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II. IIAGA et C.-H. WIND. — Diffraction of Röntgen Rays (Diffraction des rayons de Röntgen). —Académie royale des Sciences d'Amsterdam, 25 mars 1899, p. 420

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Texte intégral

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HAL Id: jpa-00240365

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00240365

Submitted on 1 Jan 1899

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II. IIAGA et C.-H. WIND. - Diffraction of Röntgen Rays (Diffraction des rayons de Röntgen). -Académie royale des Sciences d’Amsterdam, 25 mars 1899, p. 420

G. Sagnac

To cite this version:

G. Sagnac. II. IIAGA et C.-H. WIND. - Diffraction of Röntgen Rays (Diffraction des rayons de

Röntgen). -Académie royale des Sciences d’Amsterdam, 25 mars 1899, p. 420. J. Phys. Theor. Appl.,

1899, 8 (1), pp.332-333. �10.1051/jphystap:018990080033201�. �jpa-00240365�

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Si j’ajoute que la comparaison des effets sur des fils de divers dia- mètres m’a démontré que la variation de la résistivité électrique augmente plus rapidement que le diamètre, j’ai fini de résumer les résultats que j’ai pu obtenir pour le constantan.

Il fallait maintenant répéter les mémes recherches sur d’autres métaux. J’ai fait des expériences avec des fils de maillechort et de

nickeline, en me servant des mêmes dispositions que celles décrites

ci-dessus, mais il m’a été impossible d’obtenir une exactitude suffi- sante, à cause de l’influence desvariations de la température ambiante.

Toutefois, autant que j’ai pu le voir, le caractère du phénomène

s emble être, pour ces divers métaux (ainsi, du reste, que pour le

cuivre, pour lequel j’ai également entrepris des recherches), le même

que celui relevé dans le cas du constantan.

II. IIAGA et C.-H. WIND. 2014 Diffraction of Röntgen Rays (Diffraction des rayons de Röntgen). 2014Académie royale des Sciences d’Amsterdam, 25

mars

1899, p. 420.

Devant un tube focus est disposée une fente verticale F de 1 cen-

timètre de hauteur, dont les bords en platine soigneusement aplanis

et polis, épais de 1/2 millimètre, sont parallèles entre eux et dis-

tants, dans les principales expériences, de i4 microns. Le faisceau de rayons X, qui sort de F, rencontre, à 75 centimètres au delà, une

seconde fente, /, de 3 centimètres de hauteur dont les bords sont distants de 14 microns pour l’extrémité supérieure de la fente, et se rapprochent graduellement (jusqu’à près de 1 micron, quand on parcourt la fente de haut en bas. Une plaque photographique dis- posée, dans les principales expériences, à 75 centimètres au-delà de y, enregistre (dans 1"exemple cité, après cent heures de pose) une image de l présentant les particularités suivantes :

Parcourue de haut en bas, l’image se rétrécit d’abord, comme on pouvait s’y attendre, en même temps que la fente f. La zone cen- trale (noyau), palus impressionnée que les bords, se termine en pointe.

Mais, au-dessous de cette pointe, l’image, d’intensité presque uni- forme dans sa largeur, s’élargit

«

like a plume

».

En même temps que la fente r, parcourue de haut en bas, continue à se rétrécir, son image devient, bien entendu, plus pâle, mais elle se rétrécit seule- înent cle place en place, de sorte quati-dessous de la région le

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018990080033201

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noyau finit en pointe, on remarque des lnaxi1na et minima de largeur

de l’image. Dans l’exemple cité, il y a quatre renflements de l’image qui correspondent aux hauteurs de la l’ente, ou la largeur est 103BC,5 ;

103BC, 1; 003BC, 8 et Op. ,5 .

Les auteurs déclarent avoir examiné avec soin, en dehors de la

diffraction, les influences suivantes, susceptibles priori, de pro- duire un élargissement de l’image : l’irradiation photographique,

des différences locales de sensibilité de la couche photographique,

l’influence des rayons secondaires, celle des petits mouvements du

système qui peuvent se produire pendant la longue durée des expé-

riences (souvent plus de dix jours), bien que de très grands soins

aient été apportés dans l’installation des fentes, du tube, de la plaque

sensible et de leurs supports. Ils ne trouvent, pour expliquer les particularités observées, que l’interprétation suiva n te :

Il y a eu diffraction et les rayons X enregistrés par la couche sein-

sible de la plaque photographique formant quatre groupes principaux qui correspondent aux quatre renflements successifs de la silhouette

de f et ont des longueurs d’onde estiinées voisines de 103BC03BC, 103BC03BC1;

OFF,8 et 003BC03BC,5. 1)ans les autres expériences, les longueurs d’onde principales des groupes de rayons X ont des valeurs allant de 0,1 à 2,7 millièmes de microns.

G. SAGNAC.

Remarques

sur

l’interprétation des expériences de MM. H. Haga et C.-II. Wind.

L’emploi fait par Mu. Haga et Wind d’une fente de diffraction f, dont la largeur diminue continuellement de haut en bas, paraît très avantageux, puisqu’une seule expérience fournit d’un coup tous les résultats correspondant à une suite continue de largeurs de fentes diffringentes et permet de juger si, comme l’exige la diffraction, l’image s’épanouit de haut en bas, à mesure que la fente f se rétrécit.

Cette méthode permet, même en l’absence de toute mesure, de dis-

tinguer l’influence de la diffraction de celle de l’irradiation photo- graphique et de celle de la dissémination des rayons X par les lèvres des fentes ou par l’air atmosphérique. C’est ce que remarquent

les auteurs. Mais elle ne saurait être caractéristique de la diffraction dans les conditions un peu complexes ils ont opéré.

Le rôle de la fente F employée pour diaphragmer le tube focus ne

serait simple que si les bords de cette fente étaient et demeuraient

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