• Aucun résultat trouvé

W. OSTWALD et W. NERNST. - Ueber freie Ionen (Sur les ions libres); Zeitschrift für physikalische Chemie, t. III, p. 120; 1889

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "W. OSTWALD et W. NERNST. - Ueber freie Ionen (Sur les ions libres); Zeitschrift für physikalische Chemie, t. III, p. 120; 1889"

Copied!
3
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00238964

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238964

Submitted on 1 Jan 1889

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

W. OSTWALD et W. NERNST. - Ueber freie Ionen (Sur les ions libres); Zeitschrift für physikalische

Chemie, t. III, p. 120; 1889

E. Bouty

To cite this version:

E. Bouty. W. OSTWALD et W. NERNST. - Ueber freie Ionen (Sur les ions libres); Zeitschrift für physikalische Chemie, t. III, p. 120; 1889. J. Phys. Theor. Appl., 1889, 8 (1), pp.293-294.

�10.1051/jphystap:018890080029301�. �jpa-00238964�

(2)

293

Les courants alternatifs donnent des résultats analogues. Pour

montrer la formation de la couche d’acide, on traite les plaques

par de la potasse bouillante, puis on les essaie de nouveau. On

trouve qu’elles redeviennent conductrices et reprennent leurs pro-

priétés primitives si l’action de la potasse a été suffisamment pro-

longée. Le verre traité par la potasse ne reprend ses propriétés qu’au bout d’un temps plus long. Ces expériences donnent pour la conductibilité spécifique du mica les valeurs 1 0 - i 5, 0,9. 1 0 - t ;j ,

12.10--15, pour celle du verre 196. 1 o- 1 5.

En résumé, le mica se comporte comme le verre ; mais il est

beaucoup plus isolant. C. DAGUENET.

W. OSTWALD et W. NERNST. - Ueber freie Ionen (Sur les ions libres);

Zeitschrift für physikalische Chemie, t. III, p. I20; I889.

Dans cc Mémoires, MM. Ostwald et Nernst exposent des expé-

riences qu’ils ont entreprises en vue de démontrer l’existence des ions à l’état libre dans les électrol.ytes, mais qui par le fait confirment seulement les faits bien connus de la non-existence d’une conductibilité métallique des électrolytes ( 1 ) et de la possi-

bilité d’obtenir l’électrolyse dans des circuits ouverts (2).

Par exemple, les auteurs prennent un grand ballon rempli d’eau

( 1 ) E. BOUTY, Journal de Physique, 28 série, t. I, p. 3JI; 1882.

(2) LIPPhIANN, Journal de Physique,

Ire

série, t. YI, p. ~ 1; 1877’

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018890080029301

(3)

294

acidulée, recouvert extérieurement d’une feuille d’étain et dont le col est soigneusement verni à la gomme laque. On met le liquide

du ballon en communication, par une mèche humide, avec l’acide sulfurique d’une sorte d’électromètre capillaire dont le mercure

inférieur a été supprimé; puis on met l’électrode capillaire de

mercure en communication avec le sol, l’armature extérieure du ballon avec le pôle positif d’une machine électrique. Aussitôt qu’on charge le condensateur complexe ainsi constitué, le mercure

de l’électrode capillaire recule vivement et une bulle microsco-

pique d’hydrogène se dégage au contact du mercure. Cette expé-

rience établit bien que le transport, au travers d’un électrolyte,

d’électricité développée par influence est accompagné d’électro- lyse, ce qui est parfaitement d’accord avec tous les fail,s connus.

On sait que Faraday avait déjà observé l’électrolyse produite

par la décharge d’un condensateur. E. BOUTY.

A. TOEPLER et R. HENNIG. 2014 Magnetische Untersuchung einiger Gase (Re- cherches magnétiques

sur

quelques gaz); Wied. Ann., t. XXXIV, p. 790;

I888.

M. Quincke a montré (~) que, lorsqu’on place un liquide dans

un

champ rnagnétique, il s’exerce sur ce liquide une pression p

normale aux lignes de force et proportionnelle au carré de l’in-

tensité F du champ

~n-/~F=’;

le coefficient k est la coz2stante mognétiqiie apparente du liquide

dans l’air, que l’on peut sans erreur sensible confondre avec sa

constante magnétique dans le vide.

Dans ces expériences, le liquide est contenu dans un tube en U dont l’une des branches, très étroite, est placée entre les pôles

d’un électro-aimant et dont l’autre, de section assez grande pour rendre les variations de niveau négligeables, est en dehors du champ. La pression, normale à la surface du liquide,

y

est dirigée

(1) Wied. -4nn ., t. XXIV, p. 347; 1885, et Journal de Physique, 2e série, t. IV,

p. 40; 1885.

Références

Documents relatifs

Parmi toutes les théories émises, celle de (;oldschmidt se montre très féconde et bien en accord avec l’expérience. Elle trouve sa base dans ce fait que la vitesse

s’accroît quand on lime les surfaces de contact; elle varie avec la tension appliquée, la direction du courant, la pression aux électrodes.. Ces propriétés, déjà

1 gramme de soufre d’une solution dans la lumière doit fournir 15caI,8; le mème calcul estfait pour les solutions dans CC14 et C6H6. Il résulte de là que 1’£ 1000 2

Les conductibilités séparées des deux espèces de molécules augmentent bien avec la dilution ; mais, en même temps, le nombre.. de molécules polymérisées va en

Enfin, cette loi peut se généraliser pour l’abaissement d’un point commun à n + 1 phases dans un système de.. n

les bases faibles comme l’aniline ou de petites quantités de bases fortes, la destruction dans l’acétophénone reste une réaction du pre- mier ordre, mais avec les

avec la lumière blanche et observer dans la lunette le spectre continu de la lumière qui, après avoir traversé le réseau, est dispersée.. par un

~° Les solutions sont colorées pour diverses raisons : la différence d’indice entre les particules en suspension et l’eau, les diffusions et. réflexions, l’absorption