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B u r e a u x : R u e Neuve, 19

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PA M. Jules Gfeller Berne

Les consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal.

Troisième année. — N" 76

P r i x du numéro 10 centimes

Samedi 21 septembre 1839

B u r e a u x : R u e Neuve, 19

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O r g a n e d e l a S o c i é t é i n t e r c a n t o n a l e d e s i n i i t i e t r i r * i l » J i i i - a , d r s C h a m b r é e d e c o m m e r c e , d e s B u r e a u x d e c o n t r ô l e e t t l c e S y n d i c a t M i u d u i a t r i r l e

L ' A S S I S T A N C E

L'assemblée annuelle de la Société suisse d'utilité publique s'est ouverte lundi à Trogen. Cent membres environ étaient présents au début ; on en attendait en- core autant. Mardi a eu lieu une discus- sion sur : Le droit des pauvres à l'assis- tance et le devoir d'assistance des parti- culiers et des corporations.

Les conclusions du rapporteur, .M. le Dr Ritter, étaient les suivantes :

1° Lc pauvre a un droit à l'assistance. Ce droit doit être affirmé clairement et nettement dans les lois sur les pauvres de tout état civi- lisé.

2° Le devoir de l'assistance incombe en première ligne à la famille immédiate. Lors- que le pauvre n'a pas de t'amille ou que sa famille est hors d'état de l'assister, l'Etat, par l'intermédiaire de la commune, doit interve- nir à sa place.

3° L'Etat doit vouer son attention aux me- sures à prévenir le paupérisme. On doit con- sidérer comme telles, en première ligne une bonne éducation de l'enfance, en particulier des enfants pauvres et orphelins, et une lé- gislation sociale efficace.

Le rapport de M. Ritter, disent les Bas/er Nachrichten, a été fort applaudi.

M. le pasteur Kambli s'est prononcé ré- solument pour Ux conclusion N° 4. En revanche, il voudrait maintenir le principe de l'assistance par la commune d'origine, en opposition au principe territorial.

M. le pasteur Clirislinger a proposé une résolution tendant à la reconnaissance du droit au travail et à la création de colonies de travailleurs.

M. Locher, conseiller national, a com- battu, dans un discours applaudi, l'idée du droit au travail. Il lui préférerait de beaucoup l'idée de l'assurance obligatoire générale.

C'est bien dans cette voie, croyons- nous, qu'il faut marcher si l'on veut di- minuer le paupérisme et arriver insensi- blement, par le double moyen de l'assu-

rance et des syndicats professionnels, à l'éteindre complètement.

Tout, dans la vie humaine, peut se ré- sumer en risques.

Les uns ont leur source en nous-mê- mes ; contre ceux-là, l'éducation et une bonne direction donnée à l'enfance peu- vent être employées Mais le plus grand nombre des risques sont .'^dépendants de noire volonté ; nous les subissons sans pouvoir les prévenir et le plus grand nombre des hommes sont désarmés dans la lutte contre le chômage, contre la ma- ladie, contre les accidents du travail, contre l'invalidité et la vieillesse.

L'assurance obligatoire générale, dont on vient de faire, sur une échelle res··

treinle, une application en Allemagne, et que l'on se prépare à étudier en Suii se, est le remède le plus naturel et le plus efficace contre les différents risques que nous venons d'énumérer et contre les conséquences qu'ils entraînent.

Mais pour que les charges de l'assu- rance ne soient pas trop considérables, pour que, d'un autre côté, le travailleur n'en arrive pas à considérer comme un oreiller de paresse — ce que l'on paraît craindre — les sécurités que l'assurance lui procure, il faut qu'une organisation du travail industriel, réalisée par le fonc- tionnement des syndicats, lui assigne ses responsabilités et ses devoirs et le mette à même de produire toute la somme d'efforts dont il est susceptible, ce qui aura pour conséquence directe de dimi- nuer les fâcheux effets des risques aux- quels il est sujet.

La charité publique, quelque magnifi- que et considérable que soit le rôle qu'elle joue, est impuissante à soulager toutes les misères ; et, si elle constitue un palliatif puissant au paupérisme, elle ne peut être considérée comme un remède souve- rain.

L e s a c c i d e n t s d u t r a v a i l . Voici les conclusions du résumé envoyé par M. Ie conseiller fédéral Droz au congrès international des accidents du travail et dont le congrès a voté l'impression :

« Il me paraît que, malgré les divergences de vues bien naturelles qui se rencontrent dans les onze rapports que j'ai en ce moment sous les yeux, il se dégage cependant de l'en- semble un certain nombre de conclusions générales qui pourraient servir de base utile aux délibérations du congrès. Je sais fort bien que l'intention de ses organisateurs est pré- cisément de ne pas aboutir à un vote de réso- lutions précises, attendu que, lorsque de telles résolutions ne résultent pas d'un assen- timent commun, mais de majorités d'occa- sion, elles n'ont pas une grande valeur pro- bante et servent parfois à égarer l'opinion. Je me permets cependant de penser qu'il n'est pas impossible et qu'il peut être utile de ca- ractériser les tendances bien marquées qu'ac- cusent les divers rapports présentés au con- grès, de montrer les points de raccordement qui existent entre eux et d'essayer de jalon- ner la route que ceux qui reprendront la question après nous pourront avoir intérêt à suivre s'ils veulent mettre a profit l'échange de vues que ce congrès aura provoqué. C'est en me plaçant à ce point de vue que j'ai tiré pour mon compte les résultantes des travaux de nos rapporteurs et que je me permets de vous les soumettre en vous laissant d'ailleurs apprécier l'usage qu'on peut en faire.

Il me semble que les principes et les vœux suivants ressortent des études préliminaires que vous avez en main et qu'en résumé voici l'état, non point de la législation, mais de la question des accidents du travail en France et à l'étranger.

I. On est généralement d'accord pour ad- mettre la notion du risque professionnel, mais on demande avec raison que ce risque soit nettement défini quant à sa portée juridi- que et limité quant à ses conséquences pécu- niaires.

II. Le nouveau principe développe deux tendances presque irrésistibles : l'une, c'est de s'appliquer de plus en plus à toutes les professions quelconques ; l'autre, c'est d'em- brasser non seulement les accidents propre- ment dits, mais aussi les maladies qui résul- tent ou peuvent être envisagées comme résultant du travail.

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390 LA FEDERATION HORLC3ERE SUISSE

III. Cette double tendance est de nature à amener une transformation profonde dans l'état social actuel, soit d'une manière immé- diate en obligeant à reconnaître des droits et à créer des organismes qui n'existaient pas jusqu'ici, soit indirectement en poussant à constituer d'autres droits et d'autres organis- mes sociaux pour d'autres risques de la vie, ainsi que le prouve l'exemple de l'Allemagne, qui vient de légiférer sur les risques de l'in- validité et de la Aieillesse comme consé- quence de ses lois sur la maladie et sur les accidents.

IV. En présence de ces faits, beaucoup d'esprits se demandent avec inquiétude ce que vont devenir la liberté, l'initiative et la res- ponsabilité individuelles dans ces organisa- tions nouvelles. L'expérience semble en effet déjà pouver que l'esprit de prévoyance et de précaution se relâche considérablement aussi bien chez les employeurs que chez les em- ployés sous l'influence des nouveaux princi- pes, là où ils sont appliqués. Il y a donc lieu, tout en admettant la notion du risque profes- sionnel, de réagir contre les abus déjà con- statés et contre ceux qui sont à prévoir.

V. Afin de pouvoir se diriger en connais- sance de cause, il est nécessaire de consulter les expériences acquises dans les divers pays, suivant les systèmes qui y sont en vigueur.

Mais, pour que les points de comparaison puissent être utilisés avec le maximum de profit, il serait hautement désirable d'avoir des statistiques reposant sur des principes uniformes soit pour la classification des acci- dents d'après leur nature et leur durée, soit pour les principes qui servent de base au paiement des indemnités, que celles-ci soient servies à l'amiable ou en vertu d'une assu- rance ou par suite d'un jugement de tribunal.

L'établissement d'un formulaire-type à re- commander aux divers Etats serait une œuvre extrêmement méritoire.

ΛΊ. On sera certainement d'accord pour exprimer le vœu que, dans chaque pays, il soit édicté les prescriptions législatives né- cessaires sur les mesures préventives à pren- dre contre les accidents, et qu'il soit organisé une surveillance et une inspection officielles très strictes pour leur exécution, sans préju- dice d'ailleurs des mesures du même genre, souvent les plus efficaces, qui résultent de l'initiative de personnes ou d'associations pri- vées.

VII. De même, sans se prononcer définiti- vement pour tel ou tel système, on doit dési- rer que les mesures réparatrices soient suffi- santes dans tous les pays industriels et que les précautions nécessaires soient prises par- tout pour assurer le service des indemnités aux victimes d'accidents.

VIII. Enfin, je crois devoir reprendre, en y insistant, la conclusion finale de mon rap- port, savoir que, pour obtenir les résultats que l'on poursuit, il serait désirable de con- stituer un lien international permanent qui servirait à réunir les expériences faites dans les divers pays et à fixer les meilleures règles à suivre.

Vous me pardonnerez, messieurs, d'antici- per de la sorte sur vos débats. Mais il me paraît que le congrès sera véritablment utile si, comme j'en suis certain, il arrive à mettre en pleine évidence, premièrement la grande importance sociale de la question des acci- dents du travail, considérée soit en elle-même, soit dans ses conséquences pour d'autres do- maines, et, en second lieu, la nécessité de donner sans retard à cette grosse question des solutions raisonnées et efficaces, tirées autant que possible du fonds commun des expériences faites dans les divers pays. »

C O O P É R A T I O N

Au moment où les sociétés coopératives de consommation tiennent leur congrès interna- tional à Paris, il n'est pas sans intérêt de voir où le mouvement s'est arrêté en Angle- terre, le pays commerçant par excellence. Le rapport de l'association fondée en Angleterre pour favoriser la coopération productive (tlie labour association) ne compte dans toute la Grande-Bretagne qu'une quarantaine d'ate- liers coopératifs en activité, comprenant la filature et le tissage des filamenls de toute espèce, les meubles, les souliers, l'imprime- rie, la reliure, la clouterie, la quincaillerie, la coutellerie, l'horlogerie, la polerie, la pein- ture du bâtiment, la meunerie, la boulange- rie, la fabrication des chocolats et autres denrées alimentaires, la pêche, les engrais, l'horticulture, enfin l'agriculture elle-même.

Ces sociétés ont exposé l'an dernier, au Pa- lais de cristal, des produits qui furent appré- ciés et trouvèrent un écoulement facile.

« Vous voyez ici, disait M. G. J. Holyoake en ouvrant cette fête du libre travail, les pro- duits d'ateliers où les ouvriers des deux sexes mettent en œuvre Lurs propres capi- taux et empruntent le surplus au taux ordi- naire, les produits d'ateliers dont tous les profits se partagent en portions équitables entre tous ceux qui les ont gagnés par le tra- vail de leur tête ou de leurs mains. Nous ne faisons pas la guerre à la propriété ; nous ne convoitons le bien de personne ; nous ne de- mandons pas d'offrandes aux riches ; tout ce que nous vous demandons, c'est votre prati- que, et nous cherchons à la mériter par un travail solide et bien fini. Si tous les travail- leurs avaient leur part aux profits qu'ils créent, les capitalistes seraient aussi riches qu'ils doivent l'être, les familles d'ouvriers seraient aussi riches qu'ils désirent l'être et le paupérisme serait supprimé. Quiconque, homme ou femme, ministère ou municipalité, fait une emplette sans demander au préalable quelle part du prix qu'il paie revient à ceux qui ont fait l'article acheté, contribue à main- tenir les classes ouvrières dans un état pré- caire et malheureux. Qu'il sympathise à ce malheur est indifférent, sa sympathie reste stérile. Nous ne nous flattons pas de voir nos principes adoptés un jour. Le millenium du capital est venu depuis longtemps, le mil- lenium du travail est à peine en vue et nous ne savons pas comment il se produira. Si les patrons le voulaient, ils pourraient s'attacher leurs ouvriers par des concessions honora- bles. Quelques-uns l'ont déjà fait. »

Le plus brillant succès de l'année, dit le comité de Labour association, est celui des cordonniers de Leicester. Cettte compagnie, fondée avec un capital de 5,500 francs par ' des ouvriers en grève dans les ateliers de la société du gros (celle qui approvisionnent les magasins coopératifs) a perdu 375 francs pen- dant son premier trimestre d'exercice et ga- gné 1,075 francs au cours du second. Le 24 décembre dernier, son capital s'élevait à 33,000 francs, le mouvement d'affaires tri- mestriel à 67,600 francs, laissant un bénéfice de 6,700 francs, qui fut réparti comme suit : aux actions, un intérêt fixe de 5 % ; amortis- sement des ateliers et des machines, 10 % ; aux ouvriers, environ 10 % des salaires, 2,300 francs en tout ; au comité, 450 francs ; au fonds d'école, 270 francs ; au fonds de réserve, 575 francs ; au capital comme divi- dende une somme égale, enfin à la pratique, 2,200 francs.

Tandis que les cordonniers de Leicester prospéraient, ceux de Porlland étaient réduits à fermer boutique. Ces fortunes contraires de deux entreprises similaires s'expliquent par la diversité de leurs origines. La société de Portland avait été fondée en 1884 avec un capital avancé par des philanthropes et des

curieux. Il était assez large, les règlements étaient équitables, les clients ne manquaient pas, le comité prit gratuitement beaucoup de peine. Ce qui manquait, c'était un corps d'ou- vriers intelligents et laborieux. Les ordres n'étaient pas exécutés en temps utile. C'était de la coopération sur le pjpier; en réalité c'était de l'aumône.

Le rapprochement de ces deux sociétés est instructif. On voit que l'apport d'un certain capital fourni par les ouvriers eux-mêmes est une condition de succès vitale pour l'atelier, parce qu'il développe des qualités morales plus importantes même que l'argent, la con- science d'un intérêt commun suffisant pour déterminer des sacrifices, la faculté de pré- voir et d'agir de concert, le sentiment de la responsabilité financière et la confiance réci- proque.

A ces exemples récents fournis par l'Angle- terre, on pourrait en ajouter d'autres en grand nombre, pour prouver que le capital des ate- liers coopératifs doit être la propriété des coopérateurs. Mais d'où viendra ce capital?

De l'épargne personnelle, quand le taux des salaires le rend possible et que les ouviiers unissent Ia sagesse à l'ambition. Mais l'épar- gne collective des sociétés do consommation offre un moyen plus facile lorsque les socié- tés de consommation s'organisent dans cette vue et qu'elles persévèrent jusqu'au bout, ce qui n'a pas lieu sans difficulté, ainsi qu'on le voit surabondamment par l'attitude dans la- quelle persévère la Société anglaise du gros.

AOUVMLLS D1VEIISËS l i a S u i s s e à l ' E x p o s i t i o n u n i v e r - s e l l e . — On reçoit, au sujet de l'Exposition de Paris, les nouvelles suivantes :

Ont obtenu des grands prix (la plus haute récompense) : 1. L'exposition des écoles pri- maires suisses ; 2. celle des écoles secondai- res suisses ; 3. le Polytechnicum de Zurich ; 4. les universités suisses ; 5. l'école des arts industriels à Genève ; 6. département fédéral de l'intérieur, pour la statistique sur les ex'a.

mens scolaires et pour la statistique scolaire' A p p r é c i a t i o n s s u r l ' E x p o s i t i o n . — Une partie de la presse allemande com- mence à reconnaître le succès qu'obtient l'Exposition de Paris. La Gazette nationale constate que l'Exposition est une des entre- prises des temps modernes dont les projets ont été le plus mûrement pesés dans toutes leurs parties et dont l'exécution a été le plus parfaitement réussie. Ce journal ajoute qu'il est peu probable qu'il soit possible, avant longtemps, qu'aucune ville du monde puisse surpasser Paris dans aucune entreprise du même genre.

D'autre part, M Stockbauer, qui avait été envoyé par Ie Geweibe-Museum (musée com- mercial) de Nùrnberg, pour étudier l'Exposi- tion, a publié son rapport, auquel nous em- pruntons les passages suivants :

« Tout visiteur de l'Exposition de Paris peut résumer son impression dans un seul mot : Grandiose. Tout est grandiose ; le plan, l'exécution, les résultats obtenus, les con- structions et la masse des visiteurs...

« Tout Taris est à l'Exposition et cependant on n'est pas gêné. Personne pour vous obli- ger à déposer votre canne ; pas de surveillant qui gène dans l'admiration prolongée qui vous arrête; pas d'écriteau qui vous oblige à vous conformer aux ordres de la direction.

Tout est beau et admirable et de longtemps le souvenir en restera àceux qui ont vu etqui ont constaté avec quelle merveilleuse exactitude et régularité tout fonctionne dans cette Expo- sition...

« Partout des surprises ! Et c'est avec un sentiment de tristesse qu'on pense au rôl

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LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE 391

qu'aurait joué l'Allemagne si elle avait pris part à l'Exposition. Il faut espérer que beau- coup d'Allemands seront venus à Paris pour comprendre quel immense abîme nous sépare encore de la France en tout ce qui concerne l'art et le goût. On me dira que nous ne som- mes pas les seuls. Que ceux auxquels cette consolation suffit se consolent ! Pour mon compte, je constate que la France a essayé d'atteindre et atteint un but idéal : faire com- prendre au monde sa grandeur et sa puis- sance et montrer les admirables travaux de ses habitants. »

Affaire d u m a n i f e s t e . — Mercredi, le juge d'instruction fédéral a procédé, dans la grande salle de l'état civil, à St-Imier, à l'in- terrogatoire de six ou sept personnes. Il est accompagné de ses secrétaires. On sait qu'il s'agit de l'enquête ouverte par les ordres du Conseil fédéral à propos du manifeste signé : Les anarchistes suisses.

Jjïste d e s m a r c h a n d s h o r l o g e r s ac- tuellement à Ii Cliaux-de-Fonds à l'hôtel de la Fleur-de-Lis : Liste dressée jeudi 19 septembre 18S9, à 5 heures du soir: MM.Stem, Lisbonne. — Shefer, Londres. — Trilla, Bar- celone. — Abel, Hambourg. — Franckel, Francfort. — Plallnauer, Birmingham. — Brithi, Paris. — Weil, de la maison Fulda &

Sôhne, Francfort.

E X T R A I T

du rapport commercial du vice-consul suisse à Yokohama, M. Charles Hsenni, sur l'an- née 1888 {Traduction).

H O R L O G E R I E KT B I J O U T E R I E

M o n t r e s . L'importation totale au Japon pendant les trois dernières années est la sui- vante :

Suisse . . Etats-Unis France Allemagne Angleterre Autres pays

Total

Nombre de pièces 1886

28,925 2,406 1,013 669 156

1887 66,166

1,960 3,958 556 792 905

1888 75,015 55,001 15,409 7,576 1,005 84

Valeur en yens l 1886

142,075 17,952 2,248 1,368 2,132

1887 321,069

27,757 12,493 1,945 2,453 3,182

') 1888 444,606 163,076 48,593 43,284 4,540 489 33,169 74,336 154,090 165,775 368,S99 704,588 (*) Le yen d'or japonais équivaut à fr. 5.111V11

Il est à peine permis de douter que les 100,000 montres qui ont été importées d'Eu- rope pendant l'année 1888 ne provenaient pas pour la plus grande partie de la Suisse, en tout cas sensiblemeni plus que les 7 5 % que la douane d'ici indique.

L'augmentation frappante et subite de l'im- portation de montres américaines est due principalement à une seule entreprise de spé- culation d'une grande fabrique américaine qui a, pendant l'année 188S, inondé le Japon d'environ 50,000 montres métal très bon mar- ché, dans l'espoir, resté sans doute non réa- lisé, de faire de cette manière une réclame avantageuse pour leur marque. Ces montres métal, d'environ 20 lignes, avec remontoir par la couronne ne se tournant que d'un côté, cadran de papier, fond sans charnière, mou- vement complètement couvert (3/4 platine), ont trouvé ici au début un bon écoulement, les marchands indigènes pouvant les acheter en gros au prix de dl. 2.40 !a pièce et les re- vendre facilement au détail à dl. 3. Ce succès naissant a eu pour conséquence de nouvelles commandes qui, pour la plus grande partie, sont restées chez l'importateur sans trouver d'écoulement : on reconnut au bout de quel- que temps que ces montres eurent vite besoin d'être réparées et qu'en suite de leur cons-

truction particulière, peu d'horlogers indigè- nes connaisseurs étaient parvenus à pouvoir en rhabiller. C'est pourquoi la vente en est devenue de plus en plus insignifiante, de sorte qu'à la fin de l'année écoulée, il en res- tait encore un stock important en première main.

(A suivre.) P r i è r e d ' a d r e s s e r l e s c o m m u n i - c a t i o n s à I a R é d a c t i o n d e l a FBiME- RATIOAT H O R L O G È R E S U I S S E , à B i e n n e .

G e n è v e , 18 septembre.

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