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Logique des propositions INFO1 - Semaines 36 & 37 Guillaume CONNAN

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Texte intégral

(1)

Logique des propositions

INFO1 - Semaines 36 & 37

Guillaume CONNAN

IUT de Nantes - Dpt d’informatique

Dernière mise à jour : 29 août 2013 à 20:55

(2)

Sommaire

1 Test préliminaire 2 Contexte 3 Syntaxe

4 Sémantique 5 Portes logiques

6 Approche formelle de la logique propositionnelle

(3)
(4)

your logic.

Spock:That is a most illogical attitude.

(5)

Sommaire

1 Test préliminaire 2 Contexte 3 Syntaxe

4 Sémantique 5 Portes logiques

6 Approche formelle de la logique propositionnelle

(6)

Soit un entier naturel n inférieur à 20. On considère la proposition

« si n est pair, alors son successeur est premier ». Quels sont les entiers qui rendent cette proposition vraie ?

(7)

Réponses

Ça y est ? Bon, analysons les réponses possibles. Notons E= ‚0,20ƒ. Vous avez répondu...

... « 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 9, 10, 11, 12, 13, 15, 16, 17, 18, 19 » : vous avez triché ou bien vous avez eu un bon cours de logique au lycée et vous l’avez bien étudié. La lecture des paragraphes suivants va vous permettre d’aller plus loin ;

... « 2, 4, 6, 10, 12, 16, 18 » : c’est bien, vous n’avez pas triché mais malheureusement ce n’est pas la bonne réponse. La lecture des paragraphes suivants devrait vous permettre de progresser en logique pour affronter sereinement vos deux années d’Iut.

...« tous » : vous avez eu raison de ne pas sortir le jeudi soir pour travailler et vous remettre à niveau. La lecture des paragraphes suivants devrait vous permettre de découvrir la logique, l’arithmétique et la mathématique en général pour affronter sereinement vos deux années d’Iut.

(8)

Réponses

Ça y est ? Bon, analysons les réponses possibles. Notons E= ‚0,20ƒ. Vous avez répondu...

... « 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 9, 10, 11, 12, 13, 15, 16, 17, 18, 19 » : vous avez triché ou bien vous avez eu un bon cours de logique au lycée et vous l’avez bien étudié. La lecture des paragraphes suivants va vous permettre d’aller plus loin ;

... « 2, 4, 6, 10, 12, 16, 18 » : c’est bien, vous n’avez pas triché mais malheureusement ce n’est pas la bonne réponse. La lecture des paragraphes suivants devrait vous permettre de progresser en logique pour affronter sereinement vos deux années d’Iut.

...« tous » : vous avez eu raison de ne pas sortir le jeudi soir pour travailler et vous remettre à niveau. La lecture des paragraphes suivants devrait vous permettre de découvrir la logique, l’arithmétique et la mathématique en général pour affronter sereinement vos deux années d’Iut.

(9)

Réponses

Ça y est ? Bon, analysons les réponses possibles. Notons E= ‚0,20ƒ. Vous avez répondu...

... « 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 9, 10, 11, 12, 13, 15, 16, 17, 18, 19 » : vous avez triché ou bien vous avez eu un bon cours de logique au lycée et vous l’avez bien étudié. La lecture des paragraphes suivants va vous permettre d’aller plus loin ;

... « 2, 4, 6, 10, 12, 16, 18 » : c’est bien, vous n’avez pas triché mais malheureusement ce n’est pas la bonne réponse. La lecture des paragraphes suivants devrait vous permettre de progresser en logique pour affronter sereinement vos deux années d’Iut.

...« tous » : vous avez eu raison de ne pas sortir le jeudi soir pour travailler et vous remettre à niveau. La lecture des paragraphes suivants devrait vous permettre de découvrir la logique, l’arithmétique et la mathématique en général pour affronter sereinement vos deux années d’Iut.

(10)

Sommaire

1 Test préliminaire 2 Contexte 3 Syntaxe

4 Sémantique 5 Portes logiques

6 Approche formelle de la logique propositionnelle

(11)

proposition

«Igor dort» prédicats

«X dort» sémantique Vrai ou Faux ? syntaxe

construction des formules

(12)

proposition

«Igor dort» prédicats

«X dort» sémantique Vrai ou Faux ? syntaxe

construction des formules

(13)

proposition

«Igor dort» prédicats

«X dort» sémantique Vrai ou Faux ? syntaxe

construction des formules

(14)

proposition

«Igor dort» prédicats

«X dort» sémantique Vrai ou Faux ? syntaxe

construction des formules

(15)

proposition

«Igor dort» prédicats

«X dort» sémantique Vrai ou Faux ? syntaxe

construction des formules

(16)

proposition

«Igor dort» prédicats

«X dort» sémantique Vrai ou Faux ? syntaxe

construction des formules

(17)

proposition

«Igor dort» prédicats

«X dort» sémantique Vrai ou Faux ? syntaxe

construction des formules

(18)

proposition

«Igor dort» prédicats

«X dort» sémantique Vrai ou Faux ? syntaxe

construction des formules

(19)

proposition

«Igor dort» prédicats

«X dort» sémantique Vrai ou Faux ? syntaxe

construction des formules

(20)

Sommaire

1 Test préliminaire 2 Contexte 3 Syntaxe

4 Sémantique 5 Portes logiques

6 Approche formelle de la logique propositionnelle

(21)

propositions atomiques.

>

¬

« ( » et « ) ».

(22)

propositions atomiques.

>

¬

« ( » et « ) ».

(23)

propositions atomiques.

>

¬

« ( » et « ) ».

(24)

propositions atomiques.

>

¬

« ( » et « ) ».

(25)

propositions atomiques.

>

¬

« ( » et « ) ».

(26)

propositions atomiques.

>

¬

« ( » et « ) ».

(27)

propositions atomiques.

>

¬

« ( » et « ) ».

(28)

propositions atomiques.

>

¬

« ( » et « ) ».

(29)

propositions atomiques.

>

¬

« ( » et « ) ».

(30)

L’ensemble des formules de la logique propositionnelle est le plus petit en- sembleFtel que :

est un élément deF;

toute proposition atomique est un élément deF;

sipF, alors(¬p)F; sipetqsont dansF, alors (pq),(pq),(pq),et (pq)sont des éléments deF; il n’y a pas d’autres expressions bien formées que celles décrites par les règles précédentes.

type Atome = Char data Formule =

Faux

|Atomic Atome

|Non Formule

|Et Formule Formule

|Ou Formule Formule

|Imp Formule Formule

|Equiv Formule Formule

Que remarquez-vous d’un peu bizarre ?

(31)

L’ensemble des formules de la logique propositionnelle est le plus petit en- sembleFtel que :

est un élément deF;

toute proposition atomique est un élément deF;

sipF, alors(¬p)F; sipetqsont dansF, alors (pq),(pq),(pq),et (pq)sont des éléments deF; il n’y a pas d’autres expressions bien formées que celles décrites par les règles précédentes.

type Atome = Char data Formule =

Faux

|Atomic Atome

|Non Formule

|Et Formule Formule

|Ou Formule Formule

|Imp Formule Formule

|Equiv Formule Formule

Que remarquez-vous d’un peu bizarre ?

(32)

L’ensemble des formules de la logique propositionnelle est le plus petit en- sembleFtel que :

est un élément deF;

toute proposition atomique est un élément deF;

sipF, alors(¬p)F; sipetqsont dansF, alors (pq),(pq),(pq),et (pq)sont des éléments deF; il n’y a pas d’autres expressions bien formées que celles décrites par les règles précédentes.

type Atome = Char data Formule =

Faux

|Atomic Atome

|Non Formule

|Et Formule Formule

|Ou Formule Formule

|Imp Formule Formule

|Equiv Formule Formule

Que remarquez-vous d’un peu bizarre ?

(33)

L’ensemble des formules de la logique propositionnelle est le plus petit en- sembleFtel que :

est un élément deF;

toute proposition atomique est un élément deF;

sipF, alors(¬p)F; sipetqsont dansF, alors (pq),(pq),(pq),et (pq)sont des éléments deF; il n’y a pas d’autres expressions bien formées que celles décrites par les règles précédentes.

type Atome = Char data Formule =

Faux

|Atomic Atome

|Non Formule

|Et Formule Formule

|Ou Formule Formule

|Imp Formule Formule

|Equiv Formule Formule

Que remarquez-vous d’un peu bizarre ?

(34)

L’ensemble des formules de la logique propositionnelle est le plus petit en- sembleFtel que :

est un élément deF;

toute proposition atomique est un élément deF;

sipF, alors(¬p)F; sipetqsont dansF, alors (pq),(pq),(pq),et (pq)sont des éléments deF; il n’y a pas d’autres expressions bien formées que celles décrites par les règles précédentes.

type Atome = Char data Formule =

Faux

|Atomic Atome

|Non Formule

|Et Formule Formule

|Ou Formule Formule

|Imp Formule Formule

|Equiv Formule Formule

Que remarquez-vous d’un peu bizarre ?

(35)

L’ensemble des formules de la logique propositionnelle est le plus petit en- sembleFtel que :

est un élément deF;

toute proposition atomique est un élément deF;

sipF, alors(¬p)F; sipetqsont dansF, alors (pq),(pq),(pq),et (pq)sont des éléments deF; il n’y a pas d’autres expressions bien formées que celles décrites par les règles précédentes.

type Atome = Char data Formule =

Faux

|Atomic Atome

|Non Formule

|Et Formule Formule

|Ou Formule Formule

|Imp Formule Formule

|Equiv Formule Formule

Que remarquez-vous d’un peu bizarre ?

(36)

L’ensemble des formules de la logique propositionnelle est le plus petit en- sembleFtel que :

est un élément deF;

toute proposition atomique est un élément deF;

sipF, alors(¬p)F; sipetqsont dansF, alors (pq),(pq),(pq),et (pq)sont des éléments deF; il n’y a pas d’autres expressions bien formées que celles décrites par les règles précédentes.

type Atome = Char data Formule =

Faux

|Atomic Atome

|Non Formule

|Et Formule Formule

|Ou Formule Formule

|Imp Formule Formule

|Equiv Formule Formule

Que remarquez-vous d’un peu bizarre ?

(37)

L’ensemble des formules de la logique propositionnelle est le plus petit en- sembleFtel que :

est un élément deF;

toute proposition atomique est un élément deF;

sipF, alors(¬p)F; sipetqsont dansF, alors (pq),(pq),(pq),et (pq)sont des éléments deF; il n’y a pas d’autres expressions bien formées que celles décrites par les règles précédentes.

type Atome = Char data Formule =

Faux

|Atomic Atome

|Non Formule

|Et Formule Formule

|Ou Formule Formule

|Imp Formule Formule

|Equiv Formule Formule

Que remarquez-vous d’un peu bizarre ?

(38)

L’ensemble des formules de la logique propositionnelle est le plus petit en- sembleFtel que :

est un élément deF;

toute proposition atomique est un élément deF;

sipF, alors(¬p)F; sipetqsont dansF, alors (pq),(pq),(pq),et (pq)sont des éléments deF; il n’y a pas d’autres expressions bien formées que celles décrites par les règles précédentes.

type Atome = Char data Formule =

Faux

|Atomic Atome

|Non Formule

|Et Formule Formule

|Ou Formule Formule

|Imp Formule Formule

|Equiv Formule Formule

Que remarquez-vous d’un peu bizarre ?

(39)

L’ensemble des formules de la logique propositionnelle est le plus petit en- sembleFtel que :

est un élément deF;

toute proposition atomique est un élément deF;

sipF, alors(¬p)F; sipetqsont dansF, alors (pq),(pq),(pq),et (pq)sont des éléments deF; il n’y a pas d’autres expressions bien formées que celles décrites par les règles précédentes.

type Atome = Char data Formule =

Faux

|Atomic Atome

|Non Formule

|Et Formule Formule

|Ou Formule Formule

|Imp Formule Formule

|Equiv Formule Formule

Que remarquez-vous d’un peu bizarre ?

(40)

L’ensemble des formules de la logique propositionnelle est le plus petit en- sembleFtel que :

est un élément deF;

toute proposition atomique est un élément deF;

sipF, alors(¬p)F; sipetqsont dansF, alors (pq),(pq),(pq),et (pq)sont des éléments deF; il n’y a pas d’autres expressions bien formées que celles décrites par les règles précédentes.

type Atome = Char data Formule =

Faux

|Atomic Atome

|Non Formule

|Et Formule Formule

|Ou Formule Formule

|Imp Formule Formule

|Equiv Formule Formule

Que remarquez-vous d’un peu bizarre ?

(41)

L’ensemble des formules de la logique propositionnelle est le plus petit en- sembleFtel que :

est un élément deF;

toute proposition atomique est un élément deF;

sipF, alors(¬p)F; sipetqsont dansF, alors (pq),(pq),(pq),et (pq)sont des éléments deF; il n’y a pas d’autres expressions bien formées que celles décrites par les règles précédentes.

type Atome = Char data Formule =

Faux

|Atomic Atome

|Non Formule

|Et Formule Formule

|Ou Formule Formule

|Imp Formule Formule

|Equiv Formule Formule

Que remarquez-vous d’un peu bizarre ?

(42)

−− Opé r a t e u r s i n f i x e s p l u s p r a t i q u e s à u t i l i s e r µ x = Atomic x

x & y = Et x y x § y = Ou x y x ==> y = Imp x y x <==> y = Equiv x y

−− exemple de f o r m u l e

Non ((µ ’p’) & (µ ’q’)) <==> (Non (µ ’p’) § Non (µ ’q’))

(43)

−− Opé r a t e u r s i n f i x e s p l u s p r a t i q u e s à u t i l i s e r µ x = Atomic x

x & y = Et x y x § y = Ou x y x ==> y = Imp x y x <==> y = Equiv x y

−− exemple de f o r m u l e

Non ((µ ’p’) & (µ ’q’)) <==> (Non (µ ’p’) § Non (µ ’q’))

(44)

priorités

¬est prioritaire sur les autres opérateurs ;

∨et sont prioritaires sur et. Mais attention !pqr est ambigu.

(45)

priorités

¬est prioritaire sur les autres opérateurs ;

∨et sont prioritaires sur et. Mais attention !pqr est ambigu.

(46)

priorités

¬est prioritaire sur les autres opérateurs ;

∨et sont prioritaires sur et. Mais attention !pqr est ambigu.

(47)

priorités

¬est prioritaire sur les autres opérateurs ;

∨et sont prioritaires sur et. Mais attention !pqr est ambigu.

(48)

priorités et Haskell

infixr 2 &

x & y = Et x y infixr 2 § x § y = Ou x y infixr 1 ==>

x ==> y = Imp x y infixr 1 <==>

x <==> y = Equiv x y

s ==> (p & (Non (q))) § (p <==> (Non r))

(49)

priorités et Haskell

infixr 2 &

x & y = Et x y infixr 2 § x § y = Ou x y infixr 1 ==>

x ==> y = Imp x y infixr 1 <==>

x <==> y = Equiv x y

s ==> (p & (Non (q))) § (p <==> (Non r))

(50)

connecteurs

Remarques

Il y a bien plus de connecteurs logiques que ceux évoqués ici : combien y en a-t-il à votre avis ?

On parle aussi d’arité d’un connecteur. Par exemple, ¬ est un connecteur d’arité 1 etest un connecteur d’arité 2.

(51)

connecteurs

Remarques

Il y a bien plus de connecteurs logiques que ceux évoqués ici : combien y en a-t-il à votre avis ?

On parle aussi d’arité d’un connecteur. Par exemple, ¬ est un connecteur d’arité 1 etest un connecteur d’arité 2.

(52)

connecteurs

Remarques

Il y a bien plus de connecteurs logiques que ceux évoqués ici : combien y en a-t-il à votre avis ?

On parle aussi d’arité d’un connecteur. Par exemple, ¬ est un connecteur d’arité 1 etest un connecteur d’arité 2.

(53)

arbres

s ==> (p & (Non (q))) § (p <==> (Non r))

s

p ¬

q

p ¬

r

(54)

arbres

s ==> (p & (Non (q))) § (p <==> (Non r))

s

p ¬

q

p ¬

r

(55)

Démonstration par induction

Théorème 1

Si une propriété P portant sur les formules de F est telle que : toute variable propositionnelle vérifie P ;

⊥vérifie P ;

si la formule p vérifie P, alors(¬p) vérifie P ;

si p et q vérifient P, alors(pq),(pq),(pq) et(pq) vérifient P ;

alors toutes les formules deF vérifient P.

Exercice 1

Toute formule de F a autant de parenthèses ouvrantes que de parenthèses fermantes.

(56)

Démonstration par induction

Théorème 1

Si une propriété P portant sur les formules de F est telle que : toute variable propositionnelle vérifie P ;

⊥vérifie P ;

si la formule p vérifie P, alors(¬p) vérifie P ;

si p et q vérifient P, alors(pq),(pq),(pq) et(pq) vérifient P ;

alors toutes les formules deF vérifient P.

Exercice 1

Toute formule de F a autant de parenthèses ouvrantes que de parenthèses fermantes.

(57)

Démonstration par induction

Théorème 1

Si une propriété P portant sur les formules de F est telle que : toute variable propositionnelle vérifie P ;

⊥vérifie P ;

si la formule p vérifie P, alors(¬p) vérifie P ;

si p et q vérifient P, alors(pq),(pq),(pq) et(pq) vérifient P ;

alors toutes les formules deF vérifient P.

Exercice 1

Toute formule de F a autant de parenthèses ouvrantes que de parenthèses fermantes.

(58)

Démonstration par induction

Théorème 1

Si une propriété P portant sur les formules de F est telle que : toute variable propositionnelle vérifie P ;

⊥vérifie P ;

si la formule p vérifie P, alors(¬p) vérifie P ;

si p et q vérifient P, alors(pq),(pq),(pq) et(pq) vérifient P ;

alors toutes les formules deF vérifient P.

Exercice 1

Toute formule de F a autant de parenthèses ouvrantes que de parenthèses fermantes.

(59)

Démonstration par induction

Théorème 1

Si une propriété P portant sur les formules de F est telle que : toute variable propositionnelle vérifie P ;

⊥vérifie P ;

si la formule p vérifie P, alors(¬p) vérifie P ;

si p et q vérifient P, alors(pq),(pq),(pq) et(pq) vérifient P ;

alors toutes les formules deF vérifient P.

Exercice 1

Toute formule de F a autant de parenthèses ouvrantes que de parenthèses fermantes.

(60)

Démonstration par induction

Théorème 1

Si une propriété P portant sur les formules de F est telle que : toute variable propositionnelle vérifie P ;

⊥vérifie P ;

si la formule p vérifie P, alors(¬p) vérifie P ;

si p et q vérifient P, alors(pq),(pq),(pq) et(pq) vérifient P ;

alors toutes les formules deF vérifient P.

Exercice 1

Toute formule de F a autant de parenthèses ouvrantes que de parenthèses fermantes.

(61)

Démonstration par induction

Théorème 1

Si une propriété P portant sur les formules de F est telle que : toute variable propositionnelle vérifie P ;

⊥vérifie P ;

si la formule p vérifie P, alors(¬p) vérifie P ;

si p et q vérifient P, alors(pq),(pq),(pq) et(pq) vérifient P ;

alors toutes les formules deF vérifient P.

Exercice 1

Toute formule de F a autant de parenthèses ouvrantes que de parenthèses fermantes.

(62)

Démonstration par induction

Théorème 1

Si une propriété P portant sur les formules de F est telle que : toute variable propositionnelle vérifie P ;

⊥vérifie P ;

si la formule p vérifie P, alors(¬p) vérifie P ;

si p et q vérifient P, alors(pq),(pq),(pq) et(pq) vérifient P ;

alors toutes les formules deF vérifient P.

Exercice 1

Toute formule de F a autant de parenthèses ouvrantes que de parenthèses fermantes.

(63)

Sous-formules

Exercice 2

Quelles sont les sous-formules de : s((p(¬q))(p(¬r)))

(64)

Exemple 2

f: F4 F

(p,q,r,s) 7→ s((p(¬q))(p(¬r)))

f_boule :: Formule -> Formule -> Formule -> Formule -> Formule f_boule p q r s =

s ==> (p & (Non (q))) § (p <==> (Non r))

(65)

Exemple 2

f: F4 F

(p,q,r,s) 7→ s((p(¬q))(p(¬r)))

f_boule :: Formule -> Formule -> Formule -> Formule -> Formule f_boule p q r s =

s ==> (p & (Non (q))) § (p <==> (Non r))

(66)

Sommaire

1 Test préliminaire 2 Contexte 3 Syntaxe

4 Sémantique 5 Portes logiques

6 Approche formelle de la logique propositionnelle

(67)

Valeurs sous un environnement

Définition 3

Un environnement (oudistribution de vérité ou interprétation

propositionnelle) est une application des variables atomiques deF dansB2.

(68)

Valeur sous un environnement

V(⊥,v)=0 ;

sip est une variable atomique alorsV(p,v)=v(p); V(¬p,v)=1 ssi, V(p,v)=0(NÉGATION) ;

V(pq,v)=1 ssiV(p,v)=V(q,v)=1 (CONJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=V(q,v)=0 (DISJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=1 etV(q,v)=0 (IMPLICATION) ; V(pq,v)=1 ssi, V(p,v)=V(q,v) (ÉQUIVALENCE),

f =(p(qr))etv(p)=1,v(q)=0,v(r)=1:V(f,v)?

(69)

Valeur sous un environnement

V(⊥,v)=0 ;

sip est une variable atomique alorsV(p,v)=v(p); V(¬p,v)=1 ssi, V(p,v)=0(NÉGATION) ;

V(pq,v)=1 ssiV(p,v)=V(q,v)=1(CONJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=V(q,v)=0 (DISJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=1 etV(q,v)=0 (IMPLICATION) ; V(pq,v)=1 ssi, V(p,v)=V(q,v) (ÉQUIVALENCE),

f =(p(qr))etv(p)=1,v(q)=0,v(r)=1:V(f,v)?

(70)

Valeur sous un environnement

V(⊥,v)=0 ;

sip est une variable atomique alorsV(p,v)=v(p); V(¬p,v)=1 ssi, V(p,v)=0(NÉGATION) ;

V(pq,v)=1 ssiV(p,v)=V(q,v)=1(CONJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=V(q,v)=0 (DISJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=1 etV(q,v)=0 (IMPLICATION) ; V(pq,v)=1 ssi, V(p,v)=V(q,v) (ÉQUIVALENCE),

f =(p(qr))etv(p)=1,v(q)=0,v(r)=1:V(f,v)?

(71)

Valeur sous un environnement

V(⊥,v)=0 ;

sip est une variable atomique alorsV(p,v)=v(p); V(¬p,v)=1 ssi, V(p,v)=0(NÉGATION) ;

V(pq,v)=1 ssiV(p,v)=V(q,v)=1(CONJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=V(q,v)=0 (DISJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=1 etV(q,v)=0 (IMPLICATION) ; V(pq,v)=1 ssi, V(p,v)=V(q,v) (ÉQUIVALENCE),

f =(p(qr))etv(p)=1,v(q)=0,v(r)=1:V(f,v)?

(72)

Valeur sous un environnement

V(⊥,v)=0 ;

sip est une variable atomique alorsV(p,v)=v(p); V(¬p,v)=1 ssi, V(p,v)=0 (NÉGATION) ;

V(pq,v)=1 ssiV(p,v)=V(q,v)=1(CONJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=V(q,v)=0 (DISJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=1 etV(q,v)=0 (IMPLICATION) ; V(pq,v)=1 ssi, V(p,v)=V(q,v) (ÉQUIVALENCE),

f =(p(qr))etv(p)=1,v(q)=0,v(r)=1:V(f,v)?

(73)

Valeur sous un environnement

V(⊥,v)=0 ;

sip est une variable atomique alorsV(p,v)=v(p); V(¬p,v)=1 ssi, V(p,v)=0 (NÉGATION) ;

V(pq,v)=1 ssiV(p,v)=V(q,v)=1(CONJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=V(q,v)=0 (DISJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=1 etV(q,v)=0 (IMPLICATION) ; V(pq,v)=1 ssi, V(p,v)=V(q,v) (ÉQUIVALENCE),

f =(p(qr))etv(p)=1,v(q)=0,v(r)=1:V(f,v)?

(74)

Valeur sous un environnement

V(⊥,v)=0 ;

sip est une variable atomique alorsV(p,v)=v(p); V(¬p,v)=1 ssi, V(p,v)=0 (NÉGATION) ;

V(pq,v)=1 ssiV(p,v)=V(q,v)=1 (CONJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=V(q,v)=0 (DISJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=1 etV(q,v)=0 (IMPLICATION) ; V(pq,v)=1 ssi, V(p,v)=V(q,v) (ÉQUIVALENCE),

f =(p(qr))etv(p)=1,v(q)=0,v(r)=1:V(f,v)?

(75)

Valeur sous un environnement

V(⊥,v)=0 ;

sip est une variable atomique alorsV(p,v)=v(p); V(¬p,v)=1 ssi, V(p,v)=0 (NÉGATION) ;

V(pq,v)=1 ssiV(p,v)=V(q,v)=1 (CONJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=V(q,v)=0 (DISJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=1 etV(q,v)=0 (IMPLICATION) ; V(pq,v)=1 ssi, V(p,v)=V(q,v) (ÉQUIVALENCE),

f =(p(qr))etv(p)=1,v(q)=0,v(r)=1:V(f,v)?

(76)

Valeur sous un environnement

V(⊥,v)=0 ;

sip est une variable atomique alorsV(p,v)=v(p); V(¬p,v)=1 ssi, V(p,v)=0 (NÉGATION) ;

V(pq,v)=1 ssiV(p,v)=V(q,v)=1 (CONJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=V(q,v)=0 (DISJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=1 etV(q,v)=0 (IMPLICATION) ; V(pq,v)=1 ssi, V(p,v)=V(q,v) (ÉQUIVALENCE),

f =(p(qr))etv(p)=1,v(q)=0,v(r)=1:V(f,v)?

(77)

Valeur sous un environnement

V(⊥,v)=0 ;

sip est une variable atomique alorsV(p,v)=v(p); V(¬p,v)=1 ssi, V(p,v)=0 (NÉGATION) ;

V(pq,v)=1 ssiV(p,v)=V(q,v)=1 (CONJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=V(q,v)=0 (DISJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=1 etV(q,v)=0 (IMPLICATION) ; V(pq,v)=1 ssi, V(p,v)=V(q,v) (ÉQUIVALENCE),

f =(p(qr))etv(p)=1,v(q)=0,v(r)=1:V(f,v)?

(78)

Valeur sous un environnement

V(⊥,v)=0 ;

sip est une variable atomique alorsV(p,v)=v(p); V(¬p,v)=1 ssi, V(p,v)=0 (NÉGATION) ;

V(pq,v)=1 ssiV(p,v)=V(q,v)=1 (CONJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=V(q,v)=0 (DISJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=1 etV(q,v)=0 (IMPLICATION) ; V(pq,v)=1 ssi, V(p,v)=V(q,v) (ÉQUIVALENCE),

f =(p(qr))etv(p)=1,v(q)=0,v(r)=1:V(f,v)?

(79)

Valeur sous un environnement

V(⊥,v)=0 ;

sip est une variable atomique alorsV(p,v)=v(p); V(¬p,v)=1 ssi, V(p,v)=0 (NÉGATION) ;

V(pq,v)=1 ssiV(p,v)=V(q,v)=1 (CONJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=V(q,v)=0 (DISJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=1 etV(q,v)=0 (IMPLICATION) ; V(pq,v)=1 ssi, V(p,v)=V(q,v) (ÉQUIVALENCE),

f =(p(qr))etv(p)=1,v(q)=0,v(r)=1:V(f,v)?

(80)

Valeur sous un environnement

V(⊥,v)=0 ;

sip est une variable atomique alorsV(p,v)=v(p); V(¬p,v)=1 ssi, V(p,v)=0 (NÉGATION) ;

V(pq,v)=1 ssiV(p,v)=V(q,v)=1 (CONJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=V(q,v)=0 (DISJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=1 etV(q,v)=0 (IMPLICATION) ; V(pq,v)=1 ssi, V(p,v)=V(q,v) (ÉQUIVALENCE),

f =(p(qr))etv(p)=1,v(q)=0,v(r)=1:V(f,v)?

(81)

Valeur sous un environnement

V(⊥,v)=0 ;

sip est une variable atomique alorsV(p,v)=v(p); V(¬p,v)=1 ssi, V(p,v)=0 (NÉGATION) ;

V(pq,v)=1 ssiV(p,v)=V(q,v)=1 (CONJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=V(q,v)=0 (DISJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=1 etV(q,v)=0 (IMPLICATION) ; V(pq,v)=1 ssi, V(p,v)=V(q,v) (ÉQUIVALENCE),

f =(p(qr))etv(p)=1,v(q)=0,v(r)=1:V(f,v)?

(82)

Valeur sous un environnement

V(⊥,v)=0 ;

sip est une variable atomique alorsV(p,v)=v(p); V(¬p,v)=1 ssi, V(p,v)=0 (NÉGATION) ;

V(pq,v)=1 ssiV(p,v)=V(q,v)=1 (CONJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=V(q,v)=0 (DISJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=1 etV(q,v)=0 (IMPLICATION) ; V(pq,v)=1 ssi, V(p,v)=V(q,v) (ÉQUIVALENCE),

f =(p(qr))etv(p)=1,v(q)=0,v(r)=1:V(f,v)?

(83)

Valeur sous un environnement

V(⊥,v)=0 ;

sip est une variable atomique alorsV(p,v)=v(p); V(¬p,v)=1 ssi, V(p,v)=0 (NÉGATION) ;

V(pq,v)=1 ssiV(p,v)=V(q,v)=1 (CONJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=V(q,v)=0 (DISJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=1 etV(q,v)=0 (IMPLICATION) ; V(pq,v)=1 ssi, V(p,v)=V(q,v) (ÉQUIVALENCE),

f =(p(qr))etv(p)=1,v(q)=0,v(r)=1:V(f,v)?

(84)

type Environnement = Dic.Map Atome Bool

−− exemple d ’ e n v i r o n n e m e n t

env1 = Dic.fromList[(’p’,True),(’q’,False)]

−− é v a l u a t i o n r é c u r s i v e d ’ une f o r m u l e s o u s un e n v i r o n n e m e n t eval :: Formule -> Environnement -> Bool

eval Faux env = False eval (Atomic a) env = env Dic.! a

eval (Non f) env = if (eval f env) then False else True

eval (Et f g) env = if (eval f env) then (eval g env) else False eval (Ou f g) env = if (eval f env) then True else (eval g env) eval (Imp f g) env = eval (Non (f & (Non g))) env

eval (Equiv f g) env = eval ((f & g) § ((Non f) & (Non g))) env

(85)

Tables de vérité

p(¬qp)

p q ¬q ¬qp p(¬qp)

1 1 0 1 1

1 0 1 1 1

0 1 0 1 1

0 0 1 0 0

(86)

Tables de vérité

p(¬qp)

p q ¬q ¬qp p(¬qp)

1 1 0 1 1

1 0 1 1 1

0 1 0 1 1

0 0 1 0 0

(87)

Tables de vérité

p(¬qp)

p q ¬q ¬qp p(¬qp)

1 1 0 1 1

1 0 1 1 1

0 1 0 1 1

0 0 1 0 0

(88)

Tables de vérité

p(¬qp)

p q ¬q ¬qp p(¬qp)

1 1 0 1 1

1 0 1 1 1

0 1 0 1 1

0 0 1 0 0

(89)

Tables de vérité

p(¬qp)

p q ¬q ¬qp p(¬qp)

1 1 0 1 1

1 0 1 1 1

0 1 0 1 1

0 0 1 0 0

(90)

Tables de vérité

p(¬qp)

p q ¬q ¬qp p(¬qp)

1 1 0 1 1

1 0 1 1 1

0 1 0 1 1

0 0 1 0 0

(91)

Tables de vérité

p(¬qp)

p q ¬q ¬qp p(¬qp)

1 1 0 1 1

1 0 1 1 1

0 1 0 1 1

0 0 1 0 0

(92)

Tables de vérité

p(¬qp)

p q ¬q ¬qp p(¬qp)

1 1 0 1 1

1 0 1 1 1

0 1 0 1 1

0 0 1 0 0

(93)

Tables de vérité

p(¬qp)

p q ¬q ¬qp p(¬qp)

1 1 0 1 1

1 0 1 1 1

0 1 0 1 1

0 0 1 0 0

(94)

Tables de vérité

p(¬qp)

p q ¬q ¬qp p(¬qp)

1 1 0 1 1

1 0 1 1 1

0 1 0 1 1

0 0 1 0 0

(95)

Tables de vérité

p(¬qp)

p q ¬q ¬qp p(¬qp)

1 1 0 1 1

1 0 1 1 1

0 1 0 1 1

0 0 1 0 0

(96)

Tables de vérité

p(¬qp)

p q ¬q ¬qp p(¬qp)

1 1 0 1 1

1 0 1 1 1

0 1 0 1 1

0 0 1 0 0

(97)

Tables de vérité

p(¬qp)

p q ¬q ¬qp p(¬qp)

1 1 0 1 1

1 0 1 1 1

0 1 0 1 1

0 0 1 0 0

(98)

Tables de vérité

p(¬qp)

p q ¬q ¬qp p(¬qp)

1 1 0 1 1

1 0 1 1 1

0 1 0 1 1

0 0 1 0 0

(99)

Tables de vérité

p(¬qp)

p q ¬q ¬qp p(¬qp)

1 1 0 1 1

1 0 1 1 1

0 1 0 1 1

0 0 1 0 0

(100)

Tables de vérité

p(¬qp)

p q ¬q ¬qp p(¬qp)

1 1 0 1 1

1 0 1 1 1

0 1 0 1 1

0 0 1 0 0

(101)

Tables de vérité

p(¬qp)

p q ¬q ¬qp p(¬qp)

1 1 0 1 1

1 0 1 1 1

0 1 0 1 1

0 0 1 0 0

(102)

Tables de vérité

p(¬qp)

p q ¬q ¬qp p(¬qp)

1 1 0 1 1

1 0 1 1 1

0 1 0 1 1

0 0 1 0 0

(103)

Tables de vérité

p(¬qp)

p q ¬q ¬qp p(¬qp)

1 1 0 1 1

1 0 1 1 1

0 1 0 1 1

0 0 1 0 0

(104)

Tables de vérité

p(¬qp)

p q ¬q ¬qp p(¬qp)

1 1 0 1 1

1 0 1 1 1

0 1 0 1 1

0 0 1 0 0

(105)

Tables de vérité

p(¬qp)

p q ¬q ¬qp p(¬qp)

1 1 0 1 1

1 0 1 1 1

0 1 0 1 1

0 0 1 0 0

(106)

Tables de vérité

p(¬qp)

p q ¬q ¬qp p(¬qp)

1 1 0 1 1

1 0 1 1 1

0 1 0 1 1

0 0 1 0 0

(107)

Tables de vérité

p(¬qp)

p q ¬q ¬qp p(¬qp)

1 1 0 1 1

1 0 1 1 1

0 1 0 1 1

0 0 1 0 0

(108)

Tables de vérité

p(¬qp)

p q ¬q ¬qp p(¬qp)

1 1 0 1 1

1 0 1 1 1

0 1 0 1 1

0 0 1 0 0

(109)

Tables de vérité

p(¬qp)

p q ¬q ¬qp p(¬qp)

1 1 0 1 1

1 0 1 1 1

0 1 0 1 1

0 0 1 0 0

(110)

Tables de vérité

p(¬qp)

p q ¬q ¬qp p(¬qp)

1 1 0 1 1

1 0 1 1 1

0 1 0 1 1

0 0 1 0 0

(111)

Tables de vérité

p(¬qp)

p q ¬q ¬qp p(¬qp)

1 1 0 1 1

1 0 1 1 1

0 1 0 1 1

0 0 1 0 0

(112)

*Main Dic> let p9 = µ ’p’ § ( Non ( µ ’q’) ==> µ ’p’)

*Main Dic> table_verite p9 [(’p’,True),(’q’,True)] −−> True [(’p’,True),(’q’,False)] −−> True [(’p’,False),(’q’,True)] −−> True [(’p’,False),(’q’,False)] −−> F a l s e

(113)

Tables de vérité de,,,? V(,v)=0 ;

sip est une variable atomique alorsV(p,v)=v(p); V(¬p,v)=1 ssi, V(p,v)=0(NÉGATION) ;

V(pq,v)=1 ssiV(p,v)=V(q,v)=1 (CONJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=V(q,v)=0 (DISJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=1 etV(q,v)=0 (IMPLICATION) ; V(pq,v)=1 ssi, V(p,v)=V(q,v) (ÉQUIVALENCE),

(114)

Tables de vérité de,,,? V(,v)=0 ;

sip est une variable atomique alorsV(p,v)=v(p); V(¬p,v)=1 ssi, V(p,v)=0(NÉGATION) ;

V(pq,v)=1 ssiV(p,v)=V(q,v)=1 (CONJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=V(q,v)=0 (DISJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=1 etV(q,v)=0 (IMPLICATION) ; V(pq,v)=1 ssi, V(p,v)=V(q,v) (ÉQUIVALENCE),

(115)

Tables de vérité de,,,? V(,v)=0 ;

sip est une variable atomique alorsV(p,v)=v(p); V(¬p,v)=1 ssi, V(p,v)=0(NÉGATION) ;

V(pq,v)=1 ssiV(p,v)=V(q,v)=1(CONJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=V(q,v)=0 (DISJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=1 etV(q,v)=0 (IMPLICATION) ; V(pq,v)=1 ssi, V(p,v)=V(q,v) (ÉQUIVALENCE),

(116)

Tables de vérité de,,,? V(,v)=0 ;

sip est une variable atomique alorsV(p,v)=v(p); V(¬p,v)=1 ssi, V(p,v)=0(NÉGATION) ;

V(pq,v)=1 ssiV(p,v)=V(q,v)=1(CONJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=V(q,v)=0 (DISJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=1 etV(q,v)=0 (IMPLICATION) ; V(pq,v)=1 ssi, V(p,v)=V(q,v) (ÉQUIVALENCE),

(117)

Tables de vérité de,,,? V(,v)=0 ;

sip est une variable atomique alorsV(p,v)=v(p); V(¬p,v)=1 ssi, V(p,v)=0(NÉGATION) ;

V(pq,v)=1 ssiV(p,v)=V(q,v)=1(CONJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=V(q,v)=0 (DISJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=1 etV(q,v)=0 (IMPLICATION) ; V(pq,v)=1 ssi, V(p,v)=V(q,v) (ÉQUIVALENCE),

(118)

Tables de vérité de,,,? V(,v)=0 ;

sip est une variable atomique alorsV(p,v)=v(p); V(¬p,v)=1 ssi, V(p,v)=0 (NÉGATION) ;

V(pq,v)=1 ssiV(p,v)=V(q,v)=1(CONJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=V(q,v)=0 (DISJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=1 etV(q,v)=0 (IMPLICATION) ; V(pq,v)=1 ssi, V(p,v)=V(q,v) (ÉQUIVALENCE),

(119)

Tables de vérité de,,,? V(,v)=0 ;

sip est une variable atomique alorsV(p,v)=v(p); V(¬p,v)=1 ssi, V(p,v)=0 (NÉGATION) ;

V(pq,v)=1 ssiV(p,v)=V(q,v)=1(CONJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=V(q,v)=0 (DISJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=1 etV(q,v)=0 (IMPLICATION) ; V(pq,v)=1 ssi, V(p,v)=V(q,v) (ÉQUIVALENCE),

(120)

Tables de vérité de,,,? V(,v)=0 ;

sip est une variable atomique alorsV(p,v)=v(p); V(¬p,v)=1 ssi, V(p,v)=0 (NÉGATION) ;

V(pq,v)=1 ssiV(p,v)=V(q,v)=1 (CONJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=V(q,v)=0 (DISJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=1 etV(q,v)=0 (IMPLICATION) ; V(pq,v)=1 ssi, V(p,v)=V(q,v) (ÉQUIVALENCE),

(121)

Tables de vérité de,,,? V(,v)=0 ;

sip est une variable atomique alorsV(p,v)=v(p); V(¬p,v)=1 ssi, V(p,v)=0 (NÉGATION) ;

V(pq,v)=1 ssiV(p,v)=V(q,v)=1 (CONJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=V(q,v)=0 (DISJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=1 etV(q,v)=0 (IMPLICATION) ; V(pq,v)=1 ssi, V(p,v)=V(q,v) (ÉQUIVALENCE),

(122)

Tables de vérité de,,,? V(,v)=0 ;

sip est une variable atomique alorsV(p,v)=v(p); V(¬p,v)=1 ssi, V(p,v)=0 (NÉGATION) ;

V(pq,v)=1 ssiV(p,v)=V(q,v)=1 (CONJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=V(q,v)=0 (DISJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=1 etV(q,v)=0 (IMPLICATION) ; V(pq,v)=1 ssi, V(p,v)=V(q,v) (ÉQUIVALENCE),

(123)

Tables de vérité de,,,? V(,v)=0 ;

sip est une variable atomique alorsV(p,v)=v(p); V(¬p,v)=1 ssi, V(p,v)=0 (NÉGATION) ;

V(pq,v)=1 ssiV(p,v)=V(q,v)=1 (CONJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=V(q,v)=0 (DISJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=1 etV(q,v)=0 (IMPLICATION) ; V(pq,v)=1 ssi, V(p,v)=V(q,v) (ÉQUIVALENCE),

(124)

Tables de vérité de,,,? V(,v)=0 ;

sip est une variable atomique alorsV(p,v)=v(p); V(¬p,v)=1 ssi, V(p,v)=0 (NÉGATION) ;

V(pq,v)=1 ssiV(p,v)=V(q,v)=1 (CONJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=V(q,v)=0 (DISJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=1 etV(q,v)=0 (IMPLICATION) ; V(pq,v)=1 ssi, V(p,v)=V(q,v) (ÉQUIVALENCE),

(125)

Tables de vérité de,,,? V(,v)=0 ;

sip est une variable atomique alorsV(p,v)=v(p); V(¬p,v)=1 ssi, V(p,v)=0 (NÉGATION) ;

V(pq,v)=1 ssiV(p,v)=V(q,v)=1 (CONJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=V(q,v)=0 (DISJONCTION) ; V(pq,v)=0 ssi, V(p,v)=1 etV(q,v)=0 (IMPLICATION) ; V(pq,v)=1 ssi, V(p,v)=V(q,v) (ÉQUIVALENCE),

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