Mathématiques TermS
2018-2019
Exerie2
Exerie3
1) Montrer que la fontion h
(
x) =
f(
x) ×
f( −
x)
est une onstante et que ette onstante est 1.
La fontion h estdérivable sur
R
omme produit de fontionsdérivables et
h
′ (
x) =
(f(
x)) ′
f( −
x) +
f(
x)(
f( −
x)) ′ =
Exerie2
Exerie3
1) Montrer que la fontion h
(
x) =
f(
x) ×
f( −
x)
est une onstante et que ette onstante est 1.
La fontion h estdérivable sur
R
omme produit de fontionsdérivables et
h
′ (
x) =
(f(
x)) ′
f( −
x) +
f(
x)(
f( −
x)) ′ =
f
(
x)
f( −
x) −
f(
x)
f( −
x) =
Exerie2
Exerie3
1) Montrer que la fontion h
(
x) =
f(
x) ×
f( −
x)
est une onstante et que ette onstante est 1.
La fontion h estdérivable sur
R
omme produit de fontionsdérivables et
h
′ (
x) =
(f(
x)) ′
f( −
x) +
f(
x)(
f( −
x)) ′ =
f
(
x)
f( −
x) −
f(
x)
f( −
x) =
0Exerie2
Exerie3
1) Montrer que la fontion h
(
x) =
f(
x) ×
f( −
x)
est une onstante et que ette onstante est 1.
La fontion h estdérivable sur
R
omme produit de fontionsdérivables et
h
′ (
x) =
(f(
x)) ′
f( −
x) +
f(
x)(
f( −
x)) ′ =
f
(
x)
f( −
x) −
f(
x)
f( −
x) =
0Si h a unedérivée nulle sur
R
alorsh estune fontiononstante.
Exerie2
Exerie3
1) Montrer que la fontion h
(
x) =
f(
x) ×
f( −
x)
est une onstante et que ette onstante est 1.
La fontion h estdérivable sur
R
omme produit de fontionsdérivables et
h
′ (
x) =
(f(
x)) ′
f( −
x) +
f(
x)(
f( −
x)) ′ =
f
(
x)
f( −
x) −
f(
x)
f( −
x) =
0Si h a unedérivée nulle sur
R
alorsh estune fontiononstante.
Or h
(
0) =
f(
0)
f(
0) =
1;
Exerie2
Exerie3
1) Montrer que la fontion h
(
x) =
f(
x) ×
f( −
x)
est une onstante et que ette onstante est 1.
La fontion h estdérivable sur
R
omme produit de fontionsdérivables et
h
′ (
x) =
(f(
x)) ′
f( −
x) +
f(
x)(
f( −
x)) ′ =
f
(
x)
f( −
x) −
f(
x)
f( −
x) =
0Si h a unedérivée nulle sur
R
alorsh estune fontiononstante.
Or h
(
0) =
f(
0)
f(
0) =
1;
on en déduit que,pourtout x réel,( ) = ,
Exerie2
Exerie3
1) Montrer que la fontion h
(
x) =
f(
x) ×
f( −
x)
est une onstante et que ette onstante est 1.
La fontion h estdérivable sur
R
omme produit de fontionsdérivables et
h
′ (
x) =
(f(
x)) ′
f( −
x) +
f(
x)(
f( −
x)) ′ =
f
(
x)
f( −
x) −
f(
x)
f( −
x) =
0Si h a unedérivée nulle sur
R
alorsh estune fontiononstante.
Or h
(
0) =
f(
0)
f(
0) =
1;
on en déduit que,pourtout x réel,( ) = ,
Exerie2
Exerie3
1) Montrer que la fontion h
(
x) =
f(
x) ×
f( −
x)
est une onstante et que ette onstante est 1.
La fontion h estdérivable sur
R
omme produit de fontionsdérivables et
h
′ (
x) =
(f(
x)) ′
f( −
x) +
f(
x)(
f( −
x)) ′ =
f
(
x)
f( −
x) −
f(
x)
f( −
x) =
0Si h a unedérivée nulle sur
R
alorsh estune fontiononstante.
Or h
(
0) =
f(
0)
f(
0) =
1;
on en déduit que,pourtout x réel,( ) = ,
Exerie2
Exerie3
2)
φ (
x) =
f(
x)
g
(
x)
Mq f=
gExerie2
Exerie3
2)
φ (
x) =
f(
x)
g
(
x)
Mq f=
gLes fontions f et g sont des fontions dérivables sur
R
telleque : f
′ =
f et f(
0) =
1,g′ =
g et g(
0) =
1.Exerie2
Exerie3
2)
φ (
x) =
f(
x)
g
(
x)
Mq f=
gLes fontions f et g sont des fontions dérivables sur
R
telleque : f
′ =
f et f(
0) =
1,g′ =
g et g(
0) =
1.La fontion
φ
estbien dénie et dérivable surR
ar g(
x) 6 =
0pour tout x d'après 1).
Exerie2
Exerie3
2)
φ (
x) =
f(
x)
g
(
x)
Mq f=
gLes fontions f et g sont des fontions dérivables sur
R
telleque : f
′ =
f et f(
0) =
1,g′ =
g et g(
0) =
1.La fontion
φ
estbien dénie et dérivable surR
ar g(
x) 6 =
0pour tout x d'après 1).
Alors
(φ(
x)) ′ =
Exerie2
Exerie3
2)
φ (
x) =
f(
x)
g
(
x)
Mq f=
gLes fontions f et g sont des fontions dérivables sur
R
telleque : f
′ =
f et f(
0) =
1,g′ =
g et g(
0) =
1.La fontion
φ
estbien dénie et dérivable surR
ar g(
x) 6 =
0pour tout x d'après 1).
Alors
(φ(
x)) ′ =
f′ (
x)
g(
x) −
f(
x)
g′ (
x)
(
g(
x))
2Exerie2
Exerie3
2)
φ (
x) =
f(
x)
g
(
x)
Mq f=
gLes fontions f et g sont des fontions dérivables sur
R
telleque : f
′ =
f et f(
0) =
1,g′ =
g et g(
0) =
1.La fontion
φ
estbien dénie et dérivable surR
ar g(
x) 6 =
0pour tout x d'après 1).
Alors
(φ(
x)) ′ =
f′ (
x)
g(
x) −
f(
x)
g′ (
x)
(
g(
x))
2=
f(
x)
g(
x) −
f(
x)
g(
x)
(
g(
x))
2=
Exerie2
Exerie3
2)
φ (
x) =
f(
x)
g
(
x)
Mq f=
gLes fontions f et g sont des fontions dérivables sur
R
telleque : f
′ =
f et f(
0) =
1,g′ =
g et g(
0) =
1.La fontion
φ
estbien dénie et dérivable surR
ar g(
x) 6 =
0pour tout x d'après 1).
Alors
(φ(
x)) ′ =
f′ (
x)
g(
x) −
f(
x)
g′ (
x)
(
g(
x))
2=
f(
x)
g(
x) −
f(
x)
g(
x)
(
g(
x))
2=
0Exerie2
Exerie3
2)
φ (
x) =
f(
x)
g
(
x)
Mq f=
gLes fontions f et g sont des fontions dérivables sur
R
telleque : f
′ =
f et f(
0) =
1,g′ =
g et g(
0) =
1.La fontion
φ
estbien dénie et dérivable surR
ar g(
x) 6 =
0pour tout x d'après 1).
Alors
(φ(
x)) ′ =
f′ (
x)
g(
x) −
f(
x)
g′ (
x)
(
g(
x))
2=
f(
x)
g(
x) −
f(
x)
g(
x) (
g(
x))
2=
0La fontion
φ
dedérivée nulle estdon onstante surR
etφ( ) =
Exerie2
Exerie3
2)
φ (
x) =
f(
x)
g
(
x)
Mq f=
gLes fontions f et g sont des fontions dérivables sur
R
telleque : f
′ =
f et f(
0) =
1,g′ =
g et g(
0) =
1.La fontion
φ
estbien dénie et dérivable surR
ar g(
x) 6 =
0pour tout x d'après 1).
Alors
(φ(
x)) ′ =
f′ (
x)
g(
x) −
f(
x)
g′ (
x)
(
g(
x))
2=
f(
x)
g(
x) −
f(
x)
g(
x) (
g(
x))
2=
0La fontion
φ
dedérivée nulle estdon onstante surR
etφ( ) = φ( ) =
Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
On onsidère la fontion g dénie sur
[
0; + ∞ [
parg
(
x) =
ex−
x−
1.
1. Étudier les variations de la fontion g.
Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
On onsidère la fontion g dénie sur
[
0; + ∞ [
parg
(
x) =
ex−
x−
1.
1. Étudier les variations de la fontion g.
g somme de fontionsdérivables sur
[
0; + ∞ [
estdérivable etsur et intervalle:
Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
On onsidère la fontion g dénie sur
[
0; + ∞ [
parg
(
x) =
ex−
x−
1.
1. Étudier les variations de la fontion g.
g somme de fontionsdérivables sur
[
0; + ∞ [
estdérivable etsur et intervalle:
g
′ (
x) =
Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
On onsidère la fontion g dénie sur
[
0; + ∞ [
parg
(
x) =
ex−
x−
1.
1. Étudier les variations de la fontion g.
g somme de fontionsdérivables sur
[
0; + ∞ [
estdérivable etsur et intervalle:
g
′ (
x) =
ex−
1.Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
On onsidère la fontion g dénie sur
[
0; + ∞ [
parg
(
x) =
ex−
x−
1.
1. Étudier les variations de la fontion g.
g somme de fontionsdérivables sur
[
0; + ∞ [
estdérivable etsur et intervalle:
g
′ (
x) =
ex−
1.g
′ (
0) =
0Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
On onsidère la fontion g dénie sur
[
0; + ∞ [
parg
(
x) =
ex−
x−
1.
1. Étudier les variations de la fontion g.
g somme de fontionsdérivables sur
[
0; + ∞ [
estdérivable etsur et intervalle:
g
′ (
x) =
ex−
1.g
′ (
0) =
0et pourtout réelx∈ [
0; + ∞ [,
g′ (
x) >
0parstriteroissane de lafontion exponentielle (x
>
0⇒
ex>
e0>
1).Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
On onsidère la fontion g dénie sur
[
0; + ∞ [
parg
(
x) =
ex−
x−
1.
1. Étudier les variations de la fontion g.
g somme de fontionsdérivables sur
[
0; + ∞ [
estdérivable etsur et intervalle:
g
′ (
x) =
ex−
1.g
′ (
0) =
0et pourtout réelx∈ [
0; + ∞ [,
g′ (
x) >
0parstriteroissane de lafontion exponentielle (x
>
0⇒
ex>
e0>
1).Conlusion : g
′ (
x) >
0sur[
0; + ∞ [
,Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
On onsidère la fontion g dénie sur
[
0; + ∞ [
parg
(
x) =
ex−
x−
1.
1. Étudier les variations de la fontion g.
g somme de fontionsdérivables sur
[
0; + ∞ [
estdérivable etsur et intervalle:
g
′ (
x) =
ex−
1.g
′ (
0) =
0et pourtout réelx∈ [
0; + ∞ [,
g′ (
x) >
0parstriteroissane de lafontion exponentielle (x
>
0⇒
ex>
e0>
1).Conlusion : g
′ (
x) >
0sur[
0; + ∞ [
,la dérivée nes'annulantqu'en 0 donlafontion g est stritement roissante sur et
Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
2. Déterminer le signe de g
(
x)
suivant les valeurs de x.On a g
(
0) =
1−
0−
1=
0.Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
2. Déterminer le signe de g
(
x)
suivant les valeurs de x.On a g
(
0) =
1−
0−
1=
0.La fontion étant stritement roissante sur
[
0; + ∞ [
, ona,quel que soit x
,
g(
x) >
g(
0)
,don g(
x) >
0.Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
2. Déterminer le signe de g
(
x)
suivant les valeurs de x.On a g
(
0) =
1−
0−
1=
0.La fontion étant stritement roissante sur
[
0; + ∞ [
, ona,quel que soit x
,
g(
x) >
g(
0)
,don g(
x) >
0.3. En déduire que pour tout x de
[
0; + ∞ [,
ex−
x>
0.Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
2. Déterminer le signe de g
(
x)
suivant les valeurs de x.On a g
(
0) =
1−
0−
1=
0.La fontion étant stritement roissante sur
[
0; + ∞ [
, ona,quel que soit x
,
g(
x) >
g(
0)
,don g(
x) >
0.3. En déduire que pour tout x de
[
0; + ∞ [,
ex−
x>
0.On vient de démontrer quepourtout réelde l'intervalle
[
0; + ∞ [,
Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
2. Déterminer le signe de g
(
x)
suivant les valeurs de x.On a g
(
0) =
1−
0−
1=
0.La fontion étant stritement roissante sur
[
0; + ∞ [
, ona,quel que soit x
,
g(
x) >
g(
0)
,don g(
x) >
0.3. En déduire que pour tout x de
[
0; + ∞ [,
ex−
x>
0.On vient de démontrer quepourtout réelde l'intervalle
[
0; + ∞ [,
g
(
x) >
0Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
2. Déterminer le signe de g
(
x)
suivant les valeurs de x.On a g
(
0) =
1−
0−
1=
0.La fontion étant stritement roissante sur
[
0; + ∞ [
, ona,quel que soit x
,
g(
x) >
g(
0)
,don g(
x) >
0.3. En déduire que pour tout x de
[
0; + ∞ [,
ex−
x>
0.On vient de démontrer quepourtout réelde l'intervalle
[
0; + ∞ [,
g
(
x) >
0⇐⇒
ex−
x−
1>
0Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
2. Déterminer le signe de g
(
x)
suivant les valeurs de x.On a g
(
0) =
1−
0−
1=
0.La fontion étant stritement roissante sur
[
0; + ∞ [
, ona,quel que soit x
,
g(
x) >
g(
0)
,don g(
x) >
0.3. En déduire que pour tout x de
[
0; + ∞ [,
ex−
x>
0.On vient de démontrer quepourtout réelde l'intervalle
[
0; + ∞ [,
g
(
x) >
0⇐⇒
ex−
x−
1>
0⇐⇒
ex−
x>
1.Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
On onsidère la fontion f dénie sur [0; 1℄ par
f
(
x) =
ex
−
1e x
−
x.
On admet que f est stritement roissante sur [0; 1℄.
1. Montrer que pour tout x de [0; 1℄, f
(
x) ∈ [
0;
1]
.Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
On onsidère la fontion f dénie sur [0; 1℄ par
f
(
x) =
ex
−
1e x
−
x.
On admet que f est stritement roissante sur [0; 1℄.
1. Montrer que pour tout x de [0; 1℄, f
(
x) ∈ [
0;
1]
.On a f
(
0) =
Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
On onsidère la fontion f dénie sur [0; 1℄ par
f
(
x) =
ex
−
1e x
−
x.
On admet que f est stritement roissante sur [0; 1℄.
1. Montrer que pour tout x de [0; 1℄, f
(
x) ∈ [
0;
1]
.On a f
(
0) =
1−
11
=
Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
On onsidère la fontion f dénie sur [0; 1℄ par
f
(
x) =
ex
−
1e x
−
x.
On admet que f est stritement roissante sur [0; 1℄.
1. Montrer que pour tout x de [0; 1℄, f
(
x) ∈ [
0;
1]
.On a f
(
0) =
1−
11
=
0et f(
1) =
Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
On onsidère la fontion f dénie sur [0; 1℄ par
f
(
x) =
ex
−
1e x
−
x.
On admet que f est stritement roissante sur [0; 1℄.
1. Montrer que pour tout x de [0; 1℄, f
(
x) ∈ [
0;
1]
.On a f
(
0) =
1−
11
=
0et f(
1) =
e−
1e
−
1=
Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
On onsidère la fontion f dénie sur [0; 1℄ par
f
(
x) =
ex
−
1e x
−
x.
On admet que f est stritement roissante sur [0; 1℄.
1. Montrer que pour tout x de [0; 1℄, f
(
x) ∈ [
0;
1]
.On a f
(
0) =
1−
11
=
0et f(
1) =
e−
1e
−
1=
1.Comme lafontion f estroissante sur[0; 1℄,0
6
x6
1⇒
Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
On onsidère la fontion f dénie sur [0; 1℄ par
f
(
x) =
ex
−
1e x
−
x.
On admet que f est stritement roissante sur [0; 1℄.
1. Montrer que pour tout x de [0; 1℄, f
(
x) ∈ [
0;
1]
.On a f
(
0) =
1−
11
=
0et f(
1) =
e−
1e
−
1=
1.Comme lafontion f estroissante sur[0; 1℄,0
6
x6
1⇒
f
(
0) 6
f(
x) 6
f(
1) ⇐⇒
Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
On onsidère la fontion f dénie sur [0; 1℄ par
f
(
x) =
ex
−
1e x
−
x.
On admet que f est stritement roissante sur [0; 1℄.
1. Montrer que pour tout x de [0; 1℄, f
(
x) ∈ [
0;
1]
.On a f
(
0) =
1−
11
=
0et f(
1) =
e−
1e
−
1=
1.Comme lafontion f estroissante sur[0; 1℄,0
6
x6
1⇒
f
(
0) 6
f(
x) 6
f(
1) ⇐⇒
06
f(
x) 6
1.Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
2. Soit (D) la droite d'équation y
=
x.a. Montrer que pour tout x de [0; 1℄,
f
(
x) −
x= (
1−
x)
g(
x)
e
x
−
x .Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
2. Soit (D) la droite d'équation y
=
x.a. Montrer que pour tout x de [0; 1℄,
f
(
x) −
x= (
1−
x)
g(
x)
e
x
−
x .f
(
x) −
x=
Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
2. Soit (D) la droite d'équation y
=
x.a. Montrer que pour tout x de [0; 1℄,
f
(
x) −
x= (
1−
x)
g(
x)
e
x
−
x .f
(
x) −
x=
ex
−
1e
x
−
x−
x=
Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
2. Soit (D) la droite d'équation y
=
x.a. Montrer que pour tout x de [0; 1℄,
f
(
x) −
x= (
1−
x)
g(
x)
e
x
−
x .f
(
x) −
x=
ex
−
1e
x
−
x−
x=
ex
−
1−
xex+
x2e
x
−
x=
Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
2. Soit (D) la droite d'équation y
=
x.a. Montrer que pour tout x de [0; 1℄,
f
(
x) −
x= (
1−
x)
g(
x)
e
x
−
x .f
(
x) −
x=
ex
−
1e
x
−
x−
x=
ex
−
1−
xex+
x2e
x
−
x=
e
x
(
1−
x) +
x2−
1e
x
−
x=
Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
2. Soit (D) la droite d'équation y
=
x.a. Montrer que pour tout x de [0; 1℄,
f
(
x) −
x= (
1−
x)
g(
x)
e
x
−
x .f
(
x) −
x=
ex
−
1e
x
−
x−
x=
ex
−
1−
xex+
x2e
x
−
x=
e
x
(
1−
x) +
x2−
1e
x
−
x=
e
x
(
1−
x) + (
x+
1)(
x−
1)
e
x
−
x=
Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
2. Soit (D) la droite d'équation y
=
x.a. Montrer que pour tout x de [0; 1℄,
f
(
x) −
x= (
1−
x)
g(
x)
e
x
−
x .f
(
x) −
x=
ex
−
1e
x
−
x−
x=
ex
−
1−
xex+
x2e
x
−
x=
e
x
(
1−
x) +
x2−
1e
x
−
x=
e
x
(
1−
x) + (
x+
1)(
x−
1)
e
x
−
x=
ex
(
1−
x) − (
x+
1)(
1−
x)
e
x
−
x=
Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
2. Soit (D) la droite d'équation y
=
x.a. Montrer que pour tout x de [0; 1℄,
f
(
x) −
x= (
1−
x)
g(
x)
e
x
−
x .f
(
x) −
x=
ex
−
1e
x
−
x−
x=
ex
−
1−
xex+
x2e
x
−
x=
e
x
(
1−
x) +
x2−
1e
x
−
x=
e
x
(
1−
x) + (
x+
1)(
x−
1)
e
x
−
x=
ex
(
1−
x) − (
x+
1)(
1−
x)
e
x
−
x=
(
1−
x) (
ex−
x−
1)
=
Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
2. Soit (D) la droite d'équation y
=
x.a. Montrer que pour tout x de [0; 1℄,
f
(
x) −
x= (
1−
x)
g(
x)
e
x
−
x .f
(
x) −
x=
ex
−
1e
x
−
x−
x=
ex
−
1−
xex+
x2e
x
−
x=
e
x
(
1−
x) +
x2−
1e
x
−
x=
e
x
(
1−
x) + (
x+
1)(
x−
1)
e
x
−
x=
ex
(
1−
x) − (
x+
1)(
1−
x)
e
x
−
x=
(
1−
x) (
ex−
x−
1)
= (
1−
x)
g(
x)
Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
b. Étudier la position relative de la droite (D) et de la
ourbe
( C )
sur [0; 1℄.La positionrelative de ladroite (D) et de laourbe
( C )
sur[0; 1℄ estdonnée par lesigne de ladiérene préédente :
f
(
x) −
x.Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
b. Étudier la position relative de la droite (D) et de la
ourbe
( C )
sur [0; 1℄.La positionrelative de ladroite (D) et de laourbe
( C )
sur[0; 1℄ estdonnée par lesigne de ladiérene préédente :
f
(
x) −
x.Or on a vu sur [0; 1℄, g
(
x) >
0et ex−
x>
1>
0.Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
b. Étudier la position relative de la droite (D) et de la
ourbe
( C )
sur [0; 1℄.La positionrelative de ladroite (D) et de laourbe
( C )
sur[0; 1℄ estdonnée par lesigne de ladiérene préédente :
f
(
x) −
x.Or on a vu sur [0; 1℄, g
(
x) >
0et ex−
x>
1>
0.Comme deplus 1
−
x>
0, tousles termes du quotient sont positifs,Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
b. Étudier la position relative de la droite (D) et de la
ourbe
( C )
sur [0; 1℄.La positionrelative de ladroite (D) et de laourbe
( C )
sur[0; 1℄ estdonnée par lesigne de ladiérene préédente :
f
(
x) −
x.Or on a vu sur [0; 1℄, g
(
x) >
0et ex−
x>
1>
0.Comme deplus 1
−
x>
0, tousles termes du quotient sont positifs,donf
(
x) −
x>
0,Exerie2
Exerie3
PartieA:
PartieB:
b. Étudier la position relative de la droite (D) et de la
ourbe
( C )
sur [0; 1℄.La positionrelative de ladroite (D) et de laourbe
( C )
sur[0; 1℄ estdonnée par lesigne de ladiérene préédente :
f
(
x) −
x.Or on a vu sur [0; 1℄, g
(
x) >
0et ex−
x>
1>
0.Comme deplus 1
−
x>
0, tousles termes du quotient sont positifs,donf
(
x) −
x>
0,e qui signieque laourbe( C )
est au dessusde la droite(D).
Exerie1
Exerie2
Exerie3
Question2
Question3
Question4
Soient A
(
2−
5i)
et B(
7−
3i)
. Proposition 1 : Le triangle OAB est retangle isoèle.Exerie1
Exerie2
Exerie3
Question2
Question3
Question4
Soient A
(
2−
5i)
et B(
7−
3i)
. Proposition 1 : Le triangle OAB est retangle isoèle.Méthode 1 :
Exerie1
Exerie2
Exerie3
Question2
Question3
Question4
Soient A
(
2−
5i)
et B(
7−
3i)
. Proposition 1 : Le triangle OAB est retangle isoèle.Méthode 1 :
OA
2
= |
zA|
2=
22+
52=
29;Exerie1
Exerie2
Exerie3
Question2
Question3
Question4
Soient A
(
2−
5i)
et B(
7−
3i)
. Proposition 1 : Le triangle OAB est retangle isoèle.Méthode 1 :
OA
2
= |
zA|
2=
22+
52=
29;AB
2
= |
zB−
zA|
2= |
7−
3i−
2+
5i|
2=
|
5+
2i|
2=
25+
4=
29;Exerie1
Exerie2
Exerie3
Question2
Question3
Question4
Soient A
(
2−
5i)
et B(
7−
3i)
. Proposition 1 : Le triangle OAB est retangle isoèle.Méthode 1 :
OA
2
= |
zA|
2=
22+
52=
29;AB
2
= |
zB−
zA|
2= |
7−
3i−
2+
5i|
2=
|
5+
2i|
2=
25+
4=
29;OB
2
= |
zB|
2= |
7−
3i|
2=
72+
32=
49
+
9=
58.Exerie1
Exerie2
Exerie3
Question2
Question3
Question4
Soient A
(
2−
5i)
et B(
7−
3i)
. Proposition 1 : Le triangle OAB est retangle isoèle.Méthode 1 :
OA
2
= |
zA|
2=
22+
52=
29;AB
2
= |
zB−
zA|
2= |
7−
3i−
2+
5i|
2=
|
5+
2i|
2=
25+
4=
29;OB
2
= |
zB|
2= |
7−
3i|
2=
72+
32=
49
+
9=
58.D'une part AO
2
=
AB2⇐⇒
AO=
AB
⇐⇒
ABO estisoèle enA;Exerie1
Exerie2
Exerie3
Question2
Question3
Question4
Soient A
(
2−
5i)
et B(
7−
3i)
. Proposition 1 : Le triangle OAB est retangle isoèle.Méthode 1 :
OA
2
= |
zA|
2=
22+
52=
29;AB
2
= |
zB−
zA|
2= |
7−
3i−
2+
5i|
2=
|
5+
2i|
2=
25+
4=
29;OB
2
= |
zB|
2= |
7−
3i|
2=
72+
32=
49
+
9=
58.D'une part AO
2
=
AB2⇐⇒
AO=
AB
⇐⇒
ABO estisoèle enA;+ = ⇐⇒
Exerie1
Exerie2
Exerie3
Question2
Question3
Question4
Soient A
(
2−
5i)
et B(
7−
3i)
. Proposition 1 : Le triangle OAB est retangle isoèle.Méthode 1 :
OA
2
= |
zA|
2=
22+
52=
29;AB
2
= |
zB−
zA|
2= |
7−
3i−
2+
5i|
2=
|
5+
2i|
2=
25+
4=
29;OB
2
= |
zB|
2= |
7−
3i|
2=
72+
32=
49
+
9=
58.D'une part AO
2
=
AB2⇐⇒
AO=
AB
⇐⇒
ABO estisoèle enA;+ = ⇐⇒
2 4 6
−
2−
4b b b
O
B
Exerie1
Exerie2
Exerie3
Question2
Question3
Question4
Soient A
(
2−
5i)
et B(
7−
3i)
. Proposition 1 : Le triangle OAB est retangle isoèle.Méthode 2 :
Soit Z
=
zO−
zAz
B
−
zA=
Exerie1
Exerie2
Exerie3
Question2
Question3
Question4
Soient A
(
2−
5i)
et B(
7−
3i)
. Proposition 1 : Le triangle OAB est retangle isoèle.Méthode 2 :
Soit Z
=
zO−
zAz
B
−
zA= −
2+
5i5
+
2i=
Exerie1
Exerie2
Exerie3
Question2
Question3
Question4
Soient A
(
2−
5i)
et B(
7−
3i)
. Proposition 1 : Le triangle OAB est retangle isoèle.Méthode 2 :
Soit Z
=
zO−
zAz
B
−
zA= −
2+
5i5
+
2i=
i(
2i+
5)
2i
+
5=
Exerie1
Exerie2
Exerie3
Question2
Question3
Question4
Soient A
(
2−
5i)
et B(
7−
3i)
. Proposition 1 : Le triangle OAB est retangle isoèle.Méthode 2 :
Soit Z
=
zO−
zAz
B
−
zA= −
2+
5i5
+
2i=
i(
2i+
5)
2i
+
5=
i.On a
|
Z| =
Exerie1
Exerie2
Exerie3
Question2
Question3
Question4
Soient A
(
2−
5i)
et B(
7−
3i)
. Proposition 1 : Le triangle OAB est retangle isoèle.Méthode 2 :
Soit Z
=
zO−
zAz
B
−
zA= −
2+
5i5
+
2i=
i(
2i+
5)
2i
+
5=
i.On a
|
Z| =
AOAB
=
Exerie1
Exerie2
Exerie3
Question2
Question3
Question4
Soient A
(
2−
5i)
et B(
7−
3i)
. Proposition 1 : Le triangle OAB est retangle isoèle.Méthode 2 :
Soit Z
=
zO−
zAz
B
−
zA= −
2+
5i5
+
2i=
i(
2i+
5)
2i
+
5=
i.On a
|
Z| =
AOAB
=
1, soit AO =AB;Exerie1
Exerie2
Exerie3
Question2
Question3
Question4
Soient A
(
2−
5i)
et B(
7−
3i)
. Proposition 1 : Le triangle OAB est retangle isoèle.Méthode 2 :
Soit Z
=
zO−
zAz
B
−
zA= −
2+
5i5
+
2i=
i(
2i+
5)
2i
+
5=
i.On a
|
Z| =
AOAB
=
1, soit AO =AB;De plusarg
(
Z) =
Exerie1
Exerie2
Exerie3
Question2
Question3
Question4
Soient A
(
2−
5i)
et B(
7−
3i)
. Proposition 1 : Le triangle OAB est retangle isoèle.Méthode 2 :
Soit Z
=
zO−
zAz
B
−
zA= −
2+
5i5
+
2i=
i(
2i+
5)
2i
+
5=
i.On a
|
Z| =
AOAB
=
1, soit AO =AB;De plusarg
(
Z) = −−→
AB
, −−→
AO
= π
2
Exerie1
Exerie2
Exerie3
Question2
Question3
Question4
Soient A
(
2−
5i)
et B(
7−
3i)
. Proposition 1 : Le triangle OAB est retangle isoèle.Méthode 2 :
Soit Z
=
zO−
zAz
B
−
zA= −
2+
5i5
+
2i=
i(
2i+
5)
2i
+
5=
i.On a
|
Z| =
AOAB
=
1, soit AO =AB;De plusarg
(
Z) = −−→
AB
, −−→
AO
= π
2
e qui montre quel'angle
[
Exerie1
Exerie2
Exerie3
Question2
Question3
Question4
Soient A
(
2−
5i)
et B(
7−
3i)
. Proposition 1 : Le triangle OAB est retangle isoèle.Méthode 2 :
Soit Z
=
zO−
zAz
B
−
zA= −
2+
5i5
+
2i=
i(
2i+
5)
2i
+
5=
i.On a
|
Z| =
AOAB
=
1, soit AO =AB;De plusarg
(
Z) = −−→
AB
, −−→
AO
= π
2
e qui montre quel'angle
[
Exerie1
Exerie2
Exerie3
Question2
Question3
Question4
Soit
(∆)
l'ensemble des points M d'axe z telleque
|
z−
i| = |
z+
2i|
.Proposition 2 :
(∆)
est une droite parallèle àl'axe des réels.
Exerie1
Exerie2
Exerie3
Question2
Question3
Question4
Soit
(∆)
l'ensemble des points M d'axe z telleque
|
z−
i| = |
z+
2i|
.Proposition 2 :
(∆)
est une droite parallèle àl'axe des réels.
Soient A et Bles points d'axes respetives i et
−
2i.Exerie1
Exerie2
Exerie3
Question2
Question3
Question4
Soit
(∆)
l'ensemble des points M d'axe z telleque
|
z−
i| = |
z+
2i|
.Proposition 2 :
(∆)
est une droite parallèle àl'axe des réels.
Soient A et Bles points d'axes respetives i et
−
2i.On a
|
z−
i| = |
z+
2i| ⇐⇒
Exerie1
Exerie2
Exerie3
Question2
Question3
Question4
Soit
(∆)
l'ensemble des points M d'axe z telleque
|
z−
i| = |
z+
2i|
.Proposition 2 :
(∆)
est une droite parallèle àl'axe des réels.
Soient A et Bles points d'axes respetives i et
−
2i.On a
|
z−
i| = |
z+
2i| ⇐⇒
AM =BM⇐⇒
Exerie1
Exerie2
Exerie3
Question2
Question3
Question4
Soit
(∆)
l'ensemble des points M d'axe z telleque
|
z−
i| = |
z+
2i|
.Proposition 2 :
(∆)
est une droite parallèle àl'axe des réels.
Soient A et Bles points d'axes respetives i et
−
2i.On a
|
z−
i| = |
z+
2i| ⇐⇒
AM =BM⇐⇒
M∈ ∆
Exerie1
Exerie2
Exerie3
Question2
Question3
Question4
Soit
(∆)
l'ensemble des points M d'axe z telleque
|
z−
i| = |
z+
2i|
.Proposition 2 :
(∆)
est une droite parallèle àl'axe des réels.
Soient A et Bles points d'axes respetives i et
−
2i.On a
|
z−
i| = |
z+
2i| ⇐⇒
AM =BM⇐⇒
M∈ ∆
médiatrie de[AB℄.
Exerie1
Exerie2
Exerie3
Question2
Question3
Question4
Soit
(∆)
l'ensemble des points M d'axe z telleque
|
z−
i| = |
z+
2i|
.Proposition 2 :
(∆)
est une droite parallèle àl'axe des réels.
Soient A et Bles points d'axes respetives i et
−
2i.On a
|
z−
i| = |
z+
2i| ⇐⇒
AM =BM⇐⇒
M∈ ∆
médiatrie de[AB℄. mais omme A et Bappartiennent à l'axe
des ordonnées, lamédiatrie de[AB℄ (d'équation y