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NATIONS UNIES
CONSEIL
ECONOMIOUE
~T SOCIAL
Distr.
GENERALE E/cN .14/265 27 fevrier 1964 FRANCAIS
Original: ANGLAIS
COWUSSION ECONOMIQUE POURL'AFRIQUE
Sixth session .~ddis-Abeba; 'i9'f~vrier-3
mars 1964
DOCUMENT D'INFORMATION SUR L'ASSISTlffiCE TECHNIQUE AUX PAYS ET TERRITO IRES DE LA REGION DE LA COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'AFRIQUE AU TITRE DU PROGRAMME ELARGI ET DU PROGRAMME ORDINAIRE
(prepare par Ie secretariat du BAT)
Somma ire
I.
INTRODUCTION
II.
EXEMPLES DES INTERVENTIONS D'ASSISTANCE TECHNIQUE EN 1963 A. Planification et statistiquGs on matiere economique B.
Miseen valeur des ressourc8S
n~turelleset energie
C.Devoloppement industriel et productivite
D. Transports et communications
E. Agriculture, forets et
p~chesF.
Services auxiliaires
d.el'industrie
G.Administration pub
Lique
H. Finances pUbliques at institutions financieres
1.Sante
J.
Enseignement
K. Habitat, amenagoment ot
constr~ctiun 1. Devcloppomont communautairoM. Autres
services soaiauxN. Energie atomique
Page 3 5 5 8
1011 15
21
25 30
31 "
38
,~50 52 54 55 GE.64-1932
64-1115
•
- - - -. . . .-~'""'---. ._ - - - - I~~
I , 1/ II 1,,1
•
..
Co~t U28 pTogrcmmes d'intervention
a
pied d'oeuvreen Afrique, 1961-1963 •
F7.pOr03
en poste en Afrique, 1961-1963
':'liliLl!:AU III Bour~9S a~co~deeG aux pays et territoires dlAfrique,
1961-1963
.,
,
•
E/CNo1 4/ 26 5 page 3
DOGUM":NT DIINFORMi,TION A LIINTENTION DE LA GEl<
--,--, ..
--~-, ' , '._'
...----
10 Introduction
1" Ce d o c umor;t d ' i:lfol".-:le.tio!l a {its prepare a l iinten:Lion de 1& Commission economique pOUT 11Afrique .£:81QI: La J:;l'ii..tique etablie. II dec ri.tune partj.e de .: I assistance
techniquE dic:?c~se£ dans I&. region d'.l ressort de la GEA au rours de l'annee 1963 par les Na.t.i ous Uni8:J, ?t1:'lefl Lnsti tut.Lons specialineee e-t par IIAgenee interna.tiona.le de I'energie u.t)mique (AlE.A)~ au titre ·tant de leurs pz-ogranme s ordinaires que du Progrr..111118 e::"c·l'2i JI a s si s t.anc e technique (PEAT)., On trouvera egalement des exemples diassistc..;}z:e f cuzni o au
t
i tro des p:i."og:cammes de l'0:PEX~2. Comme Lo r c des anne e c precedentes, les p roj et u sont classes par nature, d'apres une documer-l-tn.tion four'r.ie pa r des organi sa.ti.ons (.:..ui participent au PEti.T" On nta pas vise
a
fournir un tableau complet de tauies les activites d1assistance technique dont benoiicie ~a region de 1a G~A, LeD exemples choisis l'ont ete, soit pour leurs c!1re,cteristiql!e::: 'in-ac
r e s sa.rrt.e s , s oi t pa.rce quti Ls ont atteint un stadeau
il a pa ru po s si bk e de, com.nenc era.
les evar"uer ..3.0 Le t.ahLaau I p:dsente Le s depenses effectives au titre du Pr-ogr-amme ela,rgi
dl~ssist~nce tcch~~qUE,et deq programmes ordin~i~es _~es prgan~~ations .particip~ntes
ell 1961 .. 1962, c el r; pays par pays Les c hi.f fr e s vqui. figur9 Il
ie
dans ce tabl.ea\l pour Ieprogra~Je 1963
eu
PEl~T rep~esentent ~a moitie du cofit,, approuve du Programme pour les deux ann.i e s ~<j{;3-1964, :plu~ les depenses rmp revue s ,approllvees jusqu'au 15 novembre 1963~ leJ chiff~ei presen~es ,our les programmes '~rdinaires de 1963 representent uneestimation
a
jour",. 1Je ·::'a1?~eac. II pres ez..te les experts on fonction au cours des memesanne e s , pays ra.t" pays ; (Ie m~rr.G; Le t.abl aau III mantre les bourses ac co rde es , Les chiffres p!"eSe!ltes pcur 1961-1962 d an s ,-os bab'i caux II et III sont Le s chiffres effectifso Dans les m~mes tBblea,x, le~ chiffres presentes pour 10 Programme elargi en 1963 sont des pastes at sub:...-I)Iltions appr-cuve s; il s comprennont ceux qui figurent au titre des sub- ventions pour ~jI8~Be8 ~~pTevuB3 allouees jusqulau 15 no~ombrt 1963, tandis que les
chiffre~ prcsentes sUr los prcgrammes ordinairee sont do nouveau des etats esti~atifs
a
j our , Le tableau IV mont rc La repartition du Programme de La region entre les d~ffe-:rentes ~ranche3 dle~tivite,
•
E/Ct).14/265 page 2.,
4. 0:, trouvera le detail de tOlite la ca te go ri e I, 19(;3-1964, d-, Irogr';':Jlile elargi, tel quti L a ete app rcuve dar.s 10 document Bj\';'C/L.281 du: Comi t.e de Lva.s si s-banc e
technique; 011 trouvera, d'autre part, dans Lc document '-',.i/'IICF./L.972, uuo description des projets autorises au cours de 1963, ali titre dts depenses imprevues Cllie lE Pre-
5ideni~Dl.~ect~u!r
est habilite::a -E.i~fectuer.
5. Les .. c ont.ri butions vc l orrtai.r-e s au PE.t>.J.:' promises par 188 gouve rnemerrt s de La region de latCEi,.ont e orrt i.nus d Iaugmer t.er , c e qui. temoig~'_e dIun appui croissant.
Le s totaux, pour.- 1es qua t ' r e der~ieres anne es sont I i;<ssuiv ar,ts:
•
1961
i"962
1963
1964 (jusqu'a.
present)
po
11'!:!.s.511. 762 . 532.880 761.38-r 746.478
Ces chi f fr e s rie ccmpr-ennerrt pas 185 cont.r-i but.icr.s des pays oeneficiaires aux
depenses locales, ni les depenses de contrepartie afferentes aux activites d'assistance t",ch1."J.ique. On a e~alement d e-mi.eux
en
mieux c onst.ate llinfluence e xe r ce e par la CEA sur les operations d'assistance technique de 1" famille dec, . ilst.ior;s Un.ie sj cette influence nla ~as peu contribuea
l'executioD du Pr~gramme.6.. Duran-t l'annee ecoulee depuis la derniere s~ssion de la Commission economiquE:
pour l'j,frique, le frogramme elargi d'assistance tschni que a fait l'objet d'un Impor-tant changement. Lors de sa session
alate
d~ 1963, l'EC030C a aecide que les nominatioLs du type OPEX pouvaiont ~tre fai tes au ti tre du Pr og ranme elargi'. C' est-a.-dire que, sur demande des gouvernements berieficiaires, pvuvent ~tre nommes des experts appelesa
travailler comme fonctionnaires de cas gouverC0~entsJ et non pas "simplement comme con- seillers. Les gouvernements beneficiaires pourraient 18s
habil:ite~'
a. prendre des de- cisions en leur nom propre,et
i1s ne feraieut pas rapport auk-organisation~partici- pant.es qui les auront recrutes. Ce sont les gouverneIDcntsbeneficiaires qui supportereient uno par-ti e du collt que representent ces experts. ~'",ssemtleegeneralea, par La .suit e , ratifie o et te re sol ution,•
E!CN.14!265 page 5
7. Dans I.e document, d'inforl)lation sur c c sujet qui", 1 'alUlee dernillre, a ete presente a La .<:EA, i l a ete question du systeme, de programmation biennale. La premiere period e ba ennal.e e st venue
a
te,rmea
La fin de 1962 et l'on, s'est soigneusement i,nter~og6 l'ur", sa vale~r. On est parvenu a la conclusion qu'il y a la uneamelioration par rapport ~ ,une progr=",tion portant sur une anne e et, par consequent, on continuera cette Lnnova.t.rcn, 8. Il 'etait'au!sai.'question de la programmation des projets que l'on d'evait i~i;rllduire en prep'araht l:eprog'ramrne pour 1963-1964. Pour ce qui 'est de La mise en oeuvre 'pro"prement di te des progrlimln'e's, il semble que c e systeme 'ai t bien fonc,tionne ,m\>i'lr'il' ne' sera possibli d'eval~er pleinement ses merites qu'apres la fin de 1964; moment' ou~era arrivee
'a
son 'termeuriepl eine pe ri od'e d' execution des programmes, au cours'delaqueU e aura ete uft,:i.lisee Ie. methode de programlDation des. pr'ojets. ' "9.
i'es reunl0n~
entre 1 es representants resid~nts
du BAT et 1 es hautsfo~ctioD.n~ir~:s
des
s~cretariats
de chacune des commissions regionales, auxqueUes assist'ent ege-lement I.a President-Directeur du BAT, Le Directeur general du Fonds special ou son r epre seri-I
tant, ainsi que les representants des institution~ specialisees, sont maintenant devenues une pratique annuell e bien etablie. Non seul ement eU es fourni s'sent l ' occasion de i'ables rondes,animees, mais elles ont egalement rendu possibles des conversations individuelles
.
."
privees 'e~tre les membres des differentes organisations int6ressees. On a constate que ces reunions presentent une ,grande valeur.
I I
Exemples des interventions d'assistance technique en'196j A. Pla~fication et st~tistiques en matiere economique.
, . '
Durant l'annee 1963, on a constate un accroissement considerable de la demande d ' assist,ance, technique des Nations Unies en matiere de planification economique et' 1 e nombre des pays et territoi:-es africains ainsi assistes est a peu pres Ie double de ce qU'il,etait en 1962. En sus de cette assistance qui, Ie plus souvent, etait a long terma, des.experts ont ete fournis aux groupes d'assistance de pays comme Le Groupe de 1 'East African Common Services Organization (EACSO) (Organisation des services communs de
l'Afrique orientale) et Ie Groupe Rwanda-Burundi, tandis que les services consultatifs regionauxIattaches au Secretariat de la CEA ont continue d'~tre renforces.
"U'y a ~u' des variations considirablos dans Le type des d emand.es r ecues et "
accept:ee's en
1963,
sal on les b'esoin; 'des pays et selon leur stade de developpemen't.Dans'certai'ns 'cas, on deinand'~it 1"; poursui te de 'projets existants, tandi,s que dans d"autres, en d omnndai-t de nouvea~pro'jets de duree:'-ariable; mais, on peut dire, en ge'neral,''lUe, dans toutes Le s dema:r;des, l'accent etait mis sur 1a necessit<! de fournir des :eiXpel'ts de 'grade eleve tresau courant des techniques modernes de planific,,;tion econowiq.ue; on demandai t aus ar qu 'il,g .eus'serrt I' experience des pr obk emes des pay's en recent developp"9slent.,, de, preference appaz-t.snanf
a
la region a·fricaine." ;.1.':i DJ's, demandes ,ant eM r ecus s tant' d'e .La. part des pays "anciens" que d'es pay's 'ayant' reOllilllIlElUt accede,
a
l'independance dans I.e contin'ent" ot de 10. part de pays' errpas se d ' atteindre I' independance. Le Cameroujl, Le Maroc'et"le' Soudan sont des exeini>les depay~s,":anci~~s" quiont co';'tipue,d~~eceV9ird e I' a.ssi st.aripe en matiere depla!lih,cation,
econo"!iq~een1963., tandis 9,ue l ' Algeri e, c9F'Sti,J;ue up exemple de pays no~vellement independant~s~istede cette mani ere, Un expert, aete fourni a ce pays au, t<lut debut de son independance et une demand" d'.assistancesupp16mentaire a deja eta approuvee •
• " , . . ,-. J. . ' ! : , , ; , . : . " " . ' ' - - .- .
L'el<~~fta aide 1edit pays a etablir,ses beso~nsd'assistance technique,et a f,raye la voie 9. la redaction,du premier plan de developpement economique. Parmi les pays qui
: . ' ".,;. :: ' _,i: - '. •
sont 9. La wei.Ll.e d'qbtenir leur ind,ep~ndarcf,leKenya,leNyassalandetl a Rhodesie ,"
septentrionale ont ete dotes d'experts et, au cOUJ:sde l'annee, une,m:j.ss~!'l\1d'etude, a egalement ete fournie a chacun des deux derniers pays mentiO\1De3. La mission envoyee au Nyassaland a termine ses travaux en 1963, mais 10. mission affectee a la Rhodesie du
Nord pour sui.vr a Le s. ai,ens,en 1964•. , _.
Les efforts en vue de p rcmouvotr Ie ,d,eve~~ppementstatistique dans cl,tre,.~~on O\1t continue de recevoirl~o.ppui desprogrammes'd'assistance t.echm que ~ell Nll;t~O\1S Unies.
Vn
programme s~rre d~_ formation cQnstitu€ uno import~nte ,p~rtie d~,ces effor1~t. ,-",-, :11i ; , ' , ' I
il repopd a lanecessite urgente de remplacer Ie personnel d'expatries qui regagnent,
" 1 1':, " ' , ',', .';' " . ,. - ," .
leur lIays par un personnel local dans les pays ayarrt recemme\1t accede.a ,l,':indepenqapc'l,
, .,:,;-~ , ' : ' , . . ' '-, ' ! - .. ,
h
10. penuri~ generale d'assistance de niveau moyen dans 10. plupart des pays africains"~. . ' , . ~ , " ' .; . ' t . .
et aux nouveaux besoins de f'air e face ,9.,10. rapide expansi on des 0 rganes de, s:liat~stiqu~., ' La f~~ation est ,assure: par des cen1;res re,gio,I1aux et nationaux etablis avec Ie CO\1CQurs
•
,
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•
• E/CN.14/265
page 7
des Nations Unies. Cos ceptres, que l'on a decrits assez en detail dans Ie rapport du BAT a 1a e
inqui.ame session de
LaCEA (pages 6 a 8 du document E/CN.14/210) , sont
ont.re s dans 10. t.r oi.sa emo annd o de leur .foncticnnement, vers 10. fin d'octobre 1963.
C'est ainsi que 1es quatre centres de niveau intermediaire a Addis_Abeba, a AchiIilo1oa,
a Yaounde c,t a Abidjan .orrt accueilli un tot<J,1 de 178 etudiants de 25 pays pendant les deux ,preIilieres nnne es d e
iI eur-.
fonctiOl'lIlem~ntet Ie centre de Rabat, qui' offre un eour s de deux ans nu ni.veau professionnel , a accueHli approxima.tivement 75 etu'- diants vcqus de six PaYs. En vue de coordonner las activitesde formation statistique dans toute la region - 1es objectifs vises correspondant aUX normes' communes de forma- tion et aux cours d'instruction
specialeme~tadaptes aux
conqitionS,africain~s- les
l.'(";':" . "" i.".' . . .. -'.'
deux reunions sub re gi.orial e s de'-chc-{s de
burea~de 'statis'tique ont ete convoque es en 1962 , I' une pour
l 'ouest et '1 "aut.re pour 1 e nord et l"e8t de l' Afrique. De p.lus, uno reunion de to us 'l'es directi"irs'de centres s'est t enue a Addis-Abeba en avril 1963
en vue de consultations lrortant
surlesm~messujets. Les resultats de ces rour,ions ont ete presentes a 10. 'troisieme Collfereuce de statisticians africain;; Ceux-ci se sont accordes pour penser que les centres quf'fonctionnent sur une base internationa1e devraient 'continuer de tendre ver s unetinl.formisatio'n des programmes
~tdes oxamens dans les principales matieres. De grands
progr~sont';1oe accomplis dans la formation de personnel statistique, mai.s tant
LaCommission
e~~~omt'que p~url'Afrique a sa c
in-, quieme session que 11' Conference do statisticiens africains a sa troisieme,
ont insiste sur 11' necessite d'elargir les facilites €xistantes et d'en assurer de
nouvel 1 e s ,On,continue de fournir une assistance d'experts dans des domaines statistiques particulicrs aux pays qui en expriment Ie besoin. A la fin d'octobre 1963, 39 experts desservaicnt'21'pays d'Afrique. De plUS, Ie Service consultatif regional de 11' CEA, compose de cinq conseillers
~ommesau titre du programme d'assistance technique et de 3 membres
~upersonnel
~egulier'de'laCEi., ont continue dcfaire face aux demandesa court terme. En l' e spac e de deux anne es ,' c e service s
Iest ac qu
itte de plus de
50 missions dont 11' duree variait de 15 jours a plusieurs mois ou davantage.
E/CN .14/265 page 8
Les pays beneficiaires de laregion etaient au nombze de 23. Le service donnai t
des c onaeiLe sur des que s ta ons vpo-r tanf sur Le recensement de la population, sur l',>'i'at civil, sur les comptes de La nation ateeuK du secteur public, sur Los statistiques du commerce
exte
rieur , sur les menages, sur'la main-d1oeuvreet
sur des enqu~tesa
fins multiples, ainsi que sur d'laut,res enqu~tes par so'ndage , Dans certains cas les experts ont ete appe l e s a' examiner 1 es pr ogr'amne s statistiquesnationaux ainsi que 1 es demandes d ' a sai s tanee 'technique, Trois au muink'des" conseill ers regionaux ont : c orrt.r-i bue '
a
I' enseigricment dans les centres de f'6rmation 'tl'ees en Afrique':sous les a.uspices de 1'000". \, ;'. ;.'l.:; ,-; ;.:.,
R. Mise"en valeur des ressources naturelles et enereie
~,) .'; b.: ':"In ,--,.~.
Le s activite~ d~assi~ylfnce tecbp.iqll~ pq"taIj.tsurledeve~oppem.mt de sire saour ce s 114tllrelles en Af,'} ,que ,~~ sont intensifiees, en 1963, to,nt,en c e qui concerne Le nombz-s des prcj ets que 1 'as~istalfce, fqu~P.~~1 et ae.ormais 1 e developpement integra consti tue un mode d ' approche Ifsse",
.
. . .. g~n~1i!l-:lerpent, .''- ~-.., - " . . .,a40pte. Entre autre. .cas , citons Ie dave Lcppemanf.du bassin du Sellellal, du ba s s in.idu ~igerj.du bassit\ du :Mono et dUc,bassin du Nil, dans' 1 'Ouganda. On esc9mpte"qll',~ne assi~j;ance,:accrue s ' ave rera nec eaaal.r e en ce qui conce rne Ie deye1oppement, dan,\,+.~s",anneGs,a,veni,r,lie ces bas ai ns ainsi que .dtautzes bassins fluviaux. Une as si s tanc e 9.,<l,te fOl\rnie,,a un grand nombre de pays en vue de faire
demarrer des pro jets ag~an<i~"eC~~t,le,q'ti;seront executes au titre d ',autres programmes des Nations Unies,. et, ,sur denand o 4'1.Da,hQm~ ,et du ,Togo, deux mi s si onsr.ont.
"M
o1'ga- fiisees en yue de participer a un projet coumun d'electrification dont 10. demande a"te ed r e s se e .nu Fonds special. A1,'I<,s't~ile,d~.demand es d'assistance accrues, un conseiller regional en I?a.tj.er~ _d~"c;;:u;.tog.:ap~i~. 8:ate
nomme pour .1'.A£r~,q~e:f sans compter -Ie'S con-.seillers regionaux on !l1"rtier,e de r e ssouz-c e s nu ne r-c'l e e '\t hyd.r-oto gi que s , D'amples projets du mllme genre sont eucour s d' execution dans un certain nombre de, pays et I' on a continue. , - '
." ..
- , . ,de fournir une assistance aux Gouverneme,nts ,due Cameroun, d/,l Mali et de la Somalie en ce qui conceme 10. fo~ation de personnel ~~cal technique, la preparation de cartes regionales et nationaleset 1 'organisation, de s ervi c es car-tographi que s ,
•
E/CN.14/265 page 9D1important.-s pr-ojebs sont en cours de developpement en matiere de ressources mine- rales et la mise en .oeuvre d1autres Droje~s s'est poursuivie avec llassistance d'experts des Nations Unies. AMadagasca~, la mission chargee de prospecter les ressources mine- rales a ete renforcee par la mise
a
disposition de deux experts supplementaires ayant mission d'intensifier la pros~ection dlar alluvionnaire,dont la production a decline durant les dernieres o.ecennies. ant ete egalement misa disposition les services de deux experts charges de qonner des conseils quania
la production de pierres serni-precieuses et ornementales, y compris leur taille. Ces projets se poursuivent en 1964. Dans la Haute_Volta" un expert ge oLoguo a continue de travaillera
des etudes at a La programma- tion de la prospection des ressources minerales. Afin de promouvoir la mise en valeur des r~sso~~,c;es mi.ner a.Les , a,ete
eg!11ement misa
disposition un expert en matiere de l~gislation' miniere~ En 92te-d'lvoir~, l'assistance srest poursuivie en matiere d'Qrg~
nisation, et de f'onct Lonnemerrb dIun laboratoire de geologi e. On s ' est egalement oc cupe dte-bayer- ce projet en onvcyarrt un mimiralogiste et un chimiste que l'on s'etait mis en devoir de recruter au moment de dresser ce rapport.
En T~ni~, un geologue a travaille sur place depuis 1960. II continue ses travaux en matiere. de prospection et de mise en valeur des ressources minerales~ De plus, ant etG fournis les services d'un expert en matiere de production minerale charge d'aiuer ~ la prospection et a l'eJ~raction de matieres non·metalliques. Cn expert en matiere de legis- lation miniere a aide le Gouvernement de 11.Ethiopie a Haborer une legislation mi.n i.s r-e moderne.
Des s,ervices d-'expert.s. ant
ate
fournisa
un grand nombre de gouvernements en ce Cl,u~c onc crrie L!ext-racti.on de mi!lera-is pa.r-o Lcu Li er-s plutBt quIen ce qui cone erne en general
, '
la mise en valeur des ressqurces mineraleso C'est Ie cas pour Ie mica au Soudan et pour 1rilmenite en Rel'ubligue arabe unie,.
Pour c e qui est des res s our c os hydrauliques, une assistance a
ete
fourniea
uncertain nombre de pays en vue de pTojets monovalents ou multivalents portant sur l'uti- lisation ·des eaux, ~oute~ra~ne~ e~ des eaux de surface. Un hydrogeologue a
eta
pr~te auGouvarnomant du Dahorn~ .pour a i d e r celui-ci dans son etude des ressources d 'eaux s out ar--
. ' ,
raines et dans ses etudes hyd.r-o ge oLo giqu as , et deux experts ont ete mis
a
la d i.s po sibi on du Gouvernement de la Quinee pour conseiller ce dernier au sujet des problemes techniquesElCN .14/265 page 10
et aut r cs qua s ur g i.s s errt dans Ie pays Lor s de la mise en vaLeur des ressources en eaux soube r ra i.ne s~ D'es services anu.Logucs ant
ete
mis 8_ 'La disposition des Gouvernements du~Lg.li
et
de 13. t!.9:..':!...!'i~:L~_. Del11~ hydroge o Logues antete
fournisa.
10, Nigeria pour aidera
1;), pros pec
t
ion eta
l'util~sC\tJi()n C!.83 eaux c out er i-a i.nes , Un expert cete
misa.
la d:;'spo- sition du Gouvor nc-norrta.e
La P~~iOD seFt.entrionale pour donner des avis sur des travaux oe l s qu e I lor gcJ,n i s at i c n d Iun s er-vio e hvdzo Lngi qu e~ qutun pr ogz-amme de r ech er che s hydro.- Log i.que s 'et quo l~. i'or'Tla:t.ion elE': j;j'echniciens Lo e aux , La mise en oeuvr e de ce projet s e p our sui.vr-a pcntlant J. 1an n t5 c 1964J Lcs services de cleux hydro ge o Logues ant ete mis a La dis- posit. ion (It:;. Gouv0~"'nc:ne-=1-:j de-Bf1ute-Vol-~!1 pour aider a'organiser ct a mettre sur pied un s ezvri c e hydrogeologique; 10. fO~'rn:1t'i'Jn de personnel t ecbnt.qu c , lleluboration de projets de ddveLoppemo.rt porbar-t. sur les Sahx sout ar r a tno»et
des recherches hynroge oLog i'qu e s , Un expert. a acrLe"lJ sa mi.s s'io..l att
Iautre sejour-ner-a jusqu' en oc't.obr-e 1964 :p0u,J:' ai.d~.... 1 e a e'r vio e hydrogo c Lori que noo~v~Li.eme'n)0 cree dans sa recherche des eaux souterraines7 dans La fournitu.T.G dIef,U (:-'v autr oet-ra....
·:8>lG:~ Une equipe dtexperts a continuea
travailler au\leveloppemen-l:i
a
obj cc bi fs m.ul·,~:'plcs dn bassin du Senege,l. Ce projet ae'te
f'o rmu Le sur~_a demarid e des Gouvoz-nemcnt.s de 1[1 guiP5L€.> du ~li, de 10, ~au:ritani.£ e"b du Senegalo II atait en C01:::'5" d:e;:'~cuJjio±1 ilepli.ts 1962, La mf.ss Lon a ach ove son ·~ra;vail en avril 19630
-Jusqu
lEt.
une uatj(: r8cr-:L1+..e·, 1ta s;:d s t.a n e-6 f'our-n.ie aude··
re l op p emen t Lndust rLeL de 1 \Afrique a ~te aSSE:-Z mod e s c e , ;':tlr c:.uGJ_l}ue 32 pays eZr-Lcc i.ns ayanf r dc ammonf accedea
1: Lnde pe'ndanc e , 13 seu Lomerrb onf d ccic.nde ct 1'e9'-.1' des experts inc..l1,striels au c our s des d i.x d·er:c.ierGs anno cs , r:v:tis les Na.:~ic!1_s Unies ant commence ?~ e""t:,ud:;"Gr de faco'n' sy~-t,ertla
-':,iql:.e Le s -be s o i.nn des 'p[l,ys afr-Lc a f.txs , Pe.:"-eX8IDplf:'1 il a
ete
rec ommande d lerrvoye'r en A~g9r.~un expert 8n tLs,~iie=e de s:'dt~i.'nI'eie pour l'.D8 mission de breveduree,
ai.nsi, qutun.expert
a
cour-t t>?:::'mc en ;"'l'J::~,ie-.ce d_,~ 2(~~.i:<dJhimie e:, un GC0I1orniste c p-i c i.a.Lis e en plcnifi- cabi on ron:;:' une .i-,cl'iocE: de t.fjrJpc p:.l13 Lor.gue , LIexper-G en matiere de si derurgi e a deja fait son rn.ppo·ctei
C:"'l 'slcccupe ds r c c rub e;- un exper-t on pet~ochi::lieo L'economist,'e' en ma-~iere de plQ,'!ljfi-:D.~ioD_a
long -'uorme est· ac t.ue Ll ement au tr ava i.L,I
---_-.'
,
E/CN'o14/26:>page 11
"p~~~'
c~['l~i'~'s~lfl!u
J6d:n\erO'tiri '131; de IO: Guine e tdesetude,spre1imin~~res
'lui ont dur e'lue~~ues m()i~
'onttr~y{ti"v6i~'il:
1irtii"evaluation-des beso Lne fOlldamentaux de ces pays.Au
T~g~;ika;CllIIl
kxperf. 'enriuttiere de' promotion commerciale~st',
en traiIl, avec unje~ne
. :. "!,' i . . . ,: .",i:'" ;-,. i '- ..~ ,., .
aasoc Le , de former de patits'''coillIher¢aIlts locaux, et il a redige une. -demande en vue de
! . :;~:': , ' I · ;j., :j.. "1; ..-'r , " . , ,". : _ '.
La creatioll d IUIl l.nstitut de'l'<l1-rilation."Gn sa propose mai nb enanf de fourIlir
a
ce pays UIl petit groupe dei~~'Val1' cha'r'g~'-cr~rs latteler a l a structure de developpemellts possibles.'f' ' " r,-i ' ': • " ' , ' ,'" '
Des propositioIlSdu m~magelli:'a orrt ete faiteS'~'P0ur'l,,,S"juda.n., Cit OIlS ,comme exce l l.enb
"'''',:;- ',' . ' - ! " I" . j.: . '
exemple de La methode du 'groupe un i.que comme aussi, de lacollaboratio.ll de plusieurs,'j
gro.~~~~'~~
vued
IattO:'luer les pr ob Lemes de 11Lndusbr-Le.Ld.aat-Lon , une mi.ss Lon d ' etude re-0 ' . I! {.. : . :' , ';"
cemment cr-gani.se e 'ell Rh6desie du Nord.' Le groupe de travail r epre s errt e UIl effort, e ommun i,1.C,' • . •
de 1 'GNU , de La CE1, et de Ie: FAG.' Ullchef de mi ssion , spe,ciali,se,eP- ecollomie gellerale,
,.. I, j
et UIl plaIlificateureIl'matie:redIagr ononu e 'lui 'est egalemeIlt,'sl'ecialiste dIagr ononu e
ga-
...
.
'-(;Ilerale, UIl p'l andf i.cab eur' fi~cal,
un
'exp'ert en matiere d l inst'itutioIlS rurales et UIl ecC!..,, .: ',1 ' i -' \~' , ;, '.' .:J.
nomd.s't e Lndustr-LeL Lr orrt sur' plaoe donner ,des avis sur I' or gand sab Lon future du develop-
"'1'; '; ',',1
~~m~~t i~dustriel.
-uJ'" l t'. ;.'L ' . ' ; '. _...
'~Iltr~ 'aut.res proj ets des Nati ons Uni es qui, en ,1963, t oucha.Lenb dir-ect cmenb Le
ae-
,
v~'io~pem~nt
illdustriei' ell" Afri'lue, CitOIlSUIl expert, ell mati.e r e de ges'tLon et un ecoIlo..,mi~t~';
illdustriel qui oh't tr'aV"aille ell Ethiopie, uh'autre ecollomiste Lndust-rLe], au Ghalla et UIl troisieme en Gui.ne e , Au Liberia un expert ell mctLer e de dev~lopp~me,Jl,t",,~;o,il.\lstriel'~"poUr~;'ivi's'~'
't'ache. Unautr~i'hpert
eIl,matiere de developpemimtiIldustrij>-+i~,meJ;le a
, . 1i·
t ermaune mf.ss Lon de plus de dedi ans aU<..Wl:roc et UIl e'xpertiindus,triel a egalem~Ilt ac.., compH une mds si on de deux ans ad 'fliger'.
Ell 'Somalie un comptable Lndus t-r i.el, ,;" fait ses debiits' 'ver s . l'a fil'\ de L'anne e et un expert ell' matiere d i'iristituts t.echnaques. s I eS,t mis a1,l'travail:vers ,),e mllme mornenb vau
SoudmJ<t Un expcrt en'mc.:t,'iera"c1e promotron commer-ci.aLe siesf acqui.t be d'une massi on
4.8
deux annees au 1~~~anyi~~ et un exnert en matiere d'industries chimiquGs a quitte Ia Tunisie, ,
,
a Id"''f'in dIun sejoUT-. de moinc1re dure e , La Republigue arabe unie [1, en l'espece, dispose d~ deux exp ez-t-s clJs Nrrt Lor s Unaes fpandarrb l' anne e 1963 .L'UIl d I eux etaH un metallurgiste 'lui a mone
a
b i.ensa
-tEcPt: ct 11autr o un c ompt ab Lo en mab i.e r c de c ofrt s industriels qui , accomplit uncrnf ss Ion de Lonruo dub30)D. Transports ot c ommunactrt i.ons
L'o.ssistD.Ilce de l'ATNP dOIlIlee duraIlt l laIlIlee au developpemellt des tro.Ilsports ell , Afriqu-e est demeure e modesto, La plupart des experts qui orrt ete nomme s etaiellt specia-
listes des trallsports routiers; d'o.utrus des traIlsports ferrovio.ires, des ports et de la Ilavigo.tion m1¥·~t_ime et f'Luv LaLe . JIll" m,,,sur"importo.nte a
,ete
La nomi.natd on d 'UIl1 . . ' , .-, .r.·, ' . . . : . . _ ,
;j :1'
e :,.
E/CN.14/265
page'12 I
economiste specialise dans les transports et d "un Lngerri eur civil 'llli etaient rattaches a'la
CEh.
Ces deuxcons~illeurs
ont aide les gouvernements a etudier les problemes gene- raux de transport et a faire face a des tfiches speciales. lIs ant egalement donne des- - ' . I • • .
avis
a
un certain nombre de pays en ce ~ui concerne la fo,mulation de demandes d'assis-• I' '.' .. . . , .
tance au titre de l'~TNU et des programmes du Fonds .special. Un ~utre trait du programme
. . : ; ! ' . ''', ,:- ";
de 1 'annee en Afrique a ete 1 'importance plus grande attribuee au ..tourisme.
Le programme de la Republigue arabe unie est demeure Ie plus cons.Lde r ab l e de
t
ous.. ilJ . \r·. ! ' -,'
ceux qui affectaient les pays africains. Les domaines sur lesquels 0nt .porte les activi-
. . ," . '.' i .; I ' ' , . ' ' .
tes d'experts ont compris La coordination des transports, les statistiques de transport, 1 'organisation des chemins de fer et des
ateliers,.·i"~ro,sionrout~kre,
La compt.abilite de's 'transports routiers, les transports fluviaux, les cbent Ler s de co~~truction navale, les operations de chargement et de de char g emerrt des navires, 10. plonge.e et la s oudur e s ous.
'l '
e~u,
ainsi que La planification des services publics de transport •. De plus, \lIl exp;erta
d'onne des avis sur Ie developpement du t ouri smo , La plupart de ces missions d'.experts etaient des missions a court tez:me ayant des obj ectifs s pe c i.aux , tels que l'.exigeait Ie developpement de l'economie du pays. La fourniture de servic~s d'experts a ete.completee par un nombre relativement considerable de bourses d'etude permettant de former des res- sortissants de La ·R.aU charges de prendre 1."; r el.e ve des experts ou de mettre en oeuvre leurs recommandations.. ,~:i;
L'assistance de l'aTNU en matiere de transports routiers a ete plut6t modeste, mai~
. ' L,
elle a porte sur des aspects varies. ~u Burundi, par exemple, deux experts se sont vu confier In ~ission de restuurer et de reparer des r9utes q~i ayaient
ete
abtro~es par les.,,: :' .', . . .'. ~~.'::_..:.-
inond~tion~.
Des.ingenieurs civils ont travaille a la construction de rolltes au.a leur amel~i';rat:i.onen Guinee at au Sierra Leone. Le reglement de la ci r cu.Lab i.on r out fe r e ,n fai.t"';{~objet (~i8tU:des~ ~n Ethi~rpio;
de~~me,
aU,Kenya, 10.ques~ion
dufin[1nceme~t,
oesro~t~s a
I , ' ,
Des
e6'~~omistes spJc~aiis~s
ent~'~risp6r~
"ont ete envoyeis au :1"ta1,i et en ,Somalie pour Laplanii'ic6;tfo:n
;ee"s t.r anspor bs , eten
Rhodesie ainsi qulauNyassa.l,:1n~ po~
l'ameliora1iiQr (~C i'~ 2~sii'nn' C8~ t'ra.'nslJorts I Des expez-ts en: matiere de b r avaux :')ublics- g~n8raux,ant.6tc
" ~';' ..,
f:Jurnis fL la Somalic et au .TJ;-~(); dans aes cas tels que c oux-ci , los 0~ud~s en ~nu.ti~re de transport r epre s ent cnf uno part importante de leur mandaf~ C'{t"orls',.' 'entre' aut r es missions ,1' assistance t.echnique .celles qu.i, avad errt.i.en 'vue l:'etude des pr obLsmes: portuaires .et des probHmes de navigation au Congo (3raz.z.aville.)' et c eIilas qui ant faurni des avis en Ilia"
tiGre de na.viga.tion f'Luvi.c Le , d.e transports urbains ':et de genie en mat.Le r e de eir ouLat.Lon a.u Cameroun.
Pour ce ~ui est de 1 'aviation civile, un certain nombre de projets existants ont ete
~ourGuivis et, ~ar-s certains c~s, ~larGis~ En Ethiopie, par exemple, l'OIhC a continue de
- - - ,~ I'i'
•
"
page
::..:c...~.-0 i.:l;;2:~ Ln J;~~;_,_':-;L: ':'.IUi.i. i. ~::'j_r.ic·t.l:'~.;t.e'..:.!' c1'.:lviE'¥tion oivi i o en §~~'}l~~€!, il s:ag::'ssa:..t de donn8:' .s-~:~i.:;j'3 [1L~:~ 1oc87::i.'<::'=-~\::' .:~ i.oL.~ dtLi n -: <5tl'do de 1'0Ihe eXE!C,t:.tdC dur cnt 1i['.,n;.12e :pr~r;J(l.e~l-":'e<
.!u3Qu'~__'.I!r~.3(;:::.i;, 11(~_~_:?'2:t 8, ccnc errtre ses effoj:,ts sllr.l'org8.,nis.~tio!lu1e:l,depa,rtoment
G.tn~;i:-jji0n ::::i~>;i).'(',' ':'~::' lc" c1:£..;relol)j!ement diun o lJgisls;bion dt c.v-iwbi on c i.vi Lo (..It sur 1.'1
se-
Pcr G::{e::1IJ18'~ CH:.".t;.~~:'::5C!_:'.e O:::,.~8::,-t,a~.e·1' 3·~:r domc.nd e de 1IOrga~:cisa-~iOIld.Of' s ez-v-c c s c ommuns de 1 'J ..f.:·~J·':..'.e o:rie.:.'.
.-r,[,··
c~ '~>_""2 i!1~L~_'a~~o:1 L'_0 1 :Cl-li.C c.Lde Les Go.rvcc-ne.norrts d~1. Gh[l,:!1n7 ue l'C'-,'.[C",I.>.G.at
Lenc:.;.
r:l[~j;,-::'iel- cl\.~ ?"?f:tc C~j ~clG -:ieles(.rip"teur orrc atclG 8., devel?ppel:, lea s er-vLc es de cOJn-' D.un-.l.c[')j}.o::,',-- n,:,:;. !.'.C, ""-0],' D.Ll""p01"t ['_'.1 Cntre ,
Duo r ec s or-t Ls sant.s au Purunrli, de ll~!-hi.Q.p.~~~, de(~_~i'?_:~-S;':~.~~:' 'r.~ S8~~E~~J rle Ie. P.~~~+,~.£y du ~9~!-4~,~) du Ta~K~~.:Z~~::'} de,
~.rL ?~'~_?-::-[)1)g;'~~%-=9.EP:2~_~?P.-,~~ ant r ecn des bours es de ~)8r£c·:::tionn.emeD.t~Un
E/CN.14/265 page 14
On a mis l'accent sur la cooperation regionale. C'est·ainsi qut un conseiller economique en matiere de transports aeriens de 1iOIAC n.
ete
designe pour travailler, de conce rt avec Lo Secret,ariat des 'transports de lil. CEll.., C. un proj et prev oyant. une etude des t.runs po r-t.s aeriens en Afrique, impliquant uno evaluat10n des reseaux d'iti- neraires existants at futurs, Ie recu.eil 8t 11interpretation des statistiques et autresa a p ects economiqucs des tr a n s p o r - t . s atJriens en Afrique. C eL a comprend egalement une
nouvelle evaluation des ~vantages qui seront.retires de Ia cooperation regionale. Des experts uffectes
a
des projets regionmlx en matiere do navigabilite aerienne et de services de sauvetage en cas d'incendie ont visite llEthiopie, Ie Ghana et Ie 1iberia.Un expert de l'OMM a execute uno etude des installa~ions et des besoins en matiere de telecomm1lnications meteorologiques dans presque tous 1 es pays d ' Afrique.
Cette etude tendait afournir une base pour les re00mmandations relatives a l'amelio- ration des systemes nationaux de telecommunications meteorologiques.
L'assistance techniq1le fournie par l'UlT a<lX pays africains, dans Ie cadre du programme·du PEAT, vise
a
fournir des indications sur tous les aspects techniques du developpement des telecommunications; cela comprend egalernent la determination des baremes et des tarifs en matiere de telecommunications.En mars 1961, les gouvernements de la R6publigue centrafricaine et ~ B£~u~li9~~~iLu_T~~~~ont mis sur Ie tapis un projet cornmun de formation en matiere de telecommuni'caticnsj -ce projei permettrait
a
l'UIT de fournir L'as si s t.ance technique ne c e ss'ai t-e pour deux ecoles de formation, une dans chaque pays. La premiere, enRepublique centra£ricaine, devait porter principalcment sur les techniques de lignes
telephoniques, tandis que 1a seconde, au Tchad, porterait surtout sur la formation
de personnel de radio. Un expert est entre en fOllations en septembre 1962; i1 conti-
nuera de su.vei1ler les activites de l'ecole du Tchad, ainsi que Ie debut des cours de formation a,-l'autre ecole, j us quta La fin de 1964 au mains.
Un expert en !lepubligue.arabe unie a entreprisla creation dtun sys t.eme de teie-·
phone
a
longue distanceet il a aide a la pl~nificationdetaiiiee d'un reseau de tele- communications de base, Vu l'urgence de la chose, l'expert de l'UIT s'est vu prie, en•
*', i/I"
I ·, ...I ~'i_"_
\
E/CN .14/265 page 15
co.l Labo ra.td on avec ses co I Le gue s egyptiens, de r ounnn r un rappo.-t dans Lee ira)..
mois. I l a
en
ef'fet, reuss1 a Le fni re,E. Agriculture, forHs 'e,t PGche..!L-__
En ce quiconcerne I' assistance de La FAD en'matiere de planification agricole, ,
' . ' ' " '
I'evenement recent Ie' plus important a ete 'la creation, dans Ie cadre du programme ordinaire de '11Organisation,
d,u.ri~ '~q~ipe
de trava.il compos ee de trois eccinomistes principauxspe~ialistes
delap'l~dificati~n ag;ic~le,
charges d' errt r ep rend.r e 'des missions consul tatives de courte duree, surtout dans les pays africains.ni'
agi t,:" . :.. " , " .' : :, i . j " , , : .') , , .
de completer I' ass Ls t.ence deja fournie au titre du Programme elargi afin de pouvod r , en evitant de
;~~ru~er
uncon~ui
tantext~rie~~
ap r-es I" autre, repondro auxde~alldes
.,n," ,
touch~nt ~~ participation de Ia FAD aux missions entreprises par d'autres otganisa-
, , r ' I . ' ,
tions internationales.
Bien que I'equipe d~ travail no fonctionne que depuis peu, Ie nombre des
!" " • . , ' , : ,I
demandss d'nssistance augmente rapidement. Clost ainsi qu'nn des membres a receminent
part~cipeJ a ;"n~mission
del';6~u ~~; Nvass~land.'
I1av~it
pourMc~e
d'etudier et:; , :, : ' , , : , , ': ~, .
d' analyser les proble;'es du d~veloppement agr'icole'dans Le contexte general 'de l'economJ.ed.u,
~Jays,
'de~rop~~er
un~rdr"
de~riorite~et
d ' indiquer quelle sorte/ .. ; , ';. I" ".; ; , '
d'etude, :p,lus ~let,aillee il hllait effectuer eri vue d'Une planificatibn a long terme.
, " , ' ",.~,'.;" \ " , " " .'
L'expert est deja retourne au Iiyassaland pour y entraprendre una etude plus pous se'e
, , .i,_ ' , ' : ' ; : , ' ". ,', , : ' , . . .';' : ",
et foumi,r des avis sur .certains problemas que pose la politique de developpement'
agricole., ,
,
Les membras de llequipo de travail ant egalement affectue'de courtes missiens consultutives dans les pays suivants
Zanzibar.
. i
De mllme" dans Le cadre du Progra~e €largi, la
FAO
a continuea
fournii des' ) ~.
: i."
con~ei,ls,aux; go~vernements en matiere de ,planificl1tion agrfco l e , Dans cet ordie d'idees, une mission particulierement importante a ete envoyee en Nigeria pendant la'
. : ' '" J I" ,'; ,)' ,
periode consideree afi~ de preparer un programme cone ret et integre de neveloppement agricole" ycompris une.evl11uution approximative des credits necessaires. Cetie
"'.' " , ; , ' " ' . ' \ " . ' ,
equipe, comprellant,16 specialistes en diverses matieres, est arrivee en'Nigeri~ en"
octobre 1962 et a passe'
q~el.':lue n~ut'iii~isdans'
Ie pays. 'Ayant tennine leurs: recherches. Iu "
B/CN.14/265 page 16
sur place, tous, l~s membres sont maintenant ,de retour au Siege de la FAO pour y examiner certaines questions techniques et preparer des rapports preliminaires.
On escompte que Ie rapport definitif de la mission sera termine vel'S la fin de
decembre 1963. Celui-ci ne se bornera pas
a
definir certains principes'· di'recteure-a..
long'terme et des objectifs generaux en ce qui concerne Ie
dev~loppement
de ltagri-cuHure; i l precis era egalement Les domaines d'action qui s'offrent au Gouverriement de 10. Nigeria et les p rcjots que
cel~{-ci
"pourrait entreprendredans Ie cadre des;plans de developp~~e~t"actu81s et' ftiturs.
. ' : . ", I;. :-', .i ' , : __ '_ _ ' , ' _" .
Si l' on attache une importance particuliere
a
cette mission, c'est que, d"me' j, part, un inventaire complet des ressources agricole~ parattind1Spelisa.ble 'au'd'ev';"loppement planifiede
in'
Nigeria et que, d'autre'part, l'on estime que Ie;' recoinmfi.n-' dations de 10. mission rev~tiront une grande importance pour les' auties pays d'Afrique qui ont des problemes analoguesa
resoudre.Enfin,
0;'
s ' occupo serieusement des activl.tes'de formation dans Le domaine destechnique~
depl",{:Ui~atiol1
agricoi e.'c
I est' ainsi qu 'en 1963 ona
ol'ganbe, au titre duprog~amme' o~dinair~,'un
eou rs special d'une duree de cinq mois , Y ont particlpe"35 boursier~ dont'
20
etaient" ori g'inad re s d' Afrique (Ia moitie d'entl'~"eux provlmalent de pays~ngloph6ries';i
,'au'tr'e moitie de pays d ' expression franCaise). Lesdeuxpte- "
miers
~ois o'~t'
etec~ns'a~r~s a
des conferencesd"orientationeta
des' cyoles dlatude portant ~'~~: le~ prcbl~mes;'ge,;eraux du developpement' economique et social' ol'g,misel>a
1 'lnsti tutd'~t~des
soci:ale~
deLh
Haye , La d euxi emo partie du coura, qui B'est tenue au siege de In FAD, portait sur In formation dnns Ie domaine du developpemeht agricoie et des t~chniques dG planification.La 'iTris-e e'n',:'oeuvre des plans de"deve'l bppemerrt se heurte s ouvent
a
des diffi- cuI tes parce que, lars de I.'etablissement de ces pl ans , on a surest i.me La compet._~nc·e,en mattere d'administration, des ministeres de l'agdculture et omis de tenircompte de 10. dispersion de I' autori te entre les services gouvernementaux, en ee qui conce rne Ie developpement agricole. De Co fait, les gouvernements ont pl'esente un nombre
croissant de demandes d'assistance - auxquelles la FAO a repondu - en vue de ren- forcer In structure at les servicesinstitutionnels qui permettraient de stimuler In productivite agricole. C'est ainsi qu'en Ethiopie, un expert de In FAO afourni des conseils au Gouvernem~nt quant nux mesures propres
a
rentorcer 11 o r g a n i s a t i o n et la structure administrative au Ministere de l'agriculture, notamment en ce qui,
E/CN.14/265page 17
concerne les services
a
fourn~r aux,producteurs ruraux, les programmes techniques et les projets de developpement agricole. Ces travaux ,sont directement lies a l'execution du plan de developpement agricole. Un membre de l'equipe de travail deja mentionnee s'est joint a l'expert pour etudie~ avec Ie Gouvernement, les mesures proposees de reorganisation structurale du Min.i s t.c re aux fins d ' assurer la mise en oeuvre du plan de deveioppement. Par la suite, et sur la demande du Gouvernement, la FAO afourni des avis sur ce projet de reorganisation, dont maints elements sont deja en cours d'lexe cut"i on.Les activites de la FAO en Afrique dans Ie domaine de l'utilisation des terres et de In gestion des entreprises agricoles ont porte sur un certain nombre de projets.
Parmi ceux-ci il convient de signalerles etudes sur l'utilisation des terres entre- prisesau Cameroun, en Nigeria et au Sierra Leone, et l'assistance foumie par la FAO au Gouvernement de la Nigeria en matiere de planification agricole, en vue de la
colonisation rurale. Lorsqu'en 1960, i1 a demande a la FAO une a~sistance technique pour une periode de deux ans, sur. base onereuse, Ie Gouvernement de Ia Nigeria avait deja entrepris un programme audacieux de colonisation rure.le.. Un expert en matiere de gestion des entreprises agricoles a, en qualite de membrede l'equipe de la FAO pour la colonisation rurale, aide Ie Gouvernement a, planifier et a organiser Ie projet en question. Celui-ci visait a installer des dipl~mes de l'enseignement primaire et' secondaire sur de grandes fermes organisees par les pouvoirs publics, de fa90n a am,Hiorer'les niveaux de vie des populations rurales eta moderniser l'agriculture.
L; equipe de la FAO a pu contrLbue r de fa90n positive a la planification du projet et
a r'
amelioration du r-cndement de 10, mad n-d ' oeuvre, en proposant des mesures qui ont pe rmf,sde red~ir~
les capit.aux ne ces scd re sa
I' eXJ?l,oi tation de cheque entreprise, d'augmenter Ie revenu net des exploitations, de simplifier et d'ameliorer les proce- dures comptables et de reduire Ie nombre des exploitants qui ,abandonnent les entre-,
prises agricoles pour chercher du travail ailleurs. Les experts ont egalement recherche tout"s les possibilites de former Ie personnel local aux techniques de la planification agricole. Vingt colonies ant ete etablies, et un personnel suffisant a ete forme qui sera capable de poursuivre l'execution du projet apres Ie depart des experts.
E/CN,14/265 page 18
Le prograwme entrepris en'~~pub+i~ue chines' a.gr-i e ol e s
est
un exemple de pro-jetdu Niger, visant
a
introduire l'emploi de"ma- ayant donne des resultats satisfaisants dans Ie•
d cmai.nedu g6nie agricola; dans ce' pays7 en effet, les travaux agricoles sont ef fe ctue s presque toujours manuellemG!nt;. avec des ·outils s impl e s , Le pr ob'Lame essential', pour
ce
p&'ys'l est dIaugment.o r La pzo duc'tti cn a g ric o.Lej il pourrait
etre
r e s otu
par I" introduction et la generalisation de materiel et de vebiculesa
traction arrima.l e , En 1962, la FAD a fourni les s3rvices d'U~ expert en matiere d'outillage agricole, qui a determine les types dlinstruments les mieQx adaptes a~~ conditions locales et mis au point des harnachements appropries; puis il s'est attachea
faire des demonstrations d'instruments eta
apprendre leur maniement aux. vul gn rise.t.eurs Locaux, Des 1963; on pouvait c ons t.a't.er- que ce projet avait eu des T8sultats heurea~'dans la regionou
1Iexpert avait 'cancenire ses activites~La p opu'Lat i on empl oi e de pt.us
en
plus-volonti'9rs les iilstrcffi9!!-ts ara-t0ires et u+.-i1 ' ;<"~betail etunes pou~ lea tirer; ainsi, Ie iravaii 89 fait plus vite, les cultures sont ~lus Goignees et les rend~ments plus eleves.
En ce' qui' concerne La mise en valeur des r e s sour ce a hydrauli'ques et 1firrigation, Ie p'r cj et solidement ini6gre entrepris au Tanganyika, qui etait deja ment ionnd dans Ie docu- ment d'information publ i.e l'annee derniB:te(E/CN ..l~/210, 'p;23}, est enpleine expansion, ot on 'lui donne actuellement une nouvelle orierrt.a'ti on, L' expert principal 'en matiere
d'irrigat-ion et de mise envva.l euz- des "'ressources ti-'ydrauliques a publie un ra:pp~rt 'd'efinitif sur "Le potentiel bydrauE'lue 'du bassin du Wamill ; i l devaH quitter Ie pays avant la fin de 1963. Ilsera r empl ace par un expert de l'irrigation qui se consacrera
a
l'amenagement de 3ecteurs pilotes pl.us aet ivomorrt quta La preparation d"'etudes de baso . I'ou'tef o'i s , un aut.re 'expert travaillunt di.1.!'.s' 1e merne 'doma.ine "continue d'enqueter'sur'
lesp~ssibi"l:ites;
dfirTigatio'n exi s barrt dans "1'es "pro,tinc'es ceritrales
et
occidentales dU Tanganyika .. On;d~nne actuellement suite am: r-e o ommandu-bions f ormuf e os par l'bydrologue de la FAD t'ouchant la reorga.rt,isaiiion' du Ser'rice' hy:drolo'giqu'8 du Tanganyika", II' s t~'git surtout dt~ss;ur~~ ia forma- tion de t.e chni cie ns lOIJ£1.u:r,:'e"ti un COUTS de forma-tion auque I orrt pa r-ti c i.pe trente personnes a p'l e i.nemerrt rtius si , Lestrois:
meill eurs etudiants cnf "ben:eficie de bourse's 'de"- - - - ~_1-''''
E!CN.14!265 page 19
perfe ct i onnemenf grA:ce auxque Ll.e s ils e ompl et.e rorrt leur formation eux Etats-Unis. Un
hydrologue a~{ili~ire doit se joinere
a
l'hydro16gue principal avant 1a fin de 1'annee 1963.Ont egalement
eta
entrepris un cer~ain nambre de programmes ayant essentiellement pour but d 'augmenter In. production de denrees 'a11n'l.€at.aireso Un de c eux qui on't donne .les meilleurs ~esultats aate
executeau
Soudanau,
apreri sept annees de travail, troisagronomes de la
FAD,
specialistes de la culture du riz, ont selectionne deux varietes ameliorees de riz <lui s orrt rnn.intenant commundmerrb c'ti.ltivErcs; des experiences de Lutt e o orrt r e les parasites des cultures et dIame'ndemerrt, des terres ant et~ offe c t.ue e s dans Le but d'ameIiorer"encore la quaLit.e de La production. Le projet a donne de tels resultats que Le pays devrait b LerrbS't pouvoir suffirea
lui-mi\me dans ce domai ne et disposer ega- lement d "unexcedenta
:expdrter.Au Maroc,
la
production 'd'agrumes joue un r61e important dans l'economie, et les oranges aorrt 1"une des exportations pri.ncipaLe s du 'pays.' Le s deg/hs c'omnri s par les Lnsec't e's , surtout Le s ooce i.dds , nut sent c ons Lde rub.lemenfa
la quantit'e 'eta
La qualite des agrumes pradu'its par les arbres non prote'ges. Les moyens chimique's 'd'e Iutte o orrt r-e Le s insect'es nuisibles sorrt 'onereux et provoquent La de's't ruoti on de ri'ombreux parasites naturels des Lns e c't e s , 'cHant ainsi plus de pr'oblemes que les pulve risatd
ons ne permettent dten resoudre'\l" Su'rin
demande du gouve r-nemerrtj'un
ent'omol'ogist'o de la FAG a entrepris des recherchesnct.amment.
do:ns Le but dIetudier le~!pi1rasitesnatu re Ls dorrt souffrent lesinsecies qu.i s1o.ttaquent nux agrumes rriarocains,:'c'ornme aus si la'passlbilite de faire inter- veru r de nouveaux pa.rc.s i.b e s ; de C3 ge nr e ; C1es-t ;i1:i.hs'l.'· quti l et~aie:
la
~ise au point de methodes de producti'on massive de ceS parasites en laboTutoire, auxfi;'s de les disse- miner dans lesplantations, et l'essa'i a'insecticides 'qu'i pourraient &tre utilis~s de tempsa
autre et catiser'<i.ient Le moLns de dommago pos~ible aux parasites d~s inse~tes'...Ces travaux de r echer che ant an\~ne'Ie gouvernemenb
1..
construii-edes laboratoire~ experi- mentaux mode rrie sj :at ,k exeC'.lter"de' vu,'stes"-'pr~grammessur
'Ie ierrain~'.Les experts en mati
h.
ide ntitr:l.ti.on ' qui in<iui~te<l~ probleme des aericiences alime;'- taires dues'aux,'regimesa
teneurtr()p'~IeV~~'d'amidon, 'ont s()uv~nt constate quelesdCN, 14/ 265 page 20
legemes frais faisaient defaut ,daas certaines, .regions tres peupLe e s d'Afrique'~cc'identale, 11 importe egalement de, developper 1 ';horticul,ture locale ,afinde reduire les importations de legumes frai.s dans de nomb r e uae s -;v.illes de c~tte r,egion.. Ciest. pourquoi un horticul- teur a
ete
envoye en Qi~S~Da. e~ ~~dtI~~ en ~962; at charge dramenager des jardius maratchers aux environs de. La capitale. ot
,des airt r-es .grunde s vi Lf e s , On a ainai. procedea
des e s sai s sur place et pr.epare~es ja rd.ins de d~monstration, organise La formation de marafchers Lco aux , afin dtameliorel' les methodes de,culture,et introduit des varietes" .- . .
ameliorees de legumesCl .En Qutre) ()n a organis~ Ia vent~1 sur base cooperative des produits de qualite ncrme.l Ls e e , Bien que c e , projet ne soit pas encore t.e rmi ne , i l a deja donne d:E3
resultats fort prometteurs.
Ayant reconnu que ]' Afrique avai t besoin d ' une assistance particul iere en matiere d'enseignement et de formation~ la_Conferenc~ de, ~a FAO a apprduve,
a
sa ollzieme 'session," : ; ' "
.
un programme special d ' enseignement et de f ormat i.on. a grico l es ,ainsi .que des credits 'd' uri
. ! .. ,
morrt arrt de 800.000 dollars ~ cett e. fin, "pour la,periode, 1962-63. Ge programme' a'~ss,mtiel-
lement pour but dta.i.de r Le s pays a planifier, a renforcer ou It ore e r les institutions p~r
manentes dont ils ont besoin pour assurer 1a fOl'l1)ation efficaoe du personnel detoutes les categories dans chacun des domaines specialises de l'agticulture et de la production de
denr~es
alimentaires.U~
autre' obje ct Lf moins important, mu.is quia fait l'objet dtuns attentionparti~uliere
pendantla periodebiennale;1962~6J,a
ete d'aider asatisfaire les bosoins immediats de personnel. en organisant~ . '. ..de. s cours de fonnation de breve dur de ,En janvier 1962, on a cree ,Ie Bur~au ,d'enseignement etde formation agricoles pour l'Afrique, charge de'm e n er
h
bien Ie. pr?gramme.qu~,
L aCq~fereJ.1-Ce
a a p p z - o u v e, Jusqutic{, on anomme .
dans differentes sOlls-regions du continent. si x conseillers .en ma'ti e r-e- dIenseighem;ent agricole
general,
'lui aident les paysu
p'Lani fi er- .eta
ame l d o r-e riLe s institutions agri"':'coles et les programmes de r ormatLon, Des c onsuk t.ant.s en matiere dtenseignement agricole ont ete 'adjdints aux missions de l'UNESCO e10 de l '0lT, qui s Joc cuparrt respectivement de La p1anification de I' ens e i.gneme nt. 0,10 ,d'enqu~te= sur la main~dt oeuvre. On a fourni ega- lement les services de nombreux cons e i.Ll.e r s en matiere, at ens eLgnement, qui travaiilent
',' ,"
dans les domaines speoialises de In nutrition et de l'agrioulture, On a organise des cours
•
,"
E!C1T·14i265 J:rlge
zi
de formation de b~2YO duree et dss c~l~les drGt~lde
de parsonnel i1C~~.i71istrQ,·~~·_f e-c, CL~.'-.:':',~~:"'8,::-·!j
t
ravaiLj rint a.t1::J3 ::"8 SQc~e1.~T o.zricolgj il s I ngis-sait. die'ncQurage:r l'e~c1~'lba lles rr~.,,·6~J~(.;ues COTJjU~S a d ive r.i 1':;']8, e-0 de :ft\~iliter In coo- peration regicr..n.lo en. ce 'lci ccncer-no La 'creation et llu-cil'l-~llt'io~lde s o rvi.ces d1ensei- gnemerrt ag r i.c c.l e ~~~=!~ri0~r,
Ell cut r e~ on a :)Q'UI'3iJi.'7i:.Ie~:e':1~tio:1 de p::-ojetn dIeI~seibT.LOment e-:, de r:orr.1uf,iQ!) au titre du Prog:;:G,7f.~lC S:;.:),:'IT.-'_c Cie:rt a insi (.:...u 'au debut de }5 53, \I.V. eX:~)3.c"t O!lrrit'1t-iore dfenaei- gnsmerrtca
L.q, FAD [L 6g~:..lem8-n:t' fc~:::."r..-i·toU't son apPli aux cenires de ·:foT:r.!'I.:~ion de pe rs onrte L local d'executio:1 ~u:' 3>3 te::,::,:],ir.> C~e~rt ai:'};.:i qul'un oxperf d'e 10. F.AO en matie:r"e de vulga'risation agricol·€ a 'e'E-5 8.c.j';)~.p-:~ au ccn-t2.'e '(~9' 'formation,de 1 'ASFEC, cree a Sirs-·e'J;-1o.yYan',
'pres
duDepuis 1962? l 10.If; . ;~':et U!:8 6r~'-li:p8. de" trois, experts
a
~_a di.s posi tion du .Gcuve rnemerrt de Madagi1EcaJ::J pO·..l: dOl:"!::9:'a
o e.LuLe-o L des conseils t.oucharrt tOU.3 Le s pr obl smes qui. se pose~.t,~n.
.pl"G-s au: IT\'1i:ls ,breve 0che-?~10e,) dans Lo .damnine de 10. co opo ra.t.t on , Le chef de 1 fequipe1 qui exer co (l:'~r:T8G du G:01.lv~!',nen~ent les f onc'ti cns de c ons eil Lo r aep.6.ro.l 8I\ matiere...~'. '',-"
de icoQ;perat.ioPi ,~ PQ.~t~~,ci;pG fl, In. :pr6rarn.~ion dtuno :egisJat.ion suz- les cqoperat:iv~s et it La mise a~ point ,dll1 r_.c poli-0ique. de credit, f'avc rab.l e au mouvement. coo.pera:t:eur,'l: Un autre
, ~
.
co ope r-a ..l.ves, 11
effectue
une etude cOm?~et0 ~eE p~o~~2mcs qui s~ po~ent da~s ce domaine; at n instit~6 u~.systeme
de c ompt ab i.Li.t.e 2u~q,:;Jt"U n~).:': c or.dit i ono locales. II 0. pris :!lu:rt
a
In r-eorg:1nisatiqn. dIun~rand nombr-e de (Joo:pC:':.~Q,-t,ives: eI. it La forrnc-tton dl adm i.n'i so r-ateurs et de c omp't a.hl.es; Le 'J:;"!~:1].:is("~ , ' h tous les, .e~halons,I les ac:,ivites de formation" .
Le Ie
gouve:'.r..·-:-~;ie:':~. L :.:.: L", , :.,.-1,:.0~2
,
devolo~~)IJrr.G-:':~ c.: -: ... :-,:-':::..-: :',:'} ' j "
3ur lui danE se3. Rffort$ PQu~;assurer