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Propriétés statistiques de l'interaction des neutrons de résonance avec les noyaux moyens et lourds. - IV. Etude des largeurs de radiation

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(1)

HAL Id: jpa-00205705

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00205705

Submitted on 1 Jan 1963

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Propriétés statistiques de l’interaction des neutrons de résonance avec les noyaux moyens et lourds. - IV. Etude

des largeurs de radiation

G. Bianchi, J. Colmin, C. Corge, V.-D. Huynh, J. Julien, J. Morgenstern, F.

Netter, M. Vastel

To cite this version:

G. Bianchi, J. Colmin, C. Corge, V.-D. Huynh, J. Julien, et al.. Propriétés statistiques de l’interaction des neutrons de résonance avec les noyaux moyens et lourds. - IV. Etude des largeurs de radiation.

Journal de Physique, 1963, 24 (11), pp.999-1002. �10.1051/jphys:019630024011099900�. �jpa-00205705�

(2)

999.

PROPRIÉTÉS STATISTIQUES DE L’INTERACTION DES NEUTRONS DE RÉSONANCE

AVEC LES NOYAUX MOYENS ET LOURDS.

IV. ÉTUDE DES LARGEURS DE RADIATION.

Par G. BIANCHI, J. COLMIN, C. CORGE, V.-D. HUYNH, J. JULIEN, J. MORGENSTERN,

F. NETTER et M. VASTEL,

Centre d’Études Nucléaires de Saclay, Seine-et-Oise.

Résumé.

2014

La mesure relative du rapport 039303B3/0393 de résonance en résonance est effectuée à l’aide

du grand scintillateur liquide. Des résultats sont donnés pour Nd et Pt. L’existence de fluctuations des valeurs de 039303B3 est discutée. Le spectromètre à cristal annulaire est utilisé pour rechercher l’éventuelle contribution du processus de capture radiative directe (Au).

Abstract. - Relative measurement of the ratio 039303B3/0393 is made from resonance to resonance

with a large liquid scintillator. Results are given for Nd and Pt. Occurence of fluctuations of the 039303B3 values is discussed. The annular crystal spectrometer is used to investigate the possible

contribution from direct radiative capture (Au).

PHYSIQUE 24, NOVEMBRE 1963,

Comparaison des valeurs de r y de résonance en résonance. - Le grand nombre de voies de désexci- tation possibles par émission de rayonnements

gamma après capture d’un neutron suggère une

certaine constance de la largeur totale de radia- tion Py de résonance en résonance. Jusqu’à ces ré-

centes années, si certaines fluctuations, d’ailleurs faibles, avaient été observées pour certains noyaux

(In par exemple), le nombre de noyaux étudiés ne

permettait pas de tirer des conclusions définitives.

Des progrès dans la résolution en temps-de-vol et

dans les performances des détecteurs des rayon- nements gamma, joints à l’emploi d’analyseurs multidimensionnels, ont permis l’étudedesspectres

de rayonnement gamma de capture et ainsi de

mieux comprendre le mécanisme de désexcitation.

Un des résultats notables est que, de résonance à

résonance, les largeurs radiatives partielles (corres- pondant à une transition de l’état excité initial du noyau composé à un état final quelconque) obéis-

sent à une distribution en Z2 avec un degré de liberté, de la même manière que les largeurs de

diffusion r n. On peut concevoir que si un nombre restreint de largeurs radiatives partielles constitue

un pourcentage important de la grandeur ry, une

fluctuation de ry est possible de résonance à réso-

nance, la distribution en x2 correspondant à ces

transitions privilégiées ayant un nombre de degrés

de liberté voisin du nombre de ces dernières.

Cameron [1] a déduit de la théorie de Blatt-

Weisskopf la relation ci-dessous pour hY :

les transitions considérées étant du type dipolaire électrique. La présence de reposant 3 dans E3

(E == énergie du rayonnement gamma émis) favo-

rise les transitions El à Fêtât fondamental ou aux

premiers états excités si elles sont possibles. La figure 1 montre le cas de 195Pt + n (le spin de la

résonance est 1- ou 0-). On constate que la pré-

sence de plusieurs niveaux 2+ permet les transi- tions 1- -+ 2+ du type dipolaire électrique. Les

cas de 183W + n, 199Hg + n sont similaires et pour ces noyaux, des fluctuations de ry ont été observées. Si le mécanisme de désexcitation auto-

FIG. 1.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:019630024011099900

(3)

1000

rise ces fluctuations, la mesure de la grandeur ray

est plus délicate.

Détermination de ry.

-

La valeur obtenue pour r y à partir des expériences de transmission et des méthodes d’analyse classique est généra-

lement approximative dès que la largeur de dif-

fusion r n est supérieure à r y. Considérons les valeurs ry des résonances de Pt [2] situées à 149,9 eV et 154,1 eV :

Il est hasardeux, avec de telles erreurs, de parler

de valeurs différentes pour la largeur de radia-

tion r y suivant l’état de spin. A l’exception des

cas pour lesquels rn est très faible (donc la préci-

sion sur r y sera celle obtenue pour la largeur

totale r), une expérience supplémentaire est néces-

saire pour déterminer ry.

La méthode habituelle et déjà employée consiste

à réaliser une expérience de capture [3]. Le choix

du détecteur est important, son efficacité devant être indépendante du spectre des rayonnements

gamma émis. Or la fluctuation de Py étant due à l’importance relative de certains groupes de tran-

sitions, les cristaux de NaI(Tl) ne sont pas les meilleurs détecteurs pour ce type d’expériences

d’autant plus que leur protection contre les neu-

trons diffusés par l’échantillon peut ne pas être suffisante. Le scintillateur liquide précédemment

décrit [4] est meilleur ainsi que le détecteur réalisé par Moxon et Rae [5]. Les différences essentielles entre ces deux types de détecteurs résident dans leur efficacité (20 fois meilleure pour le scintil- lateur liquide) et dans le rapport signal/bruit de

fond (5 fois meilleur pour le détecteur du type Moxon-Rae). L’intensité de la source de neutrons

disponible et le genre d’expériences réalisées déter- mineront le choix du détecteur à utiliser.

Mesure relative de Fy/r. 2013 Une mesure absolue

du rapport Fy/P comporte de nombreuses diffi- cultés. L’intérêt portant en fait sur la fluctuation de ry pour les résonances, d’un même noyau, une

comparaison des valeurs de ry de résonance en

résonance est plus aisée. En plus de l’information délivrée par le taux de comptage dans l’ensemble du pic de résonance, nous avons ici tiré parti de

l’information donnée par le taux de comptage au sommet Eo de la résonance E. Pour cela, la trans-

mission de l’échantillon étudié en capture est me-

surée sur la même base de temps-de-vol (la lon-

gueur de base étant légèrement différente). La figure 2 représente les courbes obtenues dans le

cas de Nd. Les conditions expérimentales étant les

mêmes (même effet de résolution, allure du flux

FIG. 2.

incident identique) permettent de comparer les aires partielles et de tirer des informations de la

comparaison du minimum de transmission et du sommet de la résonance vu en capture.

Soient pour deux résonances, Toi et T02 les

transmissions minimales, N1 et N2 les nombres

d’impulsions (proportionnels au nombre de cap-

tures) enregistrés par le détecteur de rayons gamma

au sommet des résonances ; on a (en négligeant les

effets de diffusion multiple) :

cc est un terme correctif de normalisation du flux incident. Ce terme est d’autant plus négligeable

que les résonances sont plus voisines. On peut

même l’éliminer si le terme (1

-

To) est, rem- placé par la quantité (TVi

-

Noi) où les taux de

comptage Nï et No; correspondent respectivement

pour les deux résonances à la transmission réson- nante Tr

=

1 et au minimum de transmission. A

partir de (1) on tire :

Une deuxième ou plusieurs relations semblables peuvent être obtenues à partir du rapport ci-

dessous mettant en jeu l’ensemble du pic de réso-

nance :

L’usage de la relation (2) permet d’associer une

analyse de forme aux méthodes classiques et ainsi

de tirer.partï de la forte précision statistique aux

sommets des résonances et aussi du fait qu’une

erreur sur le minimum de transmission To est

moindre pour la quantité (1 - To) dès que To est

(4)

inférieur à 0,5. Si To est de l’ordre de 0,1, la quan- tité (1- T 0) est dans ce cas bien définie, l’effet de

diffusion multiple étant encore faible.

Première application aux résonances de Nd.

-

Les résultats à partir des relations (2) et (3) ont

été trouvés en excellent accord. La quantité ry

étant toujours inférieure à r, on en déduit d’après (2) que le rapport rY1 /r1 doit être au plus égal à A.

Cette simple remarque permet l’attribution de la valeur de spin J

=

3 à la résonance à 43,2 eV de

145Nd. On obtenait pour cette résonance :

d’où deux valeurs possibles du rapport rYjr :

et

La résonance de 143Nd située à 55,3 eV prise

comme référence indiquait que le rapport Py/F

pour la résonance à 43,2 eV ne pouvait être supé-

rieur à 0,3 ; d’où la valeur de spin J= 3.

Cette méthode doit permettre l’attribution de la valeur correcte du spin pour les résonances ry « r, si les expériences de transmission ne

permettent pas de conclure.

Le rapport rYl/r1 sera d’autant mieux déter- miné que ry, est voisin de r 2 d’où l’intérêt de

prendre comme résonances de référence celles ayant

une valeur Tn faible. Une fluctuation possible de r y

de résonance à résonance peut, par cette méthode,

être mise davantage en évidence que par les seules

expériences de transmission pour les résonances

avec Tn ray.

Si rYl est faible comparé à ri, la précision sur ry.

dépend de celle obtenue d’abord pour r 1 et ensuite

de la quantité A ry,. Ir 2. Une précision de 10 à 15 %

sur rYl paraît raisonnable si l’on dispose d’une

bonne résonance de référence. La valeur rn de la

largeur de diffusion étant généralement bien connue (à quelques % près), on peut dans la relation (2)

écrire

et déduire pour toute valeur de rys une valeur de r Y1’

Les expériences ne sont pas encore terminées

pour donner une valeur définitive du rapport (ry/r) pour la résonance à 43,2 eV de 145Nd [6].

Le rapport des valeurs rY pour les résonances situées à 102,2 et 103,6 eV déduites des expériences

de transmission a été confirmé par les mesures réalisées avec le scintillateur liquide.

Autres déterminations préliminaires.

-

a) PLA-

TINE,

-

Le rapport des valeurs de Fy pour les deux

résonances de Pt citées précédemment a été trouvé égal, en employant la méthode déjà décrite, à :

Ce rapport est à comparer à la valeur 0,5 + 0,3

tirée des différences (F2013Fn). On peut objecter

que l’efficacité du détecteur est différente suivant la résonance considérée, le spin étant différent. La

figure 3 montre pour ces deux résonances le rapport

du nombre de captures détectées pour différentes bandes d’énergie. L’horizontale obtenue montre la

qualité du détecteur.

FIG. 3.

b) PRASÉODYME.

-

Un effort particulier a été

consacré aux résonances de 141pr situées à 85 et 383 eV. Pour ces deux résonances ry est supérieur

à rn et les valeurs trouvées précédemment [2]

montraient une grande différence des valeurs res-

pectives de Fy. Une meilleure résolution.et un écran très épais ont permis une nouvelle analyse de la

résonance à 383 eV, analyse rendue difficile par la

proximité de l’intense résonance située à 350 eV.

Les paramètres obtenus sont les suivants :

Une nouvelle résonance à 113 eV a été trouvée mais sa faible intensité ne permet pas de déduire des paramètres valables. Le fait que, pour des écrans peu épais, l’allure de la courbe de trans- mission dépende surtout de la quantité so r peut

entraîner des écarts importants dans la détermi- nation de r et 60. L’allure d’une résonance pour un écran épais dépendra de ao r2. Les valeurs grn

trouvées par les différents laboratoires sont en

général compatibles tandis que les valeurs de T’

sont assez différentes ce qui entraîne des désaccords

pour la détermination de r y

=

r --- r n.

(5)

1002

Variation de ry de noyau en noyau.

-

Les résul-

tats obtenus pour Pr et Nd donnent les valeurs suivantes pour rY : .

141Pr + n : r y >

=

85 meV avec deux résonances

143Nd + n : ry >

=

95 meV avec deux résonances 145Nd +n: 1’,> = 60 meV avec trois résonances.

Les valeurs déduites de la relation donnée par Cameron [1] donnent :

Si les valeurs théoriques sont un peu différentes,

on retrouve bien pour les valeurs expérimentales

une diminution dans le même rapport de 143Nd à

145Nd. La présence pour les noyaux étudiés de résonances avec une forte valeur de la largeur de

diffusion rend difficile pour ces résonances la

mesure de r y et la recherche d’une éventuelle corré- lation entre r n et ry.

Recherche d’anomalies liées à un processus de

capture directe.

--

On sait que les spectres des rayonnements gamma de capture des neutrons thermiques [7] révèlent la présence de groupes de raies intenses de rayonnement gamma dans l’inter- valle de nombre de masse 170 A 208, et de

transitions très intenses aux premiers états excités

dans l’intervalle 24 A 70. Lane et Lynn [8]

en ont fourni une explication en reliant ces tran-

sitions à la présence d’états

«

p

»

situés près de

l’état fondamental. Leurs calculs s’appuient sur les

valeurs fournies par la connaissance des spectres

obtenus avec des neutrons thermiques. Mais ce

processus d’interaction directe mérite aussi d’être étudié de résonance à résonance, car la largeur partielle pour une transition favorisée à un état de

particule p’ après capture est proportionnelle, selon

la théorie de Lane et Lynn, à la largeur réduite I"

de la résonance, largeur obéissant à une distribution

en x2 à un degré de liberté. On conçoit donc que si

ces transitions favorisées sont intenses (le spectre

des rayonnements gamma dans le domaine ther-

mique le montre) la valeur de ry peut fluctuer de résonance à résonance et être en corrélation avec

la yaleur Tn.

a) DANS L’INTERVALLE DES NOMBRES DE MASSE

50 A 70, nous avons trouvé quelques nou-

velles résonances dans Cu (648 et 990 eV) et

Zn (281 et 322 eV) pour lesquelles 1B ro-..J F

et, des expériences en cours, on s’efforce aussi de déduire une valeur correcte de Py pour les résonances à forte valeur de F’. Simultanément

avec le cristal annulaire précédemment décrit sont

étudiés le spectre des rayonnements gamma de ces résonances et aussi le spectre entre résonances.

b) DANS L’INTERVALLE DES NOMBRES DE MASSE

170 A 208, Pt ET Au sont étudiés. Des études sur Hf et Th sont envisagées. Dans ce

dernier type d’expériences, on s’efforce d’étudier l’allure de la courbe de capture pour l’énergie des rayonnements de capture correspondant aux tran-

sitions anormalement fortes. En effet, si ces tran-

sitions correspondent à celles décrites dans le for- malisme de Lane et Lynn, une asymétrie dans la formerde la résonance doit apparaître.

Ce processus peut être considéré pour expliquer

les fluctuations de Fy que nous observons dans 195Pt + n. Pour ce noyau, la plus importante fluc-

tuation apparaît pour les deux valeurs Fy des réso-

nances situées à 66,9 et 67,5 eV [2]. Le fait que les résonances ont le même minimum de transmission et des valeurs de spin différentes entraîne, comme

les grandeurs grn et r sont sensiblement égales,

une forte différence dans les valeurs de Py. Une expérience de capture avec haute résolution en

temps est en cours pour confirmer ce rapport.

Conclusion.

-

Les quelques exemples décrits

montrent que le comportement des largeurs de

radiation et des largeurs radiatives partielles est

encore mal connu. Une étude systématique et

sérieuse exige plusieurs types d’expériences (expé-

riences de transmission, pour obtenir grn et F, expériences de capture avec étude du spectre du rayonnement gamma émis pour obtenir les valeurs relatives des largeurs radiatives partielles et la

valeur correcte du spin J de la résonance). Trois

bases de temps-de-vol sont simultanément utilisées à Saclay pour la réalisation de ces expériences.

Une étude sur l’existence ou non de corrélations entre les différents paramètres et les espacements

entre niveaux exige de disposer d’un nombre élevé

de résonances analysées avec précision et de ne pas omettre les plus faibles d’entre elles qui sont diffi-

ciles à mettre en évidence. Un vaste champ d’inves- tigation reste donc ouvert dans le sens que nous

venons de décrire.

BIBLIOGRAPHIE

[1] CAMERON (A. G. W.), Canad. J. Phys., 1959, 37, 322.

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Références

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