HAL Id: jpa-00234857
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Submitted on 1 Jan 1954
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Conditions de fonctionnement d’une source d’ions haute
fréquence
Marc de Lacoste Lareymonde, Jean Salmon, Joseph Wajsbrum
To cite this version:
mais dont le
prolongement
à x = o passetoujours
par le mêmepoint.
Dans le cas d’une substance émettant
plusieurs
groupes de
particules
ocl’approximation
précédente
n’estplus
aussi bonne.Cependant
lafigure 7
montre,
dans le cas del’uranium,
le résultat du calcul des déformations de la courbe en x pour diverses formessupposées
d’une relation incorrecteamplitude
del’impulsion-énergie
de laparticule
dans lachambre,
l’étalonnage
étant effectué àpartir
dupic
des oc de 234U etl’expérimentateur
admettant,
àtort,
qu’il
y aproportionnalité
entreamplitude
eténergie.
On voit que, dans des limites très
larges
de mauvaisfonctionnement,
unerégion
linéaire subsiste et la valeurextrapolée
ne diffère pas de la valeur vraie, en valeurrelative,
deplus
de 2. 10-3,
en bon accord avec nosrésultats expérimentaux,
cequi
justifie,
aposferiort,
les
approximations
faitesplus
hautet ce
qui
étend le domained’application
de la méthode de numération.Manuscrit reçu le 5 septembre 1953.
BIBLIOGRAPHIE.
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and Chemical Techniques of the Los Alamos Project.
N. N. E. S., V, 3, 8.
CONDITIONS DE FONCTIONNEMENT D’UNE SOURCE D’IONS HAUTE
FRÉQUENCE
Par MARC DE LACOSTE LAREYMONDIE, JEAN SALMON et JOSEPH
WAJSBRUM,
Laboratoire de Physique atomique et moléculaire du Collège de France.Sommaire. 2014 Les auteurs montrent tout d’abord comment ils ont
procédé à la mesure des
prin-cipales
grandeurs
qui conditionnent le fonctionnement d’une source débitant I mA d’ions hydrogène. Ils donnent ensuite des réseaux de courbes montrant la variation du débit ionique en fonction de cesgrandeurs. Ils terminent par des indications sur la focalisation du faisceau et la proportion d’ions
atomiques qu’il contient.
LE JOURNAL DE PHYSIQUE ET LE RADIUM. TOME
15,
FÉVRIER1954,
,
1. La réalisation au laboratoire d’un
microscope
protonique
et d’ungénérateur
de neutrons a conduitM.
Magnan,
Sous-Directeur dulaboratoire,
a nousdemander de
préciser
les conditions de fonction-nement des sources d’ions hautefréquence
utiliséesdans ces
appareils.
Nous nous sommes donnéspour tâche de’
dégager
l’importance
relative des différentesgrandeurs
qui commandent
le débit de la source et de tracer des réseaux de courbes donnant la variation de ce débit en fonction desprincipaux paramètres
enjeu.
La source étudiée(fig. 1)
est une source dutype
Moak, Reese,
Good(1).
On en trouvera unedescription
détaillée dans(1) Les dimensions du canal d’extraction de la source
l’article de ces auteurs
(voir
bibliographie).
Nousavons
quelque
peusimplifié
lemontage
ensuppri-mant à la fois la bobine
magnétique
et ledisque
métallique.
Par contre unjet
d’aircomprimé
souf-flant d’une
part
autour de la base et d’autrepart
lelong
de la source assure un refroidissementconve-nable et
permet
l’utilisation d’unepuissance
hautefréquence
notable. Celle-ci est fournie par un auto-oscillateuréquipé
de deux tubes TB2,5/300
montésen
symétrique
et fonctionnant sur96
Mc/s (voir
schéma,
fig.
1).
Les résonnateurs d’anode et. de cathode sont
étudiée sont les suivantes ;
longueur,
I2,5 mm;dia-mètre, I,6 mm.
constitués par des
lignes
distantes de 5 cm et delongueurs
respectives
35 et Io cm. Lapuissance
appliquée
auxplaques
atteint
des valeurs de l’ordre de 700 W tandis que les dérives defréquence
restentFig. I. - schéma d’alimentation du canon à ions.
inférieures à
o,5
Mc/s malgré
les variations decharge
trèsimportantes
quedoivent
supporter
leslampes.
La
puissance
hautefréquence
estinjectée
entre deux anneaux delaiton de 2,5
cm delargeur
entou-rant la source. La
position
etl’écartement
optimum
varient avec les conditions de
fonctionnement.
Les meilleurs résultats ont été obtenus avec un
écartement intérieur des anneaux voisin de
4
cm,le
premier
de ceux-ci étantplacé
à environ3,5
cmde la base. Sa
position
s’est révélée extrêmementcritique
dupoint
de vue du débitionique
etdoit
être
ajustée
avec soin. Enfin lecouplage
avecl’émetteur est réalisé au moyen d’une
boucle
dont l’orientation parrapport
auxlignes
d’anode estréglable.
,Le
débit de gaz doitpouvoir
êtreréglé
-de manièreFig. 2. - Fuite à
l’hydrogène
et son alimentation, électrique.
sensible et doit rester
stable. L’osmorégulateur
aupalladium
généralément
employé
secomporte
defaçon
peu satisfaisante non seulement à cause de safragilité
mais surtout à cause des instabilitésd’écou-lement dont les
répercussions
sur le courantionique
sont trèsgênantes.
Nous utilisons maintenant(fig. 2)
le nickel sous forme de trois tubes de 2 mm de dia-mètre deo, I5
mmd’épaisseur
et de 12 cm delongueur
fermés à une
extrémité,
soudés àl’autre
à untube
de pyrex et
placés
dans untube,de
quartz
due 10 mmde diamètre. Une résistance chauffante est enroulée autour du
quartz
etenrobée
dans unepâte
réfrac-taire à based’amiante fibreuse
et de kaolin destinée à assurer unbon
isolementthermique.
Leréglage
estlent mais
sensible
tandis
que lastabilité
estbonne.
Ce
système
absorbe une soixantaine de wattslors-qu’il
maintient lapression
dans la source à sa valeuroptimum (2)..
On
peut
évidemmentrepérer
celle-ci à l’aide de iatension aux bornes de la résistance chauffante mais il convient de
pouvoir
la mesurer en vue d’une étudesystématique
des conditions de fonctionnement., Dans ce but nousplaçons
unejauge
de Pirani à l’extrémité d’un tube de verrede 7
cm delongueur
et 1 cm de diamètre raccordé à la source derrièrela
capsule.
Afin d’éviter le passage de ladécharge
entre l’électrode d’extraction et le filament de lajauge
nous l’avonsconvenablement
isolée. Nous avons cherchéquelles
relations existaient entre lapression
p dans la source enl’absence
de ladécharge
haute fréquence
et la tension dechauffage
aux bornes de la résistance Vn et nous avons constaté que p étaitune
fonctionexponentielle
deVin.
Nous avons
également
cherché à connaître lapuissance
hautefréquence injectée
dans la source.La mesure s’est révélée fort délicate. Comme on
ignore,
en cours defonctionnement,
la valeur del’impédance
aux bornes des anneaux, il convien-draitd’appliquer
la formuleclassique
U et I
désignant
lesamplitudes
de la tension et ducourant
et p
ledéphasage.
Nous avonsessayé
de (2) Note de MM. Jean-Claude DUMAS et Carlos GONZALESau sujet du palladium. - Le
système H-Pd est très complexe.
On en résumera ainsi les principales caractéristiquès : Absorption (endothermique). -
L’isobare montre que l’on a d’abord formation d’un composé chimique H2 Pd
(phase a), puis lorsque a atteint une certaine concentration,
dissolution de H2 dans ce composé (phase
03B2).
On a, alorscoexistence des deux phases après quoi parachèvement de a. Diffusion (exothermique). - Le
phénomène est inversé, mais la courbe est hystérésique. Seul l’Hg en disselution
dans 03B2 est utilisé. Or la pente
410
presque verticale (D, débitdu gaz en centimètres cubes par seconde ; t, température).
rend très difficile l’utilisation ,de cette portion de courbe.
Si l’on considère que
les
dihations successives produisent un, déplacement ducycle’
hystérésique et que de plus le Pd estparticulièrement sensible à certains
poisons
tels que souffre et phosphore, etc., on voit que son utilisation pour un débit constant d’hydrogène est peu satisfaisante. Le nickel touten ayant une pçrméabiljté inférieure ne présente pas ces
inconvénients et
surtout possède unAD
beaucoup plus
petit.mesurer U à l’aide d’un voltmètre à
lampes.
Malgré
la faiblecapacité
d’entrée C annoncée par le cons-trueteur N2pF,
l’introduction
du voltmètre fait baisser le débit de la source d’environ 50 pour 100;la lecture
perd
donc toutesignification.
Nouspou-vons par contre nous appuyer sur le fait que le
rendement .n d’un auto-oscillateur classe C est
constant à 10 pour 100
près d’après
les données duconstructeur des
lampes.
On déduira lapuissance
injectée
Pi de lapuissance
appliquée
Pa
au moyende la formule
Vp désignant
la tension continueappliquée
auxplaques
eth,
lacomposante
continue du courantanodique.
D’autrepart
lorsque
la source est enfonctionnement au
sommet
d’unappareil
dutype
accélérateur ce sont lesgrandeurs
Vp
etIp
qui
sontFig. 3. - Schéma de
principe.
Mesure du débit ionique.
les
plus
commodement accessibles àl’expérimen-tateur.
P our effectuer la mesure du débit
ionique
defaçon
correcte, il faut éliminer les effets des électrons secondaires. Dans ce but nous recueillons les ions dans un
cylindre
deFaraday
( fig, 3)
isolé de la base de la source par un manchon de verreporteur
d’unegrille polarisée.
L’électrode d’extraction est à unpotentiel
qui
peut
allerjusqu’à
10 kV,
lecylindre
est relié à la masse d’une
part
et à la base de la sourced’autre
part
à travers lemicroampèremètre
demesure. Il suffit de
porter
lagrille
à unpotentiel
négatif
d’unecinquantaine
de volts parrapport
à la masse pour éliminer les électrons secondairesqui
prennent
naissance tant dans lecylindre
que dans le canal d’extraction. Le courant totalcapté
par lagrille
nedépasse
pas 10 pour I00 du débitionique.
2. Avant de
présenter
les
diff érents
réseaux decourbes
tracés il convient de faire unedescription
qualitative
desphénomènes
observés. Il vade
soiqu’il
faut veiller avant touteopération
à ce que le vide dans la source soit excellent. Sousl’effet
de lahaute
fréquence,
les traces du gazrésiduel
seniani-festent par une lueur bleue.
Lorsque
le vide est toutà fait
satisfaisant
la lueur devientopalescente
etl’enveloppe
de pyrex luminescente. L’introduction de .l’hydrogène
amorce ladécharge,
une lumièrerouge est émise par le
plasma,
dont l’intensité devientplus
vive à mesure que lapuissance
hautefréquence
croît.L’application
de la tension d’extrac-tionpermet
d’obtenir un débit d’ionsqui
croîtjusqu’à
unecertaine
valeur de celle-cipuis
redescendquelque
peujusqu’au
moment où des étincelles’
apparaissent
de manière intermittente auvoisinage
des électrodes. Le débit est alors instable et la souree
risque
de devenir inutilisable.Nous avons noté
qu’il
fautsoigner
toutparticuliè-rement la soudure verre-métal de l’électrode d’ex-traction sans
quoi
certains endroits du tubecapil-laire se noircissent sous l’effet d’une
oxydation
localeet la source est
rapidement
horsd’usage.
Lapression
indiquée
par lajauge
de Pirani baisse notablementau moment de
l’amorçage
de ladécharge
alors que l’élévation detempérature
qui l’accompagne
feraitprévoir
un accroissement. Il semble que d’unepart
la
décomposition
d’unepartie
des molécules du gaz modifie le coefficientd’étalonnage
de lajauge
et qued’autre
part
des courants hautefréquence
induits dans le filament de celle-ciprovoquent
une variationde .la résistance de ce dernier. Enfin le débit d’ions
lorsque
celui-ci estimportant
aégalement
uneinfluence sur la
pression.
Aussi avons-nouspris
dansles mesures
comme
valeur
de p celle quel’on
obtientavant
l’amorçage
de ladécharge.
Nous avons tracé un ensemble de réseaux montranL
comment le débit
ionique
I, est lié à lapression
p, à la tension d’extractionVe
et à lapuissance
appli-Fig. 5.
Fig.- 6.
quée
auxplaques
de l’émetteur1?,,,
ces trois gran-deurs étant cellesqui
avec lafréquence jouent
unrôle
important
dans le fonctionnement de la source.L’erreur sur la lecture de Ve ne
dépasse
pas 5oV,
Fig. 7.
Fig. 8.
la
puissance appliquée
est donnée à 15 Wprès
etle débit à 5
MA près. Quant
à lapression
p il estdifficile d’éviter tout
glissement
de sorte que dansquelques
cas l’erreur a pu atteindre0,2 . 10-3 mm Hg.
Lorsque
les mesures sont assezlongues
lapression
risque
de se modifierlégèrement.
éteindre la source et attendre que
l’équilibre
initial soit rétabli. On voitqu’il
n’est pas facile degarantir
une
grande
précision
dans la mesure.Nous donnons tout d’abord le réseau 1(.
= f (Ve.)
(fig.
4) à
Pa maximum(660 W)
pour les six valeurs suivantes de lapression :
4,5; 5,4;
6;6,6;
7,4
et8,5. 10-3
mmHg.
Les courbespartent
del’origine
avec une très faible
pente
et s’incurventjusqu’à
1,4 kV
puis
présentent
unepartie quasi rectiligne
lelong
delaquelle
elles restent biengroupées
cepen-pant
que le débit croîtrapidement.
Elles seséparent
ensuite,
passent
par un maximum assezplat
etretombent
régulièrement.
Le tracé enest
limité àune valeur de 6 kV pour
Vie
puisque
audelà,
desdécharges
parasites
s’amorcent auvoisinage
des électrodes. Le débit maximum d’ionsd’hydrogène,
soit imA,
est obtenu pour une tension de4, 5
kV etune
pression
de6 . r o-3 mm Hg.
Au-dessus etau-dessous de cette valeur le maximum
apparaît
pour des valeursplus
faibles de Ve. Avec le deutériumnous avons obtenu un débit maximum de 0,7 mA. Nous noterons enfin que les courbes
correspondant
aux
pressions
4, 5
et8,5
mmHg présentent
parrapport
aux autres unléger décalage
lelong
de lazone linéaire.
Or,
dans ces deux cas il n’avait pasété
possible
d’obtenirun
accord satisfaisant du circuitanodique
del’oscillateur,
l’impédance
ayant
trop
varié pour quel’adaptation
correcte de lacharge puisse
être réalisée. Il en résultait sans nul doute une baisse de rendement donc depuissance
injectée
qui
causait cet affaiblissement. Pour lesquatre
valeurs de lapression
5,4; 6; 6,6
et7,4. jo-3 mm Hg
nous avons tracé d’autres réseaux de courbes(fig.
5,
6, 7
et8).
Chacun d’euxreprésente
les foncez tionsIc= f(Pa)
relatives auxsept valeurs
suivantes de la tensiond’extraction :.r;
2; 3;3,5;
4; 4,5,
et 5 kV. Les courbes ne
peuvent
partir
del’origine
puisque
unepuissance
Pa minimum de 25oW est nécessaire àl’amorçage
de ladécharge.
Elles sontd’autre
part
limitées à lapuissance
maximumappli-quée
auxlampes
soit environ 660 W. Pour les faibles valeurs de la tension d’extractionV«
on obtient dessegments
de droite horizontaux maisdéjà
pour 3 kV on voit s’amorcer une montéerectiligne
suivie d’une saturation. Au-dessus de 3 kV la zonelinéaire
s’étend en moyenne de 280 à 50o W. Au delà les courbes s’incurvent à nouveau et le courantionique
devient stationnaire. La saturationpeut
s’expliquer
de la manière suivante. Avecl’appli-cation de
Ve,
l’extrémité de lacathode,
le manchon isolant de silice et leplasma
environnant formenten
quelque
sorte une lentille focalisant les ions versle canal d’extraction.
Le
mécanisme de cette focalisationest
assez malconnu mais il est certain que pour une valeur donnée
de
V, le
débitionique
est limité par lespropriétés
optiques
inhérentes à la lentille ainsi formée. 3. Dans toutes cesexpériences
nous nouspréocu-pions
seulement decapter
le faisceau dans lecylindre
deFaraday
sansprendre garde
à sadivergence.
Enfait il convient de le focaliser si l’on vise une
utilisa-tion
quelconque.
Aussi nous avons construit un canonà
protons comprenant
deuxcylindres
de 5 cm de’diamètre,
delongueurs respectives
5,8
et 12,2 cm et d’écartement 5 mm. Enportant
lepremier
de ceux-ci et la base de la source à une tensiond’accé-lération Va de 13 kV et le second à la masse on
obtient sur un écran fluorescent et pour une tension d’extraction de 3 kV une
image
fine de i mm de diamètre située à48
cm du canal d’extraction età
23,4
cm duplan
médian de la lentille. Nous avonsnoté que la
position
de cetteimage
et parconséquent
sa dimension nedépendent
que durapport
Ve
V,,
-4-Nous avons déduit des
propriétés optiques
relatives à ce genre de lentilles quel’énergie
de sortie des ions était voisine de cellecorrespondant
à la tension d’extractionVe.
On voit que cette dernièrejoue
à la fois sur le débit et sur la focalisation et que sil’on veut pour différentes intensités faire converger le faisceau
toujours
au mêmepoint
il convientd’ajuster
en mêmetemps ,
Va et V,.Nous avons enfin mesuré la
proportion
d’ionsatomiques
contenue dans lefaisceau
à l’aide d’unchamp
magnétique déflecteur.
Pourl’hydrogène
laproportion
deprotons
atteint75 %
dans unesource
ayant
fonctionné une centained’heures.
On voit que les sources dutype
hautefréquence
per-mettent d’obtenir des courants d’ions
atomiques
tout à fait en
rapport
avec les besoins de nombreuxappareils.
Si l’on désire le débit maximum il convientd’ajuster
avec soin tous lesparamètres
à leurs valeursoptimum.
Si l’on désire une excellente stabilité avecun débit de 30o à 5oo
VA,
il convient de choisir unetension d’extraction de 2 kV bien
régulée,
unepres-sion de l’ordre de
6 . I o-3 mm Hg
et unepuissance
haute
fréquence
importante.
On s’affranchit ainsi des variations accidentelles de ces deux dernièresgrandeurs.
Nous remercions MM.
Bertrand,
Garchery
etPatiou de leur collaboration
technique
tant dans le domaine de lamécanique
que dans celui del’élec-tronique.
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