notre faune sportive sont forcés d'admettre qu'elle e beaucoup moins abondante aujourd'hui qu'à la fin du siècle dernier. Un naturaliere a même prétendu qu'elle ne représente plus, dans notre province, que r p.c. environ de ce qu'elle était en 1900. Ce naturaliente n'était certainement pas un pessimiste. Or, il arrive que cette faune, si lamer',

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6 LA FAUNE

tablement décimée en un tiers de siècle, a aujour- d'hui une valeur économique infiniment plus consi- dérable que celle qu'elle avait dans le passé. Cet accroissement en valeur tient à un seul fait : la province de Québec est voisine d'un pays de 54o,- o00,000 d'habitants, où la fortune est prodigieuse, où se recrutent des millions de pêcheurs et de chas- seurs, où la faune suscite un intérêt considérable et où le goût du voyage est devenu irrésistible même chez les gens de conditions modestes. Si nous avions comme voisin un pays pauvre, ou encore un pays où la population serait moins adonnée au sport de la pêche et de la chasse, notre faune, aquatique ou terrestre, n'aurait pas une valeur beaucoup supé- rieure à sa valeur commerciale, A preuve : le cercle arctique est peuplé d'une faune très intéressante mais dont la valeur sera sans doute toujours con•

ditionnée par le prix de la fourrure ou par les besoins alimentaires des sauvages et des Esqui•

maux. 11 ne doit pas y avoir de chasse plus capti- vante que celle de l'ours polaire. Mais fût-elle cent fois plus captivante, il n'en rend pas moins vrai que, à cause des distances et des difficultés géo•

graphiques, un nombre très limité de sportmen ne pourra jamais assumer les frais d'une expédition de ce genre. D'ailleurs, il en va de même pour tou- tes les ressources de la nature : c'en la facilité

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DE LA PROVINCE DE QUÉBEC 7 de les exploiter qui en détermine en grande partie la valeur. Le voisinage des États-Unis egt donc un facteur heureux dont il importe de tenir rigoureu- sement compte dans l'évaluation de notre faune.

Voilà les explications que nous tenions à donner avant de verser au dossier les faits et les gtatigti- ques qui peuvent être de nature à nous éclairer sur la valeur économique du gibier de nos bois, des oiseaux de nos rives et du poisson de nos lacs et de nos rivières. Néanmoins, il parait nécessaire d'ajou- ter quelques explications relativement â la faune du pays voisin afin de faciliter certaines comparaisons.

Tant que les Américains ont été animés par leur ardeur de pionniers, the pioneers' spirit, ils ont usé et abusé de leurs ressources naturelles, de la faune plus spécialement, jusqu'à l'imprévoyance. Et pour- tant, leur faune était plue abondante et plus variée que la nôtre. Mais ils avaient une excuse, plusieurs excuses, que nous serions mal venus d'invoquer au- jourd'hui. Et, d'abord, ils ne pouvaient prévoir le tourisme moderne et l'importance que la faune spore tive devait prendre. Au surplus, ils vivaient de cet abominable préjugé que la nature devait suppléer indéfiniment aux hécatombes des pêcheurs et des chasseurs.

Dans leur imprévoyance de peuple jeune et ar- dent, ils avaient tout de même eu, avant que tout

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8 LA rAUNE

ne devint irréparable, une pensée généreuse qui fut immédiatement suivie d'une action congtruCtive.

Comme tout le territoire de l'Union achevait d'être mis en coupe réglée, ils décidèrent de soustraire à la cupidité de leur génération et de conserver intégralement pour le bénéfice des générations futures certaines régions, remarquables par leur beauté scénique, par leur flore ainsi que par leur faune. Ce fut l'origine des parcs nationaux, aujour- d'hui si populaires et dont on a par la suite singu- lièrement augmenté le nombre. On faisait ainsi un placement de tout repos. C'egt gràce à cette heu- reuse tentative des parcs que, à la fin du siècle der- nier, le législateur se rendit compte de l'importance économique de la faune et que fut inaugurée une politique rigoureuse de reconietruction. À coups de millions, on s'efforça un peu partout de réparer les erreurs du passé. On mit très largement la science à contribution. On ouvrit des laboratoires pour y étudier avec passion tous les problèmes relatifs à la faune. Nombre d'universités s'organisèrent pour préparer des techniciens, en donnant des cours avancés de biologie sur ce que l'on a appelé le garne management. Bref, avec des résultats variables et parfois discutables, tous les États firent des efforts généreux pour rétablir l'équilibre de la nature que, au temps du pioneers' spirit, l'on avait rompu d'une

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DE LA PROVINCE Dg QUÉBEC 9 façon malencontreuse. Il faut suivre de près l'expê•

rience américaine : elle est loin d'avoir dit son der, nier mot.

Et il importe de tenir compte des résultats déjà acquis. L'exemple de la Pennsylvanie est particuliè, renient concluant. À la fin du siècle dernier, la faune ne vivait plus qu'à l'état de lointain souvenir dans cet État populeux mais limité en superficie.

Il fallut importer quelques animaux sauvages corn•

me stock fondamental. Mais, grâce à des lois sages, à une organisation effective de protection, à un budget approprié, provenant d'une licence spéciale sur les chasseurs et les pêcheurs, ainsi qu'à une opinion publique en éveil, la Pennsylvanie n'a plus rien à envier à la province de Québec. Bon an ou mal an, on y abat, par exemple, une vingtaine de mille chevreuils sans mettre en danger la survivance de cet animal. Bref, le gibier dont les sportmen disposent légalement en une seule saison de chasse représente .,52.4 tonnes de viande comeetible, Par ailleurs, la capture des animaux à fourrure repré' sente une valeur annuelle de 600,00o dollars. C'est que, dans cet État progressif, l'on part du principe qu'une acre de forêt bien aménagée doit produire chaque année telle quantité de vie animale, comme un champ bien cultivé doit produire telle quantité de matière végétale. Grâce aux deux millions de

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10 LA FA UNE

dollars que procurent les licences de chasse et pêche, l'État en est arrivé â aider la nature au lieu de la con- trarier dans son inlassable effort de création.

À l'exemple de la Pennsylvanie, nous pourrions ajouter celui du Maine, dont les chevreuils, si bien protégés, traversent souvent la frontière pour venir tomber sous les balles de nos chasseurs, en terre québecoise.

On se rend compte ainsi de l'importance que les Américains accordent â leur faune et des sommes considérables qu'ils dépensent pour en augmenter la variété et la quantité. On sera ainsi moins surpris du prix qu'ils y attachent.

Voici quelques chiffres qui illustrent ce que nous venons de dire.

Les Américains dépensent chaque année trois milliards pour fins touristiques. Or, d'après le United States Board of Biological Survey, un tiers de ce montant, soit un milliard, est dépensé d'une façon directe ou indirecte â cause de la faune du pays. De tous les sports de plein air, la pêche et la chasse ont autant de fervents, de finis, comme ils disent dans leur argot, que le basehall, le foot- ball, le golf et le tennis réunis. Bref, le nombre des pécheurs et des chasseurs est de treize millions, soit à peu près un dixième de la population totale.

Or, un comité du Congrès de Washington a évalué

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DE LA PROVINCE DE QI! fiBEC I

en — en pleine crise à six milliards sept cents millions le capital que représente la faune aquatique et terrestre des États-Unis.

L'État de New-York est beaucoup plus petit que la province de Québec ; il est habité par une popu- lation qui est peut-être aussi considérable que celle du Canada tout entier ; l'exploitation de la nature et de ses ressources y est intense ; la faune y est fatalement relancée jusque dans ses derniers retran- chements et elle a perdu la sécurité dont elle a be- soin pour survivre, Néanmoins, le Commissaire de la Conservation, Monsieur Lithgow Osborne éva- luait tout récemment la faune de cet État à cent millions de dollars,

Le tourisme est devenu une des grandes indus' tries de la Nouvelle-Angleterre. Le Maine, pour sa part, retire annuellement lial,000,000 de dollars de cette industrie. Or, d'après les données du Board of Biologicca Survey, 3o p.c. de cette somme y eét dé- pensé pour des fins de pêche et de chasse, soit au delà de 37,000,000 de dollars. Or le Maine est un tout petit État, eu égard à la province de Québec, et ses ressources ne se peuvent comparer aux nôtres.

Voici, à l'autre extrémité de l'Union américaine, la Californie. Au cours de l'hiver, cet État repr&

sente sans doute pour les touristes ce que le Maine représente pour eux en été. Or, pêcheurs et chas-

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LA FAUNE

seurs ne dépensent pas moins de 63,000,000 de dollars par an dans cette Californie fortunée, mais guère mieux pourvue par la nature que la province de Québec au point de vue de la faune,

Ces chiffres, pris aux meilleures sources, ne nous permettent-ils pas de dire que la province de Qué' bec possède dans sa faune terrestre et aquatique, un capital considérable, et qu'il est de la plus haute importance de faire des sacrifices pour la protéger, en vue d'en tirer le meilleur parti possible et d'en assurer la permanence.

D'ailleurs, ce capital produit des intérêts annuels.

Quels sont'ils ?

En 1936, quinze millions d'Américains sont entrés au Canada et y ont dépensé une somme de 275,000,000 de dollars.

Pendant la même année, /38,8z7 voitures étran- gères sont entrées dans la province de Québec et l'on a évalué à 64,000,000 de dollars le montant que les touristes ont dépensé chez-nous. Sans doute, tou- tes ces voitures n'étaient pas nécessairement occu- pées par des touristes américains. Néanmoins, com- me il y a treize millions de chasseurs et de pêcheurs aux États-Unis, il ne parait pas exagéré de pré- tendre que Io p.c. des touristes américains sont ve- nus dans la province de Québec, non pas exclusive, ment peut-être pour y pêcher ou y chasser, mais de

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DE LA PROVINCE DE Qukseo 13 préférence parce qu'ils connaissaient les possibilités de la pêche et de la chasse chez-nous. Or, comme les voyages de chasse ou de pêche exigent plus de temps et, conséquemment, plus d'argent, il semble raisonnable de croire que ces touristes ont dépensé chez-nous un pourcentage un peu plus considérable en argent que leur pourcentage en nombre. Disons donc que Io p.c. des touristes ont dépensé 15 p.c.

du montant global de 6.2,000,000 de dollars, soit un peu plus de 9,000,coo. C'est ainsi que raisonnent tous ceux dont c'est le métier de s'occuper de tourisme, et que nous avons consultés tant à l'Office fédéral du tourisme que dans les bureaux des che- mins de fer.

Mais admettons, si l'on veut bien, que ce calcul est trop généreux. Enlevons un million, deux millions, trois millions, si on le juge à propos. Il n'en reste pas moins vrai que ce million ou ces deux ou trois millions sont compensés par les dépenses an,

!Imites de nos propres sportsmen et que, sans la faune qui les retient dans la province, ils iraient peut-être dépenser cet argent aux États-Unis ou en Europe. De toute façon, il est légitime de croire qu'une somme de dix millions de dollars est dé•

pensée annuellement dans le Québec, grâce à la faune aquatique et terredtre. l3ien entendu, nous ne parlons que de la faune que recherchent les

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14 LA FAUNE

sportifs, et nous ne faisons pas entrer en ligne de compte les animaux à fourrure ou les poissons qui n'ont qu'une valeur d'alimentation, Si, au mon•

tant total dépensé chaque année à cause de la faune sportive, il fallait tenir compte de la valeur des animaux à fourrure et des poissons de commerce capturés dans nos forêts et dans nos eaux, c'est une nouvelle somme de quatre à cinq millions qu'il conviendrait d'ajouter à ce chiffre. En réalité, la faune aquatique et terrestre vaut donc annuelle.

ment à la province de Québec une somme d'une quinzaine de millions. Quinze millions, c'est l'in- térêt d'un capital de trois cents millions à 5 p.c, Admettons honnêtement que c'est une richesse que l'on a trop négligée jusqu'ici et qu'il convient de protéger avec un soin jaloux.

Bien que notre faune ait été considérablement dé- cimée, nous n'en sommes pas moins dans une situation beaucoup plus favorable que ne l'étaient les Américains lorsque, au début du siècle, ils entreprirent de reconstituer leur faune. Nos voisins avaient à peu près tout détruit de ce qui pouvait l'être, si ce n'est dans les parcs nationaux. Ils n'avaient même pas pris l'élémentaire précaution de conserver les quelques individus nécessaires à la recongtitution des espèces. Nous sommes loin.

chez-nous d'un tel état de choses. Notre province

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DE LA PROVINCE DE QIADEC

est vaste et il est des régions reculées où l'exploita- tion des ressources naturelles sera nécessairement si lente que la faune trouvera facilement des refuges favorables à sa sécurité. Néanmoins, il faut être vigilants et nous efforcer de défendre la faune contre ses ennemis. Or, au nombre de ses ennemis, il n'en egt pas de pire que le Progrès. Le progrès, cela veut dire des engins de pêche et de chasse si perfectionnés que les chances deviennent inégales ; cela - veut dire des avions conduisant chasseurs et pécheurs dans des endroits jusqu'ici inaccessibles ; cela veut dire encore l'exploitation intensive de toutes les ressources de la nature ; les feux de forêt meurtriers ; les cours d'eau éclusés, les territoires noyés et les rivières asséchées ; cela veut dire des eaux si polluées qu'elles cessent d'être un habitat désirable pour tout poisson qui se respecte ; cela veut dire enfin l'usage de la dynamite pour faire sauter les embâcles et, quelques fois, les frayères ! Si la faune n'avait que ses ennemis naturels, nous aurions le droit d'être optimistes ! Si elle n'avait que ses ennemis naturels et l'homme, la partie rentrait égale ; mais ses ennemis naturels, 1110mine et le Progrès, c'est beaucoup, c'est trop d'ennemis À, tous ceux qui s'intéressent â notre faune, soit à un simple point de vue sentimental parce qu'ils ne sont ni pêcheurs, ni chasseurs, soit à un point de vue

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16 LA l'AUNE

sportif parce qu'ils sont pécheurs ou chasseurs, nous conseillons d'adopter l'esprit pessimiste. C'est peut, être le meilleur moyen d'éveiller l'opinion publique.

Et le jour où, chez-nous, l'opinion publique se rangera parmi les amis de la faune, ses ennemis seront devenus beaucoup moins dangereux.

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