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B u r e a u x : R u e Neuve, 19

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-.

PA M. Jules uieuer

Les consulats suisses IS l'étranger reçoivent le journal.

Troisième année. — N0 40.

P r i x du numt&ir'lO centimes

Samedi 18 mai 1889.

B u r e a u x : R u e Neuve, 19

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e t d e s S y n d i c a t s i n d u s t r i e l s . .

Syndicats obligatoires. , Le foyer du Casino était trop petit pour contenir les citoyens accourus à l'appel de M. le conseiller d'Etal Cornaz. On évalue à plus de 200, le nombre de ceux qui ont pu trouver place.

Nous donnons plus loin le protocole officiel de la séance, tel qu'il a été rédigé par les deux secrétaires nommés par l'as- semblée. On verra que le plan d'organi- sation des syndicats industriels obligatoi- res, qui résume les opinions exprimées dans cette première consultation, ne dif- fère de l'organisation prévue pour la Fé- dération horlogère, qu'en ce qui concerne l'obligation imposée à tous les ouvriers et patrons d'une même industrie, d'entrer dans les syndicats formés par les diffé- rentes branches de celte industrie.

La question de l'élaboration de tarifs minima pour la main-d'œuvre a soulevé un débat contradictoire ; on pouvait s'y attendre. Celle question des prix est, en effet, pour les ouvriers la plus importante, celle qui leur tient le plus au cœur. On peut même dire que si les salaires qui leur sont payés actuellement suffisaient à assurer leurs conditions d'existence, ils n'auraient pas éprouvé le besoin de se grouper pour chercher le moyen d'oppo- ser une digue à l'avilissement des prix, en attendant de pouvoir les relever dans une mesure qui ne risque pas de com- promettre la suprématie de l'horlogerie suisse sur les marchés étrangers.

Enlever, du programme des syndicats, la question primordiale des salaires, ce serait décapiter l'œuvre avant de l'avoir créée ; et, comme, on n'a pas encore trouvé d'autre moyen d'arrêter la dégringolade continue des salaires que de fixer une limite au-delà de laquelle il soit interdit de descendre, l'élaboration de tarifs mi- nima pour les différentes parties des gen-

res similaires de montres, s'impose comme la seule mesure efficace qui soit à notre disposition.

Dans les syndicats libres, du moins dans ceux qui groupent un nombre rela- tivement considérable d'intéressés, la question des tarifs est insoluble, parce que les minorités qui restent en dehors des syndicats attirent.. jSk<elIès Je courant du travail, en maintenant leurs tarifs au des- sous de ceux fixés par les syndiqués.

Avec les syndicats obligatoires, ce péril est évité, puisque chacun est soumis à la règle commune.

La question des tarifs, même dans le syndicat obligatoire, n'en est pas moins grosse de difficultés, et demandera une étude approfondie et attentive, si l'on veut éviter de faire le jeu de la concurrence étrangère, ce qui ne manquerait pas d'ar- river si l'on se laissait dominer par le désir très légitime d'ailleurs, d'améliorer rapidement et dans une large mesure, la position des travailleurs.

Mais ce que nous avons entendu dire aux ouvriers qui ont pris la parole dans l'assemblée de mardi, nous rassure com- plètement à cet égard. Les ouvriers de- mandent, en premier lieu, que l'on mette un arrêt à la baisse — et qui ne le de- mande pas avec eux ? — et comprennent parfaitement que le relèvement^ des sa- laires, qui viendra à son heure, ne peut pas être décrété d'un trait de plume.

Voilà donc la question des syndicats posée sur son véritabb terrain, soit sur le terrain fédéral. L'étude qui a été faile par les légistes, de la marche qu'il fal- lait suivre pour leur donner une base lé- gale, a démonIré la possibilité d'arriver au système de l'obligation, sans qu'il soit besoin de procéder à une révision de la constitution fédérale.

Il sera donc possible, par une simple extension de l'exception consacrée par la loi sur les fabriques, que les cantons puissent être autorisés à décréter des syndicats obligatoires pour les industries où la nécessité s'en fera sentir.

Mais si ce point de vue est admis par les chambres fédérales, et si la motion présentée au conseil des Etals par Mes- sieurs Cornaz et consorts repousse victo- rieusement les assauts qu'elle aura à su- bire, le problème, en ce qui concerne l'industrie horlogère, ne sera pas encore résolu.

Il s'agira d'amener tous les cantons où cette industrie est exercée à se mettre au bénéfice du droit qui leur sera cenféré, de décréter les syndicats industriels hor- logers obligatoires.

Un seul canton restant en dehors du mouvement, jouerait, au point de vue de l'organisation générale, le même rôle né- faste que les minorités récalcitrantes jouent dans les syndicats libres.

Il importe donc que d'ici là, les plus grands efforts soient consacrés à la créa- tion de syndicats dans les branches où il n'en existe pas encore, et à l'augmenta- tion du nombre des membres des syndi- cats existants.

A l'œuvre donc, si nous voulons rem- porter la victoire.

!•rocès-verbal

de l'assemblée des représentants des groupes industriels et intéressés à la formation des syndicats professionnels obligatoires — à Za Chaux-de-Fonds le 14 mai 1889,8 heures du

soir, au Foyer du Casino.

Présidence de M. Aug. Cornaz, conseiller d'Etat, promoteur de la réunion.

Monsieur Cornaz remercie les assistants, au nom du Département de justice, d'avoir répondu en aussi grand nombre, à l'invita-

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200 LA FEDERATION HORLC3ERE SUISSE

tion qui leur a été adressée. Il augure bien du fait, que dans cette première assemblée, les divers groupes et comités professionnels sont représentes et il ne doute pas, que par le concours loyal de tous les intéressés, on n'arrive à trouver les moyens pratiques qui conduiront à un résultat utile.

Il propose la nomination de deux secrétai- res qui seront chargés de protocoler les déli- bérations et collaboreront à la rédaction d'un procès-verbal commun ; il présente pour ces fonctions MM. Fritz Huguenin, rédacteur de la Fédération horlogère à Bienne, et James Perrenoud, secrétaire de l'Intercantonale. Ces deux propositions sont ratifiées à l'unanimité.

Ces préliminaires accomplis, M. Cornaz expose la question des syndicats obligatoires.

L'assai des syndicats libres a été fait. Il n'a pas réussi, parce qu'il n'a pas été possible d'exercer une pression suffisante sur l'opi- nion de tous les intéressés, pour forcer l'entrée de ceux qui ne voulaient pas de plein gré en faire partie. De la constatation de cet état de fait, est sortie l'idée du syndicat obli- gatoire.

Ici on se heurte au code fédéral des obli- gations qui prescrit que tous les contrats de louage de service, de salaires, doivent être librement consentis. Toutefois l'art. 34 de la constitution fédérale a permis l'élaboration d'une loi fédérale sur les fabriques, qui con- sacre diverses exceptions à ces principes généraux de liberté du louage de services, inscrits dans la constitution fédérale.

Deux principes se trouvent donc en pré- sence : Celui de la liberté de commerce et d'industrie, pleine et entière, telle que la consacre l'art. 31 de la constitution fédérale et celui d'une limitation de cette même li- berté par l'art. 34, d'où a procédé la Loi fédérale sur les fabriques. Dans cette der- nière, la liberté est enchaînée par la Loi ; il n'est pas permis par exemple aux patrons et aux ouvriers, le voulussent-ils, d'allonger les heures de travail; un père ne peut vendre le travail de son enfant, ni un mari celui de sa femme, en dehors et au-delà des conditions fixées par la Loi. — De ce même art. 34 est sortie aussi la Loi qui établit et réglemente la responsabilité civile des fabricants.

La loi fédérale sur les fabriques, destinée d'abord aux grandes manufactures a été étendue peu à peu et a revêtu le caractère d'une mesure de protection générale des ouvriers, contre les abus d'une exploitation injuste dont ils pourraient être l'objet de la part de leurs patrons.

Il s'agit maintenant de faire jouir les ouvriers non placés au bénéfice de la protec- tion qu'accrde la Loi sur les fabriques, d'avantages analogues qui peuvent leur être offerts par l'extension de la Loi sur les fabri- ques et la constitution de syndicats profession- nels obligatoires.

Comment donner à ces syndicats une base légale ? Sur le terrain cantonal elle est im- possible à réaliser, nous devons la chercher sur le terrain fédéral et sur la base de cette loi restrictive de la liberté des contrats.

Par motion déposée le 11 avril dernier, au conseil des Etats, par M. le conseiller d'État Cornaz et co-signataires, députés des cantons horlogers, le Conseil fédéral est invité a exa- miner l'introduction dans la législation fédé- rale, de dispositions additionnelles, conférant aux cantons, pour les besoins de certaines industries, le droit de décréter des syndicats professionnels obligatoires.

Le Conseil fédéral doit prendre position dans cette question, il doit le faire avant la session de juin prochain, dans laquelle la motion sera développée. Pour ces raisons il devenait urgent que la réunion qui a lieu en ce moment fût convoquée à bref délai, afin que les motionnaires pussent renseigner le

Conseil fédéral en temps utile, sur la portée qu'ils désiraient donner à cette motion.

Pour arriver à chef, il fallait chercher les renseignements nécessaires auprès de la po- pulation la plus directement intéressée.

S'agit-il de rétablir les anciennes maîtrises et jurandes1? L'art. 31 de la Constitution fédé- rale, qui garantit la liberté de commerce et d'industrie dans toute l'étendue de la Con- fédération, serait un obstacle à une tentative de ce genre. Pour tous ce qui devra être fait dans cet ordre d'idées des syndicats obli- gatoires, il faut se placer au bénéfice des dis- positions générales contenues dans l'art. 34 et provoquer l'extension de l'exception, jus- qu'à donner aux cantons qui en éprouvent le besoin, la possibilité d'étendre cette exception à certaines industries. En procédant ainsi on évitera de devoir réviser l'art. 31 de la Consti- tution fédérale, opération toujours difficul- tueuse et délicate.

M. Cornaz ouvre donc la discussion sur les points suivants :

1° Comment comprenez-vous l'organisation des syndicats professionnels obligatoires et y a-t-il lieu d'établir entre eux et les tribu- naux de prud'hommes une certaine corré- lation ?

2° Quelle compétence entendez-vous leur donner?

3° En quoi les syndicats obligatoires diffé- rent-ils des maîtrises et jurandes, qu'on ne veut pas rétablir ?

4° Une fois la question acquise sur le ter- rain fédéral,ne pensez vous pas que l'organisa- tion doive être faite d'une manière générale, dans tout le Jura horloger?

La discussion générale très nourrie et très intéressante qui s'engage, établit les résultats suivants :

lr e QUESTION. — L'organisation doit se faire sur la base de conventions :

A. Entre ouvriers et patrons d'une même branche de l'horlogerie, groupés en syndi- dicats distincts.

B. Entre les syndicats des branches dis- tin ctives de l'horlogerie.

2™θ QUESTION. — Ces conventions por­

teraient essentiellement sur les points sui­

vants :

I. Au point de vue industriel :

Apprentissages. — Mode de travail. — Tarification des salaires par l'établissement de tarifs minima. — Mode de payement des salaires.— Rapports entre patrons et ouvriers.

II. Au point de vue commercial :

Renseignements. — Question du crédit.—

Maintien de la suprématie de l'horlogerie suisse sur les marchés étrangers. — Sur- veillance des transactions commerciales.

Il a été reconnu que les deux premières questions sont absolument connexes, et que pour assurer l'organisation des syndicats de même que pour déterminer leurs compétences et juger des conflits qui pourraient s'élever entre syndicats, il y aura lieu de constituer une commission supérieure, formée de repré- sentants § de tous les syndicats patronaux et ouvriers.' Cette commission dans toutes les décisions qu'elle sera appelée à prendre et spécialement en ce qui concerne les tarifs élaborés par les syndicats — lesquels tarifs seront soumis à sa sanction —, s'inspirera toujours des intérêts généraux et primordiaux de l'industrie horlogère.

En ce qui concerne le lien a établir entre les syndicats professionnels et les tribunaux de prud'hommes, ceux-ci constitueront le moyen de procurer l'appui de l'autorité et de donner la sanction légale aux décisions de la commission supérieure des syndicats.

3rae QUESTION. — Les anciennes jurandes et maîtrises étaient des corporations fermées, les syndicats professionnels sont non seule-

ment ouverts à tous, mais encore obliga- toires pour tous.

4mo QUESTION. — L'organisation ne peut être que générale, une organisation particu- lariste présenterait les mêmes inconvénients que les syndicats libres qui laissent en dehors d'eux des minorités, toujours disposées à abuser de leur liberté d'action. —

L'assemblée, à l'unanimité adopte une proposition de faire convoquer, sous la pré- sidence de MM. les conseillers d'Etat Cornaz et Comtesse, le premier en sa qualité de signataire de la motion aux chambres fédé- rales, le second comme président de la Fédération horlogère, une nouvelle réunion à laquelle seront invités les délégués des syndicats professionnels et sociétés commer- ciales existant dans l'industrie horlogère.

Ces délégués seront appelés à transmettre l'opinion de leurs mandants sur les points du questionnaire soumis à ressemblée de ce jour par M. le conseiller d'Etat Cornaz et généralement sur l'ensemble de la question des syndicats obligatoires.

MM. Cornaz et Comtesse s'entendront pour procéder à cette convocation.

L'assemblée vote à M. Cornaz des cha- leureux remerciements pour son initiative et constate avec plaisir l'intérêt porté par les pouvoirs publics à cette importante question économique.

Chaux-de-Fonds, le 15 avril 1889.

Les secrétaires de l'assemblée, Fritz HUGUENIN. James PEHHENOUD.

NOUVELLES DIVERSES

E x p o s i t i o n u n i v e r s e l l e d e P a r i e . — La commission centrale suisse pour l'ex- position universelle s'est réunie hier, 16 cou- rant, à Berne, dans le but d'établir la liste de ses propositions pour la nomination des membres du jury international et de leurs suppléants, et de traiter diverses autres af- faires.

Le département fédéral des affaires étran- gères procédera aux nominations en choisis- sant dans ces propositions, puis il les pu- bliera.

T é l é g r a p h e . — Pendant l'année 1888, le bureau télégraphique de Bienne a expédié et reçu 43,987 dépêches, ce qui le place quant à l'importance, au 12e rang parmi les bu- reaux télégraphiques de la Suisse.

I i i s t e d e s m a r c h a n d e h o r l o g e r s ac- tuellement à la Chaux-de-Fonds à l'hôtel de la Fleur-de-Lis : Liste dressée Mercredi, 15 mai 1889 à 5 heures du soir : MM. Kaiser, Vienne; Arabian, Constantinople ; Climat, Varsovie; Ehrhardt,Birmingham ; Neustadt, Moscou.

I i é g i s l a t i o n d u t r a v a i l . — A la Cham- bre des communes d'Angleterre, M. Smith, répondant à M. O'Connor, a dit que le gou- vernement espérait envoyer dans très peu de jours une réponse à l'invitation de la Suisse à la conférence sur la législation du travail.

La France a adhéré au congrès relatif au travail dans les manufactures dont la Suisse a pris l'initiative. Le congrès se réunirait en juillet ou en septembre à Berne ou à Genève.

Le Temps croit savoir que MM. Lyonnais et de Mun ont l'intention de questionner, M. Spuller sur ce sujet. M. Spuller leur de- mandera de poser leur question demain.

E r r a t u n i . — Dans notre article de fond du dernier numéro, nous disons à la seconde colonne : Comment G. arrive-t-il à empocher ces fr. 90. 70? C'est: Comment H. arrive-t-il etc., qu'il faut lire. Nos lecteurs auront rectifié certainement cette erreur..

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LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE 201

P o s t é e . — On peut désormais accepter à l'expédition, parla voie de France; des lettres avec valeur déclarée à destination des posses- sions françaises en Afrique: Obock, Mayotte, Nosoi-Bé, Diego-Suarez et Ste-Marie de Ma- dagascar. Le droit d'assurance est fixé à 25 cts. pour 200 fr.

EXTRAIT

du rapport commercial du consul général suisse à Naples,

M. Félix HERMANN, sur l'année 1888.

Considérations générales. —L'année 1888, loin d'amener dans la situation générale des affaires des provinces de l'Italie méridionale l'amélioration qui aurait été si désirable au point de vue économique, laisse par contre à l'année qui lui succède des souvenirs peu agréables et un héritage d'incertitudes et de craintes.

Aux embarras et aux difficultés financières et économiques de l'année 1887 est venue s'ajouter en 1888 la perturbation des relations commerciales avec l'étranger, laquelle a rendu énormément difficile l'écoulement des prin- cipaux produits agricoles des provinces méri- dionales de l'Italie, et a apporté une irritation croissante de la crise agraire, produisant une méfiance générale.

La conséquence de cet état de choses a été la stagnation des affaires en général.

Importation de la Suisse. — Les statisti- ques de la douane de Naples que'j'ai consul- tées sont si peu précises pour ce qui con- cerne le commerce spécial avec la Suisse que je me trouve embarrassé de fournir des ren- seignements positifs sur le mouvement de

l'année 1888 entre la Suisse et les provinces de ma circonscription consulaire.

Ge manque de précision dans les statisti- ques de la part de la douane est d'autant plus étonnant que depuis la rupture du traité de commerce entre l'Italie et la France toutes les marchandises étrangères doivent être accompagnées d'un certificat d'origine.

Je ne puis en conséquence qu'être bien bref en mentionnant quelques données que j'ai pu recueillir et que je dois surtout à

l'obligeance d'un de nos compatriotes établi ici et s'occupant de manufactures.

Bijouterie, joaillerie, 'horlogerie. — L'im- portation de la Suisse pour l'Italie méridio- nale de la bijouterie et de la joaillerie est à peu près nulle. La bijouterie a été presque entièrement remplacée par la joaillerie qu'on ne retire guère de Genève. Par contre, l'ar- ticle chaînes en or est l'objet d'un commerce assez actif entre Genève et les provinces de mon district consulaire.

D'après les chiffres officiels, l'importation par la douane de Naples de la joaillerie d'or et d'argent, chaînes comprises, de provenan- ce suisse se serait élevée à 1634 kg.

L'horlogerie en argent se vend toujours beaucoup dans nos provinces, et je crois utile d'appeler l'attention sur l'augmentation assez sensible qui s'est produite dans lavente de l'horlogerie or, ce qui est cause que l'im- portation de ce dernier article a augmenté sen- siblement dans ces derniers temps, non seule- ment pour la montre courante, mais aussi pour la montre fine et les pièces de précision, dont le placement n'est pas aussi difficile que par le passé.

Voici les chiffres officiels pour l'importa- tion suisse à Naples de ces articles: montres en or, 1992; montres d'autres métaux, 9650.

Taux de l'escompte. — Il n'y a pas eu de changement en 1888 dans le taux de l'es- compte et de l'intérêt. Comme en 1887, il est resté pendant toute l'année à 5'/a 0U-

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Le rédacteur responsable: Fritz HUGUENIN.

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Toutefois, un examen sur les matières qu'ils auront à enseigner pourra leur être imposé.

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Les maîtres de blanc, de remontoirs et de finissages recevront de 2,500 à 3,000 fr. par an, ceux d'échappements et de cadrature de 4,000 à 4,500 fr., le maître de repassage de 4,000 à 5,000 fr. par an.

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